L'épopée des Soeurs Guerrières

J'attends ma première mission
Je crois que ma feuille de personnage suffit, pas besoin que je remette ma fiche...

Voilà une mission pour toi:

Alors que tu te balades dans la forêt, tu aperçois un groupe d'orcs qui coupent les arbres pour alimenter grand un feu où ils veulent bruler des otages. Ce double crime ne te laisse pas indifférente et tu te décides à agir.

Troupes alliées: toi, tes hommes (ou femmes plutôt ^^ )

Troupes ennemies: 20 épéistes orcs (dont 10 armés de haches pour couper les arbres), 10 orcs avec arcs.

Troupes neutres: les otages des orcs: 10 femmes et 5 enfants (de 3 à 5 ans) .

Objectif: Sauver les otages et exterminer les orcs.

Objectif secondaire: escorter les otages jusqu'au village.

Décor: les orcs sont à l'orée d'une forêt et montent un bucher de 2 mètres de haut pour bruler les otages.

Bonne chance.

je prends, mais j'adapte un peu: vu que j'attends un contrat dans une auberge d'une bougarde de Rhûn, on peut dire que mon contrat est de ramener les otages et tuer les orques ?

par contre, pour le crime de brûler les arbres, vu que mon elfe a vécu parmi les humains, elle est légèrement moins concernée

Je t'ai dit de les sauver des orcs. Après, les ramener en Rhûn, chez eux ou les trucider m'importe peu tant que tu les as libérés des orcs. Mais on peut dire qu'ils vivent en Rhûn donc comme ça, tu remplis tes critères et les critères secondaires.

En ce qui concerne les arbres, l'instinct elfe tout de même: protéger la nature ( et les peuples libres en option )

Baptême du feu


Première partie

Auberge de la Place, troisième jour après la pose des affiches.

Tinadia venait de se lever et allait commander un déjeuner dans la salle principale de l’auberge, quand Tiryana la rejoint, équipée et armée :
« Ne traînes pas, on a notre premier contrat.
-On a un client ?
-Ouais, et c’est urgent, alors dépêches-toi !
-Pourquoi, qu’est-ce qu’on doit faire ?
-Celui qui nous paye, c’est tout simplement le chef de la ville, des femmes ont été enlevées. Je te raconterai tout en détail, mais avant équipes-toi et rejoins-nous aux écuries.
Quelques minutes plus tard, Tinadia rejoignait sa sœur, ainsi que les autres guerrières. Toutes étaient prêtes à partir, et quand la retardataire fut à cheval, Tiryana leva le bras et s’élança jusqu’à la sortie de la ville de Nardored, suivie des cavalières. Alors que le groupe longeait la mer de Rhûn, l’elfe expliqua la situation :
« Des femmes sont partis pour la ville d’Edalijar, où s’était installée une caravane de marchands, elles ont donc pris le bac et traversé le Celduin, mais le convoi s’est fait attaqué juste après, et apparemment il manque du monde. A nous de voir s’il reste des survivants, en tout cas on doit s’occuper des orques. »
Tinadia acquiesça, puis força l’allure et partit en éclaireur. Le groupe était à quelques kilomètres encore d’Edalijar, mais on pouvait déjà voir les fumées noires qui s’élevaient dans le ciel, derrière le fleuve. Les femmes n’en furent nullement impressionnées, et continuèrent leur chevauchée.
Quelques minutes plus tard, les cavalières arrivèrent dans la ville, ou du moins dans la partie située du côté ouest du Celduin. Elles se dirigèrent vers le bac, où stationnait une petite compagnie de miliciens en attente d’ordres. Quand ils les virent, la plupart des hommes esquissèrent un sourire moqueur où rirent franchement. Un d’eux lança même :
« Des femmes armées, cachez-vous les gars, on court au désastre ! »
Un coup de pied dans les attributs masculins suffit à calmer le téméraire, et à faire taire les autres.
« Laissez-nous passer, dit Tiryana. »
Pensant à leur camarade toujours au sol, tous s’écartèrent. Les cavalières mirent pied à terre et s’avancèrent sur le bac. Le passeur les arrêta :
« Où comptez-vous aller comme ça ?
-Eh bien, de l’autre côté, où pourrions-nous aller ? lui répondit Tinadia.
-Je ne vais pas de l’autre côté, il y a des orques !
-Des orques ? Nous sommes là pour eux justement !
-Vous allez affronter des orques ? Vous, des femmes ? Laissez… »
A l’instar du soldat, le passeur tomba à terre, plié en deux.
« Et maintenant, vous nous emmenez ? »
L’autre répondit :
« Oui oui, et gratuitement en plus ! »
Satisfaite de la réponse, Tiryana fit signe aux autres guerrières de prendre place. Alors que le passeur se relevait péniblement, les femmes aperçurent une nouvelle colonne de fumée qui montait peu à peu vers les nuages. Cette fois-ci, le panache venait de la forêt.
« On dirait que les orques se lâchent aujourd’hui, dit une des combattantes.
Le bac s’élança aussi lentement que les sensations revenaient dans l’entrejambes du batelier, et prit la direction de la rive opposée. Tout le groupe avait les yeux rivés sur les quartiers en feu, sauf Tiryana qui observait les flammes léchant la cime des arbres, quelques centaines de mètres plus loin.

plutôt un bon début , *chuchote* mais ici, ils aiment bien que tout soit en une seul partit, prions pour qu'ols n'aient rien vu *s'en va sur la pointe de pieds*

je sais, le reste arrive dans très peu de temps de toute façon

En tous cas, je te dis déjà que le format de ta première partie est bien fait, c'est un soulagement pour la suite.

le format ?
tu veux dire la mise en page ?

oui

Je trouve ca bien, c'est fluide et agréable a lire, continue comme ca pour la partie suivante

La traversée avait commencé depuis près d’une demi-heure, et les guerrières commençaient à trépigner d’impatience. La plupart rassuraient leur cheval, quelque peu apeurés par le voyage sur l’eau, d’autres vérifiaient le harnachement de leur monture. Tiryana faisait chanter la corde de son arc, alors que sa sœur maniait sa lance et la faisait tournoyer dans ses mains. Enfin le bac était proche du ponton, et toutes se préparaient : elles allaient descendre et rester à pied pour sécuriser le coin, avant de remonter à cheval et de chercher les orques et d’éventuels survivants.
Quand le passeur s’accrocha à la bite (d’amarrage) avec une corde, les dix combattantes avec une lance s’élancèrent sur le ponton et sécurisèrent le quai le temps que les autres mènent les chevaux sur la terre ferme et les attachent à des poteaux non loin. Tinadia mena son escouade de guerrières plus loin dans la ville, alors que les archères les suivaient, une flèche encochée sur leur arc, tous les sens en alerte. Tout d’un coup, la meneuse humaine revint en arrière et courut jusqu’à sa monture qu’elle détacha et qu’elle enfourcha. Elle repassa devant les autres femmes en lâchant un « Yen a qui nous a vu ! ». Aussitôt, et oubliant toute précaution, Tiryana donna ses ordres :
« Tous aux chevaux, il faut la rattraper ! »
Les femmes obéirent et rejoignirent leur monture puis se lancèrent à la poursuite de Tinadia, revigorées à l’idée de combattre très prochainement. Les vingt et une cavalières traversèrent les ruines des quartiers d’Edalijar et si dirigèrent vers la forêt, apercevant leur chef au loin qui atteignait sa cible et l’éliminait d’un coup de lance dans le dos alors qu’il entrait dans le bois. Les autres guerrières la rejoignirent et jetèrent un coup d’œil sur le corps.
« Il allait dans la forêt, à mon avis c’était pour rejoindre ses congénères, il est trop couard pour nous affronter seul.
-Combattre entre les arbres, ça va pas être pratique pour les chevaux.
-De toute façon le feu est en train de nous aider : la ligne de feu progresse vers l’est, sûrement vers le campement des orques. Ils sont très intelligents ceux-là !
-Je ne te le fais pas dire…
-Dans ce cas, contournons la forêt et entrons dedans par l’est, en avançant vers les flammes. On devrait avoir des chances de retrouver ces glamhoth et les éventuels prisonniers.
-De plus, ils ne pourront pas fuir : ils devront choisir entre la mort par les armes ou périr dans les flammes.
-Parfait, ne perdons pas de temps, on y va ! ordonna Tiryana. »
Une nouvelle fois les cavalières s’élancèrent, les deux sœurs à leur tête. Elles dépassèrent l’incendie, parcoururent encore plusieurs centaines de mètres, les archères mirent pied à terre et partirent devant, menées par Tiryana et suivies de près par les guerrières de Tinadia. A peine avaient-elles avancé de cent mètres que les premières d’entre elles aperçurent les premiers signes de la présence orque : un arbre s’effondra devant elles dans un grand fracas, et elles eurent enfin un contact visuel avec les ennemis : trois yrch tenant des haches montèrent sur le tronc et commencèrent à donner des coups avec leur outil sur les branches du végétal abattu. L’un d’eux s’avança plus loin, et quand il entendit un bruit, il releva la tête. La dernière chose qu’il vit fut la corde de l’arc de Tiryana qui vibrait. Malheureusement pour les mercenaires, l’orque poussa un cri avant de mourir, ce qui alerta les autres. Alors qu’une dizaine d’entre eux accouraient, Tinadia s’exclama :
« Au diable la discrétion ! »
Elle s’élança, épée dans une main, lance dans l’autre, sur les orques et leur fit découvrir l’acier des nains : le premier mourut la lance plantée dans le torse, et deux autres le suivirent dans la mort après que la femme les ait gratifié de deux coups d’épées. Elle se retrouva alors face à trois autres glamhoth armés de haches, et avant qu’elle n’ait pu frapper un seul d’entre eux, ils étaient déjà morts, transpercés par une volée de flèches. Tandis que Tiryana et ses archères lâchaient trait sur trait, les guerrières de Tinadia la rejoignirent dans sa charge et tuèrent cinq orques de plus.
Quand près de vingt autres ennemis arrivèrent devant les dix mercenaires, Tiryana rangea son arc et sortit sa dague et accourut au secours de sa sœur. Les yrch se retrouvèrent du coup en nombre égal, et leur combat gagné d’avance devint un défi qu’aucun d’entre eux ne voulaient relever : ils s’enfuirent tous vers l’ouest de la forêt, et vers le feu. Les femmes recommencèrent à progresser entre les arbres, dans la même direction, toujours aux aguets. C’est alors qu’elles découvrirent deux choses : aux arbres étaient attachées les femmes qu’elles cherchaient, ainsi que des enfants. L’autre chose, c’est que l’incendie était plus proche qu’elles ne le pensaient : à vrai dire il était à à peine cent mètres des prisonniers et des guerrières. Et entre les deux, une vingtaine d’orques pas assez bêtes pour se jeter dans les flammes, qui décidèrent de rebrousser chemin.
Face à cette situation plutôt peu confortable, Tiryana revit ses priorités :
« Détachez les prisonniers ! ordonna-t-elle aux archères. »
Puis, se tournant vers Tinadia :
« Protégeons-les ! »
Elle dégaina sa dague elfique et se rangea aux côtés de sa sœur. Les glamhoth rappliquaient, et apparemment ils avaient retrouvé le courage de se battre.
« Alignez-vous ! A mon signal, vous baisserez les lances, clama-t-elle. »
Les orques se rapprochaient.
Quatre-vingt dix mètres…quatre-vingt mètres…le vent tourna…soixante-dix mètres…soixante mètres…le feu avançait plus vite que les yrch…cinquante mètres…les créatures commençaient à se réchauffer. Une d’elles eut l’idée de se retourner : bien mal lui en prit : ses vêtements brûlaient, et elle se mit à courir plus vite, espérant qu’elle distancerait les flammes. L’orque finit par arriver devant les femmes, mais il était déjà mort. Au contraire, les dix-sept suivants étaient bien vivants, et ils étaient maintenant tout proches des guerrières. Arrivés à trois mètres d’elles, Tiryana donna le signal : les lances s’abaissèrent devant les glamhoth qui vinrent s’empaler dessus. Malheureusement l’incendie avait donné des ailes aux ennemis, et plusieurs d’entre eux renversèrent les mercenaires, en blessant trois au passage, et une plus gravement. Les orques qui avaient réussi à passer ne s’arrêtèrent même pas pour attaquer les archères qui libéraient les prisonnières. Ou du moins essayaient de libérer les prisonnières. Parce que femmes et enfants étaient très bien attachés aux arbres, et les guerrières avaient du mal à trancher les liens avec leur épée. La situation délicate les obligea à employer les grands moyens :
« Brûlez-les ! lança Tinadia.
-Quoi ? demanda une soldate.
-Brûlez-les ! répéta la chef des stipendiées. »
Consciente que cela serait trop long à expliquer, Tinadia montra l’exemple : elle se dirigea vers la ligne de feu, saisit une branche en feu et revint rapidement près d’une prisonnière. Elle amena les flammes près de la corde qui commença à se consumer. Le lien finit pas céder, et on libéra rapidement la femme. Imitant leur supérieure, quelques archères ramassèrent des tisons et embrasèrent les cordes. Rapidement tous les prisonniers furent soulagés de leurs entraves, et on les pressa de partir.
Alors que les flammes se rapprochaient, Tiryana et les guerrières se remirent du choc de la charge : celles qui avaient été jetées au sol furent relevées, et on emmena les blessées avec les anciens captifs. Une d’elles fut portée -car elle était inconsciente- facilement, parce que c’est une femme, mais pas tant que ça, parce que c’était des femmes qui la portaient.
Les autres s’éloignèrent rapidement de l’incendie, portant au passage les enfants pour gagner du temps, et sortirent du bois là où étaient attachés les chevaux. Les anciens détenus montèrent en croupe des archères qui retournèrent vers l’ouest et Edalijar, tandis que les neuf autres cavalières, conduites par les deux sœurs, se lançaient à la poursuite des derniers orques. Ceux-ci ne furent pas longs à repérer, et le groupe força l’allure pour les rattraper.

Quand les glamhoth se rendirent enfin compte qu’ils étaient traqués, certains se retournèrent et bandèrent leur arc. Quelques flèches furent tirées, et une d’elles toucha une monture qui s’écroula et jeta au sol la guerrière qui le montait. Cette réussite ragaillardit les orques, mais seulement quelques secondes avant que les mercenaires ne fondirent sur eux. Tinadia projeta sa lance dans un orque et l’atteignit à la tête. Elle mit ensuite pied à terre et dégaina son épée. Un orque s’approcha et elle l’accueillit d’un coup dans l’aine, un second à l’épaule suffit à l’orch pour apprécier cette femme. Pendant qu’elle mettait à mort son adversaire, un autre plus petit s’approcha par derrière, prêt à frapper par derrière (sa spécialité). C’était sans compter sur Tiryana qui veillait sur sa sœur : rapidement elle encocha une flèche et se retourna sur son cheval avant de lâcher le projectile sur le snaga qui le reçut de bon cœur (et au milieu du dos). Cinq des dernières créatures furent fauchées par les cavalières, écrasées sous les sabots, transpercées par une lance ou tailladées par des épées. Les deux yrch survivants se jetèrent sur une cavalière et la tirèrent au sol pour la marteler de coups. Ils l’achevèrent d’un coup de dague dans le cœur, et l’un deux se préparait à lui mordre le coup quand il se rendit compte que sa bouche –ou plus exactement sa tête- était à dix mètres de son corps. La mort vint le prendre avant qu’il réalise qu’on l’avait décapité. Voyant son « camarade » (si un esprit de camaraderie pouvait exister chez les glamhoth) en plusieurs morceaux, le dernier orque se releva pour s’enfuir mais sentit plusieurs armes s’enfoncer dans sa chair. Trois pointes de lances dépassaient de son thorax, et une flèche lui avait transpercé le cou, alors qu’il gargouillait dans sa bouche pleine de sang. Tinadia abrégea ses souffrances d’un revers de l’épée qui lui arracha la chair, les muscles et les cervicales, et qui sépara sa tête de son corps.
Les yrch étaient tous morts, mais les guerrières n’en avaient pas fini avec eux : Tiryana ordonna qu’on rassemble les corps, et alla elle-même chercher un brandon qu’elle lança ensuite sur la pile de cadavres. Alors que les cavalières repartaient vers Edalijar, un nouveau panache de fumée s’élevait dans le ciel, mais celui-ci était le dernier avant un bon moment.
Quand elles rejoignirent leurs camarades, elles trouvèrent les miliciens précédemment rencontrés en train de patrouiller dans les ruines. A leur passage, la plupart d’entre eux les félicitèrent d’un simple hochement de tête, alors que les anciens prisonniers les étreignaient chaleureusement. Déjà les artisans et les ouvriers arrivaient du bac pour reconstruire les quartiers est, alors que les cavalières, les enfants et leur mère, le prenaient pour passer rive ouest. On leur prêta une charrette pour retourner jusqu’à Nardored, là les anciens captifs furent heureux de retrouver leur famille, et vice et versa. Le chef de la ville paya les mercenaires qu’il avait engagé avec une bourse plutôt bien fournie. Ne voyant aucune utilité à l’argent qu’elles avaient gagné, et après avoir discuter avec les autres guerrières, Tiryana et Tinadia le dépensèrent en provisions et diverses ressources qu’elles mirent dans un chariot pour l’envoyer à Earekin au village refuge, sans oublier d’en garder une partie pour elles-mêmes.
Une fois le chariot parti, les mercenaires retournèrent à l’auberge de la Place, et à nouveau attendirent…


Bilan de la mission : contrat rempli : les otages ont été sauvés, les orques tous tués (brûlés, démembrés, transpercés, tailladés, broyés, décapités, perforés, écrasés, enfin de toutes les façons possibles et imaginables de tuer un orque).
Pertes ennemies : 30 orques
Pertes alliées : 1 cavalière
3 blessés légers, 2 blessés graves

c'est troooop court !

hein hein! bonne mission!

elou, qui est resté sur le massacre des orcs car il adore ça!

je veux bien une autre mission en attendant la note de qv'

Voici ta mission:

Un village est régulièrement pillé par une horde d'hommes sauvages, ils te payeront cher pour se débarrasser de cette engeance. Tes ennemis seront postés dans une forêt en amont du village. Soit sans aucune pitié.

Objectif: Massacre les hommes sauvages et ramène la tête du chef au village.

Forces ennemies: 24hommes de duns armés de haches, massues, cimeterres rouillés, etc...+13 chasseurs hommes de duns (arcs, javelots, haches de jet)+le chef (il a une armure d'acier caché sous son manteau de fourrure et une hache à deux mains très affutée)

Forces alliées: Toi et tes femmes

ok je prends, merci Sparda !


Par contre, arrêtez avec les forêts, même si j'ai un perso elfe, parce que mes spécialités ce sont les raids et la cavalerie, alors en forêt la cavalerie c'est très merdique ^^

j'enlève le "de dun" à hommes de Dun vu que je suis près de la Mer de Rhûn


merci quand même
j'attends ta note qv3me

pense qu'on est pas là 24/24H ^^

longueur: 15/20 (bonne première mission, meilleure que les premières de certains...-_-" )

Action: 17/20 (bien décrite et longue. J'adore ça )

Orthographe: 10/10 (aucune faute remarquée ^^ )

Histoire: 16/20 (j'ai bien aimé)

Note finale: 16/20 (bonne mission)

merci qv !

penses aussi que c'est l'impatience du débutant ^^

Les nouveaux veulent toujours leurs notes en vitesse, on les referas pas...

ça doit être pour montrer de quoi ils sont capables dès le début ^^

après, ça marche pas avec tout le monde...NON, je ne pense pas à Empiresoldier !

Etions nous si différents à nos débuts?

Je dois avouer que oui, car ma première mission était POURRIE! Ahahahahha.. euh.... -_-"

évitons de flooder sur le topic histoires snp

gauthier=>au boulot


PS: matez ma super signature, en rapport avec mon boulot de tavernier