Ellenden, la flèche d'or

nom: Ellenden
race:elfe
troupes: 40 noldors dont Avalon + 2 jeunes ents
grade : capitaine
équipements: armure , casque, épée et arc de la lorien + 1 cotte de maille en fer avec du mithril en certaines endroits (récompense)

j'ai déjà une mission qui a été donné par Gimli, je la posterais dans plusieurs jours.

Pour reposez tes hommes, tu décide de te rendre en Lorien (j'imagine que tu es a Focombe), sur la route des elfes te salut en te reconnaissant, cependant l'un de désire te parler. Il t'apprend une grave nouvelle, un de tes soldats et sous la coupe de Saroumane. Ce dernier voudrait t'assassiner par le bié de ton compatriote. Trouve le et tu le.

Armée ennemi: Le soldat traitre et une trentaine de gobelins que tu rencontreras sur la route.

Armée allié: Toi et tes hommes

Voila j'espere qu'elle te plait.
Ellenden et ses noldors se trouvaient à Fondcombre, là, ils s’étaient reposés après leur long combat pour aider Cirdan. Ellenden se dirigeait vers les forges du seigneur Elrond et demanda à ce que l’on répare sa lame, qui était plusieurs partie, puis il alla voir ses amis qui se trouvaient sur l’herbe :
« Bonjour mes frères ! Belle journée n’est-ce pas.
_Salut chef ! Tout à fait, la journée s’annonce magnifiquement bien.
_Où est Avalon ?
_Il est avec cinq épéistes et il s’entraîne, et Aldarion lui s’entraîne avec trois archers.
_Merci bien, soldats, reposez-vous bien. Mais voulez-vous aller dans un endroit particulier ? »
Un long silence apparu et après deux minutes sans aucun son de la part d’un noldor, un des plus jeunes prit la parole :
« C’est avec l’accord de tous, que je vous demande de nous emmener en lorien.
_Et bien, cela sera fait, a demain mes frères. »
Et Ellenden alla voir Aldarion qui, ayant du mal a l’arc, faisait de grand progrès grâce aux conseils des autres. Puis Ellenden alla voir Avalon. Celui-ci combattait contre les cinq autres noldors. Il para d’abord l’attaque de celui de gauche, et le fit tomber, puis il évita la lame qui si elle l’avait toucher, lui aurait traversé le flanc droit, ensuite il se débarrassa d’un troisième adversaire avant d’être toucher par le quatrième.

« Bravo !! Cria Ellenden, a ce que je vois, vous êtes toujours prêt a vous battre. C’est bien.
_Merci chef, déclarèrent les noldors.
_Puis-je parler à Avalon en priver mes amis, je pense que vous devriez aller vous préparer si vous ne voulez pas manquer le départ pour la lorien. »

Les noldors a ces mots crièrent de joie, mais cependant, ils s’écartèrent et se remirent au combat.

« Qui y-a-t-il ? Demanda Avalon
_J’ai besoin de tes conseils. Je ne sais pas quel route prendre pour aller en lorien. Car le rohan est infesté d’ourouks, d’ailleurs deux de mes anciens compagnons ont du aller se battre la bas.
_ Je ne sais pas, répondit Avalon , c’est quand même la route la plus sur, car au nord il y a des trolls, a l’est ,des gobelins.
_Alors nous irons a l’est, les gobelins sont les moins puissant, il faudra juste que nous passions par les brandes desséchés.
_Et les dragons ?
_Ils ne sont pas très nombreux, et les nains les ont détruit.
_Alors je vais prendre congé capitaine. »

Ellenden , alla à la forge, le forgeron lui expliqua que son épée ne serait prête que dans les deux prochains jours..
Il en parla a ses elfes, et ceux-ci furent d’accord pour resté trois jours de plus a Fondcombre, après tout, c’était un magnifique endroit.

Les elfes, pendant ses deux jours, s’entrainèrent encore et encore en vue de nombreux combat.
Le dernier jour, les elfes profitèrent du paysage et ils allèrent chercher les deux ents qui s’étaient écarté du groupe pour se reposer avec un autre ent qui se trouvait-la.
Les elfes s’armèrent et Ellenden récupéra son épée a la forge puis ordonna à tous de partir.

Sur le chemin, plusieurs elfes reconnurent Ellenden, et ils se parlèrent entre eux, mais quand une trentaine de guerriers blessés arrivèrent, tous les noldors allèrent les aider.

Ellenden lui alla parler avec Tirgon , son vieil ami et sergent en chef.
« Que c’est-il passé ?
_Nous venons du nord, les trolls et les orc nous on fait du mal, j’étais avec Halador, et nous deux , avons du combattre d’arche pied pour défendre l’avant poste. Nous avions cent-quatre vingt elfes au départ, maintenant ils ne nous en reste que cinquante.
_Et Halador ?
_Il va bien, il est partit chez Cirdan mais comme je savais que tu étais-ici , je suis venu te prévenir.
_De quoi ?
_Seul moi le sait, un de tes elfes est payer par Saroumane, il veut te tuer, prends garde à toi.
_Mais qui est-ce ?
_Je ne le sais pas, je sais juste cela, moi aussi, un de mes elfes avait été payer, et les dunedains l’ont fait parler.
_Merci mon ami, je serais sur mes gardes, mais prends soin de toi.
_Au-revoir. »

Les deux capitaines partirent chacun dans une direction opposée, et Ellenden était rongé par le doute. Ils marchèrent longuement et étaient arrivés près d’une grotte.
« Je veux pas rentrer dedans, sa semble à un repaire de gobelins, déclara Avalon.
_Tu as raison , mes nous n’avons pas le choix, la nuit approche et les ent garderons l’entré. »

Les elfes allumèrent des torches et rentrèrent dans la grotte, cependant ils firent très attention et avaient toujours leurs épées a la main.
Ellenden ne dormit pas de la nuit, faisant le cauchemar de se faire tué par un noldor.
Quand il se leva, Aldarion n’étais plus là ,le traître serait Aldarion ? Pourquoi?…Tant de questions passèrent dans la tête d’Ellenden.
Les elfes reprirent leur chemin, quand un des éclaireurs revint en les alertant que soixante gobelins seraient la dans quelques minutes.
Les elfes se préparèrent au combat, dans une plaine couverte de neige, la se déroulerait se combat. Ils formèrent deux lignes, le capitaine et dix-neuf noldors devant, et Avalon et les dix-neuf autres derrière, arc bandé, les deux ents eux, c’étaient placés derrière les elfes, au cas où, ils chargeraient. Ils attendirent longtemps, quand Avalon vit un gobelin approché, celui-ci fut vite tué par une flèche qui lui transperça la gorge. Tous les gobelins arrivèrent, ces créatures infectes, qui ne valaient rien. Les elfes attendaient l’ordre de leur chef, mais celui-ci fut troublé par deux gobelins qui s’étaient dirigé vers l’Ouest et qui avaient été abattu par un archer.
« Plus de doute, Aldarion est ici, et il va sûrement en profiter, se parlant tout seul. »
Avalon prit les choses en main, et ordonna la volée, le bruit des arcs et des flèches ramenèrent le capitaine qui décocha immédiatement sa première flèche. Les flèches retombèrent dans les corps des gobelins, se plantant dans le cou et le cœur des petites vermines vertes. Déjà dix quinze corps se trouvaient par terre, deux autres volées suivirent, et elles furent aussi meurtrières, si bien que déjà cinquante gobelins étaient morts avant que ceux-ci ne furent qu’a une dizaine de mètres des elfes. Les ents, qui s’ennuyaient profondément décidèrent de s’amuser un peu, et voulurent décimer les derniers gobelins, mais ceux-ci, a la vue des ents s’enfuyèrent devant les géants de la forêt.
« Avalon, remettons-nous en route, un ennemi est proche et je n’aime pas sa.
-Elfes ! Allons-y»

Ellenden se remit a penser :

« Pourvu que je puisse revoir ma bien aimé, avec Aldarion, les risques sont beaucoup plus grands. Il faut faire attention, si sa se trouve des ourouks nous attende e… »

Une flèche venait de se planter dans l’épaule gauche d’Ellenden, une flèche elfe. Aldarion se trouvait sur un rocher , seul devant tous les autres.
« Elfes ,Ents capturez le ! Ordonna Ellenden. »
Aldarion s’enfuya devant ses anciens camarades, et nul ne savaient ou il avait pu aller.
« Heureusement que vous aviez votre cotte de maille , déclara Avalon, sinon , vous auriez perdu l’usage de votre bras.
_Je sais, dit Ellenden , se relevant avec douleur, mais pourquoi lui ?
_Il était capitaine avant, mais il a été mis sous vos ordres, voilà pourquoi.
_Juste pour sa…
_ Et oui, mais ne parlons plus de sa, nous devons partir vers la lorien. »

Les elfes se remirent en marche, ils eurent plusieurs jours de repos , dans cette endroit glacial et les Ent étaient ceux qui souffraient le plus de cette température. Ils aperçurent plusieurs fois Aldarion, et celui-ci les suivaient de plus en plus près, alors les elfes firent un piège :
« Je veux que l’on fasse un camp, on montera une tente au centre, la je me reposerais surveillé par Avalon, vous , vous ne dormirez point, dès que vous le verrez passez, vous l’attraperez si possible. »

Le piège fonctionna, et Aldarion fut bientôt capturé.

« Aldarion, tu seras emmené en Lorien et jugé par Galadriel, puisse-t-elle être clément envers toi. »

Ils marchèrent longtemps avant d’arriver près des champs d’iris en passant par la neige et le froid, deux elfes se trouvaient sur des brancards, le froid les avaient bien atteints.

Ils établirent un petit camp, a l’orée d’une forêt, une grande forêt d’ou venait des bruits étranges et inquiétant.
Les elfes comme d’habitude laissèrent la garde aux deux ents, et ils allèrent se reposer.
Quant en pleine nuit, un groupe de sauvage vinrent les attaquer, ils étaient au nombre de cinquante, et avait déjà égorgé trois noldors. Les elfes sortirent de leurs tentes, et pour la plupart, ils devaient déjà combattre, les lames s’entrechoquaient, certains membres furent coupés, et plusieurs elfes tombèrent malheureusement.
Les ents quand a eux avait été occupé par vingt sauvage armés de grandes haches, les ents les avaient tous exterminés, mais ils avaient eu de grosses coupures un peu partout.
Ellenden et les elfes prirent peu a peu l’avantage et les elfes allèrent aider les blessé.

Mais un ennemi rodait encore, Ellenden avec Avalon restèrent seul au milieu du camp, et Aldarion se présenta devant eux, épée a la main.

« Enfin, enfin je peux te tuer ! Déclara t-il.
_Je vois que tu en as profité pour t’échapper. Que sont devenus les deux gardes ?
_Ils sont morts, tué parles sauvages, et j’ai du blessé un autre noldor, quel dommage…
_Alors je vais te tuer, Aldarion, tu ne mérite plus de vivre. »

Avalon, sans attendre chargea en premier, lui qui avait toujours eu un petit retard sur Aldarion, se combattant avec la plus grande rage, réussissant même a déstabilisé le traître. Mais, celui-ci prit l’avantage, esquiva les coups de son adversaire, bloquant ses attaques, et riposta, Avalon sauta sur le coté et esquiva une première fois, puis une deuxième mais il eut vite le dessous et Aldarion enfonça son épée dans l’épaule du second.

« Aldarion ! S’écria Ellenden, c’est moi ton adversaire ! »

Aldarion, se retournant, vit devant lui le capitaine, prêt a en finir. Les autres noldors, à peine remit de leur combat face aux sauvages, arrivèrent devant les deux officiers, ils en profitèrent, pour attraper Avalon et l’emmener avec les bléssé, car ceux-ci furent nombreux causés par l’attaque surprise des sauvages.

Le combat s’engagea, Aldarion, grand épéiste, essaya de frapper son adversaire, il utilisa sa vitesse, et réussi à deux reprises a entaillé son chef a la cuisse. Celui-ci, contrant le dernier coup, attaqua à son tour, frappant le plus rapidement possible, Ellenden donna un coup de coude a Aldarion, puis en se retournant, réussi à frapper Aldarion au niveau du coup, mais l’armure elfique y résista. Le capitaine dut éviter plusieurs attaque avant de les contrer, a deux reprises, il déjoua les attaques de son ennemi, et lui infligea de grandes blessure a l’abdomen, puis lui donnant un coup de poing, Aldarion tomba à terre, se relevant rapidement, il fit une roulade et essaya de couper le tendon de son ancien capitaine qui sautant pour l’esquiver, retomba sur le bras d’Aldarion qui lâcha son épée, celui-ci sauta sur Ellenden, le désarmant, il lui donna plusieurs coup de poings avant que le capitaine ne puissent riposter, mais Aldarion il dut subir la flèche d’un noldor qui avait décider d’en finir. Le traître s’écroula, le noldor ne l’avait guère louper la flèche avait traverser le cœur.


« Merci, sans toi, j’aurais eu du mal a l’éliminer, déclara Ellenden en remerciant le noldor. »

Il découvrit, les corps de ses compagnons, beaucoup avaient été tranché a la gorge, les elfes enterrèrent leurs morts, puis ils partirent en direction de la lorien , au nombre total de vint –six noldors et deux ents .
Ils marchèrent pendant deux jours avant d’entrée dans les bois de la lorien, là les elfes arrivèrent chez eux, et chacun partirent voir sa famille. Ellenden abandonna ses compagnons et alla voir sa femme, Lesian.

Grande elfe, d’un mètre soixante-dix, assez fine, des longs cheveux blonds, et tous le charme des plus belles elfes.
Ellenden apprécia tous ses jours passer avec elle, de magnifiques jours qui seront encrés dans sa mémoire. Pour lui qui allait devoir endurer de maintes pertes








Bilan : 15 noldors de morts, 13 blessé+1 ent blessé

Ennemis : 60 gobelins d’exterminé + Aldarion+ 70 sauvages

Je veux bien une nouvelle mission, ou Ellenden escortera sa femme et des elfes si possible.

Heu, samigana, je te remercie pour ton initiative mais ce n'était pas forcément nécessaire, mais merci quand meme, sa m'évite de le faire

Taille : 16/20 Belle mission.

Action : 15/20 Personnellement (normale c'est moi qui note ^^) une bonne mission, mais tu aurais pus détailler un peux plus le combat contre les gobelins.

Orthographe : 8/10 quelque fautes

Histoire : 17/20 J'ai aimer, facile a lire et bien écrit.

Note Finale : 16/20 Très belle mission, cependant améliore toi sur la description des combat et tu gagnera en longueur et en action.

merci bien ce qui me donne 1.5 pts de plus soit un total de 4.5 pts

puis-je avoir une autre mission? s'il vous plait, une très longue si sa ne vous dérange pas.

Alors pour toi :


Un très grand groupe de créatures maléfique de toute sorte à été aperçut, attention, ça ne va pas être facile, il y a quatre groupes, et tu dois les empêchait de brûler la forêt...

Armée ennemie : -1er groupe : 50 ourouk de toute sortes
-2eme groupe : 80 orcs de toute sortes
-3eme groupe : 60 homme de rhun et orientaux
-4eme groupe : 70 soldats d'un peu tout, à toi de voir...

Bonne chance !

Exceptionnellement, tes troupes sont réapprovisionné pour cette mission... J'espère qu'elle te convient.

merci bien, sa va pas etre facile mais plosible, je tacherais de faire mieux que mes autres missions

N'oublie pas que chaque groupe est occupé a sa préparation de feu de bois... donc pas forcément avec les armes à la mains et prêt à se battre...

Un très grand groupe de créatures maléfique de toute sorte à été aperçut, attention, ça ne va pas être facile, il y a quatre groupes, et tu dois les empêchait de brûler la forêt...

Armée ennemie : -1er groupe : 50 ourouk de toute sortes
-2eme groupe : 80 orcs de toute sortes
-3eme groupe : 60 homme de rhun et orientaux
-4eme groupe : 70 soldats d'un peu tout, à toi de voir...

Bonne chance !



Ellenden et ses noldors se reposaient encore en Lorien, cela faisait déjà un mois, mais les elfes adorait cet endroit, plein de beauté et de magie. Leurs famille étaient la , leurs femmes leurs enfants qui pour la plupart n’avait qu’une trentaine d’années. Ellenden le plus vieux , se trouvaient avec sa femme et sa jeune fille de cinquante ans nommée Gétylen, il venait d’avoir un fils prénomée Evelan, a peine deux semaines, son fils, sa plus grande fierté , voulant faire de lui un homme bon , juste défendant sa famille et ses amis avant le reste. Tant d’erreur Ellenden avait commis, il avait laissé sa famille seule, sans aucune aide, la honte ne tarda pas a envahir l’elfe qui devant son fils qui il l’espérait serrait parfait. Il s’occupa de sa fille qui avait trouvé un elfe qui semblait très bien, un jeune et vigoureux soldat elfe qui aurait suivit Ellenden dans tous les combat mais il devait d’abord être formé et Ellenden l’aida un petit peu, enfin juste assez pour qu’il puisse défendre la famille. Son beau-fils savait tirer à l’arc, se battre finement a l’épée et Ellenden en fut fier, il l’écarta des autres pendant un moment et discuta avec lui :

« Ma fille est avec quelqu’un de bien je pense.
_Merci, vous m’honorez.
_Cependant sache que si tu les trahis, si tu blesse ma fille et ma femme et mon fils, je te poursuivrais jusqu’au cavernes de Mandos et te tuerais même si t’es déjà mort.
_Euh.. Oui vous inquiété pas, fit le jeune elfe apeuré.
_Je sais, je te préviens juste mais comme je sais que tu ne le feras pas, c’était pour rigoler.
_A d’accord , pfff…
_Peureux , Hahaha!!”

Ellenden continua de rire sans que les autres ne sachent et le beau-fils lui fut pale pendant plusieurs jours et ne s’en remit que très tard.
Il resta longtemps avec sa femme, rattrapant les jours perdus, mais le combat l’appelait toujours et encore, des combats qui s’intensifiaient, se multipliaient alors que les ennemis grandissaient et que le bien ne faisait que de défendre ses territoires au lieu de détruire une fois pour toute son ennemi. Cela le dégoûtait mais il n’avait pas envie que l’on détruise sa forêt.

« Je reviens, j’en ai pas pour longtemps, enfin j’espère, j’en ai marre.
_C’est ton devoir, et tu sais que je t’attendrais toujours, fit Lesian.
_Je le sais, mais je veux m’occuper de mon fils.
_Ils ne serra pas beaucoup plus vieux quand tu reviendras.
_Si je reviens… »

Ellenden partit rejoindre ses noldors, triste et déçu, comme les siens, qui avec leurs mines affreuses rejoignirent le messager.
Les vingt-quatre noldors avancèrent vers le messager qui était suivit de seize noldors tous prêt a se battre, le messager leur parla :

« Ellenden ?
_Oui, c’est bien moi.
_Nous vous mandons pour une mission périlleuse et d’on vou…
_Bon dit et épargne moi les détaille s’il te plait, j’ai l’habitude, fit Ellenden gentiment.
_Alors, des groupes ennemis s’approchent d’une forêt ou se trouvent deux cent elfes, ceux-ci ne sont pas tous partit et vous devez protéger la forêt jusqu'à qu’il soit tous partit.
_Pas de problème, je suppose que ces elfes sont avec moi ?
_Eu… oui, voici des noldors prêt a vous suivre.
_Jusqu'à la mort ?
_Jusqu'à la mort !!Crièrent les noldors.
_Alors je vous accepte, voici mes noldors, des élites, des gens que vous devez respecter et traité comme s’ils étaient vos propres frères, et voici Avalon mon second, il me suit depuis mon tout début et c’est le meilleur archer d’entre nous.
Maintenant préparez vous et partons. »

Les noldors prirent leurs armes et rien d’autres, la nourriture était donné par les bois et l’eau par le nimrodel , les elfes avancèrent rapidement, et arrivèrent sur une route ou des elfes marchaient, c’étaient ceux de la forêt, des centaines d’elfes quand une dame vint interpeller Ellenden :

« Bonjour chef seigneur, fit-elle, que la grâce soit avec vous.
_Merci, madame vous m’honorez, je ferais de mon mieux avec mes elfes pour sauver votre forêt.
_Faites de votre mieux pour protégé les derniers des nôtres qui vous attendent, mon fils fait partit d’eux et je préfère que tous ces petits survivent avec la forêt que l’un sans l’autre.
_Déjà nous devons survivre nous même, mais nous n’avons pas de temps a perdre, adieux que la reine vous accueil bien. »

Puis Ellenden marchant en tête suivit d’Avalon arc a la main comme d’habitude, ils virent plein de jeunes et belles elfes qui les remierçièrent, leurs disaient de ne pas mourir, et beaucoup d’autres belles choses qui réchauffa le cœur des noldors.
Ils virent de vieux elfes, qui devaient vivre dans cette forêt depuis des siècles, qui leurs demandèrent de la sauvés.

Le pire groupe arriva, des soldats elfes, qui devaient protéger la forêt, ces soldats étaient en formation donc pas assez forts pour protégé la forêt, certains vinrent nous féliciter, nous demandé si l’on voulait des renforts, Ellenden refusa même s’il sa ne l’aurait pas du tout dérangé d’avoir plus de soldats, mais un jeune capitaine, sans doute déçu de ne pas combattre les ennemis se moqua de nous.

« Qu’es ce qui est marrant ? Demanda Ellenden en se plaçant à coté de lui.
__Juste de vous voir, on aurait pu nous battre à votre place. »

L’elfe avait été rejoint par deux de ses compagnons, sûrement sur de lui, il ne savait pas a qui il avait à faire.
Ellenden dégainât son épée, puis a une vitesse incroyable plaça sa lame a deux millimètres du cou du jeune elfe qui n’eut pas le temps de faire quoi que ce soit.
Ses compagnons voulurent l’aider mais Avalon était prêt a tirer et deux autres noldors étaient arrivés.

« Tu vois ! Tu n’es même pas capable d’éviter mon coup ! Alors comment veut-tu combattre les unités de Sauron, ses hommes sont plus forts que moi ! Alors ne dit pas des choses sur des gens dont tu ignores tout, nous avons fait plus de bataille que tu n’en feras jamais dans ta longue et heureuse vie ! »
Ellenden remit son épée dans son fourreau et repartit suivit des noldors.

« Mon ami, fit Avalon, contrôle-toi, sa fait deux fois déjà, qu’es ce qui ne vas pas ?
_Je ne sais pas, je supporte plus rien. »

Les elfes marchèrent encore et arrivèrent au Nord de la forêt, des elfes fuyaient encore et ils durent arriver au milieu de la forêt avant de trouvé les elfes qui leurs diraient ou les ennemis avaient été aperçus.
Une dizaine de jeunes elfes en tunique les appelèrent, le fils de la vieille dame était la et ils nous amenèrent à la limite est de la forêt, c’est la que trente orcs avait été aperçu.

« Merci les jeunes, fit Ellenden, maintenant partez, vos familles vous attendent.
_Mais on veut se battre avec vous.
_Non, mais elfes sont fait pour sa, vous peut-être plus tard mais je ne veux pas encore de vous, vivez le temps que vous pouvez, car ce temps diminue. »

Les elfes déçus partirent donc vers la lorien.
Avalon ordonna à trois noldors de partir vers la colline et de les avertir quand les ennemis serraient-la. Les elfes déposèrent leurs armes, la route les avait fatigué et certains dormirent, les éclaireurs changeaient toutes les deux heures et tout semblait calme pendant quelques temps.
Quand le premier groupe ennemi arriva, les éclaireurs revinrent et dirent au capitaine que les ennemis étaient à peu près cinquante, trente éclaireurs ourouks-haï et dix en armure et dix autres avec de grandes jarres dans les bras.

« Elfes ! Voici notre premier combat de la journée ! Survivez tous ! Cria Avalon. »

Les elfes s’armèrent et se cachèrent derrière les arbres de la forêt, le crépuscule s’approchait quand les ennemis arrivèrent devant eux. Les éclaireurs ne c’étaient guère tromper, une cinquantaine d’ourouks, armés d’arc et d’épée large, avec dix autres qui portaient d’étranges jarres remplis d’un liquide noir. Les elfes attendirent et quand le premier ourouk tourna la tête vers eux, Ellenden tira la première flèche, qui se planta dans la gorge du monstre, les flèches elfiques volèrent, sifflèrent et tombèrent, s’enfonçant dans la chair ourouk-haï, les soldats de l’Isengard qui perdirent vingt des leurs et un avec une armure, puis ceux-ci chargèrent, fonçant droit dans la forêt, une deuxième volée arriva, mais elles ne tua que les derniers éclaireurs qui étaient les moins protégés, les armures faites par les industries de Saroumane était très résistantes. Les elfes prirent leurs épées et attaquèrent. Ellenden tua le plus près après un long combat :
L’Ourouk avait vu Ellenden sortir de derrière l’arbre, il avait chargé et avait voulut frapper le noldor, celui-ci avait contré les attaques brutales de son adversaire avant de lui trancher la jambe, ensuite une autre charge arriva ou l’elfe dut éviter l’attaque d’un autre ourouk venue aider son compagnon, ils frappèrent violemment, mais Ellenden les contraient toujours, leurs infligeant de temps en temps de petits coups avant de transpercer le premier combattant, certains de ces organes furent coupés en deux et une partie de son estomac tomba par terre juste avant que l’ourouk ne le fasse. Le deuxième lui, perdit ses deux bras avant de perdre sa tête, Ellenden avait éviter un coup avant de trancher le bras droit, puis le monstre voulut frapper l’elfe avec son dernier bras mais il fut trancher lui aussi.
Il vit les porteurs des jarres transpercés de cinq flèches chacun.
Les elfes se regroupèrent et le capitaine demanda s’il y avait des blessés.

« Deux, les ourouks étaient très résistant. »

Une dizaine de noldor avait dut faire face au sept autre ourouks avec armures, et le combat était acharné, Avalon en avait tué un, lui transperçant le cœur, les deux blessés eux avaient reçus des coups d’épées au niveaux des cottes cependant rien de grave, l’armure elfique avait empêché a la lame de s’enfoncer dans le corps des elfes. Les noldors avaient eu un combat difficile même avec les bras coupés, deux ourouks avaient attaqué les noldors et un avait reçus plusieurs coups de poings ravageurs quand il fut sauvé par un compagnon qui avait coupé la tête de l’ourouk.
Les derniers noldors eux, avaient tirer sur les porteurs des jarres, ceux-ci ne s’étaient pas attendu a cela, les ents étaient rentré dans la partie, et ils en avaient tué cinq, les écrasant et autres.
Les elfes s’approchèrent des jarres qui renfermaient un liquide semblabe a de l’huile .
Les elfes savaient maintenant ce que les ennemis venaient faire ici, incendié la forêt mais sans feu, même avec ce liquide il était impossible de bruler quoi que ce soit , même une vulgaire brindille.

« J’en suis sur maintenant, fit Ellenden, les ourouks n’était qu’une avant garde, voilà pourquoi ce n’était principalement pas des guerriers lourds, on va avoir du mal.
_C’est ce que je crains aussi, déclara Avalon.
_Allons nous reposer Noldors ! »

Pendant toute la nuit, les paires d’éclaireurs changèrent, et même le capitaine et son vieux compagnons durent le faire. Une belle journée sans combat qui attendait les elfes, le soleil brillait de mille feux, mais des ennemis approchaient, un groupe d’haradrims se dessinaient au loin a deux jours de marche. Pas assez près pour qu’on puisse voir leurs équipements.
Les elfes vidèrent les jarres sur le versant de la colline et allèrent les remplirent d’eau et s’armèrent, puis voulurent aller vers la colline lorsque des orcs arrivèrent, les deux éclaireurs combattirent jusqu'à la mort, tuant cinq orcs, les vingt-cinq noldors présent plein de rage envers les orcs prirent chacun une flèche, visant chacun un orc et lâchèrent une volée mortel, qui tua les vingt-cinq orcs visé, se rapprochant de plus en plus, les deux ents et les derniers Noldors décidèrent de charger , pour aider leur compagnons.

Le nombre des ennemis étaient pour l’instant inconnu, ils étaient très nombreux pour sur et ils formèrent un cercle autour des elfes, Ellenden trancha la gorge a un orc et enfonça sa lame dans un ennemi qui venait de derrière lui, puis il du parer quelques coups avant de trancher le bras a un autre orc et de lui couper la tête, les noldors avaient déjà abattu bon nombre d’orcs, une bonne cinquantaine et les ents avaient commencer le massacre, des bûcherons orcs étaient venu et les deux ents, les avaient attaqué, ils étaient au bon nombre de dix, ils n’eurent pas le temps de s’enfuir que les ents en avaient déjà attraper quatre et en avaient écraser cinq, ils avaient tellement serré les orcs qu’ils avaient tous leur os de rompu, les derniers orcs furent abattu par les noldors. Une marre de sang c’était formé, du sang noir encore, pourris mais quelques elfes avaient succombé, ce jour-ci sept elfes étaient tombés. On les emmena loin du champ de bataille, chantant en l’honneur des morts. Et les elfes se reposèrent, exténués par leurs combats. Mais un autre plus violent arriva, les orcs étaient faible, mais les orientaux eux, ce sont de redoutables guerriers qu’Ellenden apprit à les respecter, comme les ourouks, ces guerriers n’avaient peur de rien et ne fuyaient jamais. Ils demanda aux elfes de faire attention et prit une flèche dans son carquois. Les ennemis arrivèrent, soixante hommes dont vingt archers avec des torches. Le chef ennemi parla :

« Ce n’est pas normal, les orcs et les ourouks devraient déjà être la et ils auraient déjà du commencer le travail.
_Oui, mais les orcs sont des lents, chef.
_Pas les ourouks, ils sont là au bon moment et au bon endroit, ils ont du se faire attaquer, regardez, il y a plein de sang par terre, ils ont du poursuivre les ennemis, campons et attendons leur retour. »

Les orientaux commencèrent à crée un camp, ils prirent du bois, et firent des tentes. Ils attendirent jusqu'à la nuit quand, en ayant assez d’attendre, ils décidèrent de commencer à brûler quelques arbres, ils enflammèrent leurs flèches et visèrent deux grands arbres, soudain, une pluie de flèches tomba sur eux, les noldors avaient décider d’attaquer tuant dix haradrims, ne voulant pas que la forêt soit enflammée, mais ils étaient intervenu trop tard, un feu commença à se propager, touchant un ent, celui-ci cria, allant vers les orientaux, et il en tua une bonne quinzaine avant de s’écrouler dans un râle d’agonit. Un feu se propagea sur le versant de la colline, ce liquide noir qui, on le croyait avait été absorbé par la terre, était en réalité bien l’as et un immense brasier apparu, brûlant les haradrims jusqu’au derniers, les elfes abrégèrent leurs souffrances et le camp lui fut en flamme.

« Qu’est ce que ce liquide, fit Avalon, il est extrêmement inflammable, s’il y a d’autres ennemis, ils verront bien que leurs alliés aient eu des soucis.
_Oui, je le pense aussi mais c’est un mauvais jours aujourd’hui, un ent est tombé. »

Les elfes essayèrent d’éteindre le feu sans aucune réussite, et l’autre ent lui chanta, en l’honneur de son ami.
Pendant un jour et demi le feu persista jusqu'à qu’il s’éteigne, la des éclaireurs furent envoyés et quel surprise… Cinquante unités ennemies arrivaient, des semi-trolls haradrims, des berserkers, des chevaucheurs de wargs, et des orientaux tout en armure. Une grande troupe qui devaient sûrement aider à finir la destruction de la forêt, pour éviter toute contre-attaque elfique. Les noldors laissèrent les haradrims la, ils n’avaient plus que cinquante flèches en tout, et les wargs leur en coûterait pas mal, ils se replièrent encore dans la forêt, tous une flèche en main, a 33 plus un ent, leur chance était encore assez grande.
Ils attendirent les ennemis, Ellenden était à coté de l’ent et ils parlèrent tous les deux :

« Je suis navré pour votre ami, fit le chef noldor.
_Merci, ces êtres méritent la morts, nous devons venger nos pertes, laisser moi attaquer en premier, après vos deux volées, ils ne s’attendent pas a me voir, après charger.
_Mais, vous risquez de perdre.
_Non, je ne pense pas, les ennemis doivent être plus puissants que je ne le pense pour que je tombe aujourd’hui. »

Les elfes attendirent longtemps encore, et leurs ennemis montrèrent enfin leurs visages. Les orientaux levèrent leurs boucliers s’attendant à une attaque, les corps de leurs amis percés de flèches les avaient mis en garde, les berserks et les semi-trolls eux étaient armés de grandes épées, les monstres de l’isengard n’avait pas d’armure tandis que les haradrims eux, avaient des grandes plaques de cuir sur eux. Les quinze wargs arrivèrent un peu après, a première vue ils avaient vu des ennemis pas très loin, les wargs sentirent leurs chairs comme les berskerkers, et se dirigèrent vers les elfes. Ceux-ci par ordre d’Ellenden, lâchèrent la volée, deux exactement, les flèches se plantèrent dans les cou et les gorges des wargs, ne leurs laissant aucun chance, les vingt flèches avaient tués les wargs , dix partirent contre les semi-trolls leurs cuir épais les protégeais mais un des leurs tombaient, les dix berserks avait chacun une ou deux flèches dans le corps mais sa ne les gênaient point, pourtant certaines étaient plantés dans des endroits mortel pour de simples êtres, deux berseks avaient des flèches dans le cou, un autre en avaient une au niveau du cœur. Les elfes dégainèrent leurs épées, Avalon Ellenden devant, l’ent chargea, écrasant sur son passage trois berseks. Et attaqua les demi-trolls qui allaient être les ennemis les plus redoutables. Il les frappa avec une telle violence qui leurs brisa plusieurs os, il fit ressortir une cage thoracique a l’un des leurs mais fut rapidement encerclé par les semi-troll qui avaient lâchés leurs armes, frappèrent l’ent, et le mirent à terre au bout de trois minutes, ils avaient cinq pertes de leurs côté, les noldors avaient suivit l’ent, certains affrontèrent les terribles ourouks, d’autres allèrent affronter les quinze orientaux, qui les attendaient armés d’hallebardes et d’épées. Ils transpercèrent quatre noldors avant de tous prendre leurs épées, et le combat commença, Ellenden, Avalon et trois noldors allèrent aider l’ent, et ils attaquèrent les semi-trolls dont trois voulaient les affrontés. Ellenden sauta sur le genoux du monstre, s’accrocha à son coup et enfonça sa lame dedans, puis repartit vers l’ent, les autres ne les tuèrent pas si facilement, ils s’étaient divisé en deux groupes de deux, Avalon et le noldor attaquèrent en même temps le monstre, et lui coupèrent pas mal de chair avant que celui-ci ne frappe le noldor lui cassant l’épaule droite. Avalon profita de son moment pour enfoncer sa lame dans le cou de l’haradrim. Celui-ci attrapa le cou d’Avalon, voulut le serré mais il sombra dans les ténèbres avant , mourant en faisant tomber le second d’Ellenden, les deux autres noldors avaient eu beaucoup de mal, un était mort et l’autre venait juste de tuer le semi-troll, et ils allèrent tous aidez l’ent qui , était encore attaquer par les deux semi-troll dont un était attaqué par Ellenden, l’ent avait du subir de grosse attaques et qui avaient du mal a survivre , le dernier semi-troll voyant les trois noldor les attaquèrent, ils attrapa le blessé et le tua , puis il frappa Avalon, lui ouvrant l’arcade, le dernier lui, trancha l’avant bras du monstre, puis lui coupa la main avant de se prendre un coup de poing dans le ventre. Avalon se releva enfonçant sa lame dans le cœur du semi-troll qui cria avant de s’écrouler.
Pendant ce temps, Ellenden se battait contre le dernier semi-troll, il l’avait épuisé en le faisant courir dans tous les sens, évitant les attaques et en frappant son adversaire de temps a autre, Ellenden décida d’en finir, mais l’haradrim avait prit son épée, et la lame elfique ne put rien faire, la force de l’ennemi était plus grande, et l’elfe n’eut de chance de survivre que grâce à l’ent qui avait frapper le semi-troll lui cassant des cottes et le tuant sur le coup. L’ent avait de grave blessure, des bouts d’écorce en moins, il avait du mal a respirer
Ellenden et les deux noldors rejoignirent les autres, ils n’en restaient que dix sur les vingt-trois de départ, contre les berseks, plus d’un elfe étaient tombé, ces monstres avec leurs forces exceptionnelles avec réussi a trancher cinq elfes avant de succomber, détruisant même les armures dorées des noldors. Les autres avaient attaqué les orientaux, ces guerriers avaient résisté longtemps, tuant dix noldors, pourtant même si les noldors étaient des élites, c’est vrai que les orientaux comme Ellenden le craignait, il savait bien se battre. Les orientaux avaient eut pour la plupart des morts rapides, lame dans le cœur, dans le cou, qui ne laissaient pas le temps de souffrir . Les elfes avaient encore quelques blessé dont il fallait s’occuper, Ellenden avait perdu certains de ses vétérans, des frères et beaucoup de nouveaux et cela l’attristaient, encore des pertes pour que la paix dure pendant quelques jours, quel gachît.

Ils enterrèrent les noldors, rassemblèrent les ennemis et firent un bûcher, après tout ils méritaient bien un enterrement de roi païen puisqu’ils avaient tué des noldors. Ceux-ci repartir avec l’ent qui boitait. Ils marchèrent longtemps tous la tête baissée, les nouveaux avaient des larmes, les cinq anciens et le capitaine eux, ne pleuraient pas mais étaient attristés. L’ent lui-même si sa ne se voyait pas, pleurait son compagnon. Les elfes de la forêt avaient du être au courant de la réussite des noldors et les voilà qui revenant dans leur forêt, la grand-mère et son petit-fils s’approchèrent, les remerciant longuement, et comme beaucoup d’autres mais les noldors ne voulurent pas sourire, les pertes étaient trop élevées, beaucoup trop.
Ils marchèrent encore tête baissée sous les cris de joie des elfes, qui chantèrent des louanges en leur honneur. Les soldats elfes qui avaient déjà eu une intercation avec Ellenden s’approchaient, Avalon mit la main au manche de son épée, les noldors qui étaient derrière aussi. Le petit arriva, Ellenden leva la tête, les yeux brillant et le jeune commença à parler :


« Bonjour grand noldor, je vois que vous êtes vivant.
_…
_Pourquoi ne me répondez-vous pas, vous êtes déçu, c’est normal on aurait pu faire votre travail. »

Ellenden étrangla le jeune elfe, et cria :

« Qui est-tu pour nous juger ! Qui est tu pour dire sa ! Vous seriez tous mort si des incapables comme vous avez du protéger la forêt ! Alors taisez-vous ! La prochaine fois je vous tue ! »

Les amis du jeune elfe avaient prévu la réaction d’Ellenden et c’étaient tous dirigé armes a la main vers lui, les noldors et l’ent lui-même les interceptèrent, même blessé, personne n’osa attaquer l’ent et les noldors.
Ellenden jeta l’elfe plus loin, et les soldats repartirent dans un blanc absolu, seul les oiseaux chantaient, et personne le leur fit aucun reproche.
Ils avaient encore une fois protégées une grande forêt avec beaucoup de civil, ils mirent rois jours a rentrer chez eux, les elfes se séparèrent, les nouveaux furent surpris en voyant Ellenden rentrer chez lui et non répondre au messager que la mission était réussie et ce fut un novice qui lui répondit :

« Nous avons réussit, au prix de maintes pertes, excusez l’attitude du capitaine, il est très bizarre en ce moment, énervé.
_Cela peut se comprendre, les missions s’enchaînent pour lui et ils n’acceptent pas la mort de ses compagnons.
_C’est ce qui fait que ses elfes le respectent.
_Sûrement, sûrement, j’espère juste qu’il se reprendra. »

Les novices ne dirent rien et partirent chez eux. Avalon était avec ses deux fils d’une trentaine d’année, et Ellenden avait rejoint sa femme, lui déclara sa colère et s’endormit dans ses bras. Puis le lendemain, il appela tous ses noldors a un rassemblement général, les morts avaient des femmes et des enfants, et c’étaient leur de leur dire. Quelle journée immonde, des pleurs toute la journée, des cris de rage, les fils elfes envahit par la vengeance. Bref le chaos, les noldors rentrèrent chez eux exténués et pour la plupart en pleurs, repensez à leurs amis, quelle tristesse seul Avalon, Ellenden et les vétérans ne pleurèrent pas, déjà bien entamer par toutes ces tragédies.



Bilan : ennemis exterminés

Pertes : 1 ent + 27 pertes noldors L

Ps : je sais que les réactions de mon elfe peuvent paraître bizarre mais je commence a avoir une idée pour la suite, mais je ne peux gère vous en dire plus.

Je te corrigerai plus tard, j'ai pas vraiment le temps aujourd'hui, désolé !

ok tkt pas grave

Taille : 17/20 (pas mal...)
Action : 16/20
Originalité : 17/20
Ortographe : 8.5/10

Note générale : 16.5/20 (arrondis à 17 si tu préfère )

oki merci, plus qu'un point et je passe grand guerrier.

Voila ta mission:
Les ourouks hai ce sont mis en marche vers la foret noire. Ils vont essayé a tout pris d'eviter les forets pour ne pas rencontrer des elfes sur leur passage. Le combat va peut etre se derouler sur une plaine. Tu dois les stoper a tout pris! Pendant leur voyage, ils vont passer a Dol Guldur pour venir chercher des renforts supplémentaires. Thranduil t'envoie un message t'alertant de cela.
Troupe alliés:Toi plus 150 elfes de la foret noire venu en renfort qui t'attendront près de la rive de l'Anduin.
Troupe ennemis:100 ourouks hai bien armée et très fort au combat plus 150 orcs de Dol Guldur, mal armée et mal entrainés.
Objectif primaire: Détruit les forces de l'Isengard ainsi que les forces de Dol Guldur.
Objectif secondaire: Tu auras deux jours avant que les ourouks hai se mettent en marche alors profite en pour balayer Fangorn des bucherons ainsi que des scieries construites sur place.
Voila dit moi si il ya un probleme!

sachant que je passe grand guerrier, j'ai décider de faire la mission d'alego en mission libre, pour gagner mon loup et pour parler de mon équipement neuf donner par Nico = épée ancienne du beleriand.


mes nouvelles troupes sont:

Silfurbier ( 20 pts)
4 jeunes ents ( 20 pts)
50 archers / épéistes de la lorien (50 pts)
25 cavaliers elfes (25 pts)
25 piquiers elfes. ( 25 pts)
5 haut-elfe lancier épéistes ( 10 pts)
4 noldor ( 8 points)
Avalon
Maellas

soit 150 pts de commandement + 10 pts de plus en récompense

Félicitations, mais tu aurais pu te contenter de modifier ta fiche.

Tu as enfin la possibilité de reprendre ( Silfurbier ? ), pense peut être à intégrer ça dans ta mission.

Ellenden était en lorien, ses différentes batailles l’avaient un peu touché, une grande cicatrice au bras gauche dut au combat contre cet ourouk-haï très puissants. , son nez a peine remit, il détestait les créatures de Saroumane, cependant il aimait bien leur sens du combat. Il alla voir sa femme, comme toujours elle était heureuse de le voir, sa fille toujours avec le même elfe, qui avait appris a manier l’arme comme un noldor. Se nommant Maellas. Ellenden l’appreçiait énormément, mais il du laisser encore une fois sa famille car a peine de rentrer depuis son dernier combat qu’un elfe de la forêt noire vint le voir :

« Ellenden ?
_Oui, c’est bien moi.
_Nous avons besoin d’aide , un des officiers de Thranduil nous as dit de vous cherchez.
_Ah bon ? D’accord mais contre qui on doit combattre ?
_Des ourouk-haï et nous savons que vous les connaissez bien.
_Encore ! Il faut détruire l’Isengard, leur attaques sont de plus en plus fréquentes.
_Oui, peut-être, en tous cas si vous voulez vous joindre a nous , nous serons sur les bords de l’Anduin, avec cent-cinquante guerriers.
_Très bien, jusqu'à quand puis-je venir ?
_Jusqu'à demain matin a l’aube.
_Alors a demain. »

Ellenden partit voir ses compagnons, leur en parla :

« Noldors écoutez moi ! Si vous voulez encore combattre des ourouks alors suivez moi ! On est mandé pour détruire encore et encore les immondices de Saroumane ! Qui me suit ?!
_Moi ! Firent tous les noldors en une seul voix »

Ils se préparèrent, l’ent arriva bientôt, son haine envers les ourouks avaient grandi lorsqu’il avait appris que trois de ses compères étaient tombés ce jour la, seul Yavanna aurait pu faire revenir les ent-femmes et faire multiplier les ents, mais cela ne se produisa guère pendant les longues et longues années de tourments des ents.
Les noldors se mirent en marche, leurs familles habitués ne dirent rien, elles savaient que peu allaient rentrer comme a chaque fois. Il marchèrent donc, chantant , le danger du combat n’effrayait plus les noldors, habituer, seul Melklor lui même ou Mandos leur faisait peur. Ils arrivèrent devant la rive , les elfes de Mirkwood étaient la, tous habillés de la même manière, arc en main, cape verte , et un des leurs vint a leurs rencontre. Grand brun, costaux, il les invita a venir avec eux et il leur donna des capes , grandes , de couleur vertes, rendant furtif, tous ce qu’il fallait pour une bonne embuscade. Les eldars continuèrent leur chemin, Ellenden et ses soldats suivaient les autres, parlant un peu de tous, et ils se firent beaucoup d’amis lorsqu’au soir ils campèrent, ils se trouvaient a quelques heures de Fangorn. Mais Ellenden se osait une question, et il demanda au chef des archers de la forêt noire pourquoi on l’avait appelé, lui avec si peu de soldats. L’elfe lui répondit :

« Vous êtes assez connu , certains de vos exploits sont arrivés aux oreilles de Thranduil comme celui ou vous avez détruit plus de deux cents ennemis avec seulement quarante guerriers et deux ents.
_ A ce point, fit Ellenden.
_Et oui, d’ailleurs j’ai quelque chose a vous remettre. »
L’elfe de mirkwood sortit une épée, dans un fourreau en or, des motifs se trouvaient dessus, représentant des invention de Yavanna. Deux ou trois saphir se trouvaient sur le manche et sur le fourreau et lorsque l’elfe donna l’épée a Ellenden, celui-ci crut recevoir un immense pouvoir, cette épée était magique. Le chef noldor sortit sa lame de son fourreau, celle-ci brillait de mille feux, la lumière du jour se reflétait dessus. Au centre de la lame se trouvait un trait bleu former de saphir, sinon la lame était de couleur argenté, faites avec un grand soin, elle était a double tranchant. Quand Ellenden tournait l’épée, l’argent prenait différentes teintes de bleu a rapport a la lumière du Soleil qui se reflétait dessus.

« Elle est magnifique, déclara Ellenden.
_Oui, c’est une ancienne épée du Beleriand, nous en avons des centaines encore.
_Une épée de jadis, voilà pourquoi elle est si belle. »

Ellenden remit son épée dans son fourreau et la mit dans son dos. Les elfes continuèrent leur chemin, et rentrèrent donc dans la grande forêt. Les elfes de la forêt noire avaient de précieuses informations, sans que les noldors ne le sachent , ils savaient que cent ourouk-haï allaient arriver, voulant s’allier a des orcs pour attaquer le royaume de Thranduil. Plus ils avancèrent dans la forêt , plus ils virent des troncs d’arbres, des bouts de bois a terre, des traces de pas, ils découvrirent que des scieries avaient été construises, et qu’une trentaine de bûcherons étaient a l’œuvre avec quelques hommes en gardes du corps.
Suivant l’ordre du commandant elfe, tous les archers tirèrent, une immense pluie de flèches tomba, touchant tout le monde, une flèche dans le cou, dans le corps, un vrai massacre, aucun ennemis ne survécu , des litres de sang se trouvaient sur le sol, et les elfes mécontents de voir que l’on détruisent la forêt se mirent en chasse, les ourouks n’arriveraient que dans deux jours, sa laissaient le temps de s’occuper des scieries. Ils se séparèrent en quatre groupes, trois groupes de cinquante archers de la forêt noire plus celui d’Ellenden. Le noldor arriva devant une petite scierie, il observa et s’aperçu que celle-ci était abandonnée, des cadavres jonchaient sur le sol, des orcs et des hommes. Les coups étaient ceux de l’épée et de la lance, et Ellenden compris que Hindraël n’était pas loin. L’ent lui détruisit la scierie. La colère des êtres des bois étaient immense, surtout quand on touchait aux arbres, c’étaient les gardiens de la forêt, leur rôle étaient de protégé les bois mais ils étaient trop peu pour le faire. Ils continuèrent donc leur chasse et ils arrivèrent devant une autre scierie, quinze orcs et cinq hommes. Ellenden prit une flèche, comme ses noldors, il visa un homme, Avalon de même et en un mouvement tous tirèrent,
Quand les elfes se rejoignirent , ils avaient en tout détruit dix scieries, et ils attendaient désormais les ourouk-haï.
Ellenden et ses noldors s’entraînèrent le lendemain, au maniement de l’épée principalement, seul chose ou les nouveaux étaient faible. Les combats en un contre un commencèrent, les cinq vétérans s’occupèrent rapidement des leurs, comme pour Avalon et Ellenden, mais a la fin de la journée, le combat était plus dur, les nouveaux comprenaient rapidement, ce qui aida leur formation. Les elfes verts ne génèrent pas les noldors, même s’ils ne s’appréciaient guère, n’oubliant pas certains actes de Féanor et de ses frères. La nuit se passa bien, le lendemain matin ils furent réveillé par les bruit de pas des archers de la forêt noire, tous en armes , leur commandant expliqua le plan, ils allaient se cacher derrière et dans les arbres, les ennemis étaient un peu dispersé, leur empêchant de pouvoir former un carré ou autre. Les soldats de Thranduil donnèrent des capes aux noldors et chacun partaient dans un endroit différents, ils attendaient tous, derrière les arbres lorsque le premier ennemi apparu enfin.

Des ourouks en armures lourdes, toujours armés de ces longues lances de cinq mètres, et de ces grandes épées, protégés par leur bouclier solide et par la carapace d’acier qui se trouvait sur eux. Il y avait quelques albalétriers. Les elfes prirent tous une flèche dans leurs carquois, la rapprochant de la corde, puis attendirent que les ennemis étaient au niveau des derniers elfes. Même si Saroumane avait eu une cuisante défaite ici, il pensait sûrement que les elfes n’avaient plus la force de la défendre. Ses créatures ne le savaient pas mais elles étaient entourés par les elfes, ils étaient dans un petit chemin, et la, tel des milliers d’oiseaux, les flèches volèrent, retombant sur les ourouks. Les dards elfiques se plantaient dans les gorges ourouks, leurs armures percé de mille pointes, le bruit sourd de l’acier rencontrant l’acier.
Une cinquantaine d’Isengardiens tombèrent sous les flèches elfiques, les autres chargèrent dans la forêt, ils savaient que les tirs venaient de la, plus aucun albalétrier n’étaient debout, leurs corps remplis de flèches . Aucune autre volée n’arriva du coté elfique et les ourouks s’aventuraient dans la forêt ,le combat au corps a corps s’engagea. Sur les cent ourouks a s’aventurer dans la forêt, seul vingt revinrent sur la route, formant la plus grande résistante de la bataille, ils avaient former une tortue, certains elfes avaient voulu y aller au corps a corps, mais les lances ourouks ne le permettaient pas et tous furent tués. L’ent lança un gros rocher qui tomba au beau milieu du groupe dont la moitié fut écrasé, les derniers durent subir les flèches elfiques, se plantant dans toute les failles possibles.
Pour les quatre-vingt autres, ils furent prit par surprise , les archers de la forêt noire étaient presque invisible,même pour Ellenden et ses noldors, la tactique de combat des archers de Thranduil ressemblait fortement a celle des noldors de Fingolfin. Malgré leur excellent odorat ,les fils de Saroumane ne purent rien ressentir, a cause de leurs grands casques puants. Le fer empêchait la fonction d’un des meilleurs sens des ourouks , le casque les affaiblissaient, diminuant un peu leur chant de vision.
Les ourouks donc, avancèrent dans les bois de fangorn, quand certains furent attaqué, les elfes n’hésitèrent pas, les épées traversèrent les multiples armures de l’Isengard, les Noldors eux, preferaient ce montrer avant, voyant s’ils étaient fort ou pas, ils sortirent de leurs cachettes avant que les ennemis ne passent, et quinze ourouks les attaquèrent, les noldors lames en avant chargèrent, et le combat s’engagea, les noldors évitaient toutes les attaques ennemis, et malgré l’épaisseur de fer qui couvraient leurs ennemis ils réussirent a la traverser, leurs lames éffilés transperçaient tout et les créatures de Saroumane tombèrent sous les coups elfiques. Ellenden évita un coup venant de sa droite, puis il dut contrer une attaque de face avant de finir par faire une roulade pour éviter une attaque venant de la gauche, il était entouré par ses ennemis, et se baissant il tourna sur lui même tranchant les jambes de ses adversaires, puis il se releva et les achevèrent. Il put voir ses noldors tous vainqueur même si l’un deux avait une petite marque sur le bras, ils entendirent les cris des elfes de Mirkwood, ceux-ci combattait vaillamment leurs adversaires, ils avaient surgit de derrière les arbres et avaient réussit a transpercé, traverser les corps ennemis. Mais certains résistèrent, a par le groupe de vingt, une bon nombre d’ourouks éparpillés avaient survécu a l’attaque surprise elfique et ils mirent a terre tous les elfes les approchant. Sur les soixante-quinze d’entrer, seul trente étaient vivant et ils durent subir l’immense courroux des elfes de vert-bois le grand. Ceux-ci diminué en nombre les pourchassèrent, souvent arc en main, et plusieurs créatures de Saroumane tombèrent, des dizaines de flèches dans le dos. Malgré cela, les monstres de l’Isengard n’étaient pas des lâches et certains attaquèrent les soldats de Thranduil, ils leur donnèrent de puissants coups de boucliers et d’épées, certains elfes n’étaient même plus reconnaissable, de long combat au corps a corps s’engagèrent avec les douze derniers ourouks, trois noldors tombèrent. L’agilité des elfes de Mirkwood étaient impressionnante, ils gagnèrent rapidement, plus vite que les noldors eux mêmes et les corps ourouks se trouvaient au sol, leur sang noir s’étaient répandu et des flaques de sang se formèrent. Le capitaine des elfes de Thranduil faisait partit des douze soldats a avoir tué les ourouks. Les êtres des bois se regroupèrent, les pertes étaient de quarante soldats , trop ,beaucoup trop. Les noldors allaient partir quand :

« Excusez nous, firent les gens de Thranduil, nous aurions encore besoin de votre aide.
_Pour faire quoi ?
_Détruire des orcs, qui menacent la forêt, nous savons que les ourouks devaient rejoindre un grand nombre d’ennemis , et on sait aussi ou ils devaient les rejoindre.
_D’accord, nous allons vous aidez. »

Les elfes se remirent en marche, Ellenden n’y avait fais attention même parmis sa famille de la forêt noire, mais ils préféraient entouré leurs morts de fleurs plutôt que de les enterré, curieuse tradition que le chef noldor n’avait encore jamais vu.
Les elfes marchèrent longuement, sortant de la forêt la plus mystérieuse de la Terre du Milieu, l’ent était déçu mais il continua. Ils remontèrent au nord, Ellenden n’avait pas encore prit son épée mais cela le démangeais, il avait envie de l’utiliser. Ils durent éviter de passer par la lorien pour que les noldors ne retournent pas chez eux et ils mirent deux jours de plus pour arriver en Forêt noire.
Enfin un paysage familier. Les elfes ne perdirent pas de temps, emmitoufler dans leur cape ils allèrent jusqu’au palais de Thranduil . Les noldors eurent du mal a les suivre , on les voyaient a peine.
Un officier vint a leur rencontre, celui-ci ordonna aux elfes de partir aux plus vite, leurs ennemis approchaient et ils fallaient les détruire au plus vite. Les archers de la forêt noire partirent très vite, suivit des noldors qui les perdirent un moment de vue avant d’arriver au lieu des combats. Une petite route traversait la forêt, les elfes cachés derrière les arbres étaient invisible, et tous avaient une flèche en main. Ils attendirent longtemps avant que les premiers orcs n’apparaissent, deux cents orcs furent bientôt là, ils avancèrent sans qu’aucune flèche ne partent jusqu'à que le signal soit donné, cent flèches volèrent et s’écrasèrent sur les orcs, transperçant leur petite armure de cuir, seul les grands orcs avaient de larges et puissantes armures noires. Les créatures de Morgoth tombèrent en grand nombre, une deuxième volée partit et déjà quatre-vingt ennemis étaient morts. Les elfes prirent leurs épées et chargèrent, arrivant de partout.

Le combat au corps a corps s’engagea, Ellenden et ses noldors foncèrent dans le tas, ils firent tombés maints ennemis, Ellenden dut affronter trois orcs, ils arrivèrent en face de lui, il trancha la tête du premier, puis évita la lame du second il lui planta sa lame dans le ventre, le dernier allait le tuer, l’épée se brisa sur la lame elfique du Beleriand qui était devenu bleu comme l’azur, Ellenden ne comprit pas grand chose et abattit le dernier orc, la victoire était a eux, les derniers orcs fuyaient .
Les elfes de la forêt noire avaient tuer tous leurs adversaires, leur agilité dépassant largement celle de certains elfes. Parmis les noldors , cinq avaient succomber entouré par trente orcs, ils en avaient abattu vingt-cinq mais les blessures provoqué par les lames empoisonnés des orcs ne leurs aissaient aucune chance.



Ellenden fit ses adieux aux elfes et repartit en Lorien en compagnie des noldors.
Le chef Noldor portait toujours son ancienne épée, celle qui lui avait permit de tuer nombre d’adversaires. Il pensait a sa femme lorsque ses soldats l’appelèrent. Ceux-ci voulurent aller dans un petit village dont on voyait les lumière. Les elfes se dirigèrent vers ce village entre les montagnes.
Un bruit de pas ce fit entendre, des pas de chien ou autre, et ils se dirigèrent vers le village, Ellenden regarda vers la droite et il crut voir une ombre grise passer. Il n’y fit pas attention et continua son chemin. Ils arrivèrent enfin, le village semblait mouvementé, des bruits d’affrontement et des hurlements. Les noldors avancaient lorsqu’ils virent deux wargs, sur un elfe, celui-ci dévorer par les monstres. Les elfes ne perdirent pas de temps et ils les tuèrent . Ils prirent tous les armes, lorsqu’il virent enfin un humain, a première vue les premiers né et les seconds vivaient ici en toute harmonie, mais des wargs avaient attaquez. Une femme sortit de chez elle, elle cria si fort que tous le monde l’entendit. Elle expliqua que des wargs et un loup étaient a coté de sa fille, Ellenden y alla seul, car d’autres wargs avaient été aperçu . Le chef des noldors se dépécha , la petite fille était en grand danger. Quand il arriva, il vit la petite fille, dans un coin, elle pleurait ,très effrayé par les wargs qui étaient assez loin d’elle. Le chef eldar dégaina son épée, enfin sa nouvelle épée, elle brilllait , il vit enfin les wargs, au prise avec un loup ! Comment cela était possible ? Un warg était mort sur les trois qui avaient attaqué l’enfant, ses blessures étaient faites par les crocs du loup, qui même en infériorité les combattaient, sans peur. Il était aussi grand qu’un warg, de couleur grise , ses cros comme des dagues, il avancait seul contre les deux wargs, sa patte droite était touché et il boitait, différente traces de griffes et de morsures parcouraient son corps.
Ellenden courut vers la petite fille, se mettant entre elle et les différentes créatures. Un warg s’occupa du loup tandis que l’autre affronta l’elfe. Ellenden chargea, évitant la bouche de la monture des orcs, puis il lui fit une entaille sous la patte, le monstre avait du mal a bouger la patte droite cependant il réattaqua avec une telle force que le chef noldor tomba par terre, son épée a quelques centimètres de lui, le warg avança, sa gueule grande ouverte se rapprochait du visage de l’elfe, celui-ci attrapa le manche de son épée et en un coup sec il trancha la tête du monstre sans rencontrer aucune difficulté, son épée tranchait la chair, les os comme si ce n’était que de vulgaire feuille papier. Ellenden était content, il poussa le corps du wrag et se leva, cependant l’autre warg l’attaqua, le chef eldar qui était encore accroupis du subir la rage de l’autre warg qui lui mordit violemment l’épaule droite, réussissant a briser son armure et sa cotte de maille. Son sang coulait , le warg se régalait, il allait arracher la tête d’Ellenden qui n’avait aucune chance, son épée a plusieurs mètres, l’autre sous la patte droite du warg, aucune chance. Mais c’est a ce moment que le loup entra en action, lui blesser, sauta sur le warg, lui mordant le cou, il le serra très fort, et lui le brisa. Le loup boitait, il avait du mal a tenir debout et s’approcha de la petite fille qui le prit dans ses bras. Le noldor fut surpris , il se leva, ramassa sa nouvelle épée et la remit dans son fourreau. Puis il alla voir la jeune fille, la prit dans ses bras et demanda au loup de le suivre, celui-ci resta a coté d’Ellenden, sortant de la maison. Les noldors étaient tous en armes, les derniers wargs avaient fuit, et les elfes étaient enfin tranquilles, beaucoup étaient morts sous les crocs des wargs, et un noldor avait succomber, un des cinq derniers. Mais les eldar étaient toujours en rage et quand ils virent le loup ils voulurent le tuer. Ellenden s’interposa, il laissa la petite fille retrouver ses parents et prit son épée, même avec un bras en moins il se serait battu comme un lion pour protéger la créature qui l’avait sauver. Ses noldors étaient un peu troubler mais ils rejoignirent leur chef, les trente villageois durent se plier a Ellenden qui parti avec ses cinq derniers soldats et avec son loup. Les deux nouveaux compagnons étaient gravement blessés, et ils furent soigné par les villageois, l’elfe reçut une pâte sur son épaule, désinfectant la grande blessure et la refermant. Le loup lui, il reçu la même chose et des bandages. Les elfes continuèrent de marchez, et ils arrivèrent en Lothlorien au bout de quelques heures. Les noldors arrivèrent très vite près de leur famille, le loup s’en quitter Ellenden. Cependant sa présence effraya beaucoup d’elfe et des soldats vinrent bientôt voir le chef eldar :

« Qu’est-ce que ceci ?
_J’en suis pas sur mais sa a l’air d’être un loup, répondit Ellenden.
_Pourquoi l’avez vous emmener ici ?
_Il m’a sauvez la vie et je l’emmènerais devant ma reine s’il le faut.
_Ce n’est pas la peine Ellenden. »
Galadriel était la, le loup s’approcha d’elle et elle le caressa, comme s’ils étaient ami. Puis elle reparla :

« Tu as de la chance, c’est un descendant du grand Huan.
_De Huan ? Le chien des valars, fit Ellenden.
_Et oui, il a eu plusieurs enfants, et en voici un. Tu peux le garder, il ne fera de mal qu’aux ors et immondices de Morgoth.
_Merci ma reine. Savez-vous son nom ?
_Appelle le Halan, et sache que sa race est doué de parole et qu’il te comprends, il te parlera une seul et unique fois. »

Puis la grande reine repartit, Ellenden toujours troubler, sa reine était si clémente . Et ce qu’il croyait être un loup était en faite un chien. Un chien des valars qui plus est. Le chef eldar était très respectueux envers Halan et il l’emmena chez lui et jamais plus ils ne se séparèrent. Et les deux tombèrent en même temps lors d’une bataille.
Le lendemain matin, Ellenden se reveilla a coté de lesian, et Halan dormait a la porte de leur maison. Le chef noldor regarda sa femme, elle qui était si belle, il n’avait jamais eu vraiment le temps de s’occuper d’elle et de son fils Evelan qui grandissait a vue d’œil, il allait bientôt avoir quatre mois.
Mais au moment ou Ellenden allait pouvoir en profiter, Halan se leva et aboya appelant son ami. Celui-ci alla voir ,ce trouvait devant lui Maellas et Avalon, que venait-il faire ici ?
Ils lui dirent qu’ils avaient une chose importante a lui montrez, et qu’il fallait qu’il soit en armure.
Ellenden était en colère et resta avec sa tunique, toute façon son armure était a la forge, comme sa cotte de maille, le chef des noldors prit juste ses deux épées. Lorsqu’il arriva a l’endroit prévu, il vit une grand armée devant lui, plus de cent elfes, et cinq ents dont le bon vieux Silfurbier qui se mit a rire en voyant Ellenden dans une petite unique lui qui normalement est toujours dans sa grosse armure doré. Les quatre vétérans étaient la et tous baissèrent la tête, cinq haut-elfes étaient là aussi et tous les elfes suivirent le mouvements des noldors. Ellenden ne voulaient pas de cela et il demanda à ses elfes de lever la tête, et leur demanda pourquoi ils étaient tous la.
Silfurbier lui répondit :

« Nous sommes sous vos ordres très cher.
_Comment cela ?
_Tous les elfes que vous voyez ici vous suivrons, les haut-elfes sont arrivés il y a quelques jours du Lindon, vos exploits ont été entendu, les ents viennent de Fangorn et m’ont suivit , vos noldors restent et resteront a jamais avec vous. Et pour ce qui est des autres, ils étaient avec Maellas et celui-ci a décider d’être sous vos ordres.
_Je suis honoré ! Cria Ellenden ! Mais vous voyez bien que pour l’instant je ne suis pas près pour tous ce qui est entraînement ou autres, dès que j’aurais mon armure nous nous mettrons au travail ! Elfes reposez vous ! »

Chacun parti dans son coin, Silfurbier, Avalon , et son beau-fils allèrent voir Ellenden. Et ils parlèrent entre eux. Au bout de cinq heures d’attente Ellenden récupéra son équipements, il mit sa cotte de maille sur sa tunique, et mis son armure. Là, il alla voir ses elfes et leur demanda de s’entraîner, les archers avec Avalon, les cavaliers et piquiers avec Maellas et les élites avec lui. Pour les ents ils s’entraîneraient sous les ordres de Silfurbier.
Avant que les grands de cette armée ne se séparent, Ellenden appela Maellas, et il lui donna son ancienne épée, son épée de Noldor celle qui l’avait aidé pendant des centaines de combats.

Et tous les elfes s’entraînèrent en attendant leur prochain combat.


Voilà j’ai fini ma mission libre : alors mes récompenses ( je sais normalement c’est 1) première que j’ai eu grâce a la grande bataille ( mon épée du beleriand) et l’autre pour ma monter en grade ( Halan mon chien.)

J’attends une mission.

Chien ou loup ?

je me permet de demander une mission s'il vous plait.

Alors que tu te rends à Edoras pour rencontrer un dunedain, une grande compagnie d'ourouks te tombe dessus en pleine trouée du Rohan. Tues-les. Ils sont accompagnés d'hommes de Dun.

Troupes ennemies : 60 homms de Dun ( ne sachant pas se battre et équipés d'un peu n'importe quoi : épées, gourdins ,haches, etc... ) 50 épéistes ourouks d'élites, 60 arbalétriers avec des flèches enflammées, 40 chevaucheurs de ouarges et 15 berserkers.

Troupes alliées : toi, tes hommes.

Voilà.

ok merci Qv

· Alors que tu te rends à Edoras pour rencontrer un dunedain, une grande compagnie d'ourouks te tombe dessus en pleine trouée du Rohan. Tues-les. Ils sont accompagnés d'hommes de Dun.

Troupes ennemies : 60 hommes de Dun ( ne sachant pas se battre et équipés d'un peu n'importe quoi : épées, gourdins ,haches, etc... ) 50 épéistes ourouks d'élites, 60 arbalétriers avec des flèches enflammées, 40 chevaucheurs de ouarges et 15 berserkers.

Troupes alliées : toi, tes hommes.


Ellenden et ses elfes se trouvaient encore en Lorien, leur entraînement toujours intensif. Les soldats de la lorien avaient fait de gros progrès, leurs techniques c’étaient poffiner même s’ils n’étaient pas encore au même niveau que les noldors. Car les élites avaient déjà maintes années de combats devant elle, même si les plus puissants Noldor sont partis, notamment Feänor, Fingolfin . Finarfin qui lui, est maintenant le Roi de la plus grande famille et de la plus honorable de tous les elfes dans le grand pays de Valinor.

Le dernier grand roi en terre du milieu fut Gil-Galad, et maintenant tous les Noldors sont aux ordres de Galadriel, dernière descendante de la famille royale. Mais les elfes avaient quand même un profond respect pour Cirdan et Celeborn, les deux plus anciens habitants de la Terre du Milieu, ayant vécu à toutes les époques sauf à celle des grandes guerres pour Arda entre les valars contre Melkor.

Enfin, c’est le passé, plein de joie et de larmes.
Mais revenons à l’entraînement :

Les archers de la lorien écoutaient longuement Avalon qui les dominaient tous a l’arc, seul le grand capitaine des premiers nés le battait, car celui-ci et son compagnon avait appris à manier l’arc dès leur plus jeune âge, en compagnie de Tirgon et de Halador.
Les archers allaient souvent dans la lisière Ouest du pays, là où aucun ennemis auraient pu venir. Là, ils s’entraînaient tranquillement sans aucun bruit, personne ne les dérangeait et c’étaient bien normal. Les archers devaient viser des petites cibles de bois qui se trouvaient à plusieurs mètres. La plus loin se trouvait à cent-quarante mètres. Certes les elfes pouvaient facilement la voir, cependant il fallait une grande force dans le bras pour que la flèche puisse voler pendant autant de temps, et surtout pour quelle se plante dedans.
Les jeunes archers de la lorien qui n’avaient pas souvent combattu n’avaient aucune expérience, et ils eurent du mal a atteindre la moitié du parcours qui était très facile pour les noldors. Avalon leur passa un savon, les traitants d’incapable, de bons a rien, que s’ils n’arrivaient pas a faire ceci que sa ne servait à rien qu’ils accompagnent Ellenden lors de ses combats. Il leur fit savoir aussi que seuls les élites , les plus forts pouvaient survivre que les autres tomberaient sans avoir une seule chance de revoir la Lothlorien. Les novices furent effrayés et certains ne parlèrent plus pendant longtemps, d’autres furent énervés mais l’entraînement continua et s’intensifia. Les flèches parcouraient de plus en plus de terrain en mesure que le temps passaient.
Certains réussirent à atteindre la dernière cible, et ceux-là furent féliciter par Avalon. Pour ce qui concerne les autres, ils n’eurent que des reproches.

Maellas lui, entraînait les cavaliers et les piquiers. Bon mélange car les piquiers étaient les meilleurs ennemis des cavaliers.
Les lanciers furent placés en une longue ligne, tel un mur inébranlable. Les cavaliers eux, chevauchaient un peu n’importe comment, il suivait certes Maellas mais aucune formation n’était distincte. Leurs armes étaient en bois et le bout, fait de coussins pour ne pas se blesser.
Lorsque le premier cavalier entra en contact avec les piquiers, il vola, il avait été touché sur la poitrine, puis tous il y eut un grand fracas, le champ de bataille plein de fumée si bien qu’on ne pouvait distinguer qui se battait contre qui. Et lorsque la fumée disparue, seul cinq piquiers tenaient encore debout.
Le gendre d’Ellenden n’était pas comme lui, il était content du résultat mais lorsque le capitaine arriva, il entra dans une colère noire, ordonnant à ce qu’a la fin de l’entraînement tous les piquiers survivent.
Il leur fit essayer une nouvelle formation, un triangle. Un piquier devant, deux sur l’autre ligne et ainsi de suite. Seul la folie aurait amené des cavaliers a foncer au centre et même les chevaux ne voulaient pas. Puis Ellenden observa, il vit Maellas conduire les cavaliers qui étaient obligé de contournez les premiers lanciers. Là, les autres piquiers utilisèrent leurs fausses lances, ils empalèrent les cavaliers. Ils auraient pu tuer les montures cependant ils n’étaient pas là pour cela. La technique fonctionnait bien, mais le seul bémol c’est que leurs lances étaient trop grandes, elles faisaient trois mètres de longs, pas bonnes pour le lancer et assez difficiles a contrôler. Puis un des cavaliers réussit à briser la formation elfique, et là, les piquiers durent improviser. Certains frappèrent avec les manches et mettaient à terre les cavaliers avant de les achevés, d’autres tombaient sous les lances des soldats de Maellas. Ils avaient encore beaucoup a apprendre, beaucoup trop. Puis Ellenden eut une idée, il demanda aux cinq haut-elfes de se joindre aux piquiers, eux avec leurs grands boucliers et leurs lances de deux mètres. Des lances plus résistantes que celle des piquiers, cependant ils durent quand même en avoir des fausses, pour ne pas tuez des elfes. Là, la charge de cavalerie recommença, les élites en premières lignes. Aucune peur ne se lisait dans leurs yeux, seuls l’envie de se battre, leurs boucliers bien placés pour ce protégés, ils attendaient impatiemment leurs ennemis pour les détruire.
Là, le premier cavalier s’avança, suivit des vingt-cinq autres. Il voulut toucher un des haut-elfes avec sa lance, mais l’elfe se protégea, rejetant la lance sur le coté puis fit tomber le cavalier avec un coup dans le ventre. Il dut encore se protéger car désormais son coté gauche était à découvert, il se tourna et lorsque la lance ennemie allait l’atteindre, elle dut rencontrer le merveilleux bouclier doré de l’elfe. Les quatre autres vétérans firent de même, leurs talents guerriers au corps a corps dépassaient même les espérances d’Ellenden Ce seraient ses meilleurs guerriers, eux et les noldors. Et celui qui oserait les traités de nul devra en affronter un sur-le-champ.
.Les piquiers cette fois-ci se débrouillèrent mieux, et réussirent à n’avoir que quelques pertes.
Ce qui était très bien. Maellas les félicita tous, et il alla voir le capitaine :

« Ellenden, je trouve que vous êtes un peu dur avec les soldats.
_A bon, et alors… S’ils ne sont pas contents qu’ils ne viennent pas, je les entraîne pour qu’ils survivent et pour qu’ils tuent le maximum d’ennemis, pas pour autre chose.
_Mais… Ils vont se rebeller.
_Alors on s’expliquera au moment là, tu peux leur dire d’allez se reposez, c’est fini pour aujourd’hui.
_Alors a demain. »

Ellenden décida de convoquer Avalon, et les vétérans. Il leur demanda s’ils en faisaient trop, et ceci répondirent en toute sincérité :

« Moi, personnellement je ne trouve pas, je suis même plus dur que toi, fit Avalon
_Moi je trouve, fit l’un des haut-elfes, ce ne sont que de jeunes guerriers, vous les obligez à faire trop de choses, il faut déjà qu’ils s’adaptent à votre commandement, ensuite vous devez leur dire pourquoi vous êtes aussi dur.
_Je suis dur et cela vous le savez, j’ai vu trop d’elfes tombés parce qu’ils étaient jeunes et sans expérience, ils doivent savoir se battre, s’ils ne savent pas, je ne les emmènerais pas avec moi.
_Alors nous ne viendrons pas a vous, firent les elfes du Lindon, malgré tout notre respect, vous êtes trop dur, et nous non plus nous ne voulons les condamner, alors tant qu’ils ne seront pas près nous ne partirons pas.
_Alors nous avons les mêmes idées, fit Ellenden, allez vous reposer si vous en avez envie, moi je vais m’entraîner. »

Le chef des eldar rentra chez lui, il prit son épée magique et son arc, et Halan le suivit, son chien n’était pas sortis de la journée, il surveillait Evelan qui c’était prit d’une immense amitié envers lui. Et comme Lesian n’était pas là la journée, il fallait que quelqu’un le garde.
Ellenden s’entraîna donc au départ avec son chien, il se battait à main nue même s’ils ne se donnaient pas de gros coups. La rapidité du descendant de Huan était prodigieuse, aucun warg ne le vaincrait jamais, et celui qui le vaincra sera d’une telle puissance qu’il ne tombera que sous les coups d’un homme. Lorsque les noldors arrivèrent, ils furent surpris de voir leur chef combattre Halan mais ils n’eurent aucune expression, cela était normal après tout.
Ellenden se releva, quelques traces de griffures, puis il ordonna à ce qu’on prenne les arcs.
L’entraînement qu’avait crée Avalon était très bien, cependant une cible mouvante était beaucoup mieux, et si elles étaient dans une cuirasse aussi. Alors ils décidèrent de mettre des armures sur des arbres qui étaient extrêmement loin.
Les noldors prirent leurs arcs et leurs flèches, et tous tirèrent : les flèches volaient tels des dards de diamants, elles pourfendaient l’air avant de s’enfoncer dans les armures.
Ils recommencèrent cinq fois, et cinq fois les flèches trouvaient leurs cibles. Puis les haut-elfes arrivèrent, épées en main et Ellenden eut l’idée de confronter les vétérans de guerre. Pour voir qui étaient les meilleurs, Avalon s’allia avec les noldors ce qui fit un cinq contre cinq.
Les haut-elfes avaient toujours l’avantage d’avoir leurs grands boucliers dorés.
Le combat s’engagea, la puissance des elfes étaient extraordinaire, tel les tous premiers ils se dressaient grand et imposant. Les coups des noldors se brisaient contre les boucliers, ou alors c’était contrer. Puis les haut-elfes attaquèrent eux aussi, leurs coups surpuissants étaient dur a contrer. Les elfes évitaient tour a tour les coups adverses, mais les haut-elfes avec leurs boucliers étaient magnifique a voir, a chaque fois qu’un coup aurait pu les toucher le bouclier se tenait devant, grand et résistant malgré la rapidité des adversaires il était toujours là.
Petit a petit, les noldors perdaient le combats, et pour trois guerriers, un seul haut-elfe tombait.
Il ne resta qu’a la fin, Avalon contre trois haut-elfes. Le second d’Ellenden se battait avec toute sa puissance, évitant les coups des ennemis, il sauta et toucha un haut-elfe au coup qui arrêta de combattre vu que normalement il était mort.
Puis Avalon voulut frapper celui qui était pour les elfes le meilleur épéiste de l’armée, même si avec Ellenden il ne savait pas trop qui était le meilleur.
Lorsque Avalon fit tomber sa lame, celle-ci tomba net sur le bouclier, puis l’épéiste tourna sur lui-même et dans un mouvement aussi bref il plaça son épée sur le ventre du second qui avait perdu.

« A ce que je vois mes vétérans ne sont plus les meilleurs, déclara Ellenden, dommage, mais bon, vous êtes les meilleurs a l’arc, c’est déjà cela. Reposez-vous ! »

Tous les elfes rentrèrent chez eux, Ellenden en dernier, parla à Halan même si celui-ci ne pouvait pas répondre.

« La vie est dure parfois, fit-il, les jeunes ne comprennent pas pourquoi je fais cela, mais tu me comprends pas vrai ? »
Le chien bougea la tête et fit signe de oui.
« Heureusement que j’ai ma famille pour m’aider et que j’ai mes amis. »
Halan grogna un peu.
« Et que je t’ai. »

Ellenden se coucha à coté de sa femme, et Halan lui a l’entré de la maison elfique.
La nuit se passa bien et le lendemain matin, toute la troupe d’Ellenden était armés, une journée d’entraînement de prévu. Certains étaient mécontents de venir mais tous étaient présent a par les ents, Silfurbier le commandait et ils se battaient entre eux. Heureusement qu’aucun elfe ne fut avec eux, sinon cela aurait été un grand massacre.
Ellenden décida d’utiliser les épéistes lors de l’entraînement des piquiers. Vingt-cinq épéistes allèrent avec les lanciers, et vingt-cinq autres avec les cavaliers. Le chef noldor expliqua sa pensée :

« Vous les piquiers êtes très sensibles au tir ennemi, cette fois-ci vous allez apprendre à allié les épéistes et les piquiers. Vous garderez la même formation, un triangle, sur les extrémités seront placé les épéistes et les piquiers juste ont coté, vous verrez que c’est bien plus efficace. »

Ellenden , Avalon et Maellas s’occupaient du camp des cavaliers, tandis que les piquiers étaient seuls. Mais les haut-elfes se firent vite respecter et bientôt se dressa un triangle impénétrable, des boucliers l’entourant et les lances en sortant.

« Je veux que tous les archers s’apprêtent à tirer, vos flèches ne sont pas des vrais cependant je veux bien voir si la formation est inébranlable car lors d’un affrontement elle sera décisive. »

Les noldors prirent eux aussi les fausses flèches, tout comme Ellenden et ils visèrent. Le seul problème avec la formation c’est quelle était difficile a se mouvoir. Là au cri du Noldor, les flèches volèrent, beaucoup se plantèrent dans les boucliers, enfin presque toutes. Mais deux réussirent à passer et un épéiste fit semblant de tomber.
Là, une brèche c’était ouverte, certes très petite mais elle aurait permit de tuer tous ces elfes. Alors Ellenden cria, s’énerva et ordonna qu’on refasse la formation, elles devaient être impénétrables, même pour une flèche. Cela dura plusieurs heures avant qu’aucune flèche ne rentra dans un elfe, plusieurs volées avaient été tirez et lorsque le grand capitaine avait vu que son projet avait marché, il fit dégainer ses soldats.

La charge commença, les épéistes attaquèrent en premier, Avalon , Ellenden en première ligne avec les noldors. Ils arrivèrent bientôt devant les premières lignes. Là, ils entourèrent le triangle, les épéistes a l’avant et les cavaliers ont l’arrière. Bientôt le bruit des lames de bois contre les boucliers retentit, de plus en plus violemment. De plus en plus d’elfes tombaient, les piquiers firent des ravages, et il se passa un long moment avant qu’un seul des soldats en formation ne tomba.
Ellenden dut éviter deux lances elfiques, il trancha le manche de la première et attrapa l’autre, il le tira de toute ses forces mais l’autre elfe la lâcha et il en tomba à la renverse.
Puis un cheval se cabra et frappa avec ses sabots un bouclier qui vola en éclat. Là, tous les autres foncèrent dans la brèche nouvellement ouverte. Mais cela ne dura pas longtemps car elle fut vite refermée comme prévu. A la fin, Ellenden décida de stopper l’entraînement, il était satisfait, personne ne pourra briser la formation, a part si ce ne sont des Trolls mais pour cela il y a les Ents. Le chef des Noldors félicita pour une fois tous ses soldats, et leur ordonna de se reposez, l’entraînement avait duré toute la journée, et il avait été perfectionner à un tel point qu’Ellenden ne savait plus quoi faire pour rendre le triangle encore plus redoutable.

Les hauts-elfes interpellèrent leur chef :

« Nous savons pour l’épée du Beleriand.
_Quoi ? Comment est-ce possible ?
_Vous faites partis des guerriers haut-elfes maintenant, votre valeur vous a élevé au plus grand rang.
_Vous m’apprenez une de ses choses, et mes Noldors font aussi partis de l’élite elfique.
_Bien sûr, ce sont eux aussi des élites, et ils rejoigneront les faibles rangs des haut-elfes bientôt, car nous ne sommes plus beaucoup et seul les braves peuvent être perçus comme cela.
_Je vous remercie pour votre information, mais allez dormir, moi personnellement je suis exténuée. Bonne nuit a tous.
_Bonne nuit chef. »

La nuit se passa comme toujours bien mais le lendemain matin, un messager de la reine vint voir Ellenden.

« Seigneur Ellenden, je vous apporte le message de la grande Galadriel.
_Bonjour a vous, donnez-moi ce message.
_Vous êtes mandé pour allez chercher un dunedain.
_Un dunedain, mais où est-il ?
_Il se trouve à Edoras, la capitale des rohirims, enfin ils se trouvent pas loin d’Edoras, il vous attend déjà et tous les soir il se rendra devant les portes puissantes du château des hommes.
_C’est loin, mais j’ai un problème, je ne vois pas où est Edoras. »

Là, vint Halan qui avait tout entendu et il aboya voulant montrer que lui, il savait ou c’était.

« _Non, c’est bon, fit Ellenden, excusez-moi mais j’ai un guide avec
moi.
_Euh, d’accord, répondit le messager un peu troublé, bonne chance. »

Ellenden et ses elfes avaient rendez vous a dix heures au beau milieu de la forêt, il les attendit en compagnie de son chien et là, il leur expliqua la mission.
Ceux-ci l’acceptèrent sans plus attendre, elle était très facile, sans le moindre combat, même s’ils devaient se dépêcher pour ne pas laisser l’Edain seul.
Le chef des Eldar demanda a ses soldats de se préparez, de s’armez, de s’équipez car si jamais ils devaient se battre, ce ne sera pas facile avec une tunique.
Chacun rentra chez lui, dit adieux a ses proches et c’étaient plus émouvant chez l’un que chez l’autre, les haut-elfes avaient fait leur vie, ayant déjà eu beaucoup d’enfants. Les femmes des
Noldors étaient bien habitués au départ de leurs maris et qu’importe, ils rentraient toujours.
Puis enfin ils s’en allèrent, une grande troupe en marche tel qu’on n’en voit pas souvent, le bruit métallique des armures dorées retentissait sur vingt mille a la ronde.
Et ils chantaient, s haut et si fort que les êtres sylvestres sortirent de chez eux, les regardant passé avec un grand respect, tel une armée de jadis.
Ils chantèrent si bien que des oiseaux volèrent autour et les ents approchèrent.
Silfurbier devant eux et lui aussi chantait, pas comme les elfes mais dans son propre langage, l’entique, les paroles sont lentes et sortent du plus profond de la Terre.
Puis, alors qu’ils allaient bientôt quitter la forêt, une petite troupe de vingt elfes vinrent les stopper. Ils étaient tous vêtus de grandes capes grises et avaient à coté d’eux, un grand chariot remplis de ces mêmes capes.
Leur chef cria si haut et si fort que même les chanteurs entendirent sa voix.

« Vous ne pouvez quitter le royaume ainsi ! Déclara t-il, vous devez être les moins visibles possible, c’est pour cela qu’on a emmener ces capes pour vous !
_Merci bien cher confrère, répondit Ellenden, mais es-tu sur d’avoir cent-onze capes ?
_J’en ai plus de deux-cent dans ce chariot alors oui j’en ai assez pour vous. »

Les elfes discutèrent entre eux de choses et d’autres, certaines intéressantes et d’autres ennuyeuses et en même temps ils donnèrent à chaque elfes une cape de couleur gris-vert et qui était très peu voyante. Cependant Ellenden ne savait toujours pas pourquoi il devait mettre ces capes et il en posa la question au chef Eldar. Celui-ci lui répondit que leur mouvement devait passer le plus inaperçu possible, certes cela allait être dur, surtout avec des chevaux et des ents, mais bon, qui ne tente rien n’a rien. Surtout que les ourouks se faisaient plus nombreux encore que d’habitude. C’était pour cela que tout contingent elfique devait avoir une protection même aussi minimum que cela.
Le chef des noldors remercia son compatriote et repartit suivit de tous ses elfes maintenant équipés de leurs capes.
Et les chants reprirent, beau et forts, jusqu'à ce que la petite armée finissent pas quitter les bois d’orée et être arrivé au sud de la forêt. Ils allaient continuer leur route lorsqu’un cavalier arriva, il était épuisé et quand il parla, il du reprendre plusieurs fois sa respiration.
Il déclara qu’on l’avait appelé pour qu’il soit le guide d’Ellenden, qu’il avait déjà parcouru le trajet et qu’il le connaissait par cœur.
Halan fut irrité sur le coup mais il se calma par la suite, deux guides valaient mieux qu’un après tout.
Les elfes l’accueillirent à bras ouverts et il passa devant, a coté du chef des Eldars et du chien.
Ils descendirent plein sud, car a quelques milliers de mille se trouvaient la capitale des cavaliers du Rohan.
Le contingent elfique passa la première journée du voyage sans encombre, ils voyaient encore les bois de la Lothlorien, et avant que la dernière lueur du jour ne s’en aille, ils décidèrent de s’entraîner encore une fois, la formation triangulaire fut avant toute les hautes prioritaire, puis ce fut la ligne, former par les vingt-cinq derniers épéistes, par Ellenden et par les ents.
Puis ils se couchèrent, assez fatigué par le trajet et achevé par l’entraînement. La nuit était tombée, sous une lune blanche et écarlate. Bientôt un vent frais arrivé de l’Ouest et il réveilla la plupart des elfes.
Puis le vent retomba, et chacun se reposa jusqu’au levée du Soleil. Les cent elfes reprirent leur voyage, chacun portant un sac de vivre, et ils marchèrent longuement, passant par des collines puis par des plaines, quelques petites rivières par-ci par-là et quand vint la deuxième nuit, ils trouvaient déjà au niveau de la lisière du sud de fangorn, plus que quelques centaines de mille et ils étaient devant les portes d’Edoras.
Ils avançaient maintenant dans une grande plaine, sans avoir la vue des elfes on y voyait déjà a des milles a la ronde. Alors le détachement accéléra un petit peu mais certains cavaliers regardaient attentivement l’Ouest et d’autres l’Est, jusqu'à un moment ou un cri retentit, des wargs ! Des dizaines de wargs ! Ils arrivaient !

Ellenden eu juste le temps d’ordonner à ce que la formation soit faite, le triangle était composé des vingt-cinq épéistes elfes avec leurs grands boucliers, des cinq haut-elfes, des vingt-cinq piquiers, d’Avalon et de Maellas qui tout d’eux avait prit une lance avant de partir. Le triangle se colla à un gros rocher qui se trouvait à leur gauche, aucune chance de passez par-dessus et aucune chance que les ennemis le contournent puisque les cavaliers se tenaient là, attendant le moment pour charger, avec Halan en tête. Les autres épéistes furent placés à droite du triangle, en ligne, les noldors devant avec Ellenden et les autres derrière accompagné des ents qui avaient déjà trouvé plusieurs rochers. Ils plantèrent leurs boucliers au sol, ceux-ci rentrèrent dans la terre sans aucune difficulté, comme sa, si jamais il y avait des archers ils seraient un peu protégés.
Ils attendirent longuement, jusqu'à que deux ennemis arrivèrent, le hurlement des loups de l’Isengard retentit, et les autres chevaucheurs arrivèrent, on pouvait en décompter une quarantaine, tous sur de grands wargs et qui fonçaient sur la ligne puisqu’ils ne pouvaient guère aller sur le coté gauche des elfes puisqu’il y avait le triangle, le rocher et les cavaliers.
Les wargs furent accueillis par une pluie de flèches acérées qui brillaient sous le soleil, et par cinq rochers. Deux chevaucheurs furent écrasés, un entièrement et l’autre juste a l’avant, brisant la tête du et ses pattes avant. Cinq autres wargs tombèrent percé de flèches, leurs cavaliers remplis des dards elfique. Le sang avait déjà bien coulé, et les cadavres étaient déjà assez nombreux et lorsqu’ils allaient arriver sur la ligne : Silfurbier et les siens poussèrent de tels hurlements que les chevaucheurs fuyaient devant eux, certains même tombaient de leurs montures, c’était aussi le signal pour que les cavaliers attaquent, et Halan couru aussi vite que possible. Puis les elfes lâchèrent une autre volée, qui elle fit dix morts, les flèches se plantant dans la gorge des orcs et dans leurs corps, mais aussi dans leurs wargs, une trentaine de flèches avaient déjà été tirez, et beaucoup se trouvaient dans les cadavres ennemis. Puis, avec une grande folie ils attaquèrent le triangle. Il ne restait que vingt-huit chevaucheurs qui essayèrent vainement mais vaillamment ; ce qui n’est pas courant pour leur espèce ; De venir à bout des boucliers et des lances elfiques.
Plusieurs wargs furent percés avant même d’avoir pu être à deux mètres du premier elfe, puis les hauts elfes se jetèrent dans le combat, ils n’avaient peur de rien et comme deux chevaucheurs allèrent bientôt les attaquer, ils décidèrent de le faire en premier. Ils se levèrent, pointes vers la chair des wargs et la transpercèrent à une vitesse fulgurante, puis dès que leurs coups furent donner, ils revinrent se placer dans le triangle, attendant de nouveaux ennemis. Les corps des orcs et des wargs étaient pleins de trous, soit fais par les lances, soit par les flèches et ils n’en resta que dix pour allez combattre les cavaliers elfes qui venaient d’arrivez. Deux wargs n’avaient plus de chevaucheurs, et Halan leur sauta dessus, il déchira le ventre d’un, et l’acheva en lui arrachant la gorge, le sang coulait de partout, puis, lui-même dut combattre pour survivre lorsque l’autre, après avoir abattu le cheval et le cavalier elfe, arriva sur lui, les crocs rouges.
Le combat dura longtemps, les deux adversaires se mordaient, se griffaient et les deux étaient blessé, puis Halan ayant réussit à reprendre le dessus, lui donna un grand coup de patte dans la mâchoire qui fut immédiatement brisé. Son ennemi ne pouvait plus rien contre lui, seul ses coups de griffes pouvaient faire mal, alors Halan le fit tourner en rond avant d’enfin l’achever, en lui brisant le cou.