L'haradrim rebelle

Azert0, lorsque tu demandes une mission, précises ton grade, tes troupes, le lieu où tu es et ton allégeance.
Merci à toi.

sergent-chef 47 gars pour plus d'infos sur eux ils sont dans ma feuille de perso et je suis en harad et je suis rebelle à Sauron sans pour autant apprécier le gondor

Dans ce cas, la mission que Ulfang t'a donné est bonne, non ?
Elle correspond au perso ? A moins que quelque chose m'échappe

47 soldats + 20 soldats=67 soldats contre trente ennemis et je suis plus en umbar en harad au désert!!

J'ai rajouté des ennemis
Et un voyage ne fait pas de mal, quel mercenaire refuserait de voyager pour toucher de l'or ?

mais chui pa mercenaire et je ah mais au fait pourquoi je dirais non a de l'argent?!lol

question simple: il y a une côte Est en Harad ?

On en sait rien...mais y a une cote Sud, par contre !

Une côte Est ? Avec la mer ? Non
Le Harad finit avec le Khand à l'Est

uè, après ce sont les terres ou ils n'y a personne, même pas d'animaux et de plantes pour ce nourrir

une côte Sud aussi ? j'en apprend tous les jours ^^

A l'Est, tous ce qu'on sait, c'est que ya deux mages qui y sont parti, et qui en sont jamais revenus ^^

ouais les mages bleus

1ere partieMon cœur se brisa en mille morceaux lorsque je vis le portrait de cette femme qui aux premiers abords paraissait calme et jolie dans le bureau du maire.
C’était une femme aux cheveux bruns avec des mèches blondes qui souriait avec ses dents blanches et qui semblait heureuse et elle portait dans ses bras un bébé qui souriait, il était dans un landau et il y avait un point commun entre eux, ils étaient d’une beauté troublante et ce bébé, c’était moi et moi seul semblait troublé et je voulus parler au maire mais je me retint car je voulais d’abord que les soldats et villageois se reposent et j’en parlerais demain au maire. Je convoqua Kikorath, Kelga et Karioth dans ma chambre et leur dit:
-Demain nous devrons partir car nous ne devons pas recommencer ce que nous avions déjà fait, Kelga et moi.
Kikorath et Karioth ne comprirent pas et je leur expliqua:
-Nous avions déjà sauvé un village et nous l’avons réparé, construit et caetera mais mes soldats avaient eu une femme, des terres et bientôt des enfants et j’ai été pris de pitié et je les ai laissés mais avec la promesse que si jamais j’avais besoin d’aide ils devraient accourir et seul Kelga est venu avec moi.
-Donc dirent Karioth et Kikorath nous devons dès l’aube partir?
-Non, non dis-je en riant , de un nous ne sommes pas pressés et nous pouvons partir à l’heure que nous voulons et de deux il doit être quinze heure et nous avons tous mérité du repos et de la joie.
-Mais ne pensez-vous pas que certains de nos hommes s’englueront au village?
-Vous êtes cons ou quoi? Il faut au moins une semaine pour aimer un village, vous croyez vraiment qu’en deux jours hop on a une femme et elle est en cloque?
Kikorath et Karioth n’étaient pas habitués à ces écarts de langage de la part de leur chef et ils me dirent:
-Vous avez comme toujours raison!
-Bon c’est pas grave appelle les soldats je vous paye une tournée.
Une gigantesque fête au village eut lieu et grâce aux marchandises du convoi tout le monde fit bonne chère et il y eut beaucoup de drague et de rires mais les plus belles jeunes filles me firent de l’œil car de la troupe j’étais le plus beau mais je ne voulus point les toucher car je savais qu’elles n’aimaient que mon physique et qu’elles étaient encore toutes heureuses du convoi et qu’elles voulaient remercier « de leur manière » les soldats mais si je m’en étais abstenu beaucoup de mes soldats non et je ne voulais pas les humilier devant leur compagnes qui étaient dans leur couche mais alors que la fête battait son plein et que la bière coulait à flot, je pris par l’épaule le maire et dès mon regard comprit que je voulais lui parler, je l’accompagna à son bureau et lui demanda cartes sur tables:
-Qui est la femme du portrait?
-Je ne sais pas mentit le maire car ses yeux ne voulaient pas me regarder.
-QUI EST-ELLE hurlais-je en le braquant contre le mur avec un bras.
-Je ne peux pas te le dire Turgo.
Il se trahit lui-même car je n’avais pas dit mon nom et j’y avais veillé.
-Alors tu connais mon nom hein?
-Euh non…
-Ecoutez je ne veux pas vous faire de mal et je vous ai sauvé des pillards et trois de mes hommes sont tombés pour vous protégez de la mort, du pillage et du viol, dis-je alors je pense que je peux quand même mériter cela.
Un long silence s’ensuivit parfois entrecoupé des rires gras et du son de la bière qui coulait et je savais que je ne devais pas rompre ce silence et le maire dit:
-Cette femme est …
Quand soudain la porte s’ouvrit laissant place à trois soldats et dirent en riant:
-Allez venez hips chef la biè hips bière est bonne.
Le maire s’enfuit vers la fête et j’allais punir mes soldats quand mon cœur se radoucit
, ils avaient seulement pensé à ma joie et je m’élança à la fête en pensant que maintenant n’importe quelle torture ne pourrait faire parler le maire et qu’il fallait que je le sache d’une manière ou d’une autre.

En entier et au fait c'est la mission de cc1138



Mon cœur se brisa en mille morceaux lorsque je vis le portrait de cette femme qui aux premiers abords paraissait calme et jolie dans le bureau du maire.
C’était une femme aux cheveux bruns avec des mèches blondes qui souriait avec ses dents blanches et qui semblait heureuse et elle portait dans ses bras un bébé qui souriait, il était dans un landau et il y avait un point commun entre eux, ils étaient d’une beauté troublante et ce bébé, c’était moi et moi seul semblait troublé et je voulus parler au maire mais je me retint car je voulais d’abord que les soldats et villageois se reposent et j’en parlerais demain au maire. Je convoqua Kikorath, Kelga et Karioth dans ma chambre et leur dit:
-Demain nous devrons partir car nous ne devons pas recommencer ce que nous avions déjà fait, Kelga et moi.
Kikorath et Karioth ne comprirent pas et je leur expliqua:
-Nous avions déjà sauvé un village et nous l’avons réparé, construit et caetera mais mes soldats avaient eu une femme, des terres et bientôt des enfants et j’ai été pris de pitié et je les ai laissés mais avec la promesse que si jamais j’avais besoin d’aide ils devraient accourir et seul Kelga est venu avec moi.
-Donc dirent Karioth et Kikorath nous devons dès l’aube partir?
-Non, non dis-je en riant , de un nous ne sommes pas pressés et nous pouvons partir à l’heure que nous voulons et de deux il doit être quinze heure et nous avons tous mérité du repos et de la joie.



-Mais ne pensez-vous pas que certains de nos hommes s’englueront au village?
-Vous êtes cons ou quoi? Il faut au moins une semaine pour aimer un village, vous croyez vraiment qu’en deux jours hop on a une femme et elle est en cloque?
Kikorath et Karioth n’étaient pas habitués à ces écarts de langage de la part de leur chef et ils me dirent:
-Vous avez comme toujours raison!
-Bon c’est pas grave appelle les soldats je vous paye une tournée.
Une gigantesque fête au village eut lieu et grâce aux marchandises du convoi tout le monde fit bonne chère et il y eut beaucoup de drague et de rires mais les plus belles jeunes filles me firent de l’œil car de la troupe j’étais le plus beau mais je ne voulus point les toucher car je savais qu’elles n’aimaient que mon physique et qu’elles étaient encore toutes heureuses du convoi et qu’elles voulaient remercier « de leur manière » les soldats mais si je m’en étais abstenu beaucoup de mes soldats non et je ne voulais pas les humilier devant leur compagnes qui étaient dans leur couche mais alors que la fête battait son plein et que la bière coulait à flot, je pris par l’épaule le maire et dès mon regard comprit que je voulais lui parler, je l’accompagna à son bureau et lui demanda cartes sur tables:



-Qui est la femme du portrait?
-Je ne sais pas mentit le maire car ses yeux ne voulaient pas me regarder.
-QUI EST-ELLE hurlais-je en le braquant contre le mur avec un bras.
-Je ne peux pas te le dire Turgo.
Il se trahit lui-même car je n’avais pas dit mon nom et j’y avais veillé.
-Alors tu connais mon nom hein?
-Euh non…
-Ecoutez je ne veux pas vous faire de mal et je vous ai sauvé des pillards et trois de mes hommes sont tombés pour vous protégez de la mort, du pillage et du viol, dis-je alors je pense que je peux quand même mériter cela.
Un long silence s’ensuivit parfois entrecoupé des rires gras et du son de la bière qui coulait et je savais que je ne devais pas rompre ce silence et le maire dit:
-Cette femme est …



Quand soudain la porte s’ouvrit laissant place à trois soldats et dirent en riant:
-Allez venez hips chef la biè hips bière est bonne.
Le maire s’enfuit vers la fête et j’allais punir mes soldats quand mon cœur se radoucit
, ils avaient seulement pensé à ma joie et je m’élança à la fête en pensant que maintenant n’importe quelle torture ne pourrait faire parler le maire et qu’il fallait que je le sache d’une manière ou d’une autre.
Le lendemain une tempête de sable fit place et personne ne put sortir du village et tout le monde aida à reconstruire et nous avions réussi à réparer la palissade et à construire une mairie digne de ce nom et j’avais donné ma recette du pain traditionnel à une jeune fille et au moment où j’allais partir de sa maison elle me dit:
-Attends je n’ai pas encore compris quelque chose!
-Quoi encore dis-je excédé car elle m’avait pris beaucoup de temps(pas de pensée hot il lui apprend juste le pain)
Elle m’attira contre elle et me donna un baiser langoureux et me montra sa couche, je souris et lui répondit:
-Je ne peux pour l’instant faire ce que tu me demandes car je sens qu’une femme m’attend et j’aurai l’horrible sentiment de la tromper et cela je ne le veux pas.



-Raah Turgo, bon c’est pas grave mais essaye de revenir me passer le bonjour!
-Attends pour te protéger je te donne cette épée, je l’ai dérobée au chef ennemi et elle est de bonne facture.
La fille le regarda avec des yeux d’adoration et je partis le sourire aux lèvres.
Le lendemain tout le monde était prêt à partir, les chevaux étaient sellés, les mules chargées et prêtes, les équipements reforgés et les vivres reconstituées et alors que tout le monde avait pris un soldat en croupe et qu’ils allaient chevaucher, le maire voulut me parler et il me dit:
-Voici une miniature du portrait de mon bureau. Il lui donna exactement le même portrait mais en miniature et il lui dit encore:
-Va au nord-ouest un chef rebelle a besoin de renforts et il aura sûrement besoin de toi.
-Le nord-ouest? Mais c’est très imprécis!
-Ne t’inquiète pas je te donne cette carte.
Il lui donna une carte un peu grossière mais qui avait le mérite d’être précise.



-Je te remercie Homme du Sud et sache que si jamais tu as besoin d’aide, je le saurais.
La troupe menée par Turgo chevaucha et arriva bientôt dans une oasis et Turgo vit que c’était une carte du proche-Harad qu’il avait là! Elle était remplie de petits points bleus et noirs et c’était écrit en bas:
Points bleus: oasis
Points noirs: villages
C’était une carte qui devait valoir une fortune et alors je compris, c’était sûrement une carte donnée en génération en génération et il remercia encore plus dans sa tête le maire.
La troupe but pendant deux longues minutes et les chevaux et mules cinq et tout le monde remplit ses gourdes et les gourdes des chevaux et j’ordonna bientôt qu’on remonte sur les chevaux car nous n’avions pas chevauché beaucoup et je voulais arriver à la grotte demain à midi.
Pendant que la troupe chevauchait, je réfléchissais à un plan dans ma tête qui ne devrait germer que plus tard. La carte montrait qu’il n’y aurait pas de prochaines oasis avant le matin et tout le monde étant épuisé on fit le camp à la belle étoile et sachant que les nuits au désert étant glaciales et ayant pris leçon de mes précédentes chevauchées j’avais pris deux couvertures pour chacun, animaux compris et le lendemain matin, j’ordonna une folle chevauchée car je craignais d’arriver trop tard au camp rebelle mais nos chevaux à tout le monde étaient épuisés et j’ordonna une pause qui fut accueillie avec un grand:



Aah mais ils s’attendaient à une pause d’une heure alors que leur pause tant attendue ne dura que dix minutes et ensuite les chevaux furent sellés et tout le monde partit au camp la langue pendante mais au bout d’une heure et au moment où tout le monde allait mourir épuisé, nous vîmes tous la grotte, elle était cachée par de la mousse car elle se situait près de la mer mais pour les yeux des fiers gens du Sud cela n’était rien et quand ils voulurent rentrer dans la grotte des arcs étaient bandés et ils étaient complètement encerclés et au moment où le chef ennemi, un jeune homme fort et bien bâti, allait abaisser la main je criais:
-Attendez, nous sommes rebelles et nous avions entendu que des rebelles avaient besoin de nous.



Les arcs ne sifflèrent jamais et le chef ennemi me dit:
-Salut, Rebelle je me nomme Karkou et vous?
-Salut, Rebelle je me nomme Turgo et pourquoi avez-vous besoin de notre aide?
-Nous nous sommes alliés au village voisin en montrant de l’entrée un petit port pour résister et défaire un groupe de cent Orques menés par un puissant chef qui a déjà fait beaucoup de morts.
-Bon, alors de combien d’Hommes disposez-vous?
-Avec le village, nous disposons de plus de trente Hommes, vingt archers et dix épéistes et vous?
-Je dispose de quarante-sept Hommes.



-Bon alors il vaut mieux faire une bataille rangée car même si ils sont plus nombreux, ils ne sont pas très entraînés et disposent de diverses armes de corps à corps.
-J’ai un plan mais j’aurais besoin de quarante-sept boucliers et au fait quand est-ce qu’ils attaqueront?
-Dans une heure et vous êtes chanceux, chacun de nos hommes disposent d’un bouclier mais nous n’en avons plus que trente qu’on laissait comme réserve et ils sont fait en métal, mais pas en très bonne qualité je le crains.
-Parfait, alors préparez la bataille je veux que vos dix épéistes soient placés en première ligne et nos soldats doivent impérativement être en deux lignes et mes neuf hallebardiers et neuf épéistes seront dans la même ligne et seront commandés par Kelga tandis que vos vingt archers avec mes cinq archers et cinq arbalétriers seront commandés par Kikorath et Karioth et dix pillards protégeront les flancs qui seront commandés par Karkou et mes dix pillards restants seront à l’arrière pour charger en cas de malchance mai surtout, hallebardiers et épéistes, prenez des boucliers, est-ce bien clair?



-OUI SERGENT dirent tout le monde.
Et la formation eut lieu et dès que j’avais fini de voir le soleil brûlant car il était au plus fort de la journée les Orques apparurent et ils chargèrent, cinquante mètres, ils hurlent, quarante mètres, ils rient, trente mètres, ils crachent, vingt mètres, ils sourient et dix mètres:
-PAS DE CÔTE hurlais-je, mes soldats firent un pas de côté, cinq mètres, RETOURNEZ LES BOUCLIERS.
Le soleil aveugla les Orques et vingt d’eux moururent éventrés laissant leurs compagnons les écraser et Karioth ordonna aux tireurs:
-Videz vos carquois à volonté tandis que Kikorath n’y tenant plus s’élança dans la bataille.
Les archers tirèrent une volée qui fit douze morts et les arbalétriers tirèrent ce qui en tua deux.



Les hallebardiers poussaient avec leur pied les Orques et ensuite les éventraient quand ils étaient à terre, Kikorath et Kelga faisaient de lourds dégâts en décapitant les monstres et le sang giclait de leur tête mais soudain le chef ennemi attaqua sur les flancs qui étaient le moins protégé et tua rapidement les chevaux qui écrasèrent les cavaliers et le chef ennemi en repéra un et lui sauta à la gorge et fit son repas et je pris avec moi trois vigoureux pillards et je chargea, l’escorte du chef qui comptait six Orques furent balayés et écrasés par les sabots des montures du Sud, l’Orque furieux prit sa large lame et éventra le cheval d’un pillard et tua son cavalier, je pensais que c’était trop et il fallait que j’agisse, je mis pied à terre et ordonna à mes pillards d’aller aider les épéistes qui étaient en mauvaise posture, je pris mon épée quand soudain le chef chargea, je lui donna un coup de pied qui le fit tomber et au moment où j’allais embrocher mon ennemi, il roula et me donna un formidable coup de poing qui me fit tomber et ma lame était à deux mètres de ma main , je voulus ramper vers elle quand soudain l’Orque mit son pied sur mon dos et je ressentis ce que ressentais mes victimes, la peur et la rage et je vis mes yeux dans la bataille.



Des yeux pleins de satisfaction et au moment où j’allais mourir Karioth planta sa dague dans le dos de l’Orque et je pris ma lame et coupa son corps en deux en criant ce qui terrifia les Orques qui voyant leur chef mort voulurent s’enfuit, je pris Karioth en croupe et le remercia, il me dit que c’était rien et avec les treize pillards restants je chargea et écrasa les survivants Orques, et je vis qu’un Orque de l’avant-garde traînait et avec un bouclier que j’avais pris je coupa son corps en deux et je rattrapa bientôt les cinq sur vivants sui remplis de haine chargèrent sur un pillard et le tuèrent mais au moment où ils se retournèrent ils se firent embrochés sur le champ et je retourna au village où tous m’attendaient en scandant mon nom mais il y eut à déplorer beaucoup de perte, Karkou était mort, éventré par un Orque et huit pillards étaient morts, cinq épéistes du côté de Karkou étaient morts, trois hallebardiers et deux de mes épéistes aussi égorgés par ces vils démons et on enterra les morts avec respect et le chef des villageois fut élu.



Bilan: Les rebelles ont gagné
Morts du côté de Turgo: huit pillards, trois hallebardiers et deux épéistes

mieux qu'avant mais encore quelques petites défaults normal.

Premièrement c'est bien de faire des espaces mais pas trop, sa donne l'impression que le texte est plus petit.

Quelques problèmes d'orthographe . Fin tu t'améliore c'est bien.

Merci et maintenant une nouvelle mission stp!!!!! celle d'ulfang je la ferais plus tard g ma petite idée... au fait fo ke je te dise une suggestion et j'aimerais connaître ton avis(sur msn)

ba plus tôt ce soir sur msn, je sor aujourd'hui mais pas ce soir. Je te donnerais la mission ce soir aussi.

Voila ta mission azerto:

Pendant que tu te prélasse dans le port que tu as sauvé, la nouvelle c'est répandu et les corsaires d'Umbar voyent en ce port un moyen de conquérir de nouveau Territoire. Ils envoient donc trois vaisseaux de guerres avec assez de soldats pour détruire les haradrims. Défends le port. Des villageois de la milice t'aideront.

Alliés: toi+ tes hommes+ 15 miliciens armés de pieux et de petites épées + 10 miliciens armés d'arcs.

Ennemis: 75 corsaires armés d'arbalettes, de sabre et de lances+ 3 chefs corsaires. et 3 navires de guerre armés chacun de deux balistes.

cc1138 jatends ma note et pour vous patienter de mes aventures qui je crois vous tiennent en haleine voici la 1ere partie!


Pendant que tu te prélasses dans le port que tu as sauvé, la nouvelle s’est répandue et les corsaires d’Umbar voyant en ce port un moyen de conquérir de nouveaux territoires.
Ils envoient donc trois vaisseaux de guerre avec assez de soldats pour détruire les Haradrims.
Défends le port. Des villageois de la milice t’aideront.

Alliés: toi+tes hommes +15 miliciens armés de pieux et de petites épées+10 miliciens armés d’arcs.

Ennemis: 75 corsaires armés d’arbalètes, de sabres et de lances+3 chefs corsaire et 3 navires de guerre armés chacun de deux balistes.



Tout le village était en liesse et le poisson d’ordinaire rare dans ces contrées car il se situait plus loin dans la mer et les villageois n’avaient pas de bateaux pour aller si loin se trouvait dans toutes les assiettes!
Des rires gras se faisaient entendre un peu partout et la bière semblait inépuisable et même moi je me laissais aller car je pensais avoir libéré bien des villages et qu’il était temps de s’amuser. Le lendemain, on pêcha des crustacés!


Le seul homard qui était parmi les huitres et coquillages m’était destiné et je l’accepta de bonne grâce et en échange de toute cette joie et ces assiettes pleines, je reconstruisis le village avec l’aide de mes valeureux soldats, une palissade qui était certes en bois mais résistante fut construite, une mairie qui est le centre de tout village fut construite, et en voyant le manque d’entraînement des villageois, nous construisîmes une forge, une caserne et une archerie rustique et après avoir construit tout cela et Kelga et moi firent en charge de leur apprendre le tir à l’arc à dix villageois et Kikorath et Karioth se chargèrent d’enseigner l’épée à 15 épéistes, les vieillards, femmes et enfants arrivaient avec un panier rempli de vivres et observaient l’entraînement tandis que les pillards prêtaient leur chevaux aux enfants pour qu’ils s’amusent.


Kelga et moi et avec naturellement mes archers placèrent des cibles sur des murs tandis que les arbalétriers fabriquaient des arcs et flèches, les villageois étaient assez bons archers mais s’enorgueillaient rapidement, alors je leur dis à chacun de tirer au milieu de la cible, personne n’y arrivait et quand après leur troisième essai excédés ils me dirent:
-Vous n’avez qu’à le faire vous!
Ce à quoi je leur répondais:
-Non je n’arriverais pas à toucher le milieu de la cible et je n’ai pas la prétention de dire que je le peux.
Et ils comprirent l’humilité et leur tir à l’arc s’améliorait mais si moi et Kelga étions tolérants, ce n’était pas du tout le cas de Kikorath et Karioth!


Ils avaient mis les villageois en ligne et quand ils avaient passé devant un villageois qui avait parlé à un de ses voisins, Karioth lui donna un coup de poing phénoménal qui le fit tomber à la renverse et Kikorath lui ordonna:
-25 tours du village en courant allez hop!
-Mais…
-Alors 50 tours du village!
Le villageois retint la leçon et partit faire ces cinquante tours mais un de ses congénères rit et Karioth lui donna un coup du pommeau de son épée dans le nez et le poussa dans l’eau et lui dit:
-100 TOURS DU VILLAGE CHIEN ALLEZ!
Le villageois se tut immédiatement et partit en courant vers le village sous l’œil amusé des villageois et les épéistes aidaient à entrainer leur confrères mais que faisaient donc les hallebardiers?


Ils fabriquaient des javelots en bois mais en pointe de frêne et enfin après trois jours tout le monde était prêt et une énorme commande fut passée chez le forgeron et le port tout comme les précédents villages ne voulait pas que moi et ma troupe parte car nous avons crée l’ambiance

TOUT


Pendant que tu te prélasses dans le port que tu as sauvé, la nouvelle s’est répandue et les corsaires d’Umbar voyant en ce port un moyen de conquérir de nouveaux territoires.
Ils envoient donc trois vaisseaux de guerre avec assez de soldats pour détruire les Haradrims.
Défends le port. Des villageois de la milice t’aideront.

Alliés: toi+tes hommes +15 miliciens armés de pieux et de petites épées+10 miliciens armés d’arcs.

Ennemis: 75 corsaires armés d’arbalètes, de sabres et de lances+3 chefs corsaire et 3 navires de guerre armés chacun de deux balistes.



Tout le village était en liesse et le poisson d’ordinaire rare dans ces contrées car il se situait plus loin dans la mer et les villageois n’avaient pas de bateaux pour aller si loin se trouvait dans toutes les assiettes!
Des rires gras se faisaient entendre un peu partout et la bière semblait inépuisable et même moi je me laissais aller car je pensais avoir libéré bien des villages et qu’il était temps de s’amuser. Le lendemain, on pêcha des crustacés!


Le seul homard qui était parmi les huitres et coquillages m’était destiné et je l’accepta de bonne grâce et en échange de toute cette joie et ces assiettes pleines, je reconstruisis le village avec l’aide de mes valeureux soldats, une palissade qui était certes en bois mais résistante fut construite, une mairie qui est le centre de tout village fut construite, et en voyant le manque d’entraînement des villageois, nous construisîmes une forge, une caserne et une archerie rustique et après avoir construit tout cela et Kelga et moi firent en charge de leur apprendre le tir à l’arc à dix villageois et Kikorath et Karioth se chargèrent d’enseigner l’épée à 15 épéistes, les vieillards, femmes et enfants arrivaient avec un panier rempli de vivres et observaient l’entraînement tandis que les pillards prêtaient leur chevaux aux enfants pour qu’ils s’amusent.


Kelga et moi et avec naturellement mes archers placèrent des cibles sur des murs tandis que les arbalétriers fabriquaient des arcs et flèches, les villageois étaient assez bons archers mais s’enorgueillaient rapidement, alors je leur dis à chacun de tirer au milieu de la cible, personne n’y arrivait et quand après leur troisième essai excédés ils me dirent:
-Vous n’avez qu’à le faire vous!
Ce à quoi je leur répondais:
-Non je n’arriverais pas à toucher le milieu de la cible et je n’ai pas la prétention de dire que je le peux.
Et ils comprirent l’humilité et leur tir à l’arc s’améliorait mais si moi et Kelga étions tolérants, ce n’était pas du tout le cas de Kikorath et Karioth!


Ils avaient mis les villageois en ligne et quand ils avaient passé devant un villageois qui avait parlé à un de ses voisins, Karioth lui donna un coup de poing phénoménal qui le fit tomber à la renverse et Kikorath lui ordonna:
-25 tours du village en courant allez hop!
-Mais…
-Alors 50 tours du village!
Le villageois retint la leçon et partit faire ces cinquante tours mais un de ses congénères rit et Karioth lui donna un coup du pommeau de son épée dans le nez et le poussa dans l’eau et lui dit:
-100 TOURS DU VILLAGE CHIEN ALLEZ!
Le villageois se tut immédiatement et partit en courant vers le village sous l’œil amusé des villageois et les épéistes aidaient à entrainer leur confrères mais que faisaient donc les hallebardiers?


Ils fabriquaient des javelots en bois mais en pointe de frêne et enfin après trois jours tout le monde était prêt et une énorme commande fut passée chez le forgeron et le port tout comme les précédents villages ne voulait pas que moi et ma troupe parte car nous avons crée l’ambiance et les villageois répugnaient à nous laisser partir mais toutefois nous devions partir que dans une semaine minimum car il fallait reconstruire et réparer toutes les habitations et bâtiments et renforcer les structures car je ne savais pourquoi, j’avais un pressentiment et j’ordonna qu’on renforce la palissade, on me vit avec des yeux ronds mais on fit ce que j’ai dit toutefois mais à la tombée de la nuit je convoqua tout le monde femmes, soldats, enfants et vieillards et leur dit que si j’ai fait tout cela, c’est pour une seule chose:



-Nous devons nous rebeller à Sauron!
-Oui, ces impôts sont plus qu’exorbitants et sa cruauté est sans égale!
-Je le sais mais je vous demande une seule chose, c’est de vous tenir à mon signal et quand, ce moment est très proche, j’aurai besoin de toutes vos forces et je veux que ce village soit agrandi et j’espère que vous viendrez à mon signal!
-Nous le ferons chef!



Une fête eut lieu mais on réservait tout pour le lendemain pour l’inauguration du »nouveau » village et un repas sobre mais nourrissant fut donné sous la forme de pommes de terre.
Tout le monde eut à faire le lendemain et si l’homme portait quatre pierres, la femme trois, l’enfant deux et le vieillard un tout le monde participait et toutes les trois heures, il y avait un pique-nique et tout le monde se réunissait pour casser la croûte en riant sauf moi car mon pressentiment devenait plus gros et je savais que le lendemain quelque chose d’important allait arriver et il fallait nous préparer au plus vite et j’ordonna que festivités soient reportées jusqu’à après-demain, des personnes rechignèrent mais personne ne contesta ma décision car ils savaient que je faisais toujours des choses en ayant quelque chose dans la tête et la palissade fut enfin terminée et soudain aux alentours de cinq heures du matin, je convoqua tout le monde et ordonna aux femmes, vieillards et enfants de se cacher aux alentours du village et prendre les vivres nécessaires, ce que j’ai dit fut ordonné sans le moindre ordre et une heure après tous étaient partis à quelques kilomètres du village et les hommes s’armaient, les épéistes aiguisaient leurs armes, les archers affutaient leurs arcs, les hallebardiers nettoyaient leur hallebarde.



Tout le monde prit une lance même moi et soudain je dis aux miliciens d’enfoncer leurs pieux près du mur extérieur afin d’arrêter toute charge de bélier et j’ordonna qu’on se cache derrière la porte et ce qui devait arriver arriva, des navires corsaires apparurent et nos cœurs à tous tremblèrent et ils accostèrent dans la plage et je vis avec effroi qu’ils étaient trois et que chaque navire possédait deux balistes mais soudain un messager accosta et ordonna de parler au chef, j’ordonna qu’on ouvrit la porte et il entra, c’était un corsaire mal famé aux cheveux gras et aux dents jaunes qui puait l’alcool et je ne sais comment, il sut que j’étais le chef et me dit:




-Bon, je suis venu au nom de mes trois chefs pour vous dire de vous rendre et de nous donner vos femmes et vos armes ainsi que le commandement de votre village afin que l’influence d’Umbar avance à travers le Harad.
-Jamais dis-je et je portais la main à la poigne de mon épée mais selon les lois, nous ne devons jamais attaquer un messager.
-Bon, alors je suis venu vous dire que nous disposions de vingt corsaires armés d’arbalète, trente de sabres et vingt-cinq de lances sans compter mes trois valeureux chefs.
La troupe pâlit et le messager s’adressa en ces termes en Turgo:
-Alors t’acceptes ou pas?
-Non et dis cela à ton chef que nous résisterons et que nous les décapiterons!
-Très bien, je vous retrouverai à la bataille.
Il partit et les soldats de Turgo fermèrent les portes et tout le monde se plaça sur la palissade et quand le messager partit rendre son rapport, nous vîmes un chef furieux qui lui trancha la tête. Et voici ce que je dis à mes soldats:
-Frères du Harad, si nous perdons nous aurons le même sort que cet héraut et notre village tant chéri sera brûlé, les enfants tués, les femmes violées et les vieillards deviendront esclaves alors pour toute cette bonne terre, BATTEZ- VOUS HOMMES DE HARAD AU NOM DE LA FIERTE ET DE TOUT CE QUI VOUS EST CHER!
-MORT AUX PIRATES!


Cet écho se répercuta sur la plage et les Hommes du Sud reprirent courage pour le discours de leur chef et les corsaires blêmirent car ils savaient tous que si les Haradrims prenaient courage, ils étaient aussi coriaces que des rois!
Deux béliers sortirent d’un bateau et avancèrent protégés par une formation bouclier et Turgo ne voulant perdre aucune flèche ordonna qu’on bande nos arcs en attendant et les deux béliers furent détruits par les pieux mais les corsaires enlevèrent la formation bouclier et je vis que ce n’était que des arbalétriers et j’ordonna la volée pour les archers et juste après le lancer de javelots des épéistes.



-VOLEE hurlais-je et cinq arbalétriers moururent sur le coup des flèches plantées dans le corps. Mais les corsaires ripostèrent en envoyant une volée qui ne tua que deux Hommes, un archer et un épéiste mais les javelots en tuèrent dix et les cinq derniers voulurent s’enfuir mais les archers ne leur en laissèrent pas le temps mais pendant ce temps un bélier avait contourné les pieux et sachant qu’il fallait maintenant se replier j’ordonna à mes Hommes de se tenir derrière la porte et de faire une formation, hallebardiers en avant, épéistes derrière et tireurs derrière tandis que moi je serais tout devant et j’ordonna que dès que la porte sera forcée, un lancer de javelot doit être fait.


Un coup, préparation des javelots et bandage des arcs, deuxième coup, javelots sur la main et flèches sur l’arc, troisième coup, flèches visant la porte et javelots de même, cinquième coup, la porte éclate et pendant une seconde, les deux troupes se jaugent du regard avant le lâcher de javelots et de flèches qui est dévastateur et tue plus quinze lanciers avant la charge ennemie, les corsaires se font éventrer tout seul et trois sabreurs meurent de leur erreur quand soudain la formation est lâchée et les combats commencent, je repère facilement un chef qui s’avance vers moi avec une gigantesque masse, il l’abat vers moi, je réussis à l’esquiver in extremis.




Vu qu’il chargeait je chargea sinon je serais emporté par son poids, il prit son sabre pour l’utiliser comme lance et réussit à me faire tomber mais ayant pris leçon de mon précédent combat face à l’Orque quand il s’abaissa vers moi pour m’embrocher car son sabre était court, je mis mon javelot au-dessus de moi et il fut éventré et quelques secondes plus tard, sa tête roulait car je n’avais qu’une parole et je m’élança vers un hallebardier qui avait du mal face à un sabreur et lui enfonça la lame dans le dos, l’hallebardier me remercia avant de se voir décapiter par un des autres chefs et voulant rapidement en finir avec ce chef qui semblait faible mais intelligent je lui donna un coup de poing puis un coup de pied qui le fit chanceler avant de le décapiter avec ma lame, je vis Karioth en mauvaise posture face à un autre sabreur et avec mon javelot je lui transperça le dos puis je vis qu’un lancier était lâchement parti vers l’écurie et qu’il voulait tuer Estel.



Je pris mon arc et je fus étonné quelques secondes car cela faisait longtemps que je ne l’avais utilisé et visa son cou afin que ce chien ressente le plus de douleur possible et ma flèche empoisonnée siffla et l’atteignit dans la nuque qui le fit mourir sur le coup, je levai ma lame en signe de victoire car nous n’avions eu que peu de morts et Kelga avait décapité le dernier chef, quand soudain je fis le compte des morts ennemis et des nôtres, je vis que dix-sept de nos soldats étaient morts, trois de mes archers, sept des épéistes des villageois, deux hallebardiers et cinq archers miliciens mais je vis que si le compte était bon, il manquait douze corsaires quand soudain j’entendis un bruit sourd dans la mairie et je dis:



-Oh non, les balistes!
Aucun soldat cria et j’ordonna qu’on charge vers les navires qui étaient prêt à être montés car les corsaires croyant qu’ils allaient gagner avaient laissé la nacelle(pas sûr du mot) sur la plage et nous nous repartîmes en trois groupes, l’un commandé par Kelga, l’autre par Karioth et le troisième par moi-même pour les trois navires mais les viseurs étaient décidément nuls car ils ne savaient pas viser et quand je posa le pied sur le navire je vis directement les quatre corsaires répartis sur deux balistes, la rage au cœur , ils réussirent à blesser un des soldats mais quand ils rirent après ce méfait ils furent décapités juste après et j’ordonna qu’on laise les balistes, un des soldats du groupe de Karioth était mort, c’était un de mes valeureux archers.


Nous entreprîmes de fouiller les bateaux et nous trouvâmes dans chaque bateau un gros sac rempli d’or et nous en fîmes don au village et nous fouillâmes ensuite les morts et nous trouvâmes de l’or que nous gardâmes pour nous car nos bourses étaient épuisées et les familles des soldats revinrent pleurant les morts et les festivités eurent lieu pourtant bien tristes mais tous les bâtiments furent réparés et la troupe e Turgo se reposa encore et un cimetière fut érigé. Je fis don des bateaux et des balistes pour les villageois afin de pêcher et se défendre. Le soldat blessé réussit à survivre.



Bilan: quatre archers et deux hallebardiers dans mon camp

bien, en effet tu t'améliore!

elles sont ou tes missions que je les lise?

pour l'instant y en a qu'une...
deux autres sont en préparation (dont la gb)

Histoire: 14/20
Taille: 13 ( tu t'améliore mais ce n'est pas encore assez, et puis même si les espaces facilites la lecture, il y en a beaucoup trop)
Action: 13.5
Orthographe: 6 ( de petites fautes mais tu vas t'améliorer.)

Note générale: 13.5

tiens une petite mission :

Tu es toujours dans ce port du Harad, endroit assez stratégique pour les corsaires et pour l'Harad. Un chef Haradrim fidèle à Sauron à appris ta position et tout ce que tu fais, il t'envoie un contingent pour prendre ce village. Résiste.

Alliés: toi, tes hommes et 15 miliciens.

Ennemis: 1 chef du Harad avec un papier te concernant. 60 pillard haradrims.