Argetlam, Fils de Maglor

J'attends mes ordres.

Je suis un elfe et je dirige une troupe de 15 archers de Fondcombe et 5 guerriers elfes

je veux bien t'en donner une, mais dis-moi où tu démarres.

Je me trouve dans la Forêt Sylvestre, mon lieu de naissance, avec mon meilleur ami Tàri Ancalimë

Bon prems possibilité.

Scénario :
Tu voyages avec ton compagnie en direction d'Edoras, car tu as recu une missive de ton roi qui veut que tu ailles aider Theoden. En chemin tu découvres un cadavre elfe. Tu mène l'enquête et trouve un camp de bucherons orcs. Tu décide de venger le mort et attaque le camp. Tu peux attirer tes ennemis dans un piège pour éviter de devoir tuer et les bucherons et les guerriers en même temps.

Troupe ennemi : 15 bucherons orcs + 10 guerriers + 5 archers.
Objectif : prendre et détruire le camp des bucherons.
Objectif secondaire : attirer les guerriers et/ou archer dans un piège (/1).


Ou bien.

Scénario :
Une caravane d'Ourouk, envoyé par Saroumane pour piller les fermes du Rohan, s'est apparement perdu et se retrouve à l'orée de la forêt. Ton chef veux te tester et t'envoie les annhiler.

Ennemi : 15 Ourouks guerriers, 2 arbalétriers.
Allié : 10 fermiers dont 2 guerriers.
Objectif : détruire la caraven.

Je prends le 2 merci !

Tôt le matin,Tàri me réveilla. Le soleil était déjà levé, et on avait reçu l'ordre d'éliminer une caravane Ourouk, à l'orée de la forêt.
- Tu vas bien, me demanda Tàri.
- J'ai connu mieux, toujours le même cauchemar depuis 128 ans...
- Ton père ? me demanda-t-il
J'acquiesçais tout en me levant. Au pas de course, je me dirigeais vers la caserne. Attrapant une pomme au passage, j'aperçus un elfe sous mes ordres :
- Filaë ! Es-tu prêt ? demandais-je
- Comme toujours, Argetlam ! répondit-il en riant.
Tout en continuant de courir je grignotais ma pomme. Enfin arrivé, je me dirigeais vers mon arc et mes flèches, Aracáno posée, avec son fourreau luisait à la lueur du soleil. J'enfilais mon équipement en silence, quand Tàri entra, il déclara :
- Nos hommes sont prêts, on n'attend plus que toi.
- J'arrive ! répondis-je.
Dix minutes plus tard nous étions au pas de course vers l'orée de la Forêt.

Alors que nous étions à quelques pas de notre destination, je fis signe à mes hommes. Aussitôt, ils relevèrent leurs capuches et se déplacèrent aussi vite et silencieusement que des chats à l'affût.
Les Ourouks levaient leur camp. A mon signal, trois archers encochèrent leurs flèches, un Ourouk chacun, puis, mes cinq guerriers saisirent leurs lames, et attendirent mon ordre. Mon plan était de distraire les Ourouk, assez de temps pour que nos guerriers pénètrent dans leur camp. J'abaissais ma main. Les flèches sifflèrent, et firent trois Ourouk en moins. Alors mes guerriers prirent d'assaut le camp, couvert par cinq archers. Mais un problème survint : deux arbalétriers, encore inconnus à mes yeux décochèrent leurs carreaux sur un elfe. Ils rechargeait,,,ils allaient en tuer un autre,,,c'est alors que je me levis, encocha une flèche et décocha,,, Droit au but. L'autre Ourouk surpris, chercha à savoir d'où venait le tir. Trop lent : ma seconde flèche l'abbatit. Dans le camp, les Ourouk étaient abattus, mais un autre guerrier était blessé. C'est alors que le véritable assaut commença : mes archers formèrent deux lignes, la première décocha ses flèches et cèda sa place à la seconde ligne. Le combat fut fini en quelques minutes. Les Ourouks furent massacrés. Tandis que mes hommes soignaient notre blessé, d'autres récupéraient des flèches sur les cadavres Ourouks. Moi, j'enflammais ma flèche et tirais sur la caravane. J'avais pris quelques épées courtes pour mes hommes, et il y avait des flèches et des carreaux. Après avoir dressé un bûcher, nous offrîmes à notre frère tombé des obsèques, puis nous laissâmes ce camp derrière nous, en nous enfonçant dans la Forêt,

Bilan : Mission réussie, 1 mort dans notre camp et 1 blessé encore bon pour le combat,
Pas de survivants ni de prisonniers Ourouk,

Mission express

la honte c'est abattu son mon peuple... Argetlam a tu regardé les missions des autres, enfin a tu vu tous les conseils que nous donnons tous ce que nous disons parce que la ... faut recommencé^^ même si tu met deux jours a faire ta mission c'est pas grave, quelle fasse au - 4 pages sur world pour 1 première mission.

donc toute mon idée est morte ???

Ton idée ?

Ce que je viens d'écrire, l'embuscade, l'idée des deux lignes d'archers... etc... ??

ba faudrait la développer encore plus, tous décrire, les voyages, les paysages, bien décrire les combat en n'hésitant pas de préciser certains détails etc...

Ok

je suis d'accord, c'est trop court, j'ai même pas envie de la lire


PS: la Forêt Sylvestre, ça veut rien dire, c'est au choix la Lothlorien (ou Lorien) ou Mirkwood (ou Vertbois-le-Grand, ou la Forêt Noire)

voilà ^^

Tôt le matin,Tàri me réveilla. Le soleil était déjà levé, et on avait reçu l'ordre d'éliminer une caravane Ourouk, à l'orée de la forêt.
- Tu vas bien, me demanda Tàri.
- J'ai connu mieux, toujours le même cauchemar depuis 128 ans...
- Ton père ? me demanda-t-il
J'acquiesçais tout en me levant. Au pas de course, je me dirigeais vers la caserne. Attrapant une pomme au passage, j'aperçus un elfe sous mes ordres :
- Filaë ! Es-tu prêt ? demandais-je
- Comme toujours, Argetlam ! répondit-il en riant.
Tout en continuant de courir je grignotais ma pomme. Enfin arrivé, je me dirigeais vers mon arc et mes flèches, Aracáno posée, avec son fourreau luisait à la lueur du soleil. J'enfilais mon équipement en silence, quand Tàri entra, il déclara :
- Nos hommes sont prêts, on n'attend plus que toi.
- J'arrive ! répondis-je.
En sortant de la caserne, le chant des oiseaux et l'air pur de la Forêt m'emplit le cœur de bonne humeur. On marchait doucement, Tàri et moi, tout en parlant de notre formation :
- Non, je pense qu'il faudrait diviser notre groupe en deux ! Insistait-il, ils ont des arbalétriers !
- Tàri, que tu sois mon frère pour moi, répliquai-je, j'en reste du moins ton supèrieur ! On fera deux lignes d'archers, l'une décoche, cède sa place à la seconde , recharge et reprend sa place, ainsi de suite.
- Ainsi soit-il...
Je me retournais pour dévisager tour à tour mes hommes. Des jeunes, ils n'avaient pas connu une bataille, ils n'avaient pas tués. On marcha toute la matinée, nos hommes discutaient des Haradrims. Selon eux, ces «  rats des Terres Arides » se seraient alliés à Sauron le Seigneur des Ténèbres, et qu'ils auraient rapportés des Mûmakils. Je passais à un autre groupe. Celui là racontait que Osgiliath était en difficulté face aux hordes d'orques du Mordor, mais qu'un certain Faromir peut-être...Bref, un capitaine du Gondor serait aux commandes de la défense de la cité, et qu'il n'était pas prêt de la lâcher. On racontait aussi que le fils du Roi Thranduil, Legolas, est revenu en Terre du Milieu, revoyant la menace du Mordor s'accroître. Tàri me tira de mon espionnage pour admirer un superbe Kharlan, cet arbre où nos maisons sont construites. Cet arbre fait la fierté de nous autres, les elfes. Puis le silence revint sur notre groupe, et le voyage s'en suivit. Aux alentours de onze heures, je commandais une pause. Chacun sortit son pique-nique, moi, j'avais du Lembas et de l'eau, des fruits et des plantes curatrices. Chacun mangea en silence, puis nous reprîmes notre route en direction de la caravane Ourouk. Ces meurtriers abattaient des arbres pour le bon plaisir de leur maître perfide, Saroumane. Les Ents auraient dû bien faire leur travail une fois : Saroumane reprend sa maléfique entreprise. Pour ces créatures immondes appelées Ourouk-Haï, ce magicien corrompu a besoin d'arbres. Et nous, les Elfes de la Forêt, en sommes ceux qui payent le prix de cette magie maléfique : la Forêt Sylvestre est la première source de bois de toute cette contrée. Le Roi Thranduil nous a promis du renfort, mais nous l'attendons dans les prochains jours. Nous nous mîmes à trottiner tout en continuant de raconter des histoires sur les nains. L'une raconte qu'un forgeron réputé en Erebor a découvert le fameux mithril, ça je le savais, mais que son fils soit encore en vie dans une contrée secrète, cela m'a abasourdi. «  Un guerrier à la puissance meurtrière et à la hache facile » dit-on précisa un guerrier. « Fariboles ! S'emporta un archer, les nains ne sont bons qu'à boire et tailler ! Alors, je me retournais et fit face à l'elfe qui avait dit ces paroles et lui dit : «Si eux le sont, nous ne sommes que de minables végétariens avec des arcs en bois »
L'elfe balbutia une excuse et on se remit en marche. Plus tard, il me demanda pourquoi j'affectais tant d'amitié pour les nains, je lui répondis que toutes les races sont égales et que nulle n'a le droit de juger l'autre. Tàri mit fin à cette discussion psychologique en me rappelant que nous devions briefer nos hommes. En tant que second, il m'appuya dans cette tâche. Je donna à chacun une lame courte pour le corps à corps. Les guerriers étaient des vétérans, ils se battirent à la bataille de la Dernière Alliance, aux côtés de Isildur, Roi du Gondor. Ils portaient une hachette à la ceinture, en guise de projectiles et, comme moi, une armure argentée, avec tête à découvert. Leurs cheveux noués en natte, leur donnaient une impression de cérémonie. Leur air de vétéran se mêlait à la peur qu'ils inspiraient. Leurs lames adossé, prête à dégainer, ressemblait fort à Aracáno, elle aussi sur mon dos. Mais la beauté et la puissance de Aracáno n'avaient pas leurs égales dans le monde terrestre. Mes archers étaient bien formés. De haute taille, celui qui semblait s'imposer se nommait Filaë, je l'avais croisé au camp. Imposant, sa voix robuste dominait celle des autres, mais il savait rester à son seuil. Bon archer, il était plutôt bon bretteur, mais ne faisait certainement pas le poids face à un guerrier ici présent. Les autres étaient de bons archers mais n'avaient pas d'armures, simplement un manteau capuchonné pour se dissimuler. Tàri, lui, le plus robuste d'entre eux...moi compris. Il me dépassait d'une tête, et était presque plus grand que Dame Galadriel, qui nous avait visités, neuf jours plus tôt. Meilleur bretteur du camp, il maniait une lame à double tranchant incrustée de pierres précieuses. Il portait une armure elfique, et des bottes enchantées, qui lui permettait de rester à mon allure quand on courait, car je courais plus vite que lui.On arrivait en vue du camp Ourouk. Je sentis la pression de mes hommes monter à l'approche du combat. Les guerriers, eux, sont habitués au calme avant la tempête. J'observais le camp ennemi...rien d'inhabituel...deux arbalétriers et quinze guerriers. Il y avait deux prisonniers avec eux. Certainement des précédentes campagnes. Un Ourouk s'en approcha tout en riant avec un de ses confrères. Ils se regardèrent. Ils hochèrent la tête, puis, l'un deux dégaina sa lame et trancha la tête d'un prisonnier. La moitié de la tête fut décroché sous le choc. Puis, ils soulevèrent l'autre, et l'embrochèrent à tour de rôle. Un de mes archers se pencha pour vomir. «  Comment font-ils..., demanda un des archers ; il suffit de vouloir, répondis-je »
Puis, j'exposa le plan :
Le camp Ourouk était composé de deux parties : une partie était à la lisière de la Forêt, une autre était bien gardé par les deux arbalétriers. Tàri, mes guerriers et moi-même entreront par derrière, tandis que cinq archers, cachés dans les fourrés, mettront le feu à trois tentes. Dans l'agitation générale, deux archers abattront les arbalétriers. Ensuite, le reste des archers s'engouffrera à l'intèrieur du camp. La tente enflammée étant au milieu du camp, nos archers couveront la percée de nos hommes, en formation « deux lignes » : une ligne tire, puis cède sa place à la seconde , recharge et reprend sa place, ainsi de suite. Il était quatre heures de l'après-midi. Le plan fut mis à exécution.
Tàri, moi et mes hommes rentrèrent dans le camp sans se faire apercevoir. Puis, trois flèches de feu fendirent l'air et se fichèrent dans le tissu des tentes. Nous ne tardâmes pas à entendre des Ourouk s'affairer à chercher de l'eau au puis. C'est là que tout capota. Un Ourouk aperçut un de nos archers, puis il poussa un hurlement de guerre, et les Ourouks abandonnèrent leurs tentes à leur sort. L'Ourouk fut abattu, mais il restait quatorze Ourouk et deux arbalétriers. Suivant le plan, les archers abattirent les arbalétriers, mais les Ourouks refermèrent les portes du camp. Nous étions cernés. Mais Filaë fit cribler le village de flèches, et cela fit deux Ourouks morts. Alors, nous chargeâmes. Dégainant Aracáno, je sortis de la tente, et aperçut un Ourouk. Aracáno décrivit un arc de cercle et s'abattit sur le casque de l'Ourouk, fendant son crâne comme du beurre. Au loin, j'aperçus Tàri, réduisant à néant un Ourouk grâce à sa lame. Puis, deux guerriers ouvrirent les battants des portes, permettant aux archers de nous rejoindre. Trois guerriers firent trois victimes de plus. Il ne restait plus que neufs Ourouks. D'une flèche dans le dos, il n'en resta plus que huit. Puis, finalement, ils chargèrent. Positionnant Aracáno comme un piquet au dernier moment, un Ourouk s'embrocha dans ma lame. C'est alors qu'un Ourouk me sauta dessus. Je tombais à terre, puis, au moment où il allait prendre ma vie, il fut criblé de flèches. Repoussant le cadavre, Filaë m'aida à me relever. Il ne restait plus que deux Ourouks, et les archers s'en chargèrent. Après une brève pause, j'ordonnais aux archers de récupérer des flèches sur les cadavres et de fouiller les tentes. Le butin fut mince : quelques vêtements, du pain, et des flèches. Nous brulâmes les tentes, conformément à l'objectif, puis nous empilèrent les cadavres, les brûlant eux aussi. Puis nous repartîmes, fier et la tête haute. Certains avaient fait leur baptême du meurtre, d'autres c'était de la routine. Tàri riait de la vitesse avec laquelle l'opération avaient été menée. Je réprimanda mes hommes-les archers surtout- sur leur manque de discrétion dont ils avaient fait preuve, ce qui avait pu coûter la vie de nos hommes. Mais je les félicitèrent, et nous nous enfonçâmes, dans les profondeurs de la Forêt, une odeur de brûlé au nez. Je me retournais une dernière fois, pour contempler l'œuvre de la guerre, cette furie destructrice, dont tant d'hommes et créatures sont responsables, dont Saroumane est responsable

Bilan: Mission réussie Objectif rempli dix-sept Ourouks morts
Aucun Elfe mort/blessé

Voilà un très nette amélioration

Merci, qu'en penses-tu maintenant ?

que ça mérite tjs pas 10, mais 1 ou 2 pts de plus que la première version...

j'aime bien mais s'il te plaît, "rat des terres arides" c mechant et ca me rapelle bougnoule et vu ke je suis Arabe (d'origine tunisienne) je n'apprécie pas trop ^^mais j'ai apprécie le combat et la description j'aurais pas pu imaginer la mission jtaime bien! meme si t un elfe...

Ca vaut 10 (malgré la réticence de CC) pour unre première mission.
Mais essaye vraiment de diviser ton texte et de décrire un max.

Exemple pour ton texte :
Voyage.
Fait divers (tu vois un humain arraché en deux par exemple).
Préparation.
Combat.
Poursuite si fuite ou bien découverte de qqch.

Et essaye de dévellopper un peu l'histoire individuelle.
Je sais c'est difficile et on en demande beaucoup mais déjà ton orthographe est pas du tout mauvaise et tu as réussit à doubler ta longeur en peu de temps mais le but n'est vraiment pas de poster le plus possible en peu de temps. Il faut pauffiner tes textes au max etc...

Je veux bien te coter ou te donner la permission de la réécrire en te donnant +2 à ta note si tu t'améliores (genre derniere version t'as 16, je te met 18) encore.

PS : le nain est très pointilleux, et même si il en a le droit car il donne d'excellente mission, et que son avis compte beaucoup dans mes choix, ne soit pas vexé par ses remarques un peu brutales.

quand je disais que ça méritais pas 10, c'était pour la longueur
pour le reste, je dis pas, j'ai pas lu...

allez et arget prends soin de euh ... toi!

Faut pas trop se fier au remarque de CC sur la longueur car si tu n'as pas fait 20 pages word, il te mettra jamais 10

nette amélioration argetlam, c'est bien continue comme sa

Merci

1) pour la longue, je ne la referais pas, excusez moi mais j'en ai pris 3 heures et j'en suis content, après vous je sais pas mais bon...

2) " rats des terres arides " cela n'a rien à voir avec tes origines quelles quelles soit. Je ne suis pas raciste. Un elfe dit cela car les Haradrims sont nos ennemis à nous autres, les elfes. mais je l'enlèverais si tu veux.

Merci à tous, l'honneur est-il revenu sur notre peuple Legolas, Fils de Thranduil ?

Et pouvez vous me donner ma note et me dire si je suis promu ?