Désolé pour le retard et pour la taille mais j'ai été pas mal occupé et je voulais pas le rendre en retard (excuses, excuses,...)
Urgof regarda l'ordre de mission parlant du village qu'ils allaient attaquer : c'était un village en bois entouré d'un mur de la même matière, à l'entrée étaient postés neuf soldats et trois rohirrims patrouillaient autour du village. Il y' avait aussi cinq archers disséminés dans le village. Ce dernier était juché sur une butte de telle sorte que toute personne (ou chose) qui passait devant le village se faisait voir par les guardes. Heureusement pour les ourouks, la butte était entourée d'une forêt dans laquelle ils avaient établi leur camp. Les ordres étaient clairs, tout ennemi de Saroumane ou du Maitre devait périr et ce village de traître en faisait parti. Il déchira l'ordre de mission et le mangea (qui irait chercher une preuve contre Saroumane dans le ventre d'un ourouk ?) puis il alla vers ses hommes (ou plutôt ourouks) et clama :
« - Mes amis, demain sera une rude journée, cette vermine commence à avoir des doutes sur Saroumane et ils vont le payer de leur vie ! Dans cette ville, il y' a des soldats lourdement armés mais ce n'est qu'à manger !
-OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS ! » crièrent les ourouks d'une seule voix.
Pendant la nuit, Urgof fut réveillé par des bruits de combats. Il sortit de sa tente et vit des loups s'attaquer à sa troupe. Il retourna sous sa tente et s'habilla. Une fois sorti, il s'attaqua à tous les loups qu'il voyait : trois loups furent tués de manière diverse, un avec un couteau dans l'œil, l'autre dans le cœur. Il en tua même un qui lui sauta dessus en esquivant puis en le prenant par les patte afin de l'envoyer sur la lance d'un de ses amis. À la fin de la bataille, on vit que les loups avaient tués un épéiste mais au moins, les ourouks n'auraient pas à manger du lapin le lendemain. Au matin, Urgof fut réveillé par son second Burtz qui manqua de se faire arracher le bras. Il mit son armure et sa ceinture de couteaux puis alla donner des ordres après avoir mangé une bonne part de loup :
« VENEZ AVEC MOI DERRIÈRE LE VILLAGE, NOUS ALLONS D'ABORD TUER CES MISÉRABLES DRESSEURS DE CHEVAUX ! »
Ils le suivirent et préparèrent le piège....
Plusieurs heures plus tard, alors que les cavaliers se trouvaient derrière le village, une volée de flèches s'abattit sur eux venant de la forêt, malheureusement, elle se trouvait à plus de cent mètres du village et aucune flèche ne touchèrent. Les cavaliers foncèrent et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, ils arrivèrent et se préparèrent à sauter car une rangée de pieux pas très longue mais assez large se dressait devant eux. Le dernier sauta quand tout d'un coup, une corde se tendit, le cheval trébucha et s'écrasa envoyant par la même occasion le cavalier sur les piques. On l'entendit dire un dernier « AHHHHHHH ! » puis un splartch. Un des deux cavaliers restant sauta trop haut et son cheval fut transpercé par une lance et il tomba sur son cavalier qui mourut sur le coup dans un bruit horrible d'os fracturés. Enfin, le dernier arriva de l'autre coté sans problème et chargea sur un arbalétrier mais Urgof s'interposa et lança un couteau qui alla se planter dans le cœur du cheval, il tomba et son cavalier fut envoyé à terre et très vite encerclé par six ourouks qui pointaient vers lui des lances. Urgof leur prit chacun une dent pour sa collection qu'il avait laissé en Isengard.
Ensuite, ils torturèrent le cavalier en le pendant par les pieds et en le mangeant petit à petit pour qu'il leur donne un plan détailler du village. Une fois cela fait, les ourouks le laissèrent aux loups après lui avoir crevé les yeux et coupé la langue. Maintenant, ils savaient où allaient se poster les archers en cas d'attaque et où le mur était facile à escalader. Ils décidèrent de leur donner le coup de grâce la nuit même car ainsi ils auraient un peu de temps avant que les archers n'arrivent mais par contre, il y' avait un épéiste de plus à la porte (c'est-à-dire cinq) pour protéger le village à cause des loups qui rôdaient dans les parages.
Ainsi, à la nuit tombée, vers minuit, les guardes virent une volée de flèches qui ne toucha qu'un seul soldat mais de quatre carreaux d'arbalètes. Alors, ils attaquèrent vers la forêt après avoir sonné l'alarme. Pendant ce temps, Urgof monta sur le mur de derrière et, lorsqu'il arriva en haut, tourna à droite. Il continua son chemin jusqu'à une tour de guet puis tourna, mais à ce moment là, il se retrouva nez-à-nez avec deux archers, ce qui veut dire que le cavalier lui avait menti ! Alors, il planta les deux couteaux qu'il avait dans les mains dans le corps du premier archer puis sauta sur le deuxième et lui arracha la carotide. Il prit une de leurs dents, reprit ses couteaux et continua son chemin. Quelques secondes plus tard, il était dans le dos d'un autre archer et lui planta son couteau dans le dos le tuant sur le coup. Il lui arracha évidemment une dent et continua. Ensuite, il arriva à une nouvelle tour de guet, et alors qu'il allait la passer, une chose tomba devant lui : il sauta en arrière et regarda la chose, c'était un archer avec un carreau d'arbalète dans le ventre. Urgof se dit qu'il remercierait l'ourouk qui avait tué cet archer car il lui avait sauvé la vie. Enfin, il arriva en vue du dernier archer. Il commença à avancer vers lui quand il trébucha. Malheureusement, sa ceinture n'était pas de très bonne facture : elle se coupa et tomba en bas du mur, tout en bas... Il s'approcha quand même de l'archer, lui vola une flèche dans son carquois et la lui planta dans la gorge. Urgof regarda le champ de bataille : les quatre autres soldats étaient arrivés et les cinq premiers étaient déjà tous morts et certains en partie mangés, les ourouks se jetèrent sur eux car ils n'avaient pas mangé de viande humaine depuis l'anniversaire de Saroumane et que les cinq premiers soldats n'avaient pas suffi pour les onze ourouks. Mais du coup, ils étaient bien moins protégés et un lancier mourut. Une fois les quatre guardes morts, Urgof qui était toujours sur le mur ouvrit la porte aux ourouks. Ils entrèrent tous dans le village et le mirent à feu et à sang, un paysan essaya de prendre les armes mais termina avec une lance dans la poitrine. En une demi-heure, il ne resta plus personne et le village fut brûlé. Urgof récupéra ses couteaux et sa ceinture et tout le monde repartit vers l'Isengard avec chacun un corps sur le dos (ils en avaient marre de manger de l'écureuil).
BILAN :
- tout le village est en cendres et les villageois tués,
- un épéiste et un lancier sont morts.
Mer 23 Juin - 14:01
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