Avis

Bon, voilà, c'est une petite ébauche d'idée, un simple début, en collaboration avec un cousin, j'aurais simplement aimé avoir votre avis, si vous trouvez ça sympa ou non, alors voilà merci d'avance.



Trois gouttes. Trois gouttes suffiraient. Trois gouttes et le vieillard mourrait. Il avait passé tant de temps à réunir les ingrédients nécessaire à cet élixir fatal, mais à présent c’était bon, le breuvage était prêt. Il s’agissait probablement d’un des poisons les plus subtils qu’Il n’est jamais rencontré. Il avait glané la recette dans un grimoire vieux de plusieurs centaines d’années, et Il avait de suite décelé toute le splendeur de ce poison. Ensuite, les choses s’étaient enchaînées très vite et très naturellement. En sa qualité de maître empoisonneur confirmé, Il avait commencé à réunir les ingrédients et outils nécessaire à la réalisation de l’élixir. Évidemment, tout était très rare, le rassemblement de tout ces pré requis pris donc plusieurs années, mais maintenant c’était fini !
Une fois le poison prêt, il ne restait plus qu’à mettre en œuvre Son plan… Il avait préparé sa minuscule fiole, contenant l’inestimable breuvage, et s’était dirigé vers les cuisines depuis un réseau de passage secret qu’Il avait découvert bien des années auparavant. Il avait également soudoyer deux gardes, qui avaient pour ordre d’évacuer la cuisine, de manière à ce qu’Il se retrouve seul, sans le moindre témoins. Bien entendu, les deux gardes, qui ne pouvaient se doutaient de rien, allaient bientôt mourir eux aussi, car Il avait introduit dans leur déjeuner un poison qui les ferait mourir le lendemain… Son plan était parfait, jamais personne ne pourrait remonter jusqu’à lui, aucun cuisinier ne l’auraient vu rentrer, ses seuls complices qui étaient les gardes seraient bientôt mort, et le vieillard lui, mourrait d’une manière aux allures si naturelles que tous n’y verront que du feu. Car si Son plan était si parfait, c’était essentiellement dû à ce poison si subtil. Quelque goûtes de ce breuvage, et la victime se retrouve vite avec de la fièvre, puis de plus en plus malade, puis finit par agoniser après plusieurs semaines de souffrances. La maladie, voilà ce que simulait le poison, et à un si grand âge, personne ne soupçonnerait que le vieil homme ai été empoisonné ! Le problème restait le goûteur du roi, qui serait lui aussi empoisonné, et qui mourrait dans les mêmes circonstance, dans les mêmes délais… C’est pourquoi Il avait prévu un autre poison, plus rapide, que le goûteur trouverait chez lui le soir même…
Oui, décidément, Son plan était parfait, rien ne ferait obstacle à ses ambitions, bientôt, Il prendrai la place du vieillard, et bientôt Arthen connaitra une nouvelle ère !





Trois coups de marteaux résonnèrent sur la pierre du Silence. Trois coups bref, qui firent immédiatement cessaient le chahut qui régnait dans la salle.
« J’exige le calme immédiat » clama le président du conseil.
Après quelque minutes, les nombreux ecclésiastes cessèrent leur chahut.
-Messieurs, arrêtez de vous comporter comme des enfants, et veuillez écouter l’inquisiteur, je vous demanderez ensuite de prendre votre décision, mais pour l’amour de Galien, restez calme ! Je vous laisse la parole Kendley.
-Merci bien, Monseigneur… lâcha l’inquisiteur tout en se tournant vers l’assemblée. Messieurs, il est évident, et je le conçois parfaitement, que vous rechignez à engager notre glorieux royaume dans une guerre. Il est vrai que la lucidité de mon prédécesseur laissa à désirer, mais il s’agissait d’une autre époque, et je tient à vous rappeler que nos plus grands exorcistes émettent des hypothèse quand à l’éventuelle possession du regretté Inquisiteur Jens par le Malin. Sans ces horribles faits, la guerre aurait sans doute pris une autre tournure… Mais quoi qu’il en soit c’est vers l’avenir qu’il faut nous tourner et pas vers le passé ! L’empereur de ces hérétiques est malade, et nos informateurs nous on signalés que la succession ne se ferait probablement pas sans incident, c’est le moment que nous attendions pour enfin porter la bonne parole au nord tout en purifiant les impies. C’est une épreuve que Notre Seigneur à placé sur notre chemin, et j’ai l’intime conviction que Son souhait est que nous lui apportions de nouveaux fidèles. Notre devoir est d’engager cette guerre, notre pays connait une ère de prospérité, nos armées sont puissantes, je vous le répète, nous ne pourrions trouvé meilleur occasion ! Mais quoi qu’il en soit de mon avis, c’est à vous à et vous seul messieurs que revient la décision, j’espère que vous prendrez la bonne décision. Que Galien soit avec Nous !
-Amen… répondit le président, Merci Kendley, vous pouvez nous laisser, nous allons procédés au vote à présent.

Le choc fut rude. Un peu trop rude pour Gharod. La force de l’orc qui lui faisait face était largement supérieur. Malgré sa puissante musculature, Gharod restait un homme, et jamais les hommes ne surpasser les orcs en force brut. C’est donc trois mètres en arrière que fut projeter le pauvre chef de clan, tandis que sa lame volait dans une autre direction. Le gigantesque orc s’approcha, triomphant, mais au moment où il allait achever son adversaire, Gharod roula sur le côté. L’épée de l’orc s’enfonça profondément dans le sol, ce qui permit à Gharod de se précipiter pour récupérer sa lame. A peine était-il remis en position de combat que l’orc lui fonçait de nouveau dessus. Mais cette fois, l’homme avait compris que ce n’était pas la force qui déciderait de l’issue du combat. Au dernier moment, il esquiva en sautant sur le côté tout en envoyant un coup de pied magistral dans le ventre de la créature.
Cela ne fit que la déstabiliser, mais le coup d’épée de Gharod qui suivit fut un peu plus efficace, l’orc para, mais avec difficulté, ce qui le déséquilibra, donnant tout le temps à Gharod de continuer son enchaînement. Il donna un coup d’estoc qui transperça l’abdomen de l’orc, qui lâcha son arme. Mais ces créatures était bien plus résistante que les humains, et ce coup habituellement mortel était simplement gênant pour ce monstre. Ce dernier envoya une volée de coup de poing dans la tête de Gharod, qui fut éjecté un peu plus loin. L’orc s’arracha la lame de la poitrine, puis fonça sur Gharod. Une erreur fatal. Gharod, qui était très agile, se releva les deux pieds en avant, ce qui envoya l’orc à terre. L’homme dégaina une dague dissimuler dans sa botte puis sauta sur la créature. Elle tenta vainement de résister, mais Gharod enfonça finalement la dague dans l’œil du monstre. Alors que sa carcasse s’agitait encore, Gharod retourna le coutelas d’un coup sec, puis découpa sur toute la longueur du crâne, ce qui entraîna un giclement de sang tout autour du cadavre. Les hommes qui assistaient au duel commencèrent à taper en rythme sur le sol, puis les orcs entonnèrent un chant de guerre ancestral. Gharod savait ce qu’il lui restait à faire. Il découpa complètement la boite crânienne de sa victime pour en extraire tant bien que mal le cerveau. Malgré son dégout, il devait respecter la tradition. Il dévora en trois bouchées la cervelle encore dégoulinante de sang, puis s‘attaqua à la poitrine de son adversaire. Il la découpa soigneusement et arracha le cœur encore légèrement palpitant, pour le dévorer lui aussi. Gharod termina enfin son terrible festin par les parties génitales et symboles de virilité de son adversaire, auxquels il infligea le même traitement qu‘aux précédents organes. La ruse, l‘âme et la force du vaincu. Tout les membres de cette morbide assemblée se turent quand le combattant victorieux se leva, les mains pleines de sang encore frais.
« Je suis le Khan suprême de tout les clans de l’Est ! » Hurla Gharod.
Toutes les créatures rassemblées recommencèrent à chanter et à taper du pied. Maintenant c’était fait, il avait vaincu tout les chefs de clan, un par un, pour devenir l’homme le plus puissant de l’Est. Bientôt, ils déferleront sur Arthen, et les hommes « civilisés » connaitront le courroux des barbares de l’Est !





« -Félicitation Kendley, visiblement votre discours à fait son petit effet ! 326 voix à 174 pour votre proposition de purification d’Arthen ! La guerre va pouvoir commencer, comme vous le souhaitiez !
L’Inquisiteur Suprême sourit et se tourna vers la fenêtre donnant sur la gigantesque cour où se tenait des centaines de terrifiants Gardes Inquisitoriaux, tous prêt à partir au combat purifier les hérétiques au nom de Galien.
-Parfait, susurra l’inquisiteur. Véritablement parfait ! »

J'aime beaucoup, surtout l'intro...

Fin pense, conseil d'un brave second, à surveiller l'ortho et surtout à eviter les répétitions...
Je prend una exemple :

"Bien entendu, les deux gardes, qui ne pouvaient se doutaient de rien, allaient bientôt mourir eux aussi, car Il avait introduit dans leur déjeuner un poison qui les ferait mourir le lendemain…"

Y vont donc mourir car ils vont mourir en gros...

Je remplacerai pas toute la phrase mais un truc genre

"Bien entendu, les deux gardes, qui ne pouvaient SE DOUTER de rien, rejoindrai bientôt le royaume des gisants, car Il avait introduit dans leur déjeuner un poison qui ferait taire les battements de leur coeur le lendemain"

Ou

"Bien entendu, les deux gardes, qui ne pouvaient SE DOUTER de rien, connaitraient bientôt la joie de retrouver leurs ancêtres, car Il avait introduit dans leur déjeuner un poison leur permettant de plonger dans un sommeil profond pour l'éternité"

Ou bien (petit délire)

"Bien entendu, les deux hommes dénués de neurones qui gardaient l'entrée, et qui ne pouvaient SE DOUTER de rien étant donné la petite capacité de leurs boites cranienes, auraient bientôt la joie de pisser le sang par les yeux, car Il avait introduit dans leur déjeuner un poison qui rendrait fou de joie Bob Marley en personne".

J'aime beaucoup la deuxième proposition

Fin sinon l'idée est très bonne... J'aime vraiment beaucoup l'intro, je vais la retaper dans un texte... :-)

Pis tu peux mixer un peu des deux