Souvenirs, souvenirs

A tous les nostalgiques de la première Grande Bataille, et a AnakinElectra qui a demandé ce que c'était !

Un petit extrait relatant mon duel avec Praxis l'Oriental

Quand les deux armées se rencontrèrent, les troupes du Bien combattirent avec l'énergie du désespoir, car la moitié d'entre eux était déjà tombé, alors que les guerriers ennemis étaient étonnement encore plus nombreux. Lors de ce combat, les faits d'armes et les actions héroiques furent trop nombreuses pour que je vous les décrivent toutes, cependant je vous vais vous raconter les plus importantes.
Quand Sigmin et ses gardes arrivèrent sur les lignes ennemies, ils se taillèrent un chemin à travers les lanciers haradrims qui tentaient de les arrêter, jusqu'à à arriver au groupe d'orientaux qui protégeaient le commandant ennemi, Praxis. A ce moment-là, Sigmin et ses gardes n'étaient que neuf -les autres guerriers nains n'étaient pas arrivés aussi loin dans les lignes ennemies- et en face il y avait treize gardes orientaux, ce qui ne les empêcha pas de les charger. Les soldats ennemis furent pris au dépourvus de voir arriver des petits guerriers, et n'eurent pas le temps de réagir que cinq d'entre-eux étaient déjà morts. Ceux restants contre-attaquèrent, et eurent du mal à frapper les nains, car ils durent se pencher pour les frapper, néanmoins ils réussirent à en tuer trois, avant de finir eux-même avec un membre tranché par une hache naine. Sigmin finissait de décapiter un lancier , après être monter sur un des ses compagnons pour pouvoir atteindre son cou et sa tête, il se trouva brusquement face à Praxis l'Oriental, qui dégaina son épée recourbée et abandonna son arc pour s'alléger. Il sortit aussi une dague de jet, qu'il lança sur Sigmin, mais celui-ci l'évita d'un revers de sa hache (façon Nadal). Sigmin se jeta sur lui, et les lames s'entrechoquèrent, le nain faisant de grands mouvements avec son arme, mais l'homme parvenait à les éviter habilement avec son sabre. Puis d'un mouvement astucieux, Sigmin abaissa l'arme de l'ennemi jusqu'au sol, le forçant à lâcher prise. Mais Praxis ne s'avoua pas vaincu, car il tira de son brassard un long poignard à la lame effilée. Le sergent nain fut surpris de cette manoeuvre, n'eut pas le temps d'esquiver l'attaque rapide de l'oriental, et la dague lui entailla profondemment le bras, lui obligeant à laisser sa hache à deux mains. Mais le nain non plus ne se laissa pas faire, puisqu'il sortit à son tour sa deuxième arme, une hache à une main, beaucoup plus petite que la précédente, et il surprit à son tour son adversaire en l'attaquant au cou, ce qui força l'oriental à reculer et à tenter de parer la puissante attaque avec son poignard, qui se brisa sur le coup. Désemparé, Praxis sortit sa botte secrète, de la poudre aveuglante, et la lança dans le casque de Sigmin. Celui-ci, rendu céciteux sur le coup, lâcha sa hache et retira son casque rapidement. Il se frotta les yeux pour recouvrer la vue, mais son ennemi en avait profité pour récupérer son sabre. Instinctivement, Sigmin tatonna par terre jusqu'à ce qu'il retrouve un manche qui lui était familier. Il prit sa sa hache à deux mains, mais la laissa près du sol, invisible aux yeux de son adversaire, et ferma les yeux, attendant son ennemi. Celui-ci se précipita sur le nain, ne remarquant pas son attitude, et il le paya cher. Sigmin avait entendu arriver Praxis, et s'était baissé quand celui-ci avait tenté de lui trancher la tête. Il avait alors frappé de toutes ses forces devant lui, sentant qu'il tailladait quelquechose. Puis il entendit des personnes arriver, derrière et devant lui: devant, ils parlaient un dialecte que le sergent nain ne comprenait pas, sûrement de l'oriental, et derrière il reconnut la langue de son peuple, et comprit que les gardes Khazad restants avaient accouru à son secours quand ils l'avaient vu tomber par terre. On aspergea ses yeux d'eau et il recouvra progressivement la vue. Les hommes arrivés devant lui étaient les sept derniers gardes de Praxis, des archers qui étaient venu puis étaient repartis, portant un corps. Sigmin reconnut son adversaire, et vit qu'il avait la jambe droite tranchée: c'était le coup que le nain avait donné à l'aveuglette. Puis le nain ressombra, et sentit qu'on le portait, tout en entendant la clameur des combats qui s'éloignait.

Ça va me poursuivre combien de temps cette histoire ? x)

Citation :

Il avait alors frappé de toutes ses forces devant lui, sentant qu'il tailladait quelquechose. Sigmin reconnut son adversaire, et vit qu'il avait la jambe droite tranchée: c'était le coup que le nain avait donné à l'aveuglette.

On sent la dextérité du nain. Bien ton bras à part ça ?

oui oui t'inquiètes, la médecine des elfes a montré une fois de plus son efficacité !

j'ai demandé ce que c'était ? me souviens plus !

En fait, Le créateur du forum choisi un scénario dans un zone de la Terre du Milieu (exemple: la Grande Bataille Actuelle en Harad) et ceux qui veulent y être s'inscrivent. Les soldats des joueurs vont être additionnés et plus il y aura de combattants dans un camp, plus leur armée sera grande. Ensuite, chacun écrit la bataille selon comment ils a la voient. ( voyage jusque au lieu de rendez-vous, préparation des plans, attaques, contre-attaques, retraite,...etc) Les textes doivent être longs et bien lisibles.

Oublie pas qu'ils doivent aussi avoir une certaine cohérence entre eux.

C'est le probleme,le premier à poster à toujours tendance à exagérer salement la puissance de son camp et à donner une image des ennemis asser pitoyable.

c'est pas vrai, la preuve quand vous faites peter le pont, on a l'air de gros crétins

la preuve que pour les deux premières Grandes Batailles, c'est moi qui a commencé, et c'est nous qui avons gagné (après qques revers dans la deuxième, mais), grâce à Phoenixios, Munok, le Wose, Fean qu'est plus là, Arafin et Adrian qui s'est retourné contre nous et qui s'est pris unr grosse branlée avec ses cavaliers qui fonce comme des cons sur une ligne de piquiers elfes ^^ pffff, , ils feraient n'importe quoi pour se faire de l'argent, ces mercenaires !

ouai sigmin a raison !

t'as pas l'air d'avoir compris, ou je crois que c'est moi qui ait tout compris