Les Guerres de la Terre du Milieu
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Les Guerres de la Terre du Milieu

La reprise du jeu de rôle créer sur le forum Le Seigneur des Anneaux : l'âge des conquêtes
 
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 Sigmin "Ami des Elfes"

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Sigmin, fils de Sigan, Ami des elfes ¤ Capitaine d'Erebor
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 5:42

Retour des aventures de Sigmin le nain, plus en forme que jamais !

VII


« Il va falloir trouver un autre chemin »
Soldat Filin, de la 12e Compagnie d’Erebor



« Alors chef, vous pensez qu’on en aura pour combien de temps ?
-Je ne sais pas trop, répondit Sigmin. A vrai dire, on doit juste trouver un passage dans cette chaîne de montagnes, et prévenir le commandement le plus vite possible. Ensuite, cela dépendra de ce qu’ils veulent en faire, mais on doit au moins surveiller la première faille qu’on pourrait repérer.
-En tout cas, nous voilà au coin nord-est de la chaîne, notre mission commence ici. Les alliés avaient déjà exploré les montagnes jusqu’ici, annonça Hemli.
-Ils auraient pu se donner la peine de continuer, cela nous aurait évité de marcher avec tout notre équipement, sans avoir le temps de se reposer. On a à peine pu voir les officiers, dit Filin.
-C’est vrai qu’ils ont amené des chevaux, ils auraient pu s’en servir pour faire rapidement le tour de la chaîne, s’offusqua Narin.
-Je crois que c’est plutôt pour nous éloigner des combats, lança Hanus. Ils ont peur qu’on leur vole la vedette en plein milieu de la mêlée. »
Cela fit sourire Sigmin, ce à quoi il répondit :
« Ne vous inquiétez pas pour les combats, Phoenixios ne lancera pas l’attaque tant que nous n’aurons pas fait notre rapport. Il cherche un moyen d’éviter le passage de la faille, qui nous forcerait à s’enfoncer en terrain ennemi avec les troupes de l’Œil juste derrière.
-Alors nous aurons le droit de connaître la gloire sur ce champ de bataille ? s’enquit Hanus, qui n’avait pas encore connu son baptême du feu.
-Sûr de sûr, mon ami, le rassura le capitaine. Tu auras face à toi plus d’ennemis que ce que ta hache pourra étriper. Et cette fois, ça ne sera pas du gobelin des montagnes : ce Alkin et ses hommes sont des guerriers valeureux, à ce qu’on m’a dit. Même leur pire troufion serait capable de blesser un de nos soldats.
-Blesser oui, mais seulement blesser. Et encore, son adversaire sera encore capable de lui arracher une jambe » ajouta Filin, en clin d’œil au combat de Sigmin contre Praxis l’Oriental, dans lequel le nain avait démembré son adversaire, alors qu’il avait été aveuglé et blessé son bras. L’histoire avait le tour de la Terre du Milieu, et restait un des meilleurs sujets de discussions dans les tavernes, mais qui ressemblait de moins en moins à l’histoire originelle.
Sigmin releva l’anecdote, mais ne dit rien de plus. Il suivait des yeux Feran, qui s’était éloigné de quelques dizaines de mètres en avant, et maintenant était agenouillé derrière un rocher. Puis le nain leva le poing. Le capitaine interrompit la discussion de ses soldats :
« Taisez-vous ! Feran a vu quelque chose. »
Les quatre guerriers se turent et sortirent leur arc, suivant l’exemple de leur supérieur. Devant eux, leur compagnon fit quelques signes de la main.
« Il a repéré du mouvement au pied d’un pic rocheux, à un kilomètre. Un loup, visiblement seul. »
C’était Hanus qui avait parlé, déchiffrant parfaitement les figures du langage des signes en usage dans l’armée royale d’Erebor, qu’il avait commencé à apprendre il y a quelques jours.
« Bien vu, soldat. Vous êtes sur la bonne voie, le félicita Sigmin.
-Merci capitaine, glissa l’officier d’ordonnance.
-Capitaine, du nouveau, les coupa Hemli. Deux autres loups avec le premier. Feran nous indique un petit plateau juste au-dessus de lui, idéal pour éliminer les ouargues en toute sécurité.
-C’est parfait, observa l’officier en chef. Narin, rejoignez-le, et trouvez le chemin idéal pour rejoindre cette mesa. Nous autres, on rejoint ce rocher, expliqua le nain en désignant un roc à deux cent mètres, proche de la chaîne montagneuse. »
La petite troupe se mit en marche, Narin distançant rapidement les autres pour rejoindre Feran. Quand les deux cousins furent ensemble, ils discutèrent quelques instants, puis le premier repartit en direction de la pente rocailleuse, avant de commencer à grimper dans les rochers. Une dizaine de mètres plus haut, il se retourna et fit un signe aux rangers restés derrière.
« Messieurs, à nous de jouer. On retourne faire de la grimpette dans les cailloux, comme au bon vieux temps, lança le capitaine. »
Les nains acquiescèrent, ravis de retourner dans leur environnement préféré : la montagne. Au pas de course, ils s’élancèrent vers les rochers, qu’ils longèrent sur environ cinq-cents mètres avant de s’engager dans une varappe qui les mena jusqu’à Narin. Arrivés en haut, Hanus fit signe à Feran de les rejoindre, conformément aux ordres du capitaine.
« Feran, conduisez-nous jusqu’au plateau. Mon arc me démange.
-Avec plaisir chef ! »
Une fois de plus, les nains se remirent à courir jusqu’à la plate-forme, où ils purent à nouveau apercevoir leurs ennemis : les trois loups reniflaient le sol, à une cinquantaine de mètres devant eux. Deux autres ouargues firent leur apparition, sortant d’une faille que Feran n’avait pas vu précédemment.
« Monsieur, on a peut-être trouvé ce qu’on cherchait, proposa Hanus.
-Oui, et ça serait parfait s’il n’y avait pas ces cinq loups.
-On peut essayer de les contourner, suggéra Filin.
-Trop risqué, rétorqua Narin. Il y a toujours le danger de tomber sur d’autres ouargues dans la caverne.
-Exact. Il va falloir les abattre. La mesa nous offre un bon couvert, et nous laissera le temps de tirer plusieurs fois, car les loups ne se laisseront pas tuer avec un seul tir. Préparez-vous messieurs. »
Tous les nains, excepté Hanus, qui en était encore au stade de l’entraînement au tir, se saisirent d’une flèche dans leur carquois, qu’ils encochèrent sur leur arc. Sigmin répartit les cibles, donnant le plus gros à Hemli, confiant en ses capacités à tuer en un coup. Avant de donner l’ordre, le capitaine dit à ses soldats :
« Ne me décevez-pas, rangers. »
Puis les flèches partirent, et les guerriers ne déçurent pas leur chef. Toutefois, cela ne suffit pas à arrêter tous leurs ennemis : deux des loups étaient encore vivants, la flèche ne les ayant pas blessé profondément. Apercevant les tireurs, les deux bêtes massives aboyèrent puis coururent vers leurs cibles, se jetant sur les rochers. Heureusement, Filin avait toujours ses haches de jets, et Hanus s’était saisi d’une grosse pierre. Tous deux les lancèrent et les projectiles atteignirent leur cible, broyant le crâne du premier loup, et déchiquetant le visage de l’autre. Pendant ce temps, les quatre autres rangers avaient à nouveau bandé leur arc, se préparant à voir sortir de la grotte, d’autres loups hargneux. Mais il n’y avait pas d’autres ouargues, ou du moins, leur instinct primaire de bête sauvage les avait poussé à rester à l’abri dans la faille. Mais les gobelins n’étaient pas des animaux sauvages (leur comportement pourrait pourtant le laisser penser), c’est pourquoi six de ces misérables créatures se précipitèrent en dehors de la caverne, sous les yeux ébahis des nains.
Il ne leur fallut pas longtemps pour éliminer les peaux-vertes, qui n’eurent même pas le temps de se rendre compte qu’elles mouraient. Une fois débarrassés de cette légère menace, les nains commencèrent à descendre, Sigmin et Filin menant la troupe, hache à la main. Le capitaine avait pris sa lourde hache à deux mains, et aussi sa hache de combat plus simple, à une main. Comme le dit l’adage, on est jamais trop prudent.
Arrivés en bas, les rangers se préparèrent à entrer dans la faille, après avoir trouvé de quoi allumer deux torches. Ayant tous sortis leur hache, ils pénétrèrent dans la caverne et plongèrent dans les ténèbres. Quelques minutes plus tard, tous ressortirent en courant, se précipitant vers les rochers pour atteindre la mesa. Bien sûr, pour courir aussi vite, un nain doit avoir une bonne raison. Ici, ce n’était ni la bière, ni le Mithril, seulement un ouargue plutôt imposant, deux mètres au garrot, des canines d’une dizaine de centimètres, le poil noir comme la suie, et des yeux comme deux braises rougeoyantes. Les nains avaient dérangé la bête en plein repas –un gobelin particulièrement malchanceux- et celle-ci s’était donné la peine d’arrêter son dîner pour s’occuper des rangers.
C’est de cette façon que les six nains se retrouvèrent sur une pente rocheuse à combattre un loup géant, Sigmin et Filin en première ligne, repoussant les coups de griffes et tentant de trancher les pattes au passage. Narin et Feran, plus éloignés, tentèrent de jeter quelques rochers sur le loup, mais leurs deux supérieurs devant eux étaient sur la trajectoire. Hanus eut alors l’idée de contourner l’ennemi et amorça donc une approche de flanc, suivi par Hemli. Alerté par ces nouveaux mouvements, le ouargue se retourna et se jeta sur l’officier d’ordonnance. Chanceux, sa mort fut remise à plus tard par un rocher lancé par Narin qui vint frapper le flanc de la bête, la déstabilisant et la faisant chuter le long de la pente. Sigmin et Filin, ne perdant pas de temps, se lancèrent à la poursuite du loup, et se jetèrent sur lui, lui assénant deux violents coups de hache dans le ventre, lui brisant la cage thoracique, puis ils lui lacérèrent le cou, pour finir d’un violent coup de manche de la part de Sigmin, qui lui déboita la mâchoire. Incapable de se relever –Filin était perché sur ses pattes- la bête mourut en quelques secondes, ses entrailles répandues sur le sol. Hanus avait eu beaucoup de chance : il s’en était sorti sans dommages, et s’était relevé, prêt à soutenir ses compagnons.
Une fois remis de leur bref mais violent combat, les six rangers redescendirent des rochers, rallumèrent des torches, et retournèrent dans la grotte, un peu plus prudent que la fois précédente. Heureusement pour eux, il n’y avait pas d’autres loups géants –deux bêtes de cette carrure n’auraient pas pu cohabiter tranquillement- ni aucune autre créature, ce qui arrangeait bien les affaires de nos nains. Ce qui était moins encourageant, c’était l’impasse sur laquelle ils arrivèrent : la faille ne menait nulle part, ils devraient donc continuer à marcher et à explorer la chaîne montagneuse.
« Je crois qu’on va s’arrêter là pour aujourd’hui, lâcha Sigmin. Vous avez tous l’air fatigué, et je suis moi-même quelque peu exténué. On pose notre paquetage ici messieurs. Hanus, Narin, Feran, ramassez du bois pour un feu, et voyez ce que vous pouvez tirer des loups. M’étonnerait que leur viande soit mangeable, mais il faut mieux économiser nos provisions. Ne touchez pas aux gobs, ceux-là pourraient continuer à nous empoisonner la vie même morts. »
Cette raillerie dérida Filin, quelque peu renfrogné par cette nouvelle journée de marche qui s’annonçait pour le lendemain. Lui s’était déjà installé dans la grotte, après s’être débarrassé de son paquetage et de son armure, et dégageait un endroit pour que les autres puissent dormir. Les nains savaient vivre à la dure, mais de là à coucher sur des cailloux, il y avait un grand pas.
Une demi-heure passa avant Hanus ne revienne avec une bonne provision de bois, et Narin et Feran qui ramenaient quelques morceaux de viande de loup.
« Ces morceaux m’ont l’air pas mal, chef ! lança Hemli.
-On va les cuire, et Hanus nous dira ce qu’il en pense, proposa Sigmin. »
Inquiet, le concerné se détourna du foyer qu’il préparait. Au sourire qu’affichait son supérieur, il sut que ce n’était pas vrai, et il revint vers le feu qu’il tentait maintenant d’allumer. Après maintes tentatives avec ses silex, une petite étincelle embrasa l’herbe sèche, et les nains purent se réchauffer autour du brasier. Ils mirent ensuite la viande de loup à griller, et ce fut Hanus qui y goûta en premier, y trouvant une saveur inattendue, ainsi qu’un petit arrière-goût coriace, sûrement dû à la flèche planté dans le dos de l’animal, qui ne l’avait pas aidé à se détendre. Une fois rassasiés, les six nains sortirent leur pipe et tirèrent quelques bouffées, se remémorant quelques vieux combats contre les orques, dans les Monts d’Acier, durant leurs années d’entraînement de ranger.
Repus, détendus, mais surtout fatigués, les nains ne tardèrent pas à aller se coucher, pour s’endormirent rapidement, sans avoir pris le soin de placer une sentinelle à l’entrée de la caverne.
Mais le peu de personne ou de créatures à s’aventurer près de ces montagnes, connaissaient la bête qui vivait dans la faille, et la connaissait suffisamment bien pour savoir que si quelque chose l’avait tué et pris sa place, ce quelque chose était encore plus fort et plus dangereux. C’est pourquoi les quelques loups qui arpentaient la chaîne montagneuse cette nuit-là n’osèrent pas entrer dans la caverne où dormait ce qui s’était débarrassé du loup au regard de braise.
Le lendemain matin, Hanus fut le premier à se réveiller, et il raviva les braises rougeoyantes dans le foyer, puis tâcha de rassembler quelques provisions pour un petit-déjeuner convenable. Quand ses compagnons émergèrent de leur lourd sommeil, ils eurent le plaisir de le faire avec la senteur de bacon grillé. Leur fatigue disparut, aussitôt remplacée par un appétit de loup (mais ce qu’ils mangèrent n’en était pas), et ils s’empressèrent de satisfaire l’ordonnance du capitaine en finissant tout le bacon.
Sigmin, quant à lui, s’était contenté d’un petit-déjeuner frugal –une tranche de bacon et quelques fruits secs- pour ensuite aller examiner les corps des gobelins. Il considéra leurs frusques et leur équipement : des vêtements noirs déchirés, ainsi que quelques pièces d’armures couleur de suie. Certains des peaux-vertes tenaient une épée droite inhabituellement peu rouillée, ce qui signifiait qu’ils les avaient récupéré il y a peu. Une piste à explorer, pensa Sigmin. Il y avait peu de chance pour que les gobelins aient combattu des soldats de la forteresse, et encore moins pour qu’ils les aient vaincu, sauf s’il y avait des passages fréquents de troupes de la citadelle par une faille dans la chaîne montagneuse.
Cela redonna du courage au capitaine, quelque peu exténué par ce voyage. Lui et ses rangers avaient marché depuis Esgaroth et n’avaient pas eu l’occasion de se reposer depuis leur départ, il y a à peu près trois semaines. Les nains avaient les jambes lourdes et la tête pleine, et quelques jours de calme ne leur seraient pas de trop. Malheureusement, la quiétude et la détente n’était pas au programme de nos six rangers aujourd’hui, ni même des jours à venir, mais ça ils ne s’en doutaient pas encore.
Alors qu’il revenait vers la faille, Sigmin aperçut quelque chose au sud. Intrigué, il commença à grimper la pente rocheuse, pour mieux voir ce qui avait attiré son attention : un panache de fumée s’élevait d’un pic. Alerté, le nain redescendit de l’escarpement et entra dans la grotte, prévenant ses rangers. Déjà prêts, les cinq guerriers suivirent aussitôt leur supérieur au pas de course, dehors puis en direction du sud, découvrant le nuage noir qui rejoignait le ciel bleu du proche Harad.
En quelques minutes, les nains s’étaient suffisamment approchés pour en voir un peu plus : le pic était en réalité une tour, plus ou moins délabrée, et la fumée partait du dernier étage, aménagé en feu d’alarme pour l’occasion. Toutefois, il leur fallut plus de temps pour atteindre la tour, qui était plus loin qu’il n’en paraissait. Ils y découvrirent un « joli » massacre : une trentaine de corps gisaient ici et là au pied d’un monticule de terre. Mais les cadavres n’étaient pas seuls : une dizaine d’orques –encore vivants- fouillaient les cadavres, d’autres orques, mais aussi des loups, visiblement à la recherche de nourriture ou d’arme. Tous portaient diverses pièces d’armure en très mauvais état, et un outil contondant ou tranchant en guise d’instrument de combat. Il y avait deux qui tenaient un arc à la main, et qui surveillaient les alentours depuis le premier étage de la tour. Et même si ce sont des orques, ils surveillaient suffisamment bien pour repérer les six nains qui les observaient, à une cinquantaine de mètres de là. Suivit plusieurs cris dans la langue gutturale de ces immondes créatures, et les neuf orques au pied de la tour se lancèrent à toute hâte vers Sigmin et ses compagnons.
Réagissant au quart de tour, les six rangers décochèrent quelques flèches dans leur direction, avant de se précipiter dans la masse rocheuse à côté d’eux. Ils montèrent une vingtaine de mètres avant de s’arrêter et de tenter de se dissimuler parmi les blocs de roche. Quelque peu découragés –si une telle notion pouvait exister chez ces créatures- par les flèches qui avaient tué un d’entre eux, les orques hésitèrent, puis reprirent sur leur lancée, ragaillardis par les menaces proférés par leur chef. Toutefois, ce moment de doute leur avait fait perdre de vue leurs ennemis, c’est pourquoi ils s’arrêtèrent à nouveau de courir, se demandant par où ils étaient partis. Un éclair de génie traversa alors leur chef, qui vit qu’il n’y avait personne dans la plaine, et que donc leurs adversaires devaient se trouver dans la montagne.
Quelques coups de pieds plus tard, la bande d’orque se remit à courir, cette fois avec une destination plus ou moins fixée. Commençant à gravir la pente, un d’eux s’effondra, tué d’une flèche dans la poitrine. Les gobelins s’immobilisèrent une fois de plus, terrifiés par ce tir venu de nulle part. Ce fut suffisant pour que deux autres meurent d’un trait planté dans la gorge pour l’un, dans le ventre pour l’autre. Toutefois, le tireur ne fut pas assez rapide à se dissimuler, et un des orques le repéra. Criant sa découverte aux autres, il reprit son ascension, fou de joie à l’idée du massacre proche, avant de tomber à la renverse, deux traits plantés dans le torse. Cette fois-ci, les archers ne cherchèrent pas à se cacher : ils posèrent leur arc et sortirent leur hache, prêts à combattre. Les quatre derniers gobelins se jetèrent sur les nains, arme à la main. S’en suivit un bref mais violent combat : n’ayant plus l’avantage du nombre, les orques se firent massacrer. Le premier à atteindre son adversaire fut accueilli d’un coup de hache qui lui entailla profondément la jambe, avant de se voir gratifié d’une hache de jet dans la poitrine. Reprenant son arme de lancer, Filin voulut porter assistance à ses compagnons, mais ce n’était plus nécessaire. Narin et Feran s’était débarrassé de leur adversaire d’un joli revers de leur arme qui avait privé l’orque de ses deux bras, puis grâce à un superbe effort de coopération de la part des deux nains, il fut promptement décapité après avoir été bloqué contre un rocher. Sigmin se retrouva face au chef orque et le tua avec autant de facilité qu’un gamin écraserait un insecte : un coup de manche de sa hache à deux mains dans le ventre, puis une frappe haute qui brisa la cage thoracique de la créature, dévoilant sa répugnante anatomie, pour finir d’un coup porté à la jambe, qui lui sectionna l’artère fémorale. En moins de dix secondes, le capitaine s’était débarrassé de ce semblant de menace.
A vrai dire, celui qui eut le plus fort à faire, fut Hanus, encore peu habitué aux combats. Il s’en sortit toutefois brillamment, après avoir réalisé une botte que lui avait enseigné Sigmin, et qui laissa son adversaire la garde ouverte, laissant le temps à l’officier d’ordonnance de lui asséner un violent coup d’épaule qui l’envoya rouler dans la pente, se brisant la nuque contre les rochers, terminant ainsi sa misérable vie.
Ayant terminé leur combat, Sigmin releva la tête et vit les deux archers dans la tour. Cela lui donna une idée :
« Hanus, il est temps de vous entraîner à l’arc.
-Avec plaisir, monsieur, acquiesça l’ordonnance. »
Sortant son arc, le nain y encocha une flèche, avant de viser sa cible, au premier étage de la tour. La flèche partit et atteignit sa cible à l’épaule. De simple blessure, elle passa à coup mortel quand l’orque voulut rajouter un effet dramatique à sa meurtrissure : il s’effondra en avant, tombant de la tour et s’écrasant sur le sol comme la belle loque qu’il était. Cette brève notion d’art qui lui traversa l’esprit l’avait rendu supérieur à son congénère, mais l’avait aussi tué. Moins ostentatoire, mais tout aussi divertissante, la mort du deuxième orque suivit rapidement celle du premier.
Satisfait de ses tirs, et souriant à la vue de ses cibles trépassant à cinq mètres du sol, Hanus rangea son arc, se retournant vers son supérieur. Il se contenta du hochement de tête que lui adressa Sigmin, mais cela suffit à le rendre heureux. Les autres rangers le félicitèrent d’une façon plus marquée –une tape dans l’épaule, une remarque désobligeante sur la façon de mourir des orques- puis la petite troupe revint vers la tour, remarquant au passage que le monticule de terre provenait d’une fosse creusée à quelques pas de là. Les nains, hache à la main, commencèrent à explorer la tour, étage par étage, et n’y trouvèrent que quelques paillasses et peaux de bêtes, sans plus. Arrivés au sommet, ils découvrirent que le feu d’alarme était en réalité la charpente du toit qui s’était écroulée et qui avait pris feu, personne de vivant ici ne sachant comment. Ils décidèrent ensuite de faire une halte, une heure de repos avant de reprendre l’exploration.
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 5:42

Pendant leur bivouac, Sigmin fit part de ses dernières découvertes à ses guerriers : les vêtements noirs, les armes peu rouillées, ce qui les intéressa tous. Ils voyaient peut-être la fin de leur exploration arriver : un passage tout proche, gardé par des soldats de la Citadelle. En pensant à cela, ils furent d’accord pour repartir plutôt que prévu, revigorés à l’idée du lit de camp et du bon feu qui les attendaient, avec bien sûr, une bonne bière et un repas chaud.
Repartis d’un bon rythme, ils mirent quelques minutes à atteindre la faille tant recherchée. Forts de leur précédente expérience dans une caverne, ils allumèrent des torches et dégainèrent leur hache, avançant prudemment. Mais à peine eurent-ils fait une dizaine de mètres, que les torches se révélèrent inutiles : la lumière du soleil leur parvenait d’une brèche dans la paroi. S’approchant à grands pas, ils découvrirent que la brèche était suffisamment grande pour laisser passer une douzaine d’hommes de front. Revint aussi à leur vue la Citadelle noire, terrible vision d’une forteresse couronnée de nuages noirs, surplombant une plaine austère et vide, où ne poussaient que des herbes déjà mortes.
« Brrr, on dirait le Mordor, chuchota Hemli.
-La Terre Noire est bien pire, répliqua Sigmin. Ce qui s’offre à nos yeux ici, c’est une terre elfique à côté.
-Je ne sais pas ce que je préfère, plaisanta Feran. Une forêt elfique ou la Terre Noire.
-Dis-toi que dans une forêt, tu ne verras pas la mort venir, répondit Narin avec un sourire aux lèvres.
-Mais maintenant, vous pouvez vous balader dans un bois elfique en compagnie du capitaine, sans craindre de vous prendre une flèche entre les omoplates, lança Hanus.
-Peut-être, mais je crois que nous devrions reprendre notre conversation philosophique sur les dangers d’un territoire elfique un peu plus tard, coupa Sigmin. Il y a du mouvement plus bas, annonça-t-il en désignant un point dans les hauteurs (mais plus bas). On dirait des hommes, cinq ou six, pas plus.
-On y va capitaine ? demanda Hemli.
-Non, on n’a pas d’ordre pour cela, répondit l’officier nain. On a trouvé un passage, il faut maintenant prévenir le haut-commandement.
-Vous croyez pas que ça serait plus rapide de passer par la plaine ? demanda Feran.
-Vous avez vraiment envie de vous battre, lui lança Sigmin. Je crois qu’il serait plus prudent de faire le tour, mais si vous me trouvez un chemin pour contourner discrètement les hommes en bas, je vous suis.
-Alors suivez-moi capitaine, lui lança Filin. »
Et il s’élança en dehors de la caverne, descendant la pente avec « grâce » et facilité. Ses compagnons n’hésitèrent pas une seule seconde, et le suivirent aussitôt, Sigmin en dernier pour avoir une vue d’ensemble et garder un œil sur les ennemis. Le sergent nain avait emprunté le chemin qui descendait vers la plaine –et vers les ennemis- pour bifurquer ensuite vers les rochers, rejoignant un couvert efficace mais qui ralentissait quelque peu la progression de la troupe. Avançant silencieusement sur les flancs de la chaîne de montagne, les six rangers évitèrent facilement les hommes en contrebas. Ils marchèrent encore un petit moment, avant que Sigmin ne donne ses ordres :
« Trouvons un endroit pour nous reposer, nous attendrons la nuit pour descendre et traverser la plaine jusqu’à la gorge. »
Les nains dénichèrent un coin parfait, une petite mesa à l’abri du vent, qui les cachait à la vue des éventuels ennemis. Ils n’allumèrent pas de feu, pour éviter d’être repérés, et se contentèrent de fruits secs et d’un morceau de pain, avant de se reposer quelques heures. A la tombée de la nuit, Hemli réveilla le reste du groupe, puis ils se mirent aussitôt en route, descendant prudemment la pente rocailleuse. Arrivés en bas, ils attendirent plusieurs minutes, guettant des silhouettes sur la plaine. Celle-ci étant déserte, ils s’élancèrent sur la lande désolée, tous les sens aux aguets. Il leur fallut plusieurs heures pour rejoindre la grande faille, car la plaine était immense, et ils s’arrêtaient régulièrement, craignant de voir arriver une troupe d’ennemis. Finalement, ils arrivèrent à l’entrée de la gorge sans encombre, quelque peu fatigués par leur longue marche.
« On va s’arrêter pendant quelques minutes, histoire de se reposer, annonça Sigmin.
-Chef, vous croyez que les gars de la Citadelle connaissent l’existence de la faille ? demanda Hanus.
-Le groupe d’ennemis au pied de la montagne, juste en dessous de la faille, me ferait croire que oui. Mais s’ils savent qu’il y a un passage, pourquoi n’est-il pas gardé des deux côtés, et même fortifié ? répondit le capitaine.
-A mon avis, ils ne l’ont pas trouvé, mais cela ne devrait pas trop tarder, lança Hemli.
-Pourquoi dis-tu cela Hemli ? interrogea Filin.
-Parce qu’une troupe d’hommes nous suit depuis que l’on a quitté la montagne, et qu’elle devait même nous pister depuis notre sortie de la grotte.
-Quoi ?!?! éructa Sigmin. On nous suit ? Et tu n’as rien dit ?
-Il était préférable d’éviter la confrontation, et je crois que maintenant, nous les avons semés, répondit Hemli.
-Ce n’est toutefois pas une raison, souffla le capitaine. Il aurait été plus prudent de nous prévenir. Qui nous dit qu’ils ne sont pas là, à nous épier ? »
A ce moment, un gros rocher vint s’écraser au pied de Hemli, confirmant les dires de Sigmin sur la proximité des ennemis. S’écartant rapidement pour éviter un autre roc, le nain repéra les hommes un peu plus haut, perchés sur le sommet de la falaise, à une dizaine de mètres de là.
« Reculez, vite ! Ils ne pourront plus nous atteindre avec leurs pierres, ordonna l’officier. Et sortez vos arcs, on va tirer du gros gibier cette nuit ! »
S’exécutant promptement, les cinq rangers sortirent leur arme et une flèche de leur carquois. Hemli, plus rapide, tira en premier, touchant un adversaire à la jambe. Aussitôt, les ennemis disparurent à leur vue. Les autres nains, déçus, baissèrent leur arc.
« Ils sont partis ? demanda Hanus.
-Non, je crois qu’ils vont revenir, mais pour chercher le contact. Le temps de descendre, et ils seront là, répondit Sigmin, remettant son arc à l’épaule et prenant sa hache à deux mains. Sortez les lames soldats, on va enfin avoir des adversaires sérieux. Les orques commencent à me lasser. »
Quelques minutes plus tard, quatre hommes se montrèrent au pied de la falaise, courant vers eux, armes à la main. Le premier portait une longue lame, qu’il tenait à deux mains, à hauteur de poitrine ; deux autres ennemis avaient une épée plus courte et un petit bouclier rond, le dernier une lance de presque sept pieds de long.
« Messieurs, choisissez votre adversaire. Je me réserve le premier, avec la claymore, annonça le capitaine.
-Je prends un des deux épéistes, informa Hemli.
-Je m’occupe de l’autre, déclara Filin. Et je prends Hanus avec moi.
-On va se faire le lancier, complétèrent Narin et Feran.
-Parfait, alors à vos places, conclut Sigmin. »
Formant une courte ligne, les six nains se préparèrent au combat. A l’approche de l’ennemi, le capitaine s’avança légèrement pour signaler à son homologue adverse qui était l’officier de la troupe. Son opposant sembla comprendre, car il tourna la tête pour donner ses ordres aux soldats qui le suivaient. S’écartant de leur commandant, les trois hommes s’élancèrent vers les rangers, qui réarrangèrent leur ligne pour se retrouver en face des cibles qu’ils s’étaient désignés. Sigmin n’attendit pas et s’avança rapidement vers le chef ennemi, la hache levée bien haute (pour un nain). Alors que les autres s’’attendaient au choc, l’antagoniste s’arrêta brusquement et s’écarta d’un pas chassé de la trajectoire de l’officier nain, profitant de sa position pour asséner un coup haut dans le dos de son adversaire. Coup qui passa dix centimètres au-dessus du sommet du crâne de Sigmin, qui ne sentit qu’un souffle d’air et se retourna rapidement. N’ayant pas vu que son adversaire avait tenté un coup de taille, il remarqua toutefois qu’il avait l’épée basse et la garde ouverte, et profita de cette situation pour asséner un puissant coup de hache à la verticale, avec la volonté de lui ouvrir la cage thoracique. Son adversaire para difficilement en relevant son arme au dernier moment, puis recula d’un pas pour se remettre en garde, évitant le coup d’estoc de Sigmin porté avec l’extrémité plate de sa hache. Profitant de son avantage, le nain continua à avancer en frappant, mobilisant la lame de son adversaire et l’empêchant ainsi de dégager sa pointe devant les coups portés. Oubliant toute technique dans l’art du maniement de la hache, le capitaine nain chargea de tout son poids sur son adversaire à qui il avait bloqué l’épée, lui assénant un bon coup d’épaule qui le renversa. Alors qu’il allait achever son adversaire, celui-ci le frappa du pied, lui laissant le temps de s’écarter du nain et de se relever, épée en garde. Reprenant son souffle après le coup dans le ventre, Sigmin fit face à son antagoniste, à temps pour bloquer le violent coup qui s’abattit sur lui. Il enchaîna avec un assaut sur la hanche de l’homme, vulnérable, et y laissa une profonde entaille. Dans un râle de douleur, le soldat attaqua d’un coup estoc mal mené avec une aussi grande lame. Parant facilement, Sigmin laissa la garde de son ennemi découverte et asséna un coup de hache dans l’épaule de l’adversaire. Dans un nouveau cri de souffrance, l’homme lâcha sa lame de la main gauche. Le capitaine, y voyant une opportunité de finir le duel, frappa lourdement la claymore, qui tomba au sol, abandonné par son porteur. Maintenant désarmé et blessé, le guerrier ne voyait pas d’issue possible à ce combat. Dans un dernier espoir de mener une bonne action, il cria à ses hommes :
« Partez ! Rejoignez la forteresse et racontez tout ce qui est arrivé ! Enfuyez-vous !
Surpris à ces paroles, les trois soldats, qui affrontaient les rangers de Sigmin sans grande réussite, hésitèrent un moment, ce qui suffit à Narin et Feran pour tuer le lancier. Les deux autres, reprenant conscience de ce qui se passait en entendent le cri de leur compagnon, donnèrent un dernier coup de lame ou de bouclier avant de se mettre à courir vers le sud. Leur chef vit sa fin arriver sous la forme du tranchant très affuté de la hache de Sigmin, qui lui ouvrit le crâne, mais il n’eut pas le temps d’y réfléchir.
Hemli et Filin s’étaient déjà lancés à la poursuite des survivants, mais leur capitaine les rappela :
« Nous ne parviendrons pas à les rattraper, et il nous faut maintenant prévenir très rapidement le haut-commandement. Si nous nous dépêchons, nous auront peut-être une chance de prendre ce tunnel en premier, en y envoyant une troupe de cavaliers. »
Les nains reprirent donc leur longue marche, mais cette fois-ci au pas de course, en espérant atteindre le campement sans encombre.
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 5:44

Pas très long, mais c'était une ptite mission d'exploration, donc normal.

Si ar-pharazon ou gauthier passe encore sur le forum, je serais pas contre une petite note ^^


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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeLun 4 Jan - 18:36

J'ai lu ta mission^^j'aime bien tes combats
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeLun 4 Jan - 20:09

Ouais merci, mais yen a pas beaucoup: trois seulement je crois (chevaliers noirs, orques, loups)
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeLun 4 Jan - 20:14

Nan mais j'aime bien tes combats c'est pas bourrin^^
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeLun 4 Jan - 21:07

C'est ironique cette remarque ou pas ?
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeLun 4 Jan - 21:08

Non j'aime bien tes combats sérieusement^^mais tes mecs là ils ont l'expérience d'un sergent?
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeSam 9 Jan - 20:42

Gauthier, aurais-tu l'amabilité de me donner la mission qu'on l'a prévu ? Merci d'avance.

Azert0, pour répondre à ta question, mes 5 rangers sont assez expérimentés: ils sont là depuis le début (sauf Hanus, qui m'a rejoint en cours de route et qui mon officier d'ordonnance), et ont donc vu tout ce que j'ai vu. Ils ont fait aussi bcp de route: Erebor, Mirkwood, Esgaroth, maintenant Harondor, et c'est pas fini. Filin est sergent, Hemli est le sonneur de cor, Narin et Feran simples rangers, mais tous sont très expérimentés...
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeSam 9 Jan - 20:43

Ok!
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeDim 10 Jan - 14:28

Bon, j'en profite pour noter la mission précédente.

Longueur : 15/20 (un peu plus court mais malgré tout cela reste un texte suivi, donc si tu mettais autant d'espace que certains, t'aurai plus...).
Qualité : 15/20 (ben plus court, moins bon forcément. Mais ca reste très très valable, même très bon).
Ortographe : 8/10 (les éternels petites fautes de frappes...).
Action : 17/20 (pour le peu de trucs que t'avais à tuer, tu as bien fait rentrer ca dans l'histoire avec un texte plus descriptif des combats)

Note générale : 15/20 (plus court, mais tu le savais, mais cela reste d'une excellente qualité, mais venant de toi, y a du meilleur habituellement).

Pour la mission, si j'ai bien compris c'est ca.

Mission : tu parviens à retourner sain et sauf au camp du bien mais le mal bat l'avant garde humaine/elfique avant que toi et tes alliés puissent réagir. Vous laissez passez l'armée du mal et tu es envoyé, avec une aide de plusieurs cavaliers qui ne feront que te deposer, pour garder l'entrée de cette nouvelle faille. Sur place, toi et tes hommes devrez sécuriser le périmètre pour permettre l'arrivée de troupes plus importante. Malheureusement les orcs ont eu la même idée que le bien et une dizaine d'entre eux t'attendront au début de la faille.
Tu te mets ensuite en position et observe la bataille qui a lieu plus à l'ouest quand un groupe d'une vingtaine de cavalier noir fonce vers ta position. Tu combats mais ne peut éviter d'être capturé. Alors que toi et tes hommes êtes ramenés à la citadelle, le bien entre en scène et tu es délivré alors que le combat des trois armés commence. Tu rentres ainsi dans la grande bataille.

Mission : tuer les orcs à la faille et rentrer sans problèmes dans la GB.
Ennemis : 10 orcs armés d'épées et de lances (pas d'archers) et 35 hommes de la forteresse dont le puissant Naldor (qu'il ne faut pas tuer :-p )
Alliés : toi tes hommes et pour le chemin 10 cavaliers elfes.
Mission secondaire : dégommer le moins de cavaliers possible :-p
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeDim 10 Jan - 18:23

Merci Gauthier. Je sens que je vais adorer cette mission: j'ai perdu d'avance...ça va être dur de préserver la vie de mes soldats...qui ne sont que 5 par ailleurs !
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ar-pharazon
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitimeVen 15 Jan - 23:36

Mes cavaliers vont mourrir :'(

Bon faut que je me mette encore plus au boulot la, je suis en retard.
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MessageSujet: Re: Sigmin "Ami des Elfes"   Sigmin "Ami des Elfes" - Page 3 Icon_minitime

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