Pour le sergent Mallyn.

J'attends ma première mission !

En voila une pour toi:

Des orcs ont établis un petit camps non loin d' Osgiliath, ils ont l'intention de reprendre une partie de la cité et ils attendent des renforts pour lancer l'attaque. Tue-les! Faramir t'a preter quelques rodeurs pour cette importante mission

-Ennemis: 25 orcs pas bien entrainés et armée avec des épées mal forgé, + 20 qui arriveront en renfort, ceux-ci sont un peu mieux entrainés et mieux armés que les précedent

Allié: toi, tes homes, et 15 rodeurs de l' Ithilien très fort a l'arc et un peu faible a l' épée.

Conseil: Place les rodeurs dans des tours en ruines pour prendre l'ennemis par surprise.

Voila^^Dis moi si il y a un problème

Si tu n'es pas Capitaine tu ne peux pas donner de missions Artass. Donc cet ordre de mission est annulé.

Je t'en donne une :

On fait appel à tes services pour une mission de protection. Des orcs vont passer la frontière du Gondor et, par la même occasion, avoir une belle occasion pour saccager les villages et fermes qu'ils rencontreront.. Tu dois les arrêter avant qu'ils ne soient en liberté dans le Gondor.

Troupes ennemies : 10 orcs piquiers, 10 orcs épéistes et 15 orcs archers. Ils vont traverser l'Anduin sur 3 barges dont une détient dans une cage un troll des cavernes. De tous les ennemis que tu auras, aucun ne sait bien se battre, même le troll n'a pas été entrainé. Les orcs vont débarquer aux abords d'un village gondorien en ruine construit autrefois sur les bords de l'Anduin. Cela te donnera des chances d'embuscades.

Merci, je m'y mets dès que j'ai réglé mon problème de Word.

Oh merde je me croyé dja capitaine alor que je suis que sergent chef dsl

lol artass xD tu t'y crois déjà? =p

C'est pas grave, Artass ca va passer vite !

Combien de pages word pour avoir une bonne note à me première mission ?

Pour une première mission je te conseille 3-4 page Word, et là tu est sur d'avoir une bone note sur la longueur, je te conseille de lire les mission de sparda qui sont trés longue ^^ regarde sinon ma première mission j'ai eu une bone note sur la longueure aussi ( de quoi faire des jaloux )

Je ne te conseille pas de regarder les missions de Sparda. Il est bien plus haut gradé que toi et c'est un expert ( c'est son métier je crois )

Ben sparda écrit beaucoup mais moi je trouve pas spécialement que c'est un écrivain qui a un style super génial... La preuve c'est que j'ai déjà lu tous les textes de chaos au moins 5 fois et juste 2 fois chaque texte de Sparda... Comme quoi

Moi je te conseille de les lire au contraire. Tu peux t'inspirer de son style.
Et tu sauras qu'un texte sera jamais assez long. Sparda a eu 19,5 pour sa dernière mission.

C'est ar qui a coté... Moi je lui aurait mis 20 direct... Sinon c'est impossible d'avoir un 20.
Regarde quand même parce que ca vaut la peine...

dis que je cote mal aussi gauthier^^ le parfait ne peut exister donc je met 19.5, après si tu trouve que j'ai mal noter tu peux modifier cela ne me déranges pas

Si tu veux mallyn tu peux lire mes textes, mais n'essaye pas de suivre mon exemple (en tout cas je te le déconseille parce qu'il faut beaucoup de patience et le résultat de la qualité n'est pas assuré à 100%.) et j'informe à qv3me que je suis pas écrivains professionel, je suis juste sur un petit roman (je suis à 300 pages et je suis encore loin d'avoir fini ) que j'écris pour ma satisfaction personnel. Je le proposerai peut être à un éditeur un jour si je le juge assez bon, et je viens sur ce forum justement pour améliorer mon style et prendre en compte les remarques que vous me faites les uns les autres. Par exemple je sais que gauthier et adrian n'aiment pas trop mon style, et si j'en connais la raison de leur mécontentement je pourrai me rectifier afin de faire des histoires encore plus passionnantes.

Moi j'ai clairement pas le temps d'écrire autant que toi Sparda. J'ai toujours cent mille trucs à faire, et c'est pourquoi mes missions sont soit courtes, soit elles mettent du temps à arriver sur le forum.

Malgré ça, je suis pas peu fier de mes missions avec le mercenaire.

Moi aussi j'ai milles trucs à faire (le bahut, les devoirs, les contrôls incessants, les corvés)
mais j'arrive à me trouver des moments d'écriture (le matin de bonne heure par exemple, ou le soir après avoir fini mes devoirs). Mais j'avoue que ce week-end j'avais pas mal de temps à consacrer à mon loisir et j'en ai profité. Mais dans la passion, j'ai oublié mes propres règles pour assurer la qualité idéal: écrire, chercher du vocabulaire dans le dico pour avoir du vocabulaire à revendre, me renseigner sur le bouquin, me relire plusieurs fois et me corriger chaque fautes de syntaxe ou d'orthographe. Le mieux pour savoir si son texte est bon, c'est de s'aménager du temps pour lire son texte à haute voix plusieurs fois et corriger la moindre phrase avec un son désagréable à l'oreille (c'est le principe du Gueuloir, inventé par un célèbre écrivain nommé Flaubert lorsqu'il avait écrit madame Bauvary)

Ben, le style, c'est tu aimes ou pas... Perso, j'aime pas la façon dont tu décris les choses... C'est un peu trop imagé parfois et pour rien te cacher, tes personnages changent de comportement presqu'instantanément... Mais je lis quand même tes textes, parce que c'est completement différent des miens ou d'Adrian, on peu pas comparer. On aime ou on aime pas. Moi j'adore trop ceux qu'Adrain fait, mais si il pouvait avoir la même longueur que toi, alors j'arrêterai pas...

SpardaTheDevil a écrit:

Le mieux pour savoir si son texte est bon, c'est de s'aménager du temps pour lire son texte à haute voix plusieurs fois et corriger la moindre phrase avec un son désagréable à l'oreille (c'est le principe du Gueuloir, inventé par un célèbre écrivain nommé Flaubert lorsqu'il avait écrit madame Bauvary)

Merci, je prends note.



C'est sûr que les goût sont différents. Moi par exemple, je lis pas cinq lignes d'Adrian avant de fermer la page (J'ai rien contre toi Adrian, hein )

J'ai fini d'écrire ma mission. Je la recopie sur Word et je la poste.

Bon, voilà ma première mission. J'ai relu jusqu'à la moitié, mais j'ai un gros mal de crâne qui m'empêche de continuer. J'espère donc ne pas avoir fait de fautes.


Mission n°1

Objectif

On fait appel à tes services pour une mission de protection. Des Orcs vont passer la frontière du Gondor et, par la même occasion, avoir une belle occasion de saccager les villages et les fermes qu'ils rencontreront. Tu dois les arrêter avant qu'ils ne soient en liberté dans le Gondor.

Troupes ennemies : 10 Orcs piquiers, 10 Orcs épéistes et 15 Orcs archers. Ils vont traverser l'Anduin sur trois barges dont une détient dans une cage un troll des cavernes. De tous les ennemis que tu auras, aucun ne sait bien se battre, même le troll n'a pas été entrainé. Les Orcs vont débarquer aux abords d'un village Gondorien en ruine construit autrefois sur les bords de l'Anduin. Cela te donnera des chances d'embuscades.


Mission

Mallyn mit son casque sur sa tête. De sa main droite, il mit son épée dans son fourreau, de la gauche, il empoigna son bouclier. Son armure, qu’il n’avait pas changée depuis sa première bataille, lui avait sauvé la vie maintes fois, et, l’espérait-il, la sauverait encore. Ses nombreuses éraflures témoignaient d’une longue carrière militaire. Plusieurs fois, dans cette banale carrière de soldat, on lui avait proposé de monter en grade, et ainsi, de commander lui-même ses troupes. Tout le monde, à sa place, aurait accepté.
Mais pour lui, changer de grade signifiait changer de division, de capitaine. Or, son capitaine, Mallyn ne voulait absolument pas le changer.
Le capitaine Eanor était pour lui l’incarnation de la bonté, de la sagesse et de l’intelligence. Il savait tout et ne s’en vantait pas. Il aimait chacun de ses soldats comme un fils. Bref, c’était un chef idéal et aimé. Mallyn l’admirait pour toutes ces qualités, mais aussi pour ses capacités de commandement. Il savait remonter le moral des troupes comme personne. C’était un orateur hors du commun. Sa stratégie aussi était irréprochable. Mallyn en a tiré bien des leçons.
Voici pourquoi Mallyn était toujours un simple soldat, cavaliers sous les ordres d’Eanor. Cela lui plaisait, et il n’avait pas de raison de changer.

Mallyn sortit de sa tente pour rejoindre celle du capitaine. Il l’y trouva en train de s’équiper.
« Ah ! Mallyn ! Fit-il dans un large sourire. Les hommes sont-ils prêts à se battre ?
— Ils sont tous armés, capitaine. Je leur ai fait part de votre plan de bataille. Je tenais à vous dire que je suis honoré d’avoir été choisi pour mener la cavalerie.
— Tu sais autant que moi qu’il n’y a personne dans cette armée qui puisse rivaliser avec toi dans ce domaine. Tu chevauches mieux que les cavaliers du Rohan. Va, rejoins les autres soldats. »
Mallyn s’exécuta et partit en direction de ses alliés.

La bataille devait être un combat de routine. L’ennemi avait été repéré plus loin. Ils marchaient sur une route de terre large de plusieurs mètres, qui coupait une dense forêt en deux. De peur de se faire avoir, les éclaireurs n’ont pas cherché à en savoir plus sur l’armée. On ne connaissait que leur position, et leur nombre, estimé à une centaine d’Orcs. Presque autant que l’armée gondorienne. Eanor avait prévu de se battre à la sortie de la forêt. Les ennemis seraient piégés, et le Gondor aurait un avantage considérable en les encerclant.

Quand l’ordre fut donné, toutes les troupes se placèrent comme prévu. Les rôdeurs étaient habilement cachés derrière les arbres. À la sortie de la forêt, une ligne de vougiers attendrait l’éventuelle charge ennemie. Derrière cette ligne, un bataillon d’épéistes viendrait soutenir les vougiers après le premier contact brutal de la charge. Juste derrière, le capitaine, arborant fièrement la bannière du Gondor, et ses cinq gardes du corps, étaient montés en selle pour le combat. Le cheval blanc du capitaine dominait les autres par sa taille et sa beauté. Finalement, Mallyn et la cavalerie était en dernière ligne, et se déplacerait pendant la bataille selon son déroulement. Des charges frontales étant inutiles contre des lanciers, Mallyn avait préféré se placer derrière. Il ne savait pas quelles armes avaient les Orcs, aussi préférait-il charger dans leur dos autant que possible pour saper leur moral. Il n’avait qu’à contourner ses alliés pour atteindre ses ennemis.

Tous étaient prêts à se battre quand les Orcs apparurent. On les vit tourner au loin, suivant le large chemin de terre.
Soldats ennemis étaient totalement désordonnés. Chacun voulait se placer à l’avant de l’armée et tuer plus d’ennemi que les autres. Mallyn et dix de ses cavaliers sortirent leurs arcs. Quand l’ennemi serait plus proche, ils pourraient tirer sur leurs lignes arrière.
L’armée orque, totalement désordonnée, chargea immédiatement. Eanor sonna le cor pour donner l’ordre aux archers cachés dans la forêt de tirer.
Mais les archers ni tirèrent pas.
La plupart des ennemis avait des arcs, et tira autant que possible sur les soldats du Gondor. Eanor sonna à nouveau le cor. Toujours aucune flèche ne sortit du bois.
« Bon sang ! Ragea Eanor. Qu’est-ce qu’ils attendent pour tirer ? »
La réponse lui vint rapidement. Il regarda à gauche, et vit deux trolls sortir de la forêt, les mains remplies de sang. Sur la droite, une seule de ces créatures sortit victorieuse. Le capitaine avait fait une erreur stratégique. Il n’avait pas pensé que les Orcs ou les trolls pouvaient être assez intelligents pour déjouer une embuscade. Il ne pensait même pas qu’ils repèreraient des rôdeurs camouflés ! Ainsi avait-il mis trente archers dans les arbres, soient les trois-quarts de son archerie.
La charge ennemie avait maintenant atteint les lanciers. La première ligne orque, si tant est qu’elle puisse, au vu du désordre de l’armée, être appelée une ligne, s’écrasa sur les lances gondoriennes. La deuxième ligne enjamba les corps inanimés des premières victimes, puis engagea le corps-à-corps. Les épéistes vinrent en renfort pour soutenir les vougiers.
Un autre imprévu décida de contrer les plans d’Eanor. Les trolls sortis des forêts attaquaient maintenant les épéistes par les deux côtés ! Les soldats étaient maintenant attaqués par les Orcs devant et les trolls sur la droite et la gauche.
Ni une, ni deux, Mallyn et ses archers tirèrent sur les trolls. Bien entraînés, ces archers montés visaient avec précision. Ils firent en sorte de toucher un maximum les trolls sans toucher leurs alliés. Ils réussirent à la perfection. Néanmoins, si un troll fut tué facilement, les deux autres faisaient un carnage dans les rangs gondoriens.
« Cavaliers ! » Hurla Mallyn.
Son arc était rangé. De son épée, il pointait l’un des trolls, et commençait à charger. La moitié des cavaliers le suivit, l’autre attaqua le deuxième monstre. Tous fonçaient en slalomant entre les trolls, tailladant leurs jambes autant que possible. Mais les trolls étaient entraînés, et l’un d’entre eux survécut aux assauts des hommes d’Eanor. Il se débattait en frappant de tous les côtés. Mallyn lui tournait autour, provoquant sa dangereuse colère. Le gondorien se baissa pour éviter un coup meurtrier. Quand il se redressa sur sa monture, la grande main du troll l’attrapa. Soulevé dans les airs, le troll l’étouffait. Mallyn luttait pour chaque bouffée d’air. Il commençait à s’évanouir, sa force ne pouvait rien pour se libérer de l’emprise du troll.
Tout à coup, la pression s’arrêta. La main s’était ouverte, et le soldat s’était écroulé sur le sol. Il réussit à se mettre sur le dos mais était trop faible pour se lever. Il regarda le troll, et vit le capitaine, debout sur ses épaules, tentant tant bien que mal de tuer le troll. Il lui planta la bannière du Gondor sur le sommet du crâne. Mallyn regarda autour de lui. Les Orcs l’entouraient, c’était la fin pour lui. Mais le capitaine n’avait pas terminé. Il chargea les Orcs, et dans sa furie, en tua trois. Il para un coup, riposta, esquiva, tua. Rapidement il fut submergé. Mallyn s’évanouit pendant que son chef se battait avec rage.

Mallyn se réveilla sur un lit, dans une tente vide. Son armure avait été retirée. Il se leva rapidement, et un mal de tête s’empara de lui. L’ignorant complètement, il se rua hors de la tente. Dès sa sortie, il tomba sur un soldat en armure.
« Ah ! Mallyn. Tu es enfin réveillé.
— Depuis combien de temps suis-je endormi ?
— Cela doit bien faire une demi-douzaine d’heures. On a remporté la victoire…
Il avait dit ça sans aucune joie. Après une pause, il enchaîna :
— …Mais à quel prix ?
— Que veux-tu dire ?
— Notre armée a été énormément réduite. Nos hommes se sont fait décimer par les Orcs. Notre victoire a un goût amer. Au moins, aucun ennemi n’est vivant pour raconter ce combat humiliant à son chef.
— Qu’allons-nous faire ? Le capitaine a donné des ordres pour la suite ?
Une tristesse profonde apparut sur le visage du soldat. Mallyn n’eut pas besoin d’attendre la réponse pour comprendre. Le soldat parla tout de même :
— Le capitaine est mort.
Mallyn ne broncha pas. Eanor lui avait appris à ne pas pleurer la mort des soldats. Eanor est mort sur le champ de bataille, comme il avait décidé de le faire.
— Que faisons-nous maintenant ?
— On rentre à Minas Tirith. Notre mission est terminée.
Le camp fut levé et les cadavres brûlés. Plus aucune trace de la bataille n’était laissée. Mallyn récupéra avec mélancolie la bannière du Gondor, qu’il retira du crâne ensanglanté du troll. Le cheval du capitaine n’avait pas été touché, il fut décidé que Mallyn en hériterait, lui, l’officieux second d’Eanor.
Le bilan de bataille était désastreux. Des cent-vingt soldats au départ, il n’en restait que vingt et un. Ils rentrèrent donc à la cité blanche, où on les enverrait sous les ordres d’un autre chef.
Les portes de la ville s’ouvrirent lentement à leur arrivée. Les cavaliers traversèrent la ville au galop. Ils arrivèrent rapidement vers les quartiers de leurs supérieurs pour faire le rapport de mission.
Mallyn entra seul. Il fit part au général du rapport de mission, en détaillant la bataille avec dégoût.
« Soldat, bien que vous puissiez penser le contraire, cette bataille est une réussite. Comme chacune de vos missions d’ailleurs. J’ai plusieurs fois eu l’occasion de vous nommer sergent, mais vous avez refusé pour différentes raisons. Néanmoins, je pense que vous êtes un excellent soldat. Alors je vous le redemande : voulez-vous devenir sergent et commander vos propres troupes ? »
Mallyn réfléchit un instant. Il en avait marre de se battre. Maintenant, tout cela n’avait pas d’intérêt pour lui. Sans femme ni enfant, il n’avait personne à protéger après tout. Il serait bien mieux dans une ferme à rêvasser toute la journée. « Il n’y a pas de paix, même injuste, qui ne soit préférable à la plus juste des guerres » lui répétait Eanor. Il lui répétait aussi : « S’il est simple de mettre fin à une paix, il l’est beaucoup moins de mettre fin à une guerre. »
Et cette guerre, il fallait qu’elle finisse. Et pour qu’elle finisse, il fallait se battre.
— J’accepte.

Les portes de la cité blanche s’ouvrirent lentement. Mallyn en sortit, tenant fièrement la bannière du Gondor, son cheval blanc illuminant les champs de Pellenor. Derrière lui, vingt cavaliers étaient prêts à se battre. Derniers ordres reçus : « Allez défendre la frontière. » Rien de plus simple.

Minas Tirith fut rapidement hors de vue, et les hommes de Mallyn se dirigeaient vers Osgiliath. De là, ils longeraient l’Anduin vers le sud.
Le chemin vers Osgiliath fut rapide et sans encombre. Des soldats du Gondor y étaient déjà présents. Leur capitaine vint à l’encontre de Mallyn, qui lui expliqua les très vagues détails de la mission. Après quelques conseils, le capitaine leur offrit des provisions. Les cavaliers partirent donc vers le sud en longeant l’Anduin.
Ils chevauchèrent longtemps, jusqu’à atteindre une petite ville en ruine. C’était un point stratégique, car les trois grandes tours s’élevaient assez haut, et offraient un point d’observation excellent. Ces larges tours permettaient aussi de cacher plusieurs soldats. Mallyn jugea bon de rester ici à attendre une attaque ennemie. Il savait que si les Orcs attaquaient, ils passeraient soit par Osgiliath, qui est un point stratégique, soit par ici, parce que les fermes étaient très nombreuses dans la région. Les Orcs ont de quoi s’amuser ici. Les ruines dans la petite ville permettaient des embuscades parfaites. Les archers montèrent dans les tours pour surveiller une arrivée éventuelle ennemie. Les soldats n’avaient plus qu’à espérer que l’ennemi viendrait rapidement, car les vivres offerts par Osgiliath ne suffisaient à tenir que pour deux jours.
Heureusement, l’ennemi vint vite.
Au bout de treize heures d’observation, les archers les avaient repérés. L’un deux accouru pour l’expliquer à Mallyn.
« Sergent ! L’ennemi a été repéré. Il vient sur trois barges, remplies respectivement de dix soldats pour la première, et quinze pour la deuxième. La troisième barge transporte dix soldats et un troll en cage.
— Vous savez vers où ils vont ?
— Les deux premières se dirigent vers l’entrée nord, la troisième vers l’entrée sud.
— Bien. Ne prenez pas cet air effrayé, j’ai un plan qui devrait fonctionner.
Mallyn donna rapidement ses ordres. Il avait la stratégie en tête. En simplifié, ça donnait : « étape 1 : embuscade ; étape 2 : embuscade ; étape 3 : embuscade. »
Dans la partie nord, après l’entrée principale, Mallyn était caché, ainsi que ses sept épéistes, dans les tours en ruine. Plus loin sur le chemin, là où les Orcs passeraient forcément, il y avait des maisons en ruine. Plus loin, les cavaliers attendaient près de deux routes perpendiculaires. Les Orcs devaient passer sur l’une d’elle, et les cavaliers pourraient les charger sur le côté. Au sud, les six archers cachés dans les tours avaient pour mission d’empêcher le troll de sortir de sa cage. Les Orcs ne savaient absolument pas qu’ils risquaient leur vie en quittant leurs barges.
La première arriva à destination. Les dix Orcs mirent pied à terre, et engagèrent leur marche dans la ville. Mallyn ne donna pas l’ordre d’attaquer pour le moment, et chacun restait caché dans les tours, faisant le moins de bruit possible avec leurs armures. La deuxième barge déposa ses quinze Orcs sur le sol pavé. Ce deuxième bataillon était entièrement composé d’archers. Le premier, lui, qui se dirigeait maintenant vers le carrefour, était composé d’épéistes. Encore cinq mètres, et ils arriveraient à la bifurcation, et sur leur droite, verraient les cavaliers. Mais cela n’arriva pas. Mallyn sonna le cor, et chargea avec ses soldats. La surprise des archers était telle que, dépourvus de courage et de préparation, ils se faisaient massacrer. Un arc étant totalement inutile au corps à corps contre des armures et des lames finement aiguisées, les Orcs se faisaient massacrer. La première embuscade était une réussite totale.
Au même moment, les Orcs de la première barge avaient eux aussi entendu le cor. Tous se retournèrent, surpris, pour assister au carnage.
« Une embuscade ! Ils se font massacrer, il faut les aider ! »
L’effet de surprise marcha à la perfection. Les Orcs, tentant d’aider leurs archers, n’entendirent pas les bruits de sabot. Les lanciers, écrasant les Orcs à l’aide de leurs montures, décimèrent les ennemis avec une rapidité impressionnante. Les épéistes, ayant facilement triomphé de leurs faibles ennemis, vinrent aider les cavaliers à finir le travail.
Pendant ce temps, les piquiers de la troisième barge avaient eux aussi entendu le cor du Gondor. Paniqué, leur chef hurla :
« Le Gondor nous attaque ! Libérez le troll ! »
L’Orc qui avait les clés de la cage tomba en arrière, une flèche s’étant logée au fond de sa gorge. Les autres se ruèrent sur la clé. À chaque fois que l’un d’eux la brandissait, une flèche venait lui ôter la vie. Deux Orcs foncèrent vers la tour pour tuer les archers, mais furent stoppés par un mur de flèches. Pendant ce temps, un de leurs alliés avait réussi à déverrouiller la cage. Le troll ouvrit la porte de la cage à la volée, envoyant l’Orc qui se trouvait derrière exploser son crâne sur un mur. Les quatre piquiers restant jubilaient. Grâce au troll, ils devaient gagner !
Le cor retentit une fois de plus. Presque une quinzaine de soldats arrivaient sans se presser, à cheval pour la moitié. Les Orcs regardèrent le troll, les volées de flèches le terrassaient. Une dizaine de secondes plus tard, il était mort.
La dernière volée de flèche était destinée aux trois piquiers restants, qui moururent sur le coup.
Un soldat de Mallyn hurla « victoire ! » et ses compagnons le joignirent en chœur.

La victoire parfaite de ce jour avait marqué l’esprit des soldats. La stratégie de Mallyn leur avait permis de gagner sans subir aucune perte. Mallyn, déjà apprécié pour sa gentillesse, s’était imposé en sergent compétent.
Une journée complète s’était écoulée. Le sergent et ses hommes avaient attendu une journée supplémentaire, au cas où d’autres Orcs auraient décidé de passer l’après-midi à brûler des fermes. Aucun ennemi n’avait pas montré le bout de son nez, et les soldats rentrèrent à Minas Tirith.
Les portes de la cité blanche laissèrent passer les cavaliers une fois de plus, et Mallyn partit faire son rapport. Le général, impressionné par sa réussite, lui avoua qu’il avait un avenir certain dans l’armée du Gondor. Mais est-ce que ceci pourrait vraiment intéresser Mallyn ?

Plusieurs heures après les avoir laissé, le sergent rejoignit ses hommes aux portes de la cité, puis leur annonça la nouvelle :
« Soldats, ce soir, nous repartons en mission. »

Longueur : 16(20 ( bien long pour une première mission )

Action : 16/20 ( bien décrits )

Orthographe : 10/10

Histoire : 15/20 ( La note baisse car il n'est pas très normale que tu n'aies perdu absolument aucun soldat. )

Note finale : 16/20 ( bonne mission )

Voilà une mission :
La cité d'Osgilath se fait assiéger au moment même. Sauron a envoyé quelques armées en sa direction pour pouvoir commencer son assaut mais il n'y a pas assez de soldats sur place et des capitaines viennent a Minas Tirith venant te dire d'aller les aider. Ta mission sera longue et périlleuse. Tu auras plusieurs objectifs pour réussir ta mission.
Troupe ennemis: 50 orcs dont 20 avec arcs et 1 troll du Modor, les orcs sont peu fort au combat et sont armés de sabres, certains ont des misérables boucliers, les archers ont des arcs orcs et visent très mal. Le troll a déjà vécu des combats et est très résistants et possède une armure en cuir.
Troupe alliés: Deux capitaines à cheval, armés d'épées et de boucliers et sont assez fort au corps a corps (c'est ceux qui viendront a Minas Tirith pour te prévenir de l'assaut), ainsi que 10 cavaliers sont avec eux et aussi 15 cavaliers archers.
Objectif primaire: Tu dois débarrasser la place principale d'Osgiliath des assauts orcs. Il y aura trois assauts de 15 orcs chacuns.
Objectif secondaire: Tu dois avancer dans la ville et défendre un pont. Ce pont sera attaqué par un troll du Modor accompagné par 5 orcs très forts, ce sont des capitaines et sont armées d'haches à deux mains.
Dernier Objectif: Fait un petit voyage après avoir défendu Osgiliath, voir Faramir en Ithilien afin de recruter des rodeurs puis tu devra les ramener a Minas Tirith une fois le recrutement terminé.
Voila dit moi si cette mission te convient !

Waw, merci Alegolas, j'm'y mets demain.