Les Guerres de la Terre du Milieu
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Les Guerres de la Terre du Milieu

La reprise du jeu de rôle créer sur le forum Le Seigneur des Anneaux : l'âge des conquêtes
 
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 Uldor de l'Est

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MessageSujet: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeJeu 15 Jan - 16:02

Salut, vu que j'ai fait que 2 missions sur l'autre jdr, autant les mattre ici.

Ma première donnée par Ar-pharazon :

Brifeng : Tu viens d'être recruté par le roi du royaume de Rhùn, il a fait serment à Sauron le Grand de le servir. Le roi te demande de détruire des villages de paysans, dans les environs. Il envoie quelques hommes avec toi, pour te seconder.

Ennemis : 2 villages minimum + une centaine de villageois et 20 chasseurs au minimum.

Alliés : 30 hommes de Rhùn dont 10 archers avec des flèches enflammés.

Dans la cité de Minas-Ambaronë, capitale du pays de Rhùn, située sur la côté de la mer de l'Est, les hommes étaient aux aguets sur les remparts de la ville. En cette époque incertaine, les risques étaient grands, nombreux étaient les ennemis du Mordor, et de ses alliés. L'un d'eux, un sergent dénommé Uldor, était en train de boire une chope sur une tour avec deux gardes. Il était appuyé à une fenêtre, le regard perdu dans l'Ouest. Au loin s'étendait le Rhovanion, un pays peuplé d'homme, dont les béornides, une faction puissante mais neutre dans cette guerre qui opposait le Mordor aux peuples libres. Les orientaux s'étaient abandonné au Mal depuis bien des génération, à l'époque où Sauron le Grand n'était qu'un lieutenant parmi d'autre. Soudain, tirant Uldor de ses pensées, un garde entra dans la tour, et vit deux autres soldats assis à une table en train de boire, le sergent acoudé à la fenêtre, chope à la main. L'homme de Rhùn s'approcha de son supérieur et se pencha vers lui, comme pour lui dire une chose qui devait demeuré secrète. En fait, cela n'avait rien de vraiment important, mais les hommes du roi aimaient cultiviver le mystère parmi les gardes de la cité. Uldor devait juste aller voir son seigneur au plus vite, car une mission devait lui être confiée.. Le sergent de Rhùn acquiéça et quitta la tour pour se diriger ensuite, vers le palais. Cette cité était magnifique, de haut rempart, un port superbe, des maisons faites d'un art de construction étonnant.
Tout près, la mer de Rhùn touchait les abords de la ville, et laissait la vue sur la seconde cité de Rhùn, Minas-Lona. Le sergent oriental arriva devant les somptueuses portes du palais où les gardes royaux se tenaient, de chaque côté. Il entra sous leur regard et avança dans les couloirs, ornés de tableau et d'armes des anciens rois et seigneurs. Uldor était guidé, et surtout surveillé, par deux homme portant de lourdes armures et une épée qui aurait pu trancher en deux Uldor avant même qu'il n'ai pu tenter quoique ce soit. Finalement, les trois soldats arrivèrent devant une grande salle, avec un trône tout au fond où était assis un homme d'environ une cinquantaine d'années. Toutefois, il demeurait un vaillant guerrier. Uldor s'avança, puis, une fois arrivé à un mètre cinquante de son souverain, il posa un genoux à terre et baissa la tête, s'inclinant devant le roi. Ce dernier regardait à présent le sergent qui restait immobile devant les yeux du vieil homme. Il fit signe aux guides qui l'avaient amené jusqu'ici de partir, leur présence n'étant pas nécéssaire avec un homme d'une telle fidélité. Cependant, il restaient de vaillants hommes dans le hall, dont plusieurs archers qui ne rataient jamais leurs cibles. Finalement, le roi de Rhùn parla.


-Très bien, relevez vous sergent. Uldor releva le tête et se mit debout, bien droit face à son suzerain. J'ai une mission à vous confier, une tâche simple et qui doit être accomplie rapidement et avec succès.

-Je ne vous décevrais pas. Je patirais dès que vous m'en donnerais l'ordre pour accomplir vos ordres. Quels qu'ils soient. Dites moi tout, seigneur, que puis-je faire pour vous servir, vous et le Rhùn ?

-Et bien, il y a une tâche. Nous servons Sauron le Grand, vous le savez. Hors, quelques hommes de notre propre pays ne sont guère d'accord avec mes décisions. notamment le fait de s'allier au Mordor, ce que nous sommes contraint de faire de toute façon. Il y a deux villages rebelles qui nous sont connu. Rejoignez les, tuez les habitants et détruisez leurs demeures.

-A vos ordres, monseigneur. Je me met en route, toutefois, dans quelle région se trouves mes cibles ?

-Ils sont proches de la frontière du Rhovanion. Ils espèrent sûrement l'aide des béornides. Allez y, et accomplissez votre devoir de sergent. Vos troupes iriont avec vous, ainsi que vingt guerriers de la cité et et dix archers. Emportez de quoi faire des feu, les archers seront ainsi dévastateurs.


-A vos ordres, mon seigneur. Je pars immédiatement avec mes hommes. Je reviendrais vous faire part de la mission au plus vite.

Le sergent oriental s'inclina de nouveau, puis il se dirigea vers la sortie du hall. Il retraversa les longs couloirs et quitta enfin le palais pour rejoindre la caserne où ses troupes se trouvaient en général. C'était un grand bâtiment en bois, avec un toit de pierre chouffé par la chaleur du feu. Il arriva et les vit s'entrainer au combat, comme la plupart du temps. Uldor interrompu le duel et leur expliqua la mission qu'ils devaient accomplir. Ses hommes devaient sûrement ressentir une difficulté à tuer leur peuple, mais quoiqu'il en soit, ils se préparèrent au combat et au voyage surtout. Pendant ce temps, Uldor envoya un de ses guerriers pour aller chercher les hommes promis par le roi, soit vingt guerriers et dix archers. La petite armée se mit en route, tard dans la nuit, quittant la protection des remparts de Minas-Ambaronë. La lune se reflétait sur l'eau calme de la mer, une légère brise soufflait sur la côte. Mais, hélas pour eux, bientôt, les hommes de Rhùn quitteraient les rivages pour partir à l'Ouest, à la guerre. Le voyage commença ainsi, et continua tranquillement pendant toute la nuit. Mais, à l'aube, les orientaux commencèrent tout de même à fatiguer. Ils firent une pause sur un plateau du pays, aucune âmes ne vivaient à des miles.Les hommes mangèrent et buvèrent, se reposant et oubliant ainsi que certains ne reviendraient jamais à la capitale. Uldor était assis sur le bord d'un petit " précipice ", à contempler l'Est. Il espérait pouvoir un jour y retourner, mais rien n'est certain.Puis, les hommes s'endormirent dans des tentes et autre genre d'abris. Il passa quelques heures, jusqu'à ce que le soleil de midi ne se montre et ne réveille les hommes par la faim. Un léger repas fut servi et les orientaux durent se remmettre en route, malheureusement pour eux. Ils portaient tous des armures, lourdes pour les guerriers et moyennes pour les archers. Chaque homme avait une épée ou un cimeterre à disposition, en plus de l'arc et du carquois des archers de Rhùn. Enfin, après une nuit de marche et deux heures et demie sous le soleil de midi, les hommes de l'Est arrivèrent en vue d'un village. Celui-ci était assez grand, sans être riche. Il comportait une grande pallissade de bois, avec des tours de garde et une seule et unique porte. Les orientaux n'ayant pas d'échelles, la seule entrée était risquée...Le sergent oriental grimpa sur un arbre pour observer un peu le village. Uldor rassembla ses hommes, tout en restant hors de vue d'éventuelles sentinelles du village. Ceux-ci étaient impatient de combattre, même si c'était leur propre peuple, ils aimaient se battre.

-Soldats, nous ne pourrons passer par cette porte sans subir un grand nombre de pertes. Nous n'avons aucun moyen de passer par dessus les murs de bois. Toutefois, les toits des maisons sont fait de chaumes et autres matière inflammables. Alors, attendons la nuit pour que les archers puissent faire pleuvoir leurs flèches enflammées sur les bâtiments. Et dès le crépuscule, dix hommes iront aux portes pour demander asile aux habitants. Jamais, ils ne se méfiront de si peu d'hommes. Dès le début des tirs de nos alliés, nous partirons aux portes pour l'ouvrir et permettre à nos compagnons de nous rejoindre pour massacrer les villageois.

-A vos ordres sergent. les archers pourront contourner le village dès la tombée de la nuit, ces paysans n'ont aucune chance.

-Bon, alors allons-y. Reposez vous pendant que vous le pouvez. Ce sera peut être la dernière fois...


Les orientaux se reposèrent longuement, profitant de cette dernière pause avant le combat. Lorsqu'enfin le crépuscule tomba, Uldor et neuf de ses hommes s'avancèrent devant la porte du village. Des gardes s'installèrent sur la pallissade pour mieux les voir, d'autres étaient dans les tours, prêt à tirer. Le sergent oriental expliqua alors que lui et ses hommes rentraient de mission en Gondor Nord et demandaient à passer la nuit ici, pour se reposer de la terrible bataille. Les miliciens, qui haïssaient aussi le Gondor, acceptèrent et laissèrent entrer le loup dans la bergerie. Les villageois, heureux d'accueillir des vétérans de guerre en leur sportes leur prêtèrent une maison bien confortable avec de nombreux lits, des vivres, du vin de bonne qualité. Uldor et ses hommes passèrent donc une soirée comme ils n'en avaient pas eut depuis bien longtemps. Ils ne pouvaient qu'éprouver de la pitié et de la compassion pour ces gens qui les aider, mais ce ne fut pas le cas, bien au contraire. Le temps passa rapidement avec un tel confort, alors qu'il était si lent losque les hommes de Rhùn marchaient vers le village. Et finalement, l'heure arriva enfin. Uldor quitta la chaumière où il " dormait " et rejoignit les pallissades. Là, un des gardes vînt vers lui pour lui demander quelles raisons le menaient ici. Mais à peine eut-il fini de parler, des flèches de feu tombèrent sur les habitations, faisant des ravages... Le garde oublia Uldor et sonna la cloche d'alerte, réveillant tout le village. Les paysans, aidés par les gardes, s'affairèrent à éteindre les flammes sans savoir d'où elles avaient commncé. Les hommes d'Uldor et lui même se ruèrent à la porte et commencèrent à l'ouvrir. mais, comme aucun plan n'est parfait, les miliciens repérèrent la trahison et comprirent tout.
Uldor cria à ses hommes de se dépêcher, puis, lui et cinq hommes coururent vers les adversaires pour les combattres. Le sergent oriental était un fameux épéiste et il transperça l'un des miliciens. Ensuite, il para de justesse la lame d'un garde, avant de le repousser d'un coup de bouclier qui le fit tomber à terre. Uldor s'approcha et l'acheva d'un coup d'épée dans la gorge. Ses hommes se battaient bien, quoique deux étaient morts par des flèches de la part d'archers embusqués. Uldor de l'Est ordonna une formation serré, chose aisée avec de tels boucliers. C'est ainsi qu'un " mur " fut construit par les hommes de Rhùn. Derrière, la porte s'ouvrit, laissant entrer les renforts qui agrandirent le " mur " . La situation était sans issue, les orientaux étaient bloqués en formation. Ils décidèrent donc d'avancer vers les archers sans bouger leurs boucliers. Les paysans commençaient à douter pour leur survie, ils hésitèrent, puis reculèrent, grave erreur...Car, en faisant cela, ils ne visaient plus les troupes d'Uldor. Ces derniers brisèrent la formation et poursuivèrent les rangs ennemis. Le sergent de Rhùn lança sa hallebarde qui alla se planter dans le dos d'un milicien qui tomba face contre terre, suffocant. Il dégaina alors son cimeterre et couru à la suite des paysans au gardes pour les achever. De toute façon, aucune sortie n'étais accessible par les hommes renégats, ils devaient se battre. Et c'est ce qu'ils firent. Les rangs du village, paysans et miliciens, se retournèrent, armes en main et chargèrent les troupes d'Uldor. La formation se reforma et bloque les flèches, puis les orientaux rattaquèrent pour balayer les troupes rebelles. Les Easterlings s'en sortaient remarquablement bien, ils étaient des soldats de Rhùn, pas des paysans et des " soldats " qui n'ont jamais combattu autre chose que leurs camarades à l'entrainement. Car leurs terres sont protégées par la grande armée orientale. Bref, le combat, les pauvres habitants de la cité se replièrent après bien des massacres dans un cul de sac. Plus aucun archer n'était en vie, les Easterlings purent ainsi les encercler sans risquer de subir des tirs. Uldor s'approcha d'eux, tout en gardant une certaine distance, au cas où l'un d'eux voudrait jouer au héros. Il avait le regard farouche, puis il ôta son casque. Il avait les cheveux longs jusqu'aux épaules, de couleur noirs, tout comme ses yeux sombres. Il mesurait 1m75 et se tenait droit. Il devait être impressionnant face aux payans et gardes, les civils étant surtout les femmes et enfants.


-Arrêtez de trembler! Cela est indigne de notre peuple! Vous savez pourquoi je suis là, avec mes hommes. Vous avez trahi notre pays tout entier, ainsi que notre souverain. Pourquoi, dites moi, pourquoi avoir décidé de désobéir aux ordres royaux ?! Répondez!

-Nous..Nous n'avions pas le choix..Il ne faut pas se laisser abuser par le Mordor. Ce ne sont que de vaines promesses de puissances qu'il a du faire au roi. Ce dernier est bien naïf de croire des paroles données par le seigneur du Mordor!


Uldor se rua sur l'homme qui osait critiquer son seigneur, dès le moment où il avait ces mots " Ce dernier est bien naïf.. " . Cela en était trop, il se jeta face au garde et lui enfonça la lame du cimeterre dans le torse, et lui fit sortir ses organes qu'il répandit sur le sol, devant les civils et autres miliciens. Il leur jeta un regard féroce et tomba alors sur les yeux des femmes er des enfants effrayés...Il s'approcha d'eux doucement et posa un genoux à terre. Il avait le visage tendre et souriait légèrement. Il ne pu dire qu'un seul et unique mot. " Tuez-les " .Sur ce mot, les orientaux arrivèrent en courant et transpercèrent les femmes et les enfants, comme des bêtes. Uldor était assoifée de sang et sans la moindre pitié pour qui que ce soit. Le village brûlait rapidement, les Easterlings décidèrent de quitter les lieux et se rendirent au pas de course à une quizaine de mètres de la porte. Les archers revînrent des alentours du camp pour se présenter au rapport du sergent. Les corps des civils se feraient dévoraient lentement par les prédateurs volants et rampants. Les orientaux se mirent en route vers le Sud Est, pour rejoindre le second village. Uldor jeta un oeil à sa petite armée pour voir les pertes, chose qu'il n'a pas fait à son départ. Trois hommes de Rhùn de l'équipe du sergent avaient péri, ainsi que sept des guerriers que le roi avaient envoyé aux coté d'Uldor. Aucune perte chez les archers n'étaient à déplorer.


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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeJeu 15 Jan - 16:03

Les hommes de l'Est marchèrent pendant des heures pour arriver finalement en contrebas d'une colline, sur laquelle se dressait fièrement un village d'assez belle allure. Ses murs étaient de bois et de fer, beaucoups plus solides que le précédent. Une porte qui, toutefois, ne semblait guère résistante face à un assaut. Au centre se trouvait apparamment un grand bâtiment portant l'étendrad du Rhùn, très haut dans le ciel. C'était des patriotes, comme les précédents. Mais quoiqu'il en soit, il auraient mieux fait de garder leurs pensées secrètes et de ne pas les dévoiler n'importe qui, et encore moins au roi. Alors que Uldor se perdait dans ses songes, pour trouver comment pénétrer dans le village, ses hommes établissaient un campement, les archers partirent en chasse. Mais soudain, des flèches s'abattirent sur les orientaux. Uldor rassembla ses hommes pour reformer la formation serrée des boucliers. Le sergent Easterling regarda par une fente entre les boucliers, ses ennemis devaient venir de Dàle ou d'Esgaroth. Ils étaient donc au service de Brand, petit fils du célèbre Bard qui tua le dragon Smaug. Pourquoi étaient-ils venu ici ? Bref, les orientaux étaient coincés, aucune chance d'approcher les hommes qui maintiendrait leurs positions. Soudain, une flèche passa dans une fente et traversa la tête d'un oriental qui s'effondra sur l'herbe. Uldor hurla de rage, ils étaient piégés! Soudain, les archers de Rhùn revînrent et furent pris de court en voyant les ennemis qui bombardaient les orientaux de flèches. Les archers se déplacèrent vite derrière les lignes alliées. Puis, Uldor, heureux de les voir, leur permit de faire feu en ouvrant quelques brèches dans le " mur " . Les dàliens reçurent donc une dizaines de flèches en tirs direct, causant des ravages dans leurs rangs, car les hommes de Dàle étaient dépourvu de bonnes armures. En tout cas, les archers. Les ennemis dégainèrent des épées et prirent des boucliers avant de charger les Easterlings qui firent de même, sous la couverture des flèches.
Uldor affronta un des adversaire, il para l'épée avec sa hallebarde, puis bloqua un second coup avec son bouclier et finalement, il entailla profondémment le bras de son assaillant. Ce dernier en lâcha son arme qui tomba avec un bruit lourd, le sergent oriental en profita pour lui transpercer le torse. Le combat contiua ainsi jusqu'à la mort des derniers dàliens. Quatre guerriers et un archer avaient péri suite à cette soudaine attaque. Chacun alla se reposer pour se préparer à l'assaut du village, situé sur la colline. L'automne était là, le vent soufflait plus fort, sur les terres du Rhùn, que d'ordinaire. Ils mangèrent les animaux que les archers avaient pu abattre durant leur chasse. Autrement dit, pas beaucoups.. Uldor était dans un coin, à l'écart de ses hommes, il réfléchissait à l'attaque du lendemain, il pensait sans cesse à faire couler le sang.. Soudain, il eut une idée dangereuse, mais interessante, ne serait-ce que pour voir la force des défenseurs. Il ordonna la construction d'un bêlier avec le bois des alentours, ses hommes, bien qu'étonnés se mirent au travail. Et au petit matin, ils étaient prêt. Les huit archers de Minas-Ambaronë portaient le bêlier, pendant que les dix guerriers de la capitale les couvraient avec leurs larges boucliers. Une échelle avait été construite pour faire passer le mur à Uldor et ses quinze hommes. Les rebelles postèrent immédiatement leurs archers sur le mur pour repousser l'assaut. Mais cela fut vain, car ils étaient protégé par les boucliers de toutes flèches. Les guerriers du camp et paysans attendaient derrière la porte, qu'elle cède pour sa battre. Pendant ce temps, Uldor et ses guerriers avaient contourné le village et positionnaient l'échelles sur un pan du mur. Ils montèrent doucement, sans bruit..
Une fois là haut, ils se séparèrent et entrèrent dans les bâtisses. Uldor atterri dans une petite maison ou une famille avait l'air de vivre, il trouva une femme endormie, un petit garçon qui dormait aussi. Il tomba face à une petite fille de six ans au moins qui le regardait. Il était en armure lourd, portait un bouclier et une hallebarde, il était certe impressionnant. Uldor n'avait qu'une chose à faire, il planta au plus profond la pointe de son arme sur sa pauvre petite victime qui s'écroula, réveillant la mère. Cette dernière hurla en voyant cela, le sergent oriental la fit taire d'un coup de bouclier, suivi d'une lame de cimeterre... Uldor expira et se cacha derrière la porte, prêt à recevoir celui qui rentrerait. Et moins de cinq minutes après, un hommes entra et tomba à genoux, voyant ce massacre. Il devait être le père de famille. D'un coup, il vit son fils qui s'était réveillé et approchait de lui, il tendit les bras. Uldor jeta sa hallebarde dans le petit et planta son cimeterre dan sle père qui se retourna pour voir d'où cela venait. Cependant, à l'enceinte du village, la porte céda, et les paysans et miliciens durent faire face à des orientaux expérimentés et puissants, en tout cas plus qu'eux. La bataille fut terrible et longue. Les Easterlings, rebelles ou non, se battaient du mieux qu'ils le pouvaient. Uldor et ses hommes rejoignirent rapidement les autres troupes, ayant fini de leurs côtés. Et finalement, les combats furent gagnés, et il restaient seulement dans le village, quatre homme dont les âges variaient entre vingt cinq et quarante sept et une jeune femme d'une vingtaine d'années.
Et dès le crépuscule, les quatre hommes gisaient, pendus sur des échafauds. Le jeune femme, elle, avaient été forcé à rester dans une maison, partagée par Uldor...La nuit fut longue, mais à l'aube, les orientaux purent voir que la prisonnière était elle aussi pendue désormais, et cela venait d'être fait, car elle suffocait. Les hommes se rassemblèrent devant l'échafaud pour voir ça de plus près, lorsque leur sergent arriva. Il avait revêtu son armure, son casque et prit ses armes.


-Soldats, préparez vous, nous rentrons à la capitale. Minas-Ambaronë nous attend, en avant!

-A vos ordres, sergent.

Les Easterlings prirent leurs armes, équipements et se mirent en route vers l'Est, pour rejoindre la côte. Le voyage fut rapide et bien silencieux. Les hommes étaient fatigués des combats, de la marche sous le soleil de l'Est. Mais soudain; au loin, une colonne de réfugiés marché vers le Nord du pays, ce devaient être des civils des villages qui avaient pu voir les hommes de Rhùn à temps. Uldor envoya les archers encercler les paysans qui ne se doutaient de rien. Puis, lui et ses guerriers partirent rejoindre la colonne qui commença à se questionner sur ces nouveaux arrivants. Ils devaient être plus de soixante-dix paysans et paysannnes. Le sergent oriental s'arrêta devant eux, ses hommes derrière. Les pauvres civils avaient des outils fermiers ou autre objets inutiles face à de tels guerriers. Uldor leva la main, comme pour saluer, mais au lieu de cela, des flèches s'envolèrent de tout côté pour s'abattre sur la colonne de réfugiés. Huit archers n'est pas un grand nombre, mais pour des gens dépourvu d'armures, cela était suffisant. Ils tentèrent de résister en chargeant pour les plus courageux, les orientaux firent de même, à quinze contre une cinquantaine, mais avec le soutien des archers sur l'arrière. Le massacre débuta, les hommes et les femmes tombaient comme des mouches sous les tirs et les coups. Les Easterlings étaient sans pitié, leur chef encore pire.. Uldor transperça le ventre d'un homme, avant d'égorger une paysanne. Un rebelle avait un arc, sûrement le seul d'ailleurs, il visa le sergent de Rhùn et décocha son projectile. L'oriental attrapa une femme qui passait à côté et s'en servit comme bouclier, avant de la jeter au sol, la laissant agoniser. Puis, Uldor lança sa hallebarde sur son assaillant qui s'effondra aussitôt. Et finalement, les combats cessèrent, et la victoire revînt aux hommes du roi. Les corps furent laissés là, à l'abandon jusqu'à leur pourrissement ou qu'ils soient dévorés. Quatre guerriers étaient morts lors de cet affrontement. Les troupes de Minas-Ambaronë se remirent en route vers leur cité portuaire.. Le régiment oriental voyagea de longues heures et arrivèrent enfin en vue de la mer de Rhùn. Les hommes entrèrent à la capitale et chacun pu rentrer chez soi, ou aller boire un coup. Uldor se dirigea vers le palais et se retrouva devant un des gardes royaux.


-Garde, j'ai accompli ma tâche. Dites cela au roi, je n'ai pas le temps.


-Très bien, j'irais lui dire dès que la relève sera là.

Uldor le salua, puis, il rejoignit la tour qu'il gardait. Il s'asseya et se reposa tranquillement avec une chope de vin, un bon morceau de viande, ainsi qu'un bout de pain. Le garde qui travaillait avec lui arriva, lui aussi avec son repas et ils mangèrent tout deux. Le sergent Easterlings en profita pour raconter sa mission à son acolyte. Ce dernier écoutait chaque détail, une chose était sûre, il aurait bien voulu y participer.

Bilan : Victoire !
-5 guerriers de mon unité
-14 guerriers alliés
-2 archers alliés


J'ai eut un 16/20


Dernière édition par Uldor de l'Est le Ven 16 Jan - 14:10, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeJeu 15 Jan - 16:05

Ma seconde mission, donnée par CHaos Warrior

Brifeng : Un village haradrim refuse de payer l'impôt à Sauron le Grand. Vas convaincre les habitants, par la force si nécéssaire. Les villageois sont sûrement aux aguets , sachant que les collecteurs ne vont pas tarder. Il y a de fortes chances que plusieurs d'entres eux essayent de vous tuer et se rebellent.

Alliés : Toi et tes hommes. Avec en plus une vingtaine d'orques et un chariots, muni d'un coffret pour y placer le butin.

Ennemis : Le village comporte une cinquantaine d'habitants, il y a peu de chances qu'ils se rebellent tous, mais par contre, de fortes probalités que des brigands tentent d'attaquer le convoi. Tu as le choix du nombre.

Dans la cité de Minas-Ambaronë, le sergent Uldor était comme d'habitude à son poste de garde, dans l'une des tours. Rien ne se passait ici, l'ennuie était le plus fidèle compagnon des gardes de Rhùn. Le crépuscule était déjà passé depuis une bonne heure, la nuit était éclairée par les étoiles, et la clarté de la pleine lune. Soudain, les étoiles furent voilées, même la lune se cacha derrière les nuages. Cela présageait quelque chose de mauvais, de très mauvais.. Déchirant le silence de la nuit, un cor se fit entendre, par le Sud de la cité. Uldor fit signe à son accolyte, le second garde de cette tour, et ils partirent tout deux sur le rempart Sud de Minas-Ambaronë. Une dizaine d'homme étaient en vue, mais appramment ce n'étaient ni des orientaux, ni des haradrims, ni même des variags ou des corsaires. Le cor était du Mordor. Les hommes passèrent sans difficultée devant les gardes de la porte de la cité. Udlor renvoya son accolyte à la tour, et il descendit pour accueillir ces alliés du Mordor, et surtout pour savoir ce qu'ils voulaient. Lorsqu'il arriva devant le groupe, il sut aussitôt qu'il s'agissaient de numénoréens noir, les serviteurs du seigneur des ténèbres, de rares hommes qui vivaient tout près des orques. QU'est-ce qu'ils pouvaient bien vouloir ? De l'aide ? De l'or ? La mort ? Il fallu bien leur demander. Uldor s'approcha de leur chef, ôta son casque de Rhùn qu'il tient à la main, sa hallebarde dans l'autre, et son cimeterre à la ceinture. Le chef des numénoréens portait une armure noire, une longue épée ainsi qu'un bouclier noir. Il avait l'air farouche. Mais Uldor, fier guerrier Easterling, n'avait pas peur de lui, d'ailleurs, il ne craignait personne.

-Qu'est-ce que vous faites là, numénoréens ? Quelle est la sombre raison qui peut vous amener si loin de vos terres, et si près des notres ?

-Et bien.. Le Mordor nous a chargé d'une mission importante pour les ténèbres grandissantes. Le sombre lieutenant de Barad Dûr nous a demandé de venir en Rhùn, à Minas-Ambaronë, pour demander audience à votre roi et lui demander une faveur. Pouvez vous, oriental, nous mener jusqu'à sa majesté ?

-Bien sûr, bien sûr, j'accompli les ordres de Rhùn, mais aussi du Mordor. Je suis le sergent Uldor, au cas où nous serions amener à nous revoir et à combattre ensemble. Suivez moi jusqu'au palais.

-Très bien, je vous remercie sergent. J'en dirais un mot à votre souverain. Soldats, allons-y!


Uldor remit son casque et guida les hommes du Mordor à travers les rues, les escaliers, et autres " obstacles " . Ils arrivèrent finalement sur le rempart Est qui menait à l'entrée du palais du roi. Les gardes royaux étaient comme d'ordinaire postés devant et empêchaient le passage. Uldor leur expliqua qui étaient ces hommes et ce qu'ils voulaient, en tout cas, ce qu'il en savait. Les gardes accompagnèrent donc les numénoréens jusqu'au roi, tout en les surveillants étroitement. Uldor quand à lui, retourna dans la tour, racontant ce qu'il savait à son cher accolyte de toujours. Cet homme ne partait guère en mission, il passait ses nuit ici, en factions de garde et ses journée à se reposer tranquillement. Malgré tout, il enviait Uldor se partir en aventure si souvent, de combattre. Ils prirent leur repas tout deux, en se demandant ce que voulait le Mordor à Minas-Ambaronë. Un des gardes royaux arriva dans la tour. Il se dirigea droit vers Uldor pour lui chuchotait quelque chose. Les hommes du Mordor étaient parti, mais leur message était une mission pour les Easterlings. Le roi avait décidé d'envoyer Uldor, un de ses meilleurs sergents. Il devait en fait se rendre en Harad, pour récolter l'impôt d'un village isolé. Des orques l'attendraient en Ithilien Nord, près de la Porte Noire. Le butin devait être remis aux orques qui l'emmèneraient ensuite en Mordor, et si la somme promise n'y était pas, les hommes de Rhùn le regretteraient amèrement. Uldor acquiéça donc et fit un signe à son collègue, avant de descendre à la caserne. C'était toujours le même bâtiment, avec à l'intérieur les mêmes hommes, bien que certains manquaient à l'appel suite à la précédente mission du sergent... Il expliqua la mission à ses hommes qui se levèrent pour s'équiper. Ils étaient toujours d'accord, ne se plaignaient que rarement. Bien qu'ils ne soient pas ravi de combattre aux côtés des orques contre des hommes qui leur étaient alliés. Ils se mirent en route dès l'aube, avec tout leurs équipements et leurs armes. Le voyage serait long, et encore plus avec les orques comme compagnons.. Ils marchèrent pendant des heures, jusqu'à atteindre la treizième heure de la journée. Là, ils se reposèrent et purent manger leurs provisions. Ils s'étaient arrêté sur une plaine, à la frontière Nord de l'Ithilien. Après deux bonnes heures à attendre tranquillement, à boire et à manger, les Easterlings se remirent en route vers le Sud. Et, c'est après vingt minutes de course, qu'ils arrivèrent dans une clairière où les orques étaient bien envue, quelle bandes d'idiots, attendre une embuscade, ils étaient vraiment stupides. Uldor s'approcha de celui qui semblait être le chef. Il portait une armure légèrement différente, un casque aussi, et avait l'air plus..moins idiots que les autres. Le sergent de Rhùn garda son casque, et sa hallebarde en main comme s'il voulait empaler son interlocuteur.

-Orque, je suis le sergent Uldor de Rhùn. J'ai été envoyé, suite à la demande de votre seigneur, Sauron du Mordor. Êtes vous donc stupides d'attendre ainsi dans une clairirère ? Alors que nous sommes si proches du Gondor!

-Rhaaa, ne soit pas stupide oriental. Et ne te prends pas pour un héros, si tu fais l'idiot avec moi, tu périra dans la douleur! Maintenant, allons-y! Orques avec moi, et vous humains, tâchez de courir vite!

-Ces orques.. Un de ces jours, on vas prendre plaisir à en massacrer quelques uns les gars.


C'est ainsi que les Easterlings et les troupes du Mordor se mirent en route vers le Sud, vers la frontière de l'Ithilien et de l'Harondor. Le soleil se couchait tranquillement, ce qui gênerait moins ces sales orques, bien que dans les bois, rares étaient les rayons qui passaient. Ils marchèrent de nuit, sans se fatigué, ou à peine alors, ils avançaient vite. Et finalement, à l'aube, avec une seule pause dans la nuit, les Easterlings et les orques arrivèrent en vue des terres du Harondor. C'était des terres désolées et vide d'habitants. L'armée avança vite pour en sortir et rejoindre les terres arides du Harad au plus vite. Et c'est ainsi, qu'après deux heures et demie de marche sous un soleil chaud, ils arrivèrent en Harad, moins désertique qu'ils ne le pensaient, car ils n'étaient pas au plus profond du désert. Les Easterlings, accompagnés par les orques, avançaient depuis maintenant depuis deux heures et arrivèrent finalement en vue d'un village. C'était un village comme tant d'autres en Harad, une pallissade, des maisons, des tours de gardes. Uldor ordonn aux orques, ces idiots, de rester dehors, car ils ne serviraient à rien pour la négociation, ni même pour autre chose. Le sergent de Rhùn approcha des villageois, il y avait une trentaine d'hommes et de femmes, le reste devait être occupé ailleurs. Le chef oriental demanda à parler avec le chef du village, afin de régler le problème du tribut annuel. Ce dernier était de forte stature e portait une barbe noire qui descendait sur son ventre rebondi. Il avait l'air d'avoir du mépris pour les Easterlings, et il lança un regard plein de malice à Uldor, un regard étrange, qui présageait une sombre nouvelle..

-Des hommes de Rhùn! Ici, sur nos terres, et en plus, ils viennent de la part du Mordor pour nous soustraire notre argent ?! Hahaha, êtes vous donc fou, pauvre oriental ? Rien, ni personne ne pourra me convaincre de me soumettre à Sauron, le "seigneur" du Mordor.

-Et bien, saches que je suis de ton avis...Mais j'obéis aux ordres de mon souverain. Remettez nous l'impôt, et il n'y aura pas de victimes. Refusez, et votre village finira dans un bain de sang, les hommes seront pendu, les femmes emportées comme esclaves, la plus belle serà moi d'ailleurs.. Et vos enfants, vos enfants seront élevé dans des casernes, à la dure vie de soldats et tueront peut être leur propre peuple un jour! Alors, acceptez.

-Quoi ? Tu oses nous menacer ?! Regardes bien, Eithiël! Viens là! Une femme arriva, une très belle femme, et jeune aussi, très jeune, elle devait avoir un peu moins de vingt ans. Regardes, voilà ma femme, la plus belle du village! Tu la veux ? Alors affrontes moi, tue moi et tu l'auras! Allez, viens, viens te battre avec la mort elle même!

-...Très bien. Mais saches que tu l'a voulu! Et lorsque ta femme sera dans mon lit, étendue nue auprès de moi, tu regrettera tes gestes et tes paroles!


Le sang du chef du village ne fit qu'un bond, il osait le menacer! Et prendre sa femme en plus! Les deux hommes se chargèrent mutuellement dans un duel à mort, où un seul survivrait. Mais à ce moment là, les autres villageois attaquèrent aussi les autres orientaux! Uldor bloqua l'un des coups, puis un second, mais le troisème l'enoya s'écraser au sol. Le chef ennemi, nommé Gérald, s'approcha, lame en main, pour achever son adversaire. Mais, à ce moment là, par malchance pour les haradrims, les orques entrèrent dans le combat, et la pitié était encore moins présente chez eux que cehz les hommes de Rhùn. Le chef orque, Hargral, planta une lance courte dans la jambe de Gérald qui vascilla, ratant ainsi sa cible. Son épée ne pu donc pas tuer Uldor, mais seulement lui transpercer le bras droit. Le sergent de Rhùn n'en croyait pas ses yeux, un orque venait de la sauver. Il se releva, laissant Hargral aux prises du chef, afin de récupérer sa hallebarde et son cimeterre. Car les orientaux parvenaient à manier une telle arme d'une seule main, et l'épée pourrait servir au cas où.. Enfin, il pu retourner combattre son ennemi, en ordonnant au chef orque de "s'occuper" des villageois rebelles. Ce dernier accepta, bien malgré lui, mais y alla tout de même. Et finalement, la hallebarde du sergent transperça Gérald, qui tomba à genoux, condamné à agonisait pendant longtemps. Le massacre continua pour les pauvres habitants haradrims. Et enfin, après tant d'efforts, le village était en paix, les morts jonchaient le sol pierreux. Quatre hommes de Rhùn avaient péri, ainsi que sept orques. Il restait vingt huit villageois, dont sept homme, onze femmes et dix enfants. Parmi les femmes setrouvait Eithiël, l'épouse de Gérald. Uldor ordonna à ses hommes de rassembler les nouveaux serviteurs du Rhùn sur la place principale, tandis que les orques pillaient le village, cherchant tout ce qui était précieux et le transportant dans le coffre. Pendant ce temps, le sergent Easterling attrapa la chef du village et l'entraina dans une maison, ainsi que sa femme. Là, il allongea Gérald, agonisant, sur une table et prit un couteau dans la "cuisine". Il vînt au dessus du corps de Gérald, lame vers le bas. Et il lui planta dans le bras, sa victime hurla de douleur. Il était déjà mourrant, et voilà qu'on en rajoutais. Uldor s'approcha de l'oreille du chef du village, comme les gardes royaux de Minas-Ambaronë lorsqu'ils voulaient dire un secret. Il dit juste quelques mots.

-Ta femme est à moi. Et dès ce soir, j'en profiterai, crois moi. Tout ça pour quelques pièces d'or, te rends tu compte de ton erreur. J'oubliais, je vais emporter tout les survivants à ma cité, comme esclaves à mon peuple.

-...Argh..Tu..Tu vas mou..Mourir..Argh..Je....

-Oh, il est déjà mort, dommage.. Allez, vient, on s'en vas.

-Non, jamais! Cet homme était un monstre, mais vous l'êtes encore davantage!


Uldor attrapa la jeune fille par la gorge et commença à serrer. Elle avait du mal à respirer, cela se voyait. Le sergent de Rhùn, lui détacha alors le noeud qui maintenait sa tunique. L'habit tomba sur le sol, laissant sa propriétaire devêtue au plus haut point. Pendant ce temps, les orques dévoraient les morts du village, sans oser toucher aux orientaux tombés.


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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeJeu 15 Jan - 16:06

Après une quinzaine de minutes, Uldor revînt, avec son esclave, il la jeta avec les autres du village et ordonna le départ immédiat. Les groupe d'orientaux et d'orques se mit en route vers le Nord, avec les prisonniers au centre de la formation. Les orques étaient à l'avant, tandis que les Easterlings se tenaient sur les flancs et à l'arrière. Le sergent de Rhùn se fit un bandage de fortune au bras et grimpa dans la chariot orque afin d'éviter de courir. Mais, au bout d'une demie journée, les ennuis commencèrent..car marcher dans le désert, avec un coffre rempli d'or, cela attirait des "rapaces". C'est ainsi qu'un navire accosta tout près, tandis que des sabots de cavaliers se faisaient entendre. Au Nord, des corsaires en nombre important débarquaient, au Sud Ouest, des cavaliers d'Umbar chevauchaient avec rapidité. C'est ainsi que le convoi des impôt fut encerclé par les troupes corsaires. Ils portaient tous des armures lourdes, des sabres et des boucliers. Certains avaient des arbalètes, des lances et des poignards. Uldor s'avança, hallebarde à la main gauche, le bras droit bandé. Le chef des corsaires approcha de sur son cheval et regarda l'oriental. Le sergent Easterling n'hésita même pas et lança son arme droit dans le torse du chef ennemi, qui s'écrasa lourdement sur le sol. Les troupes constituèrent un "bouclier" en cercle afin de se protéger, les orques se joignièrent à la formation, permettant "d'arrondir" le mur avec leurs bouclier, bien différents de ceux des orientaux. La bataille commença. Ces rats des mers voulaient l'or des impôts, mais jamais ils ne l'auraient! Les flèches et carreaux volèrent sur les boucliers qui ne bronchèrent pas. Les orques utilisèrent leurs arcs et purent abattre, plus par chance que par expertise, un bon nombre de corsaires. Mais ces derniers, pris de rage, chargèrent les Easterlings qui rompirent la formation et se prréparèrent au combat. Uldor dégaina son cimeterre et transperça un Umbarien, puis, il en égorgea un autre. Rapidement, la bataille prit de l'importance, les morts tombaient comme des mouches, des deux côtés. Enfin, les troupes corsaires survivantes, la plupart en sang, s'en allèrent au navire pour quitter ces lieux maudits au plus vite et rejoindre leurs ports. Uldor rassembla ses hommes, ils n'étaient plus que six. Quand aux orques, ils étaient cinq. Il les dévisagea tous, et prit la parole d'un air sombre.

-Soldats, orques, Aujourd'hui est un jour noir. Ces rats des mers ont osé nous attaqué. Mais quoiqu'il en soit, nous aurons d'autres soucis dans le Nord, pour seulement pense à venir nous venger. Les elfes, nains et hommes du Rhovannion nous occupent trop. Mais, nos hommes qui ont péri aujourd'hui ne sont pas mort pour rien, ils ont péri pour la survie du Rhùn. maintenant, Mettons nous en route!

Les Easterlings se mirent en route vers le Nord, laissant leurs camarades pourrir sous le soleil de Harad. Ils marchèrent durant deux jours, en faisant le moins de pause possible. Mais, une fois arrivés à la frontières des Terres Brunes et du Val d'Anduin, un guerriers de l'est vînt voir son supérieur et lui expliqua que la situation était..difficile. Les provisions manquaient, ils pourraient à peine rejoindre la capitale, mais ils ne pouvaient laisser les orques rentraient au Morannon sans rien, car s'ils n'y arrivaient pas, le Rhùn le pairais..Uldor avait une bonne idée, car de toute façon, même élevé chez les orientaux, les haradrims resteraient des batards. Le sergent Easterling fit tuer les dix enfants et les sept hommes qu'il donna en "provisions" aux orques. Puis, les deux groupes se séparèrent, et les hommes d el'Est purent partir vers leur cité, avec les esclaves. Le voyage fut long et difficle, mais ils y parvînrent, avec seulement dix esclaves car une avait péri de faim durant le voyage. Le sergent de Rhùn alla voir un des gardes royaux afin de transmettre le succès de sa mission. L'interlocuteur acquiéça, puis, il partit dans la palais pour dire au roi du pays que le Harad avait payé l'impôt. Uldor le salua, puis, il rejoignit la tour qu'il gardait. Il s'asseya et se reposa tranquillement avec une chope de vin, un bon morceau de viande, ainsi qu'un bout de pain. Le garde qui travaillait avec lui arriva, lui aussi avec son repas et ils mangèrent tout deux. Le sergent Easterlings en profita pour raconter sa mission à son acolyte. Ce dernier écoutait chaque détail, une chose était sûre, il aurait bien voulu y participer.

Bilan : Victoire !
-9 Easterlings ont péri
-15 orques ont péri
-1O nouvelles esclaves
-L'impôt est en route vers le Mordor



Et j'ai eut encore un 16/20


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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeJeu 15 Jan - 16:06

Et là, je fais une mission libre entre sergent et sergent-chef
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeJeu 15 Jan - 20:50

je savais même plus que je t'avais donné une mission même si ton pseudo m'étais familié
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeMar 20 Jan - 21:50

Voilà ma mission libre pour etre sergent-chef :


Uldor et ses hommes avaient été envoyé en mission, encore une fois. Ils avaient subi un bon nombre de pertes, mais rentraient victorieux comme toujours. Le sergent de l'Est mena ses hommes fatigués à travers le Harondor, l'Ithilien et le Rhùn mais le voyage durait et était la fatigue augmentait.. Uldor décida alors de s'arrêtait dans un avant poste, près de la frontière du Rhovanion et du Rhùn, ainsi ils pourraient se reposer et reprendre la route vers Minas-Ambaronë. Ils arrivèrent au crépuscule à la petite cité orientale. Elle était hexagonale et était faite de pierre. Il y avait six tours de garde disposée à chaque endroit où deux murs se croisaient. Il y avait un mur moyen avec une solide porte qui séparait la cité en deux parties égales. Au centre d'une partie, l'opposé de celle contenant la porte de sortie, se trouvait une tour d'une taille moyenne qui accueillait sûrement le chef de l'avant poste. La porte, elle, avait l'air assez solide et se trouvait sur la face Est, du côté oriental donc. Uldor mena le reste de ses troupes dans la cité et ensemble, ils allèrent dans une taverne pour pouvoir se reposer. Le sergent de Minas-Ambaronë envoya un archer prévenir le commandemant de la ville afin de les avertir de leur présence. Après avoir passé trois bonnes heures à boire et à manger, les hommes de la capitale partirent dormir dans une auberge où on leur prêta des chambres pour la nuit. La nuit fut longue et parsemée de rêves obscurs pour Uldor de l'Est. Il faisait des rêves de batailles qui ravageaient son pays.. Et lorsqu'il se réveilla en sursaut et sueur, l'aube pointait. Il se leva, enfila une tunique légère, puis il mit son armure. Il accrocha son cimeterre à la ceinture et sortit de la chambre. Il descendit l'escalier grinçant et quitta l'auberge. Il remonta les rues de la cité pour atteindre les remparts et observer les environs et le lever du soleil. Le ciel était magnifique, mais l'heure n'était pas à la poésie, mais à la guerre ! Uldor entendit alors le cor du Rhùn sonnait sur la face Ouest de la cité. le sergent couru sur les remparts pour en connaître la raison et rejoignit le lieu d'émission du bruit. Là se trouvait un archer tremblant. L'Easterlings regarda le côté Ouest et vit avec effroi une armée du Rhovanion, composée d'hommes de D0le, d'Esagroth et autres petites ctiés. Ils avaient même un bêlier pour enfoncer la porte, visiblement, cette attauqe était prévue depuis longtemps. Mais ils ne se doutaient pas qu'un groupe d'orientaux de la capitale se trouvait là par hasard.. Uldor regarda l'homme qui le regardait aussi, il devait prendre les choses en main jusqu'à ce qu'un autre grâdé plus expérimenté ne vienne :

-Garde, allez à la caserne, réveillez tout le monde, allez, sonnez le cor du Rhùn et faites tremblez nos ennemis sous ce son ! En avant !

-A vos ordres sergent.


L'archer partit en courant et en soufflant dans le cor pour avertir les hommes, les femmes et les enfants. les civils devaient se cacher dans le bâtiment principal, la grande tour du chef. Ce dernier arriva avec ses hommes prêts à en découdre. Les archers se placèrent sur les murs, les guerriers et hallebardiers derrière la porte, pour arrêter les éventuels envahisseurs. Uldor suivit le chef, un capitaine qui se présenta sous le nom de Rhudan. Il avait une armure lourde du Rhùn, avec un long poignard à la lame effilée, un bouclier rectangulaire et épais. Il avait également un casque presque royal comparé aux autres hommes de la ville, et une épée longue du Rhùn. Uldor avait, quand à lui, un cimeterre du Rhùn, avec un bouclier de la même sorte que le chef, mais moins épais. Il avait aussi une hallebarde, son arme de prédilection. Son casque était typique des gardes de villes car là était son affectation principale. Les deux grâdé montèrent sur le rempart Ouest pour être bien en vue des ennemis et pouvoir leur parler :

-Hommes de Rhùn ! Rendez vous et vous serez épargnés, puis emprisonnés jusqu'à ce qu'une peine suffisante soit trouvé pour vos méfaits ! Nous agissons pour la paix et la liberté en Terre du Milieu, et aucune force ne pourra nous stopper !

-Dàliens ! Vous osez prétendre agir pour la liberté et la paix ? Vous qui venez sur nos terres pour nous les voler ! Qu'avons nous fait pour méritez cela ? Je vous le demande. Mais si vous pensez pouvoir nous vaincre, détrompez vous ! Nous lutterons jusqu'à la fin ! Jusqu'à votre fin !


Les guerriers de la cité acclamèrent leur capitaine et rien n'auraient pu stopper leur soif de combat.. Le capitaine prit à part Uldor et lui ordonna de faire partir les civils en vitesse et discrètement car aucun soldat ne devait le savoir. lorsque le sergent en demanda la raison, il répondit simplement que nul orientaux de cette cité ne survivrait à ce combat..Mais les hommes devaient y croire pour se battre du mieux possible. Uldor acquiéça et partit accomplir cette tâche qui se révéla plus simple que prévue car aucun soldat n'était dans la ville elle même, ils étaient à la porte ou sur le rempart Ouest. Les villageois purent ainsi fuir vers l'Est, à l'abri des regards.. Uldor rejoignit ensuite les remparts, juste à temps pour voir que la bataille commençait entre les orientaux et les dàliens.. Les flèches ennemies volèrent sur la cité, clouant quelques Easterlings trops lents d'esprit ou malchanceux.. Rhudan fit installer ses archers, et ceux d'Uldor à des meurtrières pour pouvoir éliminer les unités à distance dàliennes sans risques, ou presque. Le sergent de Minas-Ambaronë vit alors les échelles approchaient, il y en avaient quatre, protégée des flèches par les boucliers des guerriers. La mêlée allait pouvoir commencer.. Uldor transperça un homme avec sa hallebarde, puis, il bloqua une autre lame, d'un ami du défunt guerrier qu'il venait d'éliminer, avant de lui donne run puissant coup de bouclier, le projetant en bas des remparts. Ces derniers n'étant pas bien hauts, la chute ne fut pas mortelle mais assez douloureuse. Le sergent de Rhùn lui envoya son arme dans le ventre, le "plantant" dans le sol. Pendant ce temps, Rhudan était au dessus de la porte à repousser l'une des échelles. Soudain, un gros choc se fit entendre dans toute la cité. Uldor regarda vers la porte et la vit trembler.. Il réfléchit un court instant, et entendit soudain un garde criait :

-Un bêlier ! Aux portes, aux portes !

Les troupes de corps à corps, guerriers et hallebardiers, se rendirent immédiatement derrière la grande porte de la cité qui trembaient sous les coups. Les archers, quand à eux, faisaient leur possible pour tuer les porteurs, mais ces derniers étaient trop bien protégés par les guerres dàliens. Soudain, la porte se brisa en deux, laissant s'engouffre les troupes du Rhovanion, se déversant sur les forces orientales. D'un côté, une petite armée du Rhùn avec un capitaine, Rhudan, et un sergent, Uldor de l'Est. De l'autre côté, une grande armée dàlienne avec un capitaine de Dàle à leurs têtes. Uldor transperça un homme, avant de trancher net le bras d'un autre. Puis, le sergent oriental envoya sa hallebarde droit sur un archer de Rhovanion qui tentait d'abattre le capitaine Easterling. Ensuite, Uldor dégaina son cimeterre et se jeta dans le mêlée. Pendant ce temps, Rhudan et sa garde se trouvaient sur les remparts de la ville, à repousser les assaillants des échelles. Pour le moment, les hommes de l'Est avaient le dessus, mais pour combien de temps encore ? Là, le capitaine des forces dàliennes se montra enfin.. Il monta une échelle pour se retrouver face au capitaine Rhudan, chef de la résistance orientale. Le combat s'annonçait difficile et incroyable, entre ces deux puissants guerriers. Rhudan contrais les assauts du dalien sans trop de difficulté, mais au moment de sa contre attaque, il se révéla tout aussi inutile que son assaillant. A cet instant, l'homme de Rhovanion esquiva la lame de son adversaire, et pu ainsi se dépalcer pour se retrouver sur le côté de son ennemi.. Avant que Rhudan n'ai pu faire quoi que ce soit, Le capitaine du Bien avait enfoncé son épée dans les côtes de l'oriental, qui tomba à genoux sur le sol. Ensuite, le chef de Dàle planta sa lame dans la nuque de sa victime, qui tomba face contre terre.. Uldor était quand à lui devant la porte à lutter contre les envahisseurs. Et au moment où il tourna la tête vers son supérieur, il le vit s'écroulait sur le sol. Le grâde de Minas-Ambaronë couru jusqu'au corps du capitaine en massacrnat chaque personne se trouvant sur sa route. Il se trouva finalement être devant le chef ennemi. Uldor évita la lame de son assaillant, et contre attaqua, il pu donner un coup de bouclier dans son adversaire, l'envoyant par dessus le mur. L'homme de Dàle n'allait pas mourir pour cela, mais il mettrait un peu de temps à revenir au combat. Uldor s'agenouilla devant le corps de Rhudan, pour voir s'il vivait encore, il était dans un état critique..

-Sergent..Argh..Replie toi, avec nos hommes.. Vas.. Vas dans l'autre partie de la ville.. Et si tu ne parviens pas à.. A repousser les dàliens, alos parts avec mes hommes à la capitale... Prends ceci, et montre le au roi pour qu'il sache que la cité est.. est perdue..

-Compris, je ferais cela capitaine. N'ayez crainte..


Uldor récupéra donc le long poignard de Rhudan, avec la garde ouvragée qui était splendide. Mais la bataille tournait court, et les ordres étaient clairs, même celui qui les avaient donné était mort. Le sergent de Rhùn ordonna malgré lui la retraite vers l'autre partie du village.

-Repliez vous ! Repliez vous ! Depêchez vous, on se replie dans l'autre partie de la cité !

C'est ainsi qu'un maximum de soldats, archers et hallebardiers partirent vers le second mur, au centre de la ville. Des hommes courgaeux, parmi les civils, étaient resté là, pour pouvoir aider, et ils purent ainsi ouvrir la seconde porte et le refermait juste après. Quelques orientaux n'avaient pas eut le temps de venir, mais qu'importe, en temps de guerre, il y avaient des victimes.. Les archers montèrent sur le mur pour tenir en respect les hommes du Rhovanion, pendant que les guerriers et hallebardiers, se repréparaient au combat. Un lieutenant de Rhudan vînt voir Uldor pour lui parler stratégie. Il lui expliqua la présence d'une porte cachée qui permettrait de fuir vers l'Est, tranquillement, si les forces ennemies étaient occupées. Le lieutenant se désigna elle même pour retenir les ennemis avec une poignée d'hommes volontaires, pendant qu'Uldor et le reste de l'armée rentreraient à la capitale pour en parler au roi, et survivre. Ils pourraient ensuite retrouner à leurs vies de guerriers, loin de cette citée, désormais perdue.. Uldor acquiéça sans grande conviction, mais peu importait, il lui fallait rentrer à Minas-Ambaronë pour prévenir le roi que les hommes de Rhovanion se montraient un peu trop envahisseurs.. Le sergent de Rhùn laissa donc la lieutenant et une poignée d'hommes pour retenir les ennemis, pendant qu'il fuyait avec quinze guerriers, quinze hallebardiers et dix archers. Sa petite armée se mit donc en marche vers l'Est, abandonnant le lieutenant et sa garde, à une mort certaine.. D'ailleurs, l'offcier répondait au nom de Taleg. Uldor de l'Est et ses troupes partirent ainsi vers la capitale. Ils ne surent jamais avec quel courage se battirent leurs alliés si braves.. Après une demie journée à courir dans les plaines de Rhùn, ils arrivèrent en fin devant Minas-Ambaronë. Elle était majestueuse, avec ses hauts remparts. Uldor laissa ses hommes, et ceux de Rhudan se rendre à la caserne pour se reposer tandis que lui, allait voir le roi. Il gravit les marches et se retrouva sur le mur Est, devant l'entrée du palais, où les gardes barraient le chemin. Il leur expliqua sa situation et pu entrer, non tranquillement, car deux gardes le suivirent pour le surveiller. Une fois devant le roi, il s'agenouille et parla :

-Seigneur, la cité de Dol Sima est tombée devant les hommes du Rhovanion, et...

-Quoi ? Dol Sima ? Où était le capitaine de garnison, Rhudan.

-Hélas, il n'a pas survécu à l'attaque. Il m'a remit ce poignard pour je ne sais quelle raison...

-Très bien, j'arrangerais ça plus tard. Je te fait sergent-chef, prends tes hommes et les survivants de Rhudan. TU peux disposer, je te préviendrais quand j'aurai besoin de toi.

-Avos ordres, seigneur.


Uldor se releva et quitta la salle. Il sortit du palais, toujours escorté par ces gardes, et rejoignit sa tour de garde, où son accolyte l'attendait..
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeMer 21 Jan - 16:17

Voilà, j'ai fini la mission libre. Elle est bien moins longue que mes autres missions, mais bon.. Je pense que ça ira. J'ai donc récupéré un long poignard à la garde ouvragée si tout est bon Smile
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeJeu 22 Jan - 19:06

Ma mission libre est-elle assez satisfaisante pour la récompense ? Histoire que je puisse me mettre à ma première mission de sergent-chef que Gauthier555 m'a donné.

Merci, et désolé pour le double post
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CC1138
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeJeu 22 Jan - 19:41

t'excuses pas mais penses à éditer dans ce cas...
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeLun 26 Jan - 19:11

Bonjour à vous,

Je me répète mais bon. Est-ce que, quelqu'un peut me dire si ma mission libre est satisfaisante pour être récompensé ? Histoire que je continu ma mission en cours en sachant ce détail.


Merci.
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Nico33333
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeLun 26 Jan - 19:36

Je viens de lire tout ça... t'inquiète pas, tu la mérite ta récompense ! Tu peux garder ton poignard !
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeDim 15 Fév - 19:00

Merci à toi Very Happy
je vais donc me mettre à ma mission Smile
Désolé d'avoir était absent si longtemps, mais j'étais assez occupé avec les cours^^
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SpardatheDevil
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitimeDim 15 Fév - 19:12

Salut Uldor, ça fait plaisir de te revoir. Et ça me fait chaud au coeur de voir quelqu'un qui n'a pas peur d'écrire des lignes Very Happy
continu comme ça et tu pourras suivre mes traces, et écrire des histoires longues mais palpitantes
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MessageSujet: Re: Uldor de l'Est   Uldor de l'Est Icon_minitime

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