Mâhild l'assassin

Elle sortit de la maison et je fermais les yeux, m'enfonçant un peu dans le lit doux et confortable. Tout ce qui venait de la Comté était agréable aussi bien au toucher qu'à la vue ou au goût. Je pensais à mes hommes qui devaient enfin manger à leur faim. Mais ce à quoi je pensais surtout, c'était si je trouverai mon fils plus à l'Ouest, ou si il était tombé sur une meute de loups ou une patrouille d'orcs et avait subi une mort terrible. Je m'endormis et tombais dans un sommeil paisible et mérité.
Le lendemain, je me levais alors que le soleil était déjà haut dans le ciel. Je m'habillais vite et retournais vers mes compagnons. Les garçons les plus âgés avaient déjà commencé à reconstruire certaines maisons. Je trouvais mes hommes assis à une table, se régalant de porc salé, de pinte de la Comté, de tartine au beurre, de confiture toutes plus délicieusement odorantes les unes que les autres. Je du m'entretenir et demandais aux habitants du village de ne pas s'approcher,car notre mission devait rester aussi secrète que possible.

- Messieurs, nous allons aider ce village. Il est attaqué continuellement par des trolls des forêts qui le réduisent à chaque fois en poussières. Nous ne pouvons tolérer cela! Dis-je en frappant la table de mon poing, ce qui eut pour effet de renverser une pinte qui s'égoutta sur le sol. Nous allons tuer ces créatures malfaisantes pour préserver autant ce village que ces bois et cette contrée aux milles merveilles!
- Mais sergent...nous nous détournons de notre but en accomplissant cette tâche, et nous avons déjà perdu beaucoup des nôtres.
- Vous avez plutôt peur d'affronter un combat difficile oui! Ah ils sont beaux les elfes de la Lorien avec leurs armes étincelantes! Je suis sûr que vous êtes les « soldats » elfes les plus fainéants et peureux du monde elfique! Il va vraiment falloir que je vous reprenne en main. Si cette mission réussie et que nous retrouvons mon fils, nous retournerons en Lorien et je vous assure que vous en baverez lors de votre remise à l'entrainement!
Mes hommes me regardèrent, le souvenir de leur rude entrainement leur revenant à l'esprit. Ils avaient trop pris l'habitude des auberges et du repos. Mais je n'avais pas le temps de les entrainer maintenant, la mission importait plus que cela. Je devrai faire avec ce que j'avais. Je me levai et m'en retournai vers ma chambre providentielle.
- Je veux que dans une demi-heure, vous soyez devant mon logement, armes prêtes au combat et chevaux sellés. La séance est finie. Et je repartis.
Je rangeais mes dagues dans leurs fourreaux et mon arc dans le dos. La femme qui s'occupait de moi m'amena alors une gourde d'eau. Elle avait le visage triste et semblait regretter son geste.

- Tenez, si vous devez mourir, que vous ayez au moins goûté à la meilleur eau de la Comté avant de passer le trépas.
- Merci, mais pourquoi êtes-vous si triste dame de la comté ? Pleurez-vous toujours les étrangers qui quittent le village ?
- Non seigneur, c'est de voir un voyageur si aimable partir à la mort pour une cause désespéré. Vous êtes le premier homme pour lequel mon jeune coeur flanche. Dit-elle en baissant la tête.
Je souris et lui relevais la tête. Une larme coulait sur sa joue.
- Jeune demoiselle, je ne suis pas un seigneur, juste un soldat à peine plus grand que ceux qui m'accompagnent, et votre coeur tombera un jour pour un être meilleur que moi. Maintenant, je dois vous laissez, adieu et merci encore pour votre cadeau.
Je ressortis de la maison, laissant la jeune femme seule, et je l'entendis pleurer un peu. Mes soldats m'attendaient devant la bâtisse. Je montais sur mon cheval et ils firent de même. Je bu une gorgée de la boisson que la dame m'avait donné et j'eus un frisson dans tout le corps. Ma vitalité remontait et je me sentais prêt à combattre n'importe quel adversaire qui viendrait me défier.

- Compagnon, nous partons exterminer ces trolls pour le bien de la verte Comté, en avant!
Nous éperonnâmes nos chevaux et partîmes en direction des bois sombres. La lisière sombre semblait prendre des formes monstrueuses, comme si elle ne voulait pas nous laisser passer. Les chevaux se cabrèrent et hennirent lorsque nous nous retrouvâmes devant. Nous essayâmes durant plusieurs minutes de faire franchir la lisière de la sombre forêt aux chevaux, en vain.
- Si nos chevaux ne veulent pas aller au combat car les ténèbres sont trop grand pour eux, nous continuerons à pied.
Nous descendîmes de nos montures et les renvoyâmes au village. Nous entrâmes dans la forêt et les ténèbres nous entourèrent. Tout était sombre et on ne discernait presque aucun mouvement tant les arbres étaient serrés. La lumière ne pouvait filtrer dans ces ténèbres que par de rares endroits où les arbres ne cachaient pas le ciel. Nous marchâmes pendant plusieurs heures sans trouver aucune piste des trolls. Soudain, un grand fracas se fit entendre et nous nous arrêtâmes tous. Une autre grand bruit vint, suivi d'un autre. Ils s'éloignaient, mais se succédaient. J'ordonnais de grimper aux arbres. Une fois à couvert, nous sautâmes de branches en branches, d'arbres en arbres pour nous diriger vers les bruits. La tâche était aisée étant donné que les arbres étaient serrés entre eux. Une grande lumière se montra alors devant nous qui nous fit ralentir juste avant d'apparaitre en plein jour. Une grande clairière était devant nous, une grotte de pierre qui plongeait dans les entrailles de la Terre se trouvait au milieu; des arbres étaient couchés partout et des trous étaient fait dans la terre aux endroits où ils avaient été déracinés; des cadavres d'animaux, d'hommes, d'elfes et bien d'autres espèces étaient éparpillées tout autour de la grotte. << Et bien mes amis, je crois que nous avons bien là trouvé la cachette des trolls des bois. Pensais-je >>. Ma pensée fut confirmée lorsqu'un troll sorti de la caverne. Il était brun, sa gueule remplie de dents et ses mains tenaient un cadavre. Je fis un signe de la main et mes hommes me rejoignirent tous. Je leur exposais mon plan et ils allèrent se mettre en position. Nous devions entourer la clairière et tirer sur les trolls de tous les cotés. Ainsi ils ne sauraient pas d'où viennent les tirs et seraient complètement déconcertés. Mes hommes se positionnèrent et nous sortîmes nos arcs. Je me rendis alors compte que nous étions découverts. Le troll avait été saisir une pierre et se préparait à la lancer.

- Tirez! Tirez aussi vite que vous le pouvez!
Les flèches fusèrent et une dizaine atteignit le troll. Il leva le bras et lança sa pierre droit sur les arbres. Deux elfes tombèrent alors et terminèrent au sol. Nous tirâmes à nouveau alors que le troll reprenait une pierre. Il reçut deux flèche dans la tête et émit un gémissement en lançant un deuxième projectile. Il passa tout près et je perdis l'équilibre. Je tombais et me rattrapais à une branche, quelques mètres avant le sol. Je me laissais retomber par terre et sortis mes dagues. Contournant la clairière, je chargeai l'arrière du monstre qui ne me repéra pas, à son propre malheur. Alors qu'il prenait un troisième projectile, je le saisi et grimpais sur son dos. Le géant, comprenant qu'il était attaqué au corps-à-corps, lâcha ses pierres et voulut m'attraper. Mais il en réussit pas et j'atteignis sa tête. Je plantais alors une dagues dans sa tête et, m'accrochant de toutes mes forces à cette prise, je sautais du dos du troll et me retrouvais devant sa tête. Avant qu'il n'ait eu le temps de m'attraper, je lui frappais les yeux et le dessous de son menton. Le monstre cria d'agonie et tomba en arrière, raide mort. Mais son cri avait alerté le deuxième troll qui sortit en courant et me chargea. J'attendis un peu et, lorsqu'il fut à porté, je lançais une de mes dagues dans sa tête. Le troll s'arrêta sur le coup, arracha mon arme, la jeta au loin et m'attaqua à nouveau. Je fis une roulade sur le coté et, évitant sa charge, je montais sur son dos. Ma technique avait marché une fois, mais hélas, pas deux. Alors que je plantais ma dague dans le cou du troll, je fus saisi par la puissante main du colosse et fus lancé de toutes ses forces sur un arbre. Je fus littéralement écrasé contre l'arbre et retombais au sol. Je levais la tête et vis la masse sombre du monstre me charger à nouveau. Je levais la main et, alors que je levais la main vers le ciel, quatre formes noires apparues devant moi au moment où je fermais les yeux.

- Dame Galadriel, aidez-nous par pitié! ce fut mes derniers mots et je sombrais dans les ténèbres.
Tout n'était que noirceur indescriptible et je cru un instant être mort, mais une lueur rouge apparue alors dans les ténèbres et s'approcha de plus en plus. Une grande roue de feu telle le brasier du Mordor s'avançait vers moi. Elle s'arrêta à quelques mettre et grandit de lus en plus, jusqu'à faire trois fois ma taille. Elle se remplit alors de flammes et une grande ombre apparue au milieu. Elle n'était qu'un trait noir qui formait la pupille de cet oeil de feu...l'Oeil de Sauron. L'ombre s'agrandit et une forme en sortit. Elle était toute noire et portait à sa tête une couronne de fer où des piques ressortaient de maintes endroits. Je reconnus alors le Roi-Sorcier d'Angmar, le Seigneur des Nazguls et le Fléau d'Arnor.

- Que me vaux cet honneur ? Dis-je avec une pointe d'arrogance dans la voix.
Il me répondit de sa voix déchirante et ténébreuse. Elle était faible, tel un sifflement d'agonie, mais elle était amplifiée par le noirceur des ténèbres et prenait de la puissance, jusqu'à ressembler au rugissement de la Montagne du Destin.

- Ne reconnais-tu pas la mort quand tu la vois, vermine elfique ? Si non, tu devrais. Tu as devant toi le maitre de la cité des Nazgul, l'un des fléaux plus redoutés du monde des hommes, des elfes et des nains. Jamais aucun ennemi ne me vainquit et ce ne serait pas toi qui réussirait cet exploit de folie. Si j'étais toi, je tremblerai devant ma puissance.
-Et bien je ne tremble pas. Si c'est la mort qui est bel et bien face à moi, alors je l'affronterait, quitte à y périr. Car je sais que je ne peux périr si près du but. Et si je dois vous rendre ce que vous m'avez donné jadis, alors que je sombrai dans les ténèbres, reprenez-le.
Et me disant, je pris la fiole de poison et la lui tendis. Mais, au lieu de la reprendre, il rit de sa voix grave et émit un sifflement tellement aigu que je mis mes main contre mes oreilles. Il s'arrêta alors et se remit à parler.

- Le Seigneur des Ténèbres veut que tu le rejoignes. Il sait que tu plonge dans les noires abysses de l'entre vie et mort, et il te demande de te mettre à son service. Les moyens que nous te proposerons sont grands. La puissance que tu obtiendrait serait sans limite, car grande est la puissance du Mordor et des ténèbres.
Disant cela, il se tourna vers l'oeil et la fente noire laissa place à une vision de champs de bataille. Le ciel était sombre et on distinguait la montagne du destin en arrière plan, vomissant ses flammes perfides et destructrices. Des milliers d'orcs se tenaient à son flanc et, devant tous, se tenaient une forme grande et sombre. Elle était tout de métal et ténébreuse était l'aura qui en émanait. Sa massue était grande et puissante. Il portait une couronne de fer et il semblait que son corps était son armure elle même. À l'un de ses doigt, brillait un anneau jaune portant des inscriptions rouges qui brillaient telles les flammes de la Montagne du Destin. Les soldats elfes et hommes qui se trouvaient devant lui reculaient et le craignaient. Il porta alors le premier coup. Chaque attaque était d'une puissance phénoménale. Ses ennemis volaient dans les airs à chaque coup que portait le Seigneur des Ténèbres. Une dizaine de soldats de l'Ultime Alliance mourraient à chacune de ses attaques. Son pouvoir était si grand qu'il pouvait presque tuer l'armée ennemie à lui seul. Alors, le Roi des hommes s'avança et, dans sa charge, périt sous un seul et unique coup de son adversaire. À cet instant, la vision s'arrêta et le Roi-Sorcier se retourna vers moi.

- Vois-tu à présent la puissance de Mordor ? Vois-tu à présent de quoi sont capables les ténèbres ? Si tu nous rejoints, tu pourras même obtenir une puissance presque pareille. La Sorcière de la Lorien ne te donnera jamais tel pouvoir. Réfléchis bien elfe, car une occasion telle que celle-ci se représentera pas plusieurs fois.
- Ma décision est déjà prise! Ripostais-je aussi violemment que je pouvais, tentant malgré tout d'intimider un temps soit peu mon adversaire. Ma fidélité est déjà donnée à la Dame Galadriel.
- Ta fidélité ? Rétorqua le Roi-Sorcier en laissant un ricanement terrifiant sortir. Quelle fidélité! À cause de la mort de ta femme et de tes enfants, tu es parti de ton coté, sans prévenir ta « Grande Dame elfique » et tu appelles ça de la fidélité ?
- C'est justement à cause de vous et votre maitre que ma famille est morte. Et ça, je ne peux le pardonner.
- Toute ta famille ? Ne le crois pas. Mais si tu nous rejoints, je t'expliquerai tout.
Il me tendit sa main gantée de fer et attendit quelques instants, puis, voyant que je ne faisait aucun mouvement à part le regarder gravement, il ramena sa main et se retourna vers l'Oeil.

- Tant que tu ne nous rejoindras pas, tes nuits seront toujours hantées par des massacres et les défaites de l'espoir. Dit-il en disparaissant dans la roue de feu.
L'Oeil grandit alors et commença à se rapprocher de moi. Au moment où il allait m'engloutir, une voix encore plus puissante et ténébreuse que celle du Roi-Sorcier s'écria <<Tu nous rejoindra tôt ou tard, de ton plein gré ou non!>> Et l'Oeil m'engloutit sous un déluge de flammes. Je fus alors réveillé et me relevais en sursaut. Je regardais tout autour de moi : Je me trouvais dans la chambre du village que nous avions sauvé. Des fleurs se trouvaient sur la table près du lit. Une gourde d'eau se trouvait à coté des fleurs et la fenêtre laissait échapper un clair rayon de soleil. La femme qui ne voulait pas me laisser partir était assise sur une chaise et avait veillée sur moi. Elle se leva et alla m'aider à me mettre debout.

- Où sommes-nous ? Lui demandais-je, ne retrouvant pas rapidement mes esprits.
- Vous êtes dans le village que vous avez sauvé seigneur! Vous êtes un héros!

- Je ne suis ni un héros, ni un seigneur. Dis-je avec une sourire sur les lèvres. J'ai échoué et je suis mort.
- Non, les trois trolls ont été tués et vous êtes en vie. Venez!
Me laissant m'habiller, elle me fit sortir de la maison et là, une foule de femmes, d'enfants et mes hommes m'accueillirent. Je ne comprenais pas. Je les remerciais et allais vers mes soldats pour leur demander des renseignements.

- Sergent, lorsque le troll vous à lancé contre l'arbre, quatre d'entre nous sont descendus le combattre au corps-à-corps, l'épée à la main. Alors que le monstre les affrontait, les autres ont tirés des flèches sans cesse et ont abattu le géants. Trois des hommes qui l'ont combattu n'en sont pas ressorti. Nous avons honoré leur sacrifice et vous avons ramené ici. Vous êtes vraiment l'être le plus chanceux et le plus trompe la mort que je n'ai jamais rencontré sergent!
- Merci, mais je crois maintenant être plus malheureux que jamais, enfin, peut-être n'était-ce qu'un mauvais rêve, nous verrons plus tard. Maintenant, nous devrons aller.
Nous restâmes pour le banquet qu'avaient préparés les habitants du village. Les mets étaient tous succulents que ce soit la confiture de framboise ou le porc salé, tout était délicieux. Mais hommes mangèrent de bon coeur, mais je n'étais pas vraiment d'humeur à faire la fête. Bien sûr, nous avions sauvé le village et tué les trolls, mais au péril de nombreuses vies, et mon rêve me revenait toujours en tête. <<Tu nous rejoindras, de ton plein gré ou non>> Qu'est-ce que cela pouvait bien vouloir dire ? je décidais de ne plus m'occuper de cela et de trouver l'envie de manger. Nous bûmes quelques pintes, puis la nuit arriva et nous allâmes nous coucher. Le lendemain, nous prîmes nos affaires, préparâmes nos destriers et montâmes en selle. Alors que j'allais partir rejoindre ma compagnie qui était déjà en avant, la femme qui s'était occupé de moi m'interpella.

- Seigneur, veuillez recevoir ma bénédiction. Vous êtes grand!
- Madame, dis-je en riant, combien de fois faudra-t-il vous le redire ? Je ne suis pas un Seigneur.
- Pour moi, vous l'êtes.
- Alors, gardez en mémoire le sacrifice que ma compagnie fit pour vous débarrassez de ces trolls. Maintenant, je dois m'en retourner vers ma quête. Vivez en paix pour le reste de votre vie. Adieu!
Et, lui baisant la main, ce qui la fit rougir, je repartis vers ma troupe et ordonnais à mes soldats de galoper jusqu'à la nuit.

- Messieurs, cette fois, nous voici dans la verte Comté! En avant!
Nous partîmes, le coeur léger et l'esprit heureux. Devant nous, s'étendait des champs à perte de blé à perte de vue. Des potagers d'herbes à pipe devant des talus d'herbes avec des fenêtres et des portes en bois. Des forêts verdoyantes et des vergers. Le soleil venait le soleil qui comblait se paysage de rêve. Enfin, la Comté s'étendait à nos pieds. Notre quête était atteinte.

Fin de mission.

Bilan de mission :

8 cavaliers morts
les 3 trolls tués.
Mission accomplie.

Voilà Sparda, à toi le plaisir de noter Tu trouveras peut être un peu court, mais j'ai fait le mieux que je pouvais, et le plus vite possible.

Longueur: 11/20
Histoire: 15.5/20
Orthographe: 6/10
Action: 16/20

Note générale: 13.8/20

C'est une bonne histoire mais c'est un peu baclée (bon remarque, c'est dur de raconter plus lorsqu'il n'y a que trois ennemis). Mais niveau action et histoire, c'est bon. Voilà ta note, j'espère que ça te conviendra

Je m'attendais à un peu plus ( un 14.5 pour que je passe de grade )....mais ça me convient. ( Je suis joyeux, car j'ai mes vacances de Pâques )

Une autre mission serait le bienvenue.

Grade : sergent

Troupes: 11 cavaliers elfes épéistes/archers ( pas beaucoup mais il faudra faire avec )

Lieu : Comté

P.S: Pour ma prochaine mission, merci de mettre au moins entre 10 et 20 ennemis, car c'est pas facile de raconter avec peu de personnages à combattre.

Alors que tu t'approches du but, tu rencontres sur le chemin de la Compté un village de hobbits attaqués par des orques de Saroumane. Et parmis ces hobbit, il y en a un qui pourra te dire où se trouve ton fils.

Objectif principal: Vaincre les ourouks
Objectif secondaire: sauver le village des hobbits
Objectif tertiaire: Protège le hobbit qui a des rensseignement sur ton fils

Forces alliées: Toi et tes hommes+ 25 hobbits complêtements affolés et terrifiés

Forces ennemies: 1ère vague: 35 guerriers ourouks
2ème vague: 25 guerriers ourouks et 12 arbalétriers
3ème vague: 20 guerriers ourouks, 10 arbalétriers et 4 berserkers

Merci Sparda

Reste à trouver l'idée crédible pour les anéantir tous.

Si je suis mercenaire, mes troupes sont donc renouvelées entre chaque mission ?

Non, mais tu peux user de ton argent pour te payer de nouveaux hommes... Mais si t'en perd 10 t'en récupère 5 quoi

Donc puisque j'ai perdu 8 soldats, j'en regagne 4 ?

C'est un exemple... Je veux dire que mainteant sa change aps grand chose mais que plus tard quand tu perdras 50 soldats, faut pas croire que tu peux tous les récupérer...

He bon, si tu trouve un truc plausible pour embaucher de nex soldats tu peux!

Genre une bande de gars armées de marteaux et prêts à tout pour de l'argent ?

sa passe , ou des mercenaires , y en a beaucoup

Ou ça irait des renforts envoyés par le village que je viens de sauver précédemment ? Les hommes étaient parti chercher des renforts en Lorien, ils seraient arrivés après mon départ et seraient venus nous payer leur dette ?

Sinon le mieux ce serait les hommes du village précédent qui viennent te sauver, ils viennent armés de marteaux et de fourches pour anéantir les ourouks

C'est en effet ce que je pensais, merci. Je vais pouvoir continuer l'histoire.