Sujet: Re: Ellenden, la flèche d'or Ven 27 Fév - 14:45
. Mais la victoire n’était pas totale, et sept cavaliers étaient morts. Leurs ennemis étaient très dangereux. Surtout qu’ils avaient eu le renfort de quinze berseks, immondices qui étaient très doué au combat. Les cavaliers elfes durent ainsi battre sur deux fronts mais les autres elfes, principalement ceux de la formation avaient chargé, abattant les derniers orcs et les derniers wargs. Là dessus, les cavaliers elfes chargèrent sur les ourouks, ils étaient vingt et trois et le choc eu lieu, seul vingt cavaliers en ressortirent vivant et cinq berseks. Les soldats de la Main blanche avaient coupé les pattes des chevaux puis avaient coupé en deux les cavaliers, maintenant le sang les entouraient de partout et ils étaient heureux. Les berseks avaient seulement un petit casque de fer qui leur couvraient la tête, sinon ils étaient sans rien, ils n’en avaient nullement besoin car il fallait plus d’un coup pour les abattre mais imaginons qu’ils en aient eu. Cela leur aurait empêcher de faire des mouvements rapides cependant ils auraient tenu encore plus longtemps. Les cavaliers eux leur avaient principalement coupé la tête avec le cou pour certains, et nombreuses furent celle qui se trouvait au sol, mais certains furent empalés par les cavaliers, surtout par ceux qui n’avaient pas encore utiliser leurs lances sur des wargs. Et les berseks se tenaient toujours là, leur regard plein de haine et de soif envers les cavaliers. Mais grande fut leur crainte lorsque Silfurbier et ses quatre confrères les écrasèrent sans pitié, leur rompant os et chair, muscles et vaisseaux en un seul coup.
Mais le pire était à venir, quand les elfes regardèrent l’endroit ou étaient arrivés les wargs, ils aperçurent une armée ourouk-haï, plus nombreuse que la leur, composé des habituels ourouks avec leurs grandes armures noires, leurs grands boucliers, leur casques, leurs épées larges et leurs arbalètes. Ils marchaient en rang serré, tel une marée noire. Mais pour la première fois, il y avait des hommes, certes des sauvages armés de leurs gourdins, de pelles, de faux, mais quand même, ce fut la première fois que les Noldors virent des ourouks accompagné par des hommes de Dun, autrefois ce peuple vivait à coté de l’Eregion et ils avaient de bons rapports. Les ennemis se rapprochaient, plus lentement que les wargs mais ils approchaient quand même et Ellenden ne pouvait pas risquer de se faire attaquer de dos, alors il décida de combattre malgré l’avantage numérique des ennemis. Il fit faire la ligne, collé au rocher, il fit replanter les boucliers dans le sol et cette fois-ci il y en avait trente. Les piquiers devant, avec les haut-elfes, et tous les archers derrière. Les cavaliers se remirent derrière le rocher avec Halan qui avait plusieurs marques de griffures mais rien de grave. Les ents eux se mirent à droite de la ligne, aucune chance de passer. Et lorsque les ourouks arrivèrent, cinquante flèches, trente pics aiguisés, des gros blocs de roches les attendaient. Devant les elfes se tenaient les rangs ordonnés du mal, cinquante épéistes ourouks, soixante archers dont certains avait des torches et de la substance noire, et soixante hommes sauvages. Ils étaient tous plein de rage, certains avaient déjà vu maintes années et d’autres non, en tous cas, le pouvoir de Saroumane les dominait, et ils lui obéissaient. Un grand ourouk noir, sans casque, avec sa grosse armure argentée hurla, tendant son bras vers les premiers-née. A ce moment, soixante carreaux volèrent, se brisant sur les boucliers elfiques. Les flèches des créatures de Saroumane étaient petites, fines avec une pointe longue et effilée, rentrant plus facilement dans les armures et dans la chair. Puis les sauvages chargèrent, courant en criant dans leur langage. Ils se rapprochaient vite, plus vite qu’on pouvait si attendre car certains avaient l’air d’être de grosses personnes. Ellenden prit une flèche, visa et tira, et sa flèche se planta dans le cou d’un homme de Dun. Puis les autres archers tirèrent : Cinquante flèches volèrent, flottant dans l’air, le fendirent et avec une vitesse fulgurante, elles firent tomber vingt hommes, aucun adversaires ne souffrit car les flèches étaient tellement précise que sa touchaient les endroits mortels et en quelque seconde les hommes partaient dans le royaume des morts. Ils n’avaient eu aucune protection a part des tuniques sales. Les corps étaient percés de plusieurs flèches, dans tous les endroits mortels et imaginables. Et quand ils furent à cinq mètres des piquiers, la moitié des épéistes dégainèrent et prirent les vingt-vingt derniers boucliers. Puis les derniers archers visèrent encore, et tirèrent, cette fois-ci la volée fut beaucoup moins efficace et seule dix ennemis tombèrent. Leurs armes ne valaient rien, elles se brisaient inlassablement sur les boucliers elfes et sur les haut-elfes. Ils firent une chose assez inattendu, la moitié des sauvages avaient des haches en main et des gourdins sur leur ceinture et lorsqu’ils furent sur de toucher un elfe, ils lancèrent leurs haches, celle-ci volèrent. Beaucoup rentrèrent dans les boucliers, ne les faisant pas bouger. Mais les dernières s’enfoncèrent dans les piquiers, dont cinq tombèrent, percé en main endroit et n’ayant pas eu la chance que les épéistes de derrière les sauvent. Puis les sauvages entrèrent en contact des lances et des boucliers plantés. Nombreux furent ceux d’entre eux a être embrocher, leurs corps jonchaient le seul et celui-ci le rendait glissant. Ils avaient réussit à enfoncer la ligne, et leur nombre diminuait de plus en plus. Les coups des sauvages étaient puissant mais facile a prévoir et les elfes finirent vite par prendre l’avantage et ils finirent par abattre le dernier sauvage. Cependant une dizaine de soldats étaient tombés, en plus de ceux qui avaient été touché par leurs puissantes haches. Et la ligne des boucliers étaient tombés, même si les épéistes et les haut-elfes se dépêchèrent de la comblée. Mais trop lentement, déjà qu’il ne restait que dix-huit piquiers, leur nombre diminua encore car les albalétriers avaient lâcher leurs puissants carreaux et les brèches ouvertes lors de l’assaut des sauvages leur servit très bien. Car plus rien ne pouvait arrêter les flèches dans certains endroit. Et celle-ci tuèrent maints elfes. Cinq autres piquiers tombèrent, et dix épéistes.
ar-pharazon Grand Guerrier Elfique ¤ La Flèche d'Or
Nombre de messages : 1493 Age : 30 Localisation : ou le combat m'appelle Date d'inscription : 08/01/2009
Sujet: Re: Ellenden, la flèche d'or Ven 27 Fév - 14:46
Ce qui faisait dix épéistes et dix piquiers de tombés, trop pour espérer vaincre les ourouks-haï qui encore en grand nombre tirèrent une autre volée de carreaux, celle-ci fit tomber trois autres piquiers, les flèches passaient entre les boucliers qui n’offraient plus la même protection qu’au début, puis les cinquante ourouk, leur chef en tête chargèrent, a la vitesse de l’éclair. Silfurbier décida d’hurler à ce moment, il réussit à faire peur aux ourouk-haï pendant quelques secondes mais ils repartirent encore plus vite sur les elfes et les albalétriers préparèrent leurs flèches, ils les enduirent d’huile noire et grâce aux torches, ils les enflammèrent. Heureusement le cri du vieil ent signifiait autre chose, le signal pour que Halan et les cavaliers chargent. Ils se dépêchèrent, utilisant toute la puissance des chevaux et leur grande rapidité mais cela ne suffisa guère, car les ennemis tirèrent touchant le plus proche des ents. Celui-ci s’embrasa, et il s’écrasa devant les ourouks juste au moment ou Halan et les chevaliers rentrèrent en action. Le choc fut violent car les albalétriers n’étaient fixé que sur les ents et ils avaient tous recharger leurs armes et certains commencèrent à viser un autre ent quand Halan sauta sur les ennemis, il leur sautait à la gorge, leur arrachant la trachée et ne leur permettant aucune survie. Puis les premières lances elfiques transpercèrent les albalétriers tandis que les épéistes venaient de rentrez en contact avec la ligne des boucliers. Ceux-ci avaient subit deux volée elfique, car même si les archers ne pouvaient plus tirer précisément sur leurs ennemis, ils tirèrent quand même, ils levèrent leurs armes et lâchèrent leurs flèches en l’air, celle-ci retombaient verticalement vers le bas et elles rentrèrent dans les épaules, les cous et les casques des ennemis. Peu tombèrent car ces blessures étaient superficielles et seules cinq ennemis tombèrent. , et lors de la deuxième volée , ils levèrent leurs boucliers et aucun ennemi ne tomba. Alors, ils tombèrent sous les grandes lances elfiques, qui en embrochèrent huit, mais les ennemis étaient habitués au combat, déjà que les ourouks normaux sont très fort, ceux-ci étaient encore meilleurs. Et ils tranchèrent le manche des lances de la plupart des piquiers. Puis ils continuèrent à avancer, tous les boucliers qui étaient plantés au sol été ou allaient être enlever par les ennemis. Et le combat s’intensifiait, personne ne put leur résister, leur talent guerrier était exceptionnel. Peu de piquiers purent survivre à leur lame même si ceux-ci se battirent jusqu'à la fin. Leur nombre diminuait inlassablement et bientôt et lorsqu’il n’en resta plus que dix, les épéistes elfes rentrèrent en action, et les lames elfiques rencontrèrent les boucliers noirs des ourouks-haï. Seul les haut-elfes résistaient encore face aux ourouks qui devaient être principalement des vétérans de guerre. Du coté des cavaliers, leur charge avait réussit à tuer quinze albalétriers qui recouvraient le sol. Silfurbier les siens décidèrent d’attaquer, ils attaquèrent a quatre le groupe des Isengardiens et ils durent encore subir une dernière volée de leurs ennemies. Vingt des albalétriers tirèrent des flèches enflammées et abattirent l’ent a droite de Silfurbier qui chargea plein de colère. Ils enfoncèrent les lignes des albalétriers, les écrasant, les frappant tellement fort que certains volèrent à une dizaine de mètres. Ils étaient pris entre le marteau et l’enclume, les cavaliers et les ents frappaient un peu partout et ils tuèrent encore dix ourouks avant que ceux-ci ne fassent face. Des carreaux partirent en direction des cavaliers dont trois tombèrent. Puis ils essayèrent de s’enfuir mais furent rattrapés par Silfurbier qui les écrasa et les frappa. Leur corps s’empilaient dans la plaine, leur sang coulait comme un petit ruisseau. Les elfes prenaient de plus en plus l’avantage, l’étau se resserrait et il n’y avait plus que quinze ourouks encore debout lorsqu’il dégainèrent leurs petites épées et qu’ils chargèrent les cavaliers. Le choc fut brutal et tous tombèrent sous les lames elfiques et les crocs d’Halan. Cependant huit cavaliers étaient tombés faisant retombés leur nombre a dix. Lorsqu’il tournèrent leur tête vers Ellenden et les siens, ils étaient debout, avec ses soldats d’élites et ses officiers, avec les sept derniers piquiers et les vingt épéistes encore en vie. Leur ennemi était encore au nombre de vingt-cinq. Certes les elfes avaient l’avantage numérique mais la valeur des ourouks leurs étaient supérieur et trois des haut-elfes étaient gravement blessés. Les cavaliers et les ents décidèrent d’attaquer les vétérans ourouks pour aidez leur chef et leurs compagnons. Halan sprinta, couru à une telle vitesse et sauta, attrapant l’arrière du cou d’un ourouk et le mettant à terre. L’arrivé des cavaliers fut bénéfique car les adversaires furent un peu troublées et les elfes décidèrent de contre attaquer. Leur attaque fut violente et soudaine, Ellenden, les noldors et les derniers haut-elfes emmenèrent les autres, leur rage et leur combativité remontait le moral des nouveaux et ceux-ci crièrent et chargèrent. Les piquiers transpercèrent le corps de cinq ourouks prit au dépourvu et le chef ennemi cria, rassemblant ses troupes et attaqua. Il évita un pic elfe, tirant sur le manche il fit venir à lui le jeune elfe tout apeuré, lui donna un coup de tête si violent qu’il cassa le nez a son adversaire et enfin il lui coupa la tête d’un coup aussi sec que net. Les soldats elfes entendirent les cavaliers arrivés, les hurlements d’Halan, les piétinements de Silfurbier et des ents. La victoire approchait, les ennemis diminuaient encore et encore, les morts s’entassaient sur-le-champ de bataille, faisant tomber certains combattants et les amenant à une mort certaine. Les ourouks tombaient de plus en plus nombreux, sous les épées elfiques qui les tailladaient et lorsque Ellenden se trouva devant le chef qui venait de tuer un épéiste, ils n’étaient plus que huit, entouré de toute part. Là, les ennemis foncèrent contre les elfes , résistant à la douleur, ne sans souciant même pas et leurs coups aussi puissants que rapides firent tomber encore nombre d’êtres sylvestres. Ellenden et ses noldors combattirent les monstres d’élites, évitant ou contrant leurs coups, réattaquant par-dessus et pour la plupart donnant des coups mortels. Lorsqu’Ellenden regarda autour de lui, il vit que les deux derniers ourouks furent écrasé par silfubier, et le chef ennemi, combattit Avalon jusqu'à la mort. Il lui donna de violent coup dont un qui lui rentra dans la cuisse. Le meilleur ami du chef des Eldars allait mourir lorsqu’Halan tua l’adversaire de celui-ci, avec une brutalité sans pareil. La victoire était enfin arrivée, les pertes étaient certes énormes, plus de la moitié des elfes étaient morts aujourd’hui, une quinzaine encore de blessés et deux ents de tombés. Un grand massacre, une immense tragédie. Les elfes pleurèrent presque tous, les elfes qui étaient au départ aux ordres de Maellos eux, ils éclatèrent en sanglots, ils connaissaient la plupart de leurs compagnons depuis des années et des années. Les vétérans eux avaient les yeux brillants, ne se permettant pas de pleurer, ils étaient quand même prit d’une immense tristesse. Sylfurbier et les siens chantèrent, aucune larme ne coula de leurs yeux mais si elles avaient couler, sa aurait été une rivière de pleure, tellement que la mort des deux jeunes arbres les touchaient. Ils décidèrent d’enterrer leurs morts, malgré le danger que cela représentait. Ils creusèrent longuement aidé par les bras entiques, et après un long labeur de plusieurs jours, tous les corps étaient enterrer. Là, Ellenden, voyant que presque tous ses soldats étaient blessés décida de les envoyer à Fangorn, emmené par Silfurbier et Maellas tous les elfes, a part les élites qui eux suivraient Ellenden. Halan et le guide étaient tous deux blessés, cependant ils leur fallaient venir pour trouver le grand château d’Edoras. Les deux groupes se séparèrent, et on vit les armures scintillés au loin juste avant que le soleil ne se couche. Là, les elfes se reposèrent après un long combat, et au matin, ils repartirent, augmentant l’allure car une attaque ourouks pouvait encore être envisager. Les elfes virent enfin ce qu’ils cherchaient : Il y avait une rivière blanche qui descendait des neiges, et à l’endroit où elle sortait de l’ombre du vallon s’élevait une colline verte. Un fossé, un puissant mur et une clôture épineuse l’entouraient. A l’intérieur, s’élevaient les toits des maisons, et au milieu, édifié sur une grande terrasse verte se dressait tout haut un château d’homme. Il sembla aux elfes que ce château était couvert d’or, comme les montants de ses portes, et ils virent aussi que les soldats qui gardaient ce château étaient de grands hommes en maille brillantes. Ils s’avancèrent dans la plaine qui menait au grand château, lorsqu’un cavalier muni d’une cape s’approcha, ils avaient un foulard empêchant de voir le bas de son visage. Il parla d’une voix haute et forte :
« Mes amis elfes, je vous attendais. _Vous êtes le dunedain ? _Oui, c’est moi. Puis-je vous poser une question ? _Oui, allez-y, fit Ellenden. _Pourquoi avez vous été si long ? _Une grande attaque des ourouk-haï, voilà pourquoi. _C’est bien dommage, mais on m’avait parler d’une centaine d’elfes, et je n’en vois qu’onze et un chien. _Les autres sont à la lisière de Fangorn, nous ne sommes plus que cinquante elfes et trois ents, les pertes étaient énormes. _Je vois sa, et cela m’attriste. Mais rejoignons vos amis, j’ai une chose importante a vous dire. »
Les elfes ne posèrent pas de question et partirent vers Fangorn. Ils mirent quatre jours avant d’arriver dans la forêt, le voyage c’était passer sans encombre. Le dunedain enleva son foulard et l’on pu remarquer qu’il était barbu, grisé par le temps mais ayant encore une vingtaine d’années devant lui, celui-ci avait demandé aux officiers elfes de s'entretenir avec eux, pour parler de quelque chose d'important.Il commença à parler et déclara que....
Bilan : Morts : 62 elfes de morts. Ennemi : détruis jusqu’au dernier Objectif : dunedain trouvé.
il me reste : : 7 piquiers 25 épéistes /archers 10 cavaliers 3 ents dont Silfurbier 9 élites dont 5 blessé 2 officiers Qv si tu peux noter merci J
qv3me Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
Nombre de messages : 802 Age : 28 Localisation : En Rohan Date d'inscription : 08/01/2009
Sujet: Re: Ellenden, la flèche d'or Ven 27 Fév - 23:26
Longueur : 18/20 ( bien long )
Action : 17/20 ( TU aurais pu en mettre plus, mais c'était déjà bien. )
Orthographe : 8/10 ( des fautes d'accord, mais tu n'y peux pas grand chose. Il n'existe pas encore de programme qui corrige les fautes de d'accords ^^ )
Histoire : 1720
Note :17/20 ( Bonne mission. ^^ )
ar-pharazon Grand Guerrier Elfique ¤ La Flèche d'Or
Nombre de messages : 1493 Age : 30 Localisation : ou le combat m'appelle Date d'inscription : 08/01/2009
Sujet: Re: Ellenden, la flèche d'or Lun 2 Mar - 11:25
Voilà ta nouvelle mission (qui se passera après la bataille commune). Après avoir aidé Raolën et les Loups Noirs, tu retournera chez les elfes pour percer le mystère de l'épée de Gaaldor et comprendre ce qu'elle est réellement. Mais voilà, les documents qui pouvaient te renseigner ont été volés par des orques, qui se dirigent vers Dol Guldur. Ils sont accompagnés par des hommes en capuche et robe noire. Rattrape les et récupère les documents avant qu'ils ne tombent dans les mains de l'ennemi.
Forces Ennemies: 100 orques mal équipés 30 orques noirs de Dol Guldur avec des haches à deux mains et une armure noire 10 hommes en noirs qui sont des sorciers nécromants
Forces Alliées: Toi et tes hommes+ 40 guerriers rohirrims
Objectif principal: Vaincre l'ennemi et récupérer les documents Objectif secondaire: Comprendre pourquoi les orques tenaient tant à cette documentation
ar-pharazon Grand Guerrier Elfique ¤ La Flèche d'Or
Nombre de messages : 1493 Age : 30 Localisation : ou le combat m'appelle Date d'inscription : 08/01/2009
Sujet: Re: Ellenden, la flèche d'or Dim 17 Mai - 14:16
Dans ce cas là, je vais te reprendre Ellenden, et il vivra. Il me permettra d'écrire les missions avec Gweolen. Comme quoi, les elfes ne sont pas forcément inutiles
qv3me Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
Nombre de messages : 802 Age : 28 Localisation : En Rohan Date d'inscription : 08/01/2009
Sujet: Re: Ellenden, la flèche d'or Dim 17 Mai - 14:51
Sparda qui saute sur l'occasion d'écrire encore plus!
Rappelons-nous des bons moments passés avec Ellenden:
Oui, lui, Ellenden la flèche d'Or, l'elfe qui aima puis méprisa l'Orphelin, L'elfe qui ne s'avoua jamais vaincu, L'elfe qui combattit toujours Urgog et qv3me, L'elfe qui tua nombre d'engeances du Mal et qui alla combattre dans toute la Terre du Milieu, Le puissant elfe de la Lorien qui sema la terreur dans tous les peuples servant Sauron, Des Orientaux aux Haradrims, passant par les gobelins les orcs et ourouks, Jamais, il ne croisa d'ennemi à sa hauteur, alors quelle est la cause de sa mort ? La peur qu'il eut en voyant le puissant Gothmog revenir.
Il est partit et ne reviendra pas, et c'est pour notre plus grande peine.
Adieu, monsieur l'elfe, on ne vous oubliera jamais ( pour la plupart )
ar-pharazon Grand Guerrier Elfique ¤ La Flèche d'Or
Nombre de messages : 1493 Age : 30 Localisation : ou le combat m'appelle Date d'inscription : 08/01/2009
Ven 27 Fév - 14:45
)
