Morwena du Rohan

Morwena attend sa prochaine mission !
Troupes : 20 éclaireurs du rohan avec épées et boucliers.

Voilà voilà...

Mission : le roi t'envoie, précédent une armée plus importante, pour observer et analyser le chemin que l'armée qui te suit devra prendre. Tu accomplis ta mission, mais sur le chemin du retour, tu remarque un village en flamme. Va aider les paysans!

Armée alliée : toi, tes hommes et 50 paysans qui savent à peine se battre.
Armée ennemie : 25 Ourouks équipés moyennement, dont cinq arbalétriers.

Objectif : tuer tous les Ourouks et sauver le maximum de villageois.

Morwena, éclaireuse en chef du rohan.

Le soleil venait de se lever et Morwena se leva. Elle enfila ses vêtements sur sa douce peau. Elle enfila Sa veste de Rohirrim et ses cuissardes d’éclaireur. Avant de sortir de sa maison, elle prit ses deux précieuses haches et partit à Edoras pour faire sa première mission en tant qu’éclaireuse en chef. Elle sortie de son joyeux village et parcouru le chemin vers la ville où siégeait le roi Théoden. Elle parcoura les paysages du Rohan à pied, elle trouvait qu’à cheval, il était dur de contempler le paysage. Elle rencontra une patrouille de Rohirrims et leur demanda de s’arrêter :

«Cavaliers du Rohan, quelles sont les nouvelles ? leur demanda-t-elle.
- Aucune nouvelle éclaireuse du Rohan ! répondirent les Rohirrims.»

Morwena les laissa passer et reprit son chemin. Après une demi heure de marche, Morwena arrive à Edoras. Elle passa la porte gardée et traversa la ville d’Edoras pour arriver à la salle du trône. Hàma lui demanda ses armes et Morwena lui donna ses haches sans dire un mot. Elle entra et salua Théoden, roi du Rohan.

«Je vous salue Théoden, roi du Rohan ! annonça Morwena au roi.
- Morwena, l’éclaireuse en chef, tu tombes bien !
- Que se passe-t-il mon roi ? demanda Morwena.
- J’ai appris qu’une armée voulait prendre le Rohan, et déjà une armée alliée est en route. Mes troupes et moi-même risquons d’aller nous battre contre cette armée. Et c’est pourquoi j’ai besoin de toi ! Il faut que toi et tes éclaireurs observiez le chemin vers l’Ouestfolde.
- Oui, mon roi, répondit Morwena»

Morwena salua Théoden et sortit de la salle du trône. En sortant elle prit ses armes et descendit vers une auberge où étaient logés ses éclaireurs. Elle entra et demanda à l’aubergiste si les éclaireurs étaient prêts :

«Bonjours, aubergiste ! Est-ce que les éclaireurs sont prêts ?
- La vingtaine ? Certains oui et d’autres non ! répondit l’aubergiste.
- Pouvez-vous leur…
- Chef, je vais les réveiller si vous voulez, coupa l’un des éclaireurs.
- Merci à toi !»

Morwena s’installa à une table pour les attendre et elle remarqua un homme louche qui avait une cape noire. Elle s’avança vers lui et commença à lui poser des questions.

«Tiens, tu es un voyageur ?»

Mais l’homme ne répondit pas.

«D’où est-ce que tu viens ?»

L’homme ne dit rien.

«Eh, tu répondes sinon j’appelle la garde !»

L’homme la regarda et Morwena distingua un regard noir. Elle resta devant ce regard de vengeance et de souffrance. Elle n’avait plus la volonté de détourner son regard. L’homme souleva un peu sa cape se qui permit à Morwena de distinguer un couteau que l’homme tenait. Mais l’homme se leva et sortit une bourse. Il s’avança vers l’aubergiste pour payer. Morwena se leva et regarda cet homme partir. Les éclaireurs étaient derrière Morwena et tous prêts.

«Chef, nous sommes prêts !
- Hum ? A oui, nous une armée ennemie marche sur le Rohan pour en prendre le contrôle ! Nos alliés ont déjà envoyé des troupes, il faut analyser le chemin vers l’Ouestfolde pour les renforts ! Compris ? expliqua Morwena
- Compris, chef ! s’écrièrent les éclaireurs»

Les éclaireurs sortirent de l’auberge et d’Edoras. Ils suivirent la route pour examiner tous les détails. A cinq kilomètres il y avait un petit village protéger par une garnison de soldats du Rohan. Sur la route il n’y avait que du gravier, et Morwena l’analysa pour savoir si le chemin était très fréquenté. Après plusieurs observations, le chemin n’était fréquenté que par des charrettes de paysans et par des chevaux. Ils continuèrent la route tout en analysant le gravier. Il y avait beaucoup de villages aux alentours de la route. Ils rencontrèrent quelques patrouilles de Rohirrim, mais sinon rien d’autre.
Ils avaient analysé le chemin sur une centaine de mètres et il n’y avait rien d’anormal, les ourouks devaient éviter ce chemin qui est assez bien gardé.

«Cela fait plus de cinq heures que nous analysons ce chemin et il n’y a rien d’anormal, nous devrions rentrer à Edoras pour faire notre rapport ! annonça Morwena.
- D’accord, mais on commence à avoir faim ! dit l’un des éclaireurs.
- Ah, je vois… Allons vers le prochain village pour nous ravitailler !»

Les éclaireurs prirent le chemin inverse et après quelques minutes de marche, arrivèrent à un petit village. Ils descendirent et demandèrent l’hospitalité aux villageois. Ils acceptèrent et les éclaireurs se ravitaillèrent chacun dans une maison. Après le repas les éclaireurs offrirent aux villageois quelques pièces d’or et ils reprirent la route vers Edoras. Ils étaient joyeux, mais au bout d’un moment Morwena les arrêta.

«Stop ! Vous ne trouvez pas qu’il y a une drôle d’odeur ? demanda Morwena.
- Hum ? A oui, ça sent…
- …le brûlé ! coupa un éclaireur.»

Morwena scruta la route pour trouver d’où pouvait venir cette odeur. Elle vit un village un peu enflammé, les flammes devenaient de plus en plus importantes et de la fumée noire s’élevait dans le ciel.

«Un village ! Il est attaqué par les ourouks de la Main Blanche ! s’écria un éclaireur.
- Eclaireurs, allons sauver les villageois ! ordonna Morwena»

Les soldats obéirent et s’élancèrent vers le village en flammes. On entendait les cris de terreur des villageois apeurés. Les ourouks tuèrent tout le monde sur leur passage. Certains essayèrent de leur tenir tête, mais les malheureux ne firent pas le poids.

«Rasez le village, vermines ! ordonna l’un des ourouks.
- A mort aux créatures de l’ombre ! cria Morwena pour encourager les troupes.
- Villageois, prenez les armes et battez-vous ! ordonna l’un des éclaireurs.»

Les villageois obéirent et prirent fourches, marteaux et couteaux de cuisine. Une trentaine de villageois s’élancèrent pleins de courage sur les ourouks assoiffés de sang. La dizaine d’ourouks qui étaient au Sud du village furent submergé par une charge de villageois et d’éclaireurs du Rohan. Deux ourouks tranchèrent quatre paysans, mais ils furent transpercés par deux éclaireurs. Un villageois avec un marteau sauta sur l’un des ourouks et enfonça son casque, un autre villageois armé d’une fourche, la planta dans le corps de l’ourouk. Mais cinq arbalétriers firent leur apparition et décochèrent cinq flèches sur cinq éclaireurs. Morwena arriva sur le côté et avec ses deux haches, décapita l’un des arbalétriers. Les quatre autres rechargèrent leurs arbalètes, mais Morwena trancha un autre arbalétrier. Dès qu’ils eurent chargé leurs armes, Morwena se baissa et les arbalétriers tirèrent sur l’un des guerriers ourouks. Morwena se releva mais se prit un coup de coude dans la tête, ce qui la fit tomber. Les arbalétriers pointèrent leurs armes sur Morwena, mais trois ourouks, morts, leur tombèrent dessus et les arbalétriers ratèrent une nouvelle fois leur cible. Morwena trancha un arbalétrier et deux autres éclaireurs s’occupèrent des deux autres. Dix autres ourouks arrivèrent et vingt villageois leur sautèrent dessus. Avec leurs couteaux, les villageois tuèrent cinq ourouks, mais les cinq autres se débarrassèrent de leurs cinq attaquants. Les villageois se retirèrent, mais furent suivis par les ourouks. Morwena demanda à cinq éclaireurs de la suivre, et suivirent les ourouks. Les quatre autres ourouks parèrent les coups des éclaireurs et parvinrent à en tuer trois. Mais des villageois arrivèrent derrière eux et avec fourches et couteaux de débarrassèrent de ses ourouks. Les cinq ourouks qui suivaient les quinze villageois, réussirent à les mener dans un cul de sac. Ils s’approchèrent et avec leurs épées tranchèrent dix pauvres villageois. Les cinq autres villageois apeurés, lâchèrent leurs couteaux et essayèrent de trouver une sortie. Mais les ourouks se rapprochèrent et allèrent les trancher en morceaux quant Morwena intervint en découpant un ourouk. Les autres regardèrent derrière eux et se firent attaquer sur les côtés par les éclaireurs. Deux d’entres eux moururent, mais les deux autres ripostèrent sur les éclaireurs en tuant deux éclaireurs. Morwena planta ses haches dans le dos des deux ourouks. La bataille était terminée. Les villageois brûlèrent les morts et éteignirent les incendies. Morwena compta les morts et rassembla tout le monde.

«Il y a eu trop de mort, le village est en feu et certains de vous sont blessés légèrement et gravement ! Nous partons pour le prochain village et tous ceux qui voudront y habiter, y habiterons si il y a assez de place ! annonça Morwena
- Je propose que les personnes qui sont gravement blessés resteront dans le prochain village jusqu’à nouvel ordre ! proposa un éclaireur.
- C’est d’accord ! Les autres vous viendrez à Edoras !»

La troue se mit en route et après un quart d’heure de marche, ils arrivèrent au prochain village. Là, les blessés y restèrent et les autres partirent en direction d’Edoras. Après deux bonnes heures de marche, ils arrivèrent à Edoras. Dans la ville il y avait déjà des elfes et des hommes. La bataille du Rohan allait bientôt commencée ! Les villageois attendirent à l’entrée. Les éclaireurs suivirent Morwena et allèrent parler à Théoden. A la salle du trône, Morwena raconta l’attaque des ourouks et Théoden décida de prendre une décision. Les villageois iront se loger dans des villages proches et il décida de renforcer la garde des villages. Morwena et les éclaireurs se retirèrent. Morwena repartie vers son village et les éclaireurs dans l’auberge.

Terminé :
Bilan :
19 villageois morts sur 50
10 éclaireurs morts sur 20
Tous les ourouks sont morts
Morwena n’a que des égratignures.

Pas mal pour une première, mais pense a faire plus long la prochaine fois...

Salut Morwena, j'ai lu ton histoire et c'est pas mal pour un début, quoi que un peu court quand même. Mais sinon l'action c'est très bien et l'histoire c'est pas mal. Je n'ai vu que quelques fautes mais rien de grave. Mais je préfére Gauthier te noter, après tout c'est lui qui ta donné ta mission.


Si tu souhaite une nouvelle mission, voilà de quoi faire:

Description: Après cette mission, Théoden veut te présenter à un certains Gaaldor, un homme un peu étrange dont tu te méfie un peu. Il va t'envoyer pour espionner les rangs de l'ennemi, afin de pouvoir mettre en place une tactique d'attaque. Mais seulement voilà, tu te fais piégé ensuite par une embuscade de Rodeurs au service de Neomer. Il te faut t'en débarasser et rendre ton rapport à Gaaldor.


Objectif: Espionner les ennemis et survivre aux rodeurs de Neomer. Tu peux choisir de les tuer ou de fuir, comme cela te conviendra

Forces ennemis: Les forces du mal (voir la guerre du rohan dans les batailles commune) et 15 rôdeurs de Neomer avec des arcs et des épées

Forces alliées: Toi et tes hommes+5 éclaireurs du rohan

Mouai, à part pour la taille (c'est bien d'espacer mais faut quand même faire un peu plus) c'est un très très bon début...

Taille : 14/20 (un début reste un début)
Action : 17/20 (très bien décrit)
Histoire : 16/20 (pas mal)
Ortographe : 8/10 (quelques fautes mais rien de grave).

Note générale : 16/20 (bien écrit etc... même pour une première. Pense à faire plus long et tu vas péter les flammes).

Mission :

Description: Après cette mission, Théoden veut te présenter à un certains Gaaldor, un homme un peu étrange dont tu te méfie un peu. Il va t'envoyer pour espionner les rangs de l'ennemi, afin de pouvoir mettre en place une tactique
d'attaque. Mais seulement voilà, tu te fais piégé ensuite par une embuscade de Rôdeurs au service de Neomer. Il te faut t'en débarrasser et rendre ton rapport à Gaaldor.
Objectif: Espionner les ennemis et survivre aux rôdeurs de Neomer. Tu peux choisir de les tuer ou de fuir, comme cela te conviendra
Forces ennemis: Les forces du mal (voir la guerre du Rohan dans les batailles commune) et 15 rôdeurs de Neomer avec des arcs et des épées
Forces alliées: Toi et tes hommes+5 éclaireurs du Rohan

Morwena se réveilla, il devait être 10H. Elle se leva de son lit, se débarbouilla et enfila ses vêtements et sa veste d’éclaireur, sans oublier ses cuissardes du Rohan. Elle sortit de chez elle et elle sortie de son merveilleux village pour se mettre en route vers Edoras, la citée des rois du Rohan. Comme d’habitude, elle fit le chemin à pied pour contempler les plaines du Rohan avant que l’ombre ne parvienne sur ces plaines. Tout était calme, pas un bruit, le silence régnait en maître. Mais Morwena ne s’en rendit pas compte et continua son chemin. Après une demi-heure de marche, elle arriva à Edoras. Elle passa la grande porte et l’armée du bien, pour combattre les forces du mal qui veulent prendre le Rohan, était encore là depuis son dernier passage. Elle essaya tant bien que mal à parvenir à la salle du trône. A l’entrée, elle donna ses haches à Hàma et entra en saluant Théoden, le roi du Rohan.

«Je vous salue, Théoden, roi du Rohan ! Je viens pour recevoir une mission !
- Hum ? Tu es bien Morwena, l’éclaireuse en chef ? demanda-t-il.
- Oui, c’est moi grand roi, répondit-elle.
- Très bien, j’aimerai te présenter à un certains Gaaldor… Gaaldor, tu peux entrer !»

Un homme un peu étrange entra et salua Morwena. Morwena l’imita, mais elle se méfiait, l’homme quelle avait vu la dernière fois à l’auberge lui ressemblait, mais ce n’était pas lui.

«C’est lui que te donnera ta mission, allez en discuter à l’auberge, ordonna Théoden
- Oui, mon roi, répondit Morwena
- Morwena, va aussi à la caserne pour prendre cinq éclaireurs !
- Très bien, mon roi, répondit-elle.»

L’homme et Morwena sortir de la salle du trône et Morwena récupéra ses deux haches. Elle vit l’homme prendre une dague noire et une étrange épée, Morwena pensa que c’était une épée elfiques. Ils se dirigèrent vers la caserne et Morwena demanda aux cinq premiers éclaireurs de la suivre. Ensemble ils se dirigèrent vers l’auberge et Morwena en profita pour avertir les éclaireurs. Après tout ce remue ménage, Morwena et Gaaldor s’assirent à une table et Gaaldor annonça la mission à Morwena.

«J’ai sus pour ta dernière mission et c’est pour ça que j’ai besoin de toi. Je veux que toi et tes éclaireurs alliez espionner les rangs de l’ennemi afin de pouvoir mettre en place une tactique d’attaque. L’ennemi, d’après mes

éclaireurs, se trouve à un jour de marche en direction de Nord-Est ! Je crois qu’ils ont un campement !
- Je vois… Nous y allons sur le champ.
- Très bien !»

Les éclaireurs étaient prêts et le groupe de Morwena put partir le plus vite possible. Ils sortirent d’Edoras et partirent en direction du Nord-Est. Pendant le voyage l’un des éclaireurs demanda ce qu’ils allaient faire :

«Sergent, qu’allons nous faire au Nord-Est ?
- Comme vous le savez, une armée dirigée par un ancien seigneur du Rohan, Neomer, marche sur le château de Raölen en Ouestfolde. Il veut se venger et en même temps essayer de prendre le contrôle du Rohan avec l’aide de Saroumane. Notre mission consiste à espionner nos ennemies, expliqua Morwena
- Quoi ? On risque de perdre la vie en faisant une mission comme celle-ci ! Je parie qu’ils sont au moins un millier !
- Notre mission ne consiste pas à les tuer et si vous suivez mes ordres, ils ne nous repéreront pas !»

L’éclaireur se tut et ils continuèrent leur route sans un mot. Après une heure de marche, ils s’arrêtèrent pour se reposer, manger et boire. Ensuite, ils repartirent pour leur mission. Morwena vit que les éclaireurs étaient inquiets, elle essaya de les réconforter en leurs disant que l’armée ennemie passait par une partie de Fangorn. En entendent la nouvelle, les éclaireurs étaient moins inquiets et Morwena était fière d’elle ! Cela faisait déjà de bonnes heures qu’ils marchaient et la nuit venait de tomber. Ils s’arrêtèrent et montèrent leurs tentes. Ils mangèrent et dormirent. Aux premières lueurs du soleil, ils se réveillèrent et repartirent après avoir mangé un peu. Ce matin il faisait frais et ils durent prendre une petite veste pour leur tenir chaud.
Quelques heures de marche s’étaient écoulées et ils approchèrent de la forêt de Fangorn, là Morwena leur demanda :

«Stop ! Nous avancerons doucement, les ennemis seront vigilants !
- Bien ! répondirent en chœur les éclaireurs.»

Ils avancèrent doucement et parvinrent dans la forêt le plus calmement possible. Ils firent attention où ils marchèrent tout en essayant de ne point faire de bruit. Ils arrivèrent sur une colline qui se trouvait devant un sentier. Là les éclaireurs se couchèrent et virent des hommes en ligne avec des bannières qui étaient celles de Neomer. Morwena regarda les soldats et elle prit des notes dans sa tête : des guerriers du Rohan déchus, des piquiers, des archers, des cavaliers et des hommes de Dun. Et aussi des rôdeurs qui sont un peu derrière. Les forces de Neomer devaient marcher depuis un bon nombre de semaines, ils étaient un peu fatigués et énervés. Par contre ils sont armés jusqu’aux dents !
Morwena et les éclaireurs rampèrent en même temps pour que les forces de Neomer ne les sèment point. Mais Morwena entendit des bruits derrière eux, comme si on bandait des arcs. Elle se retourna et vit des rôdeurs qui devaient être à la
solde de Neomer. Les éclaireurs se retournèrent et Morwena se releva et avec ses haches trancha deux des rôdeurs. Les éclaireurs se levèrent et avec leurs épées essayèrent de trancher les rôdeurs. Mais les rôdeurs avaient déjà fait deux lignes, la première avec des épées et la seconde avec les arcs. Les rôdeurs essayèrent tant bien que mal de parer les attaques des éclaireurs. Mais deux d’entres eux ripostèrent et plantèrent leurs épées dans les corps de deux éclaireurs. Le sang coulait des deux plaies et les éclaireurs tombèrent. Quant à Morwena, elle se couchait par terre pour éviter les flèches que dégainaient les rôdeurs. Elle roula sur sa gauche pour atteindre un rôdeur et avec l’aide de ses deux haches, elle fit du rôdeur du gros jambon. Mais les arbres, réveillés par le sang commencèrent à bouger. Morwena, les éclaireurs et quelques rôdeurs se déplacèrent vers un autre terrain pour éviter la fureur des arbres.
Seulement deux rôdeurs n’eurent pas de chance et les arbres les attrapèrent et les broyèrent avec leurs racines. Mais le combat ne cessait pas et bientôt trois autres éclaireurs tombèrent à terre, transpercés par les épées des rôdeurs.
Mais les rôdeurs avec les arcs n’étaient pas encore passés à l’action et ils dégainèrent leurs flèches. Et trois autres éclaireurs tombèrent par terre avec des flèches dans le corps. Deux autres avaient réussis à contrer les tirs avec leurs boucliers. Voyant que le combat allait mal tourné, Morwena ordonna la fuite. Les éclaireurs coururent hors de la forêt dont les arbres montraient leur fureur et trois archers se firent à leurs tours broyés par ses monstrueux arbres. Les éclaireurs couraient à découvert et les archers dégainèrent les flèches. Deux éclaireurs tombèrent et l’autre flèche vint se planter dans la cuisse de Morwena. Morwena tomba et déjà une volée de flèche la visait. Un éclaireur se mit devant elle avec son bouclier devant lui. La volée s’abattit sur l’éclaireur, il réussi à en parer une bonne partie, mais des flèches l’avait touché. Le sang coulait de ses lèvres et tomba à terre. Les autres éclaireurs prirent Morwena par le bras et l’emmenèrent loin des rôdeurs. Les rôdeurs décidèrent d’abandonner la poursuite et partir en direction de l’Isengard. À cause de la blessure de Morwena, ils n’avancèrent pas très vite. Il ne restait que quatre éclaireurs et Morwena s’en voulait, elle se dit qu’elle aurait dût demander aux éclaireurs de fuir dès que les rôdeurs on fait leur apparition. La nuit commençait à tomber et les éclaireurs firent halte, ils montèrent le campement, récupérèrent des forces et s’endormirent. Morwena enleva la flèche de sa cuisse et elle enroula sa jambe d’un bandage. Après elle se coucha pour reprendre elle aussi des forces.
Au matin, ils repartirent en direction d’Edoras. Le retour fut comme à l’aller, calme. Morwena repensa aux évènements et dit aux éclaireurs :

«Pourquoi ?
- Hum ?
- Pourquoi ne pas m’avoir laissé là bas ?
- Tout simplement parce que vous êtes notre supérieur et que nous devons vous ramenez en vie au péril de nos vies, répondirent les éclaireurs.»

Morwena soupira et ne dit mot pendant ce calme, long et triste retour. Après quelques heures de marche, le petit groupe s’arrêta pour reprendre des forces et manger. L’éclaireur charger de transporter les provisions ouvrit le sac et murmura aux autres qu’ils n’avaient plus rien à manger.

«Sergent, nous n’avons plus rien à manger et presque plus d’eau !
- Quoi ? Il reste encore un long chemin et sans eau ni nourritures, nous mourons en route !»

Les éclaireurs se mirent à murmurer sur ce terrible sujet. Mais Morwena leur demanda de se taire et de continuer à marcher jusqu’à trouver un village où ils pourront se réapprovisionner. Ils continuèrent de marcher pendant une heure, une heure de fatigue. Heureusement ils aperçurent au loin un petit village, mais le village dégagea autant de fumée que Morwena décida de se dépêcher ! Ils dévalèrent la colline malgré leurs blessures. Aux portes incendiées du village ils décidèrent de chercher des survivants et surtout des vivres, mais Morwena ordonna de rester groupé. Ils avancèrent prudemment dans le village incendié quand tout d’un coup ils tombèrent sur deux hommes sauvages du pays de Dun. Les éclaireurs devaient se battre et ils engagèrent le combat. Le problème c’est qu’ils étaient très affaiblis et que les sauvages étaient en pleine forme. Les sauvages sautèrent sur les éclaireurs qui se préparèrent à parer les coups de hache avec leurs boucliers, mais à cause de leur handicape, ils n’arrivèrent pas à lever leurs boucliers assez haut pour parer les attaques frénétiques des sauvages. Heureusement Morwena sauta sur l’un des sauvages en le découpant en rondelle et par chance, l’autre sauvage tomba à terre transpercer par quelques flèches. Les éclaireurs formèrent un cercle et attendirent que les nouveaux ennemis sortent de leur cachette. Mais à la place d’archers ennemis, il y avait des archers paysans. L’un d’eux s’approcha de Morwena.

«Ce n’était pas la peine de vous déplacez pour rien, nous savons nous défendre !
- Nous sommes venus au départ pour nous réapprovisionner, mais quand nous avons vus le village en flamme nous avons décidé de vous aider !
- Hum… Entrez dans cette cabane encore intacte, vous trouverez des provisions !»

Morwena les remercia et elle et les éclaireurs prirent assez de provisions pour faire le reste du voyage. Mais tout d’un coup Morwena s’effondra, sa plaie venait de se rouvrir et elle commença à perdre ses forces. Morwena se réveilla dans un lit, sa jambe lui faisait mal mais pas autant que la dernière fois. Elle se leva de son lit, enfila son armure et sortit de la maison. A l’entrée, les éclaireurs l’attendaient.

«Chef, comment allez-vous ? demanda un éclaireur.
- Bien mieux, j’ai dormi pendant combien de temps ?
- Une journée chef !
- Reprenez vos affaires, on s’en va !
- Heu… Impossible chef !
- Pardon ? demanda Morwena très étonnée.
- Des sauvages du pays de Dun encerclent le village, répondit l’éclaireur.
- Tsss… Combien à peu près ?
- Pas moins d’une vingtaine, chef. On ne survivra pas à l’attaque !»

Morwena se tut et commença à déprimer. Elle marcha dans le village pour trouver le chef, mais les cors des sauvages retentirent pour sonner l’attaque. Surpris, Morwena retourna vers les éclaireurs et donna les ordres.

«Soldats, On va établir un plan de défense et de contre-attaque, où sont les paysans ?
- Chef, on a déjà élaboré un plan, les paysans se sont cachés pour surgir derrière l’ennemi, nous nous restons aux environs et dès que les paysans attaquent, on attaque par devant. Ils seront pris entre deux flancs ! expliqua l’un des éclaireurs.
- Bien soldats ! Allez on se prépare !»

Après que Morwena ai dit sa phrase, ils s’empressèrent de se cacher. Mais ce qu’ils n’avaient pas prévus c’est que les sauvages brûlèrent les maisons qui n’avaient pas encore été enflammées. Les paysans durent sortir de leurs cachettes et combattirent les sauvages. Mais les sauvages, étant plus forts, massacrèrent presque la totalité des paysans. Sans plus attendre, Morwena ordonna aux éclaireurs de combattre. Les sauvages chargèrent sur les éclaireurs mais, ils s’arrêtèrent quand ils entendirent un cor du Rohan. Ils regardèrent alors d’où venait le bruit et virent une dixième de cavalier de Rohan menés par un capitaine avec une armure rouge, Eomer le neveu du roi et le capitaine du Riddermark.

«Cavaliers du Rohan ! Regardez se que fait ces sauvages à des paysans, et c’est se qui risque de se passer à vos familles ! Ensemble, protégeons les terres de notre seigneur et de notre roi ! Pas de quartier sur les ennemis de notre pays ! A MORT ! En avant fils du Rohan !»

Les cavaliers chargèrent sur le village et le chef des sauvages donna les ordres :

«Allez en formation ! Ce n’est pas des cavaliers qui vont nous tuer ! Sonnez les cors et CHARGEZ !»

Les sauvages commencèrent à charger, mais Morwena avec l’aide de ses deux haches, trancha le chef des sauvages. Le sang gicla et il tomba le sang à la bouche. Les sauvages regardèrent leur chef tomber et foncèrent sur Morwena. Morwena se décala sur la gauche et les sauvages furent submergés par les cavaliers. Les éclaireurs sautèrent sur les survivants et les tuèrent. Bientôt, il n’y avait que les corps des sauvages et des pauvres paysans. Les survivants sortirent de leurs cachettes, remercièrent infiniment les cavaliers et commencèrent à se mettre au travail. Morwena alla parler à Eomer :

«Merci seigneur Eomer, sans vous nous serions morts !
- C’est le roi qu’il faut remercier, il commença à s’inquiéter et nous a ordonné d’aller voir, nous sommes tombé sur plusieurs villages en cendres jusqu’à celui-ci !
- Et les paysans ? Que vont-ils faire si les sauvages reviennent ?
- Je vais demander à certains de mes hommes de rester ici, mais vous avez l’air fatigué sergent. Prenez quelques chevaux, vos hommes et vous, et venez avec nous !
- Oui, merci !»

Morwena se dirigea vers le chef du village et lui demanda si il avait cinq chevaux. Il lui donna les chevaux et ils purent rentrer à Edoras en cheval et avec le seigneur Eomer ! Comme convenu, cinq cavaliers restèrent au village pour assurer la protection des paysans. Le retour fut court et très calme.
Arrivé à Edoras, les éclaireurs retournèrent à l’auberge, les cavaliers se dirigèrent vers les écuries et Morwena et Eomer se dirigèrent vers la salle du trône.

«Roi Théoden, j’ai ramené le sergent Morwena. Elle était dans un village en train de subir un assaut de sauvages.
- Bien Eomer, je savais que je pouvais compté sur toi ! Tu peux rompez ! Morwena, Gaaldor t’attend à la salle des soins, et profites en pour te soigner !
- Bien mon roi !»

Morwena se dirigea vers la salle des soins et donna son rapport à Gaaldor. Après cela, elle soigna sa plaie et partie en direction de chez elle…

Terminé.

Bilan :
11 éclaireurs sur 15 sont morts.
8 rôdeurs de Neomer sur 15 sont morts.
Quelques paysans sont morts.
Tous les sauvages sont morts.
Morwena est blessé à la jambe, mais elle se remettra vite.
Eomer et les cavaliers n’ont presque rien.

Note : cette mission se passe avant la guerre du Rohan.

C'est super pour des premier texte continue comme sa

C'est très bien pour une seconde mission, félicitation


Longueur: 16/20
Histoire: 15/20
Ortographe: 7/10 (on ne dit pas qu'on dégaine une flèche mais qu'on la décoche, sinon il y a peu de fautes)
Action: 12/20 (un peu confus par moment)


Général: 14,5/20

ok merci Sparda !

Alors 16+14.5+1pt bonus (anniversaire) = 1.5+1+1 = 3.5 = montée en grade !
Je prends en nouvelle troupes :
20 guerriers du Rohan avec épées et boucliers
5 Gardes Royaux avec lances et boucliers

Ce qui me fait :
20 éclaireurs avec épées et boucliers
20 guerriers du Rohan avec épées et boucliers
5 Gardes Royaux avec lances et boucliers
Morwena.

Maintenant j'attends la validation d'un modo !

Note : Morwena n'est plus une éclaireuse en chef, elle est maintenant une sergent en chef (des guerriers) du Rohan.

up !
Nico j'attends ta confirmation !

logiquement c'est bon, je ne suis pas modo mais je pense que y a pas de souçis


voila une mission pour toi:


Un capitaine du rohan vient de remarquer que certaines personnes de son entourage l'espionnais, il te les indiquera . Espionne les toi aussi et trouve qui se cachent derrière tout sa, mais fais attention, ton espionnage te meneras vers une compagnie d'homme de dun.


ennemis: 15 rohirims qui espionnent le capitaine, ce sont des soldats de saroumane donc tuent les.
Ils seront accompagné par 45 hommes sauvages.

ok merci ! Je m'y met !

Un capitaine du Rohan vient de remarquer que certaines personnes de son entourage l’espionnaient, il te les indiquera. Espionne les toi aussi et trouve qui se cachent derrière tout sa, mais fais attention, ton espionnage te mèneras vers une compagnie d'homme de Dun.

Ennemis: 15 Rohirrims qui espionnent le capitaine, ce sont des soldats de Saroumane donc tuent les.
Ils seront accompagnés par 45 hommes sauvages.

Dans son village, Morwena faisait de l’exercice pour que sa jambe retrouve son efficacité. Après trois heures d’exercices, Morwena sentit que sa jambe allait beaucoup mieux. Elle se dirigea vers l’auberge pour manger un peu. Dès qu’elle entra elle demanda un menu elfiques* au tavernier, celui s’empressa de le préparer. Morwena s’assit à une table et vit un homme, un homme mystérieux avec un habit sombre. Il dissimulait son visage avec l’aide de la capuche de son manteau. Morwena le reconnue, c’était le même homme qui était à l’auberge à Edoras*. Elle continuait à l’observer, mais l’aubergiste lui apporta son menu et quand elle ré observa l’homme, il avait disparu… Morwena se dit que c’était peut-être une vision et elle mangea son menu.
Après avoir fini, elle paya l’aubergiste et elle partit vers Edoras. Mais cette fois, elle ne partit pas à pied mais à cheval, elle n’avait pas envie d’être rétrogradé à cause de sa blessure.
Quelques minutes plus tard, elle arriva à Edoras, elle se dirige vers l’écurie pour y mettre son cheval et elle se dirige vers la salle du trône. Comme toujours, à l’entrée, Hàma demanda les précieuse haches de Morwena et elle entra et salua le roi :

«Je vous salue roi Théoden ! Je suis prête à accomplir une mission !
- Morwena, tes missions sont très bien faîte et j’ai décidé de te nommer Sergent en chef du Rohan !
- Moi ? Je vous en remercie, je ne pensait pas que je monterais en grade mon seigneur, répondit très étonnée Morwena.
- Tu as besoin d’une plus grande armée sous tes ordres et j’ai décidé de te donner seize éclaireurs, vingt guerriers du Rohan et voici, cinq gardes royaux !
- Vrai… Vraiment ? Je ne sais pas quoi dire, balbutia Morwena.
- Ils t’attendent à la caserne… Gardes royaux vous pouvez entrer !»

Les cinq gardes royaux entrèrent et se placèrent à côté de Morwena. Morwena s’adressa au roi :

«Mon seigneur, je venais chercher une mission, est-ce que vous en avez une ?
- Non, mais un capitaine a besoin d’aide, il se nomme Rowyn et il est à l’auberge, vous devriez aller le quérir !
- Bien mon roi !»

Morwena remercia encore le roi et sortie pour aller en direction de la caserne. A l’entrée de la caserne, elle demanda à l’officier les hommes qu’elle cherchait :

«Bonjour, je viens chercher seize éclaireurs et vingt guerriers.
- Hum ? Votre nom ?demanda l’officier.
- Morwena, sergent en chef du Rohan.
- Voyons… Oui c’est ça, je vais vous les chercher !»

L’officier entra dans la caserne pour chercher les nouveaux soldats. Quelques minutes après, les soldats sortirent de la caserne pour se mettre en rang. Morwena leur ordonna de rester ici et se dirigea vers l’auberge. Elle demanda à l’aubergiste d’appeler les éclaireurs. Il obéit et Morwena observa autour d’elle pour trouver le capitaine. Elle le trouva et se mit à sa table, celui demanda :

«Que voulez-vous jeune dame ?
- Morwena, sergent en chef du Rohan, il parait que vous avez besoin d’aide, répondit Morwena.
- Alors c’est le roi qui vous envois ? Oui, j’ai besoin d’aide mais approcher s’il vous plait…»

Morwena obéit et se rapprocha pour écouter les paroles du capitaine.

«Alors voilà, je viens de remarquer que certains de mes hommes m’espionnent… il s’agit de quinze Rohirrims, j’ai marqué sur ce papier leurs noms, je voudrais que tu les trouves pour savoir pourquoi il m’espionnent, expliqua le capitaine en chuchotant.
- Bien je vais m’en occuper !»

Le capitaine remit à Morwena un papier, elle la mit dans son sac et salua le capitaine. Elle se leva et vit les éclaireurs qui descendaient. Elle les salua et ils sortirent de l’auberge. Dehors, elle fit signe aux éclaireurs de venir vers elle. Elle prit le papier dans sa poche et le regarda, il y avait dedans toutes les informations concernant les quinze espions. Après avoir lut, Morwena donna ses ordres, chacun avait une mission, espionner l’une des quinze personnes. Après que les ordres furent donnés, elle s’adressa aux guerriers :

«Rester ici, quand j’aurais besoin de vous je ferais signe à six éclaireurs de venir vous chercher.»

Les guerriers obéirent et Morwena se tourna vers les éclaireurs.

«Vous six, vous ferez une ligne derrière moi pour prévenir les guerriers en cas de problème, est-ce que tout le monde est d’accord.
- Oui chef !
- Bien, à mon commandement… Allez si !»

Les éclaireurs partirent dans différentes directions, Morwena et les gardes se mirent en chemin. Ils sortirent d’Edoras pour allez dans un petit village à quelques minutes d’Edoras. Arrivé au village, ils cherchèrent la maison de l’un des quinze espions et la trouvèrent. Morwena ordonna aux gardes de rester en retrait et elle s’approcha de la fenêtre. Elle vit le Rohirrim en train de se préparer, Elle recula et quand l’homme sortit, elle le suivait en restant bien cachée. Les gardes suivaient Morwena. Elle continua son espionnage, à un moment, le Rohirrim regarda derrière lui, Morwena s’empressa de se cacher et dès qu’elle fut sûr qu’il ne regardait plus, elle continua à le suivre. Il sortit du village et se dirigea derrière une colline. Morwena continuait de le suivre et dès qu’elle regarda pour observer le Rohirrim, elle vit cinq hommes sauvages. Morwena se dit ‘‘C’est un traître. Lui et les quatorze autres doivent être à la solde de Saroumane.’’ L’un des sauvages demanda au Rohirrim :

«Saroumane s’impatiente, que faut-il faire chef ?
- Nous devons le tuer avant qu’il ne dise au roi que nous sommes des espions, mais il reste à Edoras… Il y a aussi quelqu’un qu’il faudrait éliminer, expliqua le Rohirrim
- Qui est cette personne ?
- J’ai entendu son nom à l’auberge, Rowyn lui a sûrement dit qu’il y a des espions. Il s’agit d’une sergent en chef, son nom est Morwena.»

En entendant son nom, Morwena serra ses poings, elle s’apprêtait à sortir ses haches et combattre l’espion et ses sbires, mais l’un des gardes royaux mit sa main sur son épaule et lui murmura de ne rien faire. Morwena l’écouta, desserra ses poings et continua d’espionner le Rohirrim. Les sauvages et le traître partirent en direction du Sud-est, Morwena et les gardes lui suivirent et bientôt, les ennemis arrivèrent dans une forêt. Il y avait au centre de la forêt une clairière là où se rassemblait, les traîtres et les sauvages. Dès que Morwena vit le nombre de sauvages, elle décida d’envoyer le signal aux guerriers du Rohan. Les six éclaireurs obéissaient et partir vers Edoras. Morwena fit signe aux autres éclaireurs de ne rien faire. Le traître que suivait Morwena semblait être le chef et s’adressa à ses sbires :

«Mes amis, il est l’heure de frapper ! Nous devons renverser Edoras ! Je vais vous indiquer le plan. Cette nuit, nous quinze, nous vous ouvrirons les portes pour que vous envahissiez Edoras. Les Rohirrim devront se défendre, mais ils seront fatigués et nous remporterons ! Nous remporterons pour la Main Blanche et Le Grand Œil ! Gloire à Sauron ! Gloire à Saroumane ! Gloire à l’union des deux tours !»

Les sauvages et les traîtres poussèrent des cris de joie et crièrent ‘‘Gloire à Sauron et à Saroumane !’’. Morwena n’arrivait plus à se retenir et heureusement l’armée n’était plus bien loin.
Quelques minutes plus tard à l’arrivée des guerriers, Morwena lança enfin l’attaque. Ils sortirent tous de la forêt et Morwena, pour leur inspirer confiance, cria :

«Enfants du Rohan, fils d’Eorl ! Il est temps de repousser nos ennemis ! Ces barbares, ces orques et ces traîtres n’ont que trop souillé nos terres ! Il est temps que le Troisième Âge s’achèvent dans la paix ! Nous, Nains, Elfes et Hommes, repousserons tous ensembles Sauron ! Gloire à notre roi ! Gloire à Théoden ! Pour une Terre du Milieux en paix, au nom de tous les peuples libres, a l’attaque !»

Les soldats du Rohan chargèrent en criant courageusement ‘‘Gloire à Théoden !’’. De leur côté, les sauvages avaient perdus toute confiance en eux et étaient prêts à laisser leurs armes et partir en courant, mais leur chef lui ordonna de tenir leurs rangs. Les sauvages restèrent car ils avaient plus peur de leur chef que des hommes du Rohan et ils préparèrent leur contre charge. Quand les deux armées arrivèrent nez à nez, se fut un massacre…
Huit éclaireurs se précipitèrent sur dix sauvages et un traître, quatre éclaireurs transpercèrent quatre sauvages, le sang gicla des victimes mais le traître et l’un des sauvages, tuèrent chacun l’un des éclaireurs. Le sol était déjà rempli de victimes. Les six éclaireurs ne se laissèrent pas avoir et contre attaquèrent, cette fois l’un d’eux n’a pas eu de chance et se fit tuer par les attaques frénétiques des sauvages. Mais les cinq autres éclaireurs transpercèrent les quatre autres sauvages et le traître. Mais le combat n’était pas fini, Morwena et ses gardes avaient eux aussi fait des victimes, Morwena fit un massacre épique et avec l’aide de ses gardes, elle transperça cinq sauvages, elle décapita deux traîtres et s’occupa personnellement du chef.
Elle lui lança un défi et il accepta. Morwena se tenait prête à agir et le chef fonça sur elle. Morwena esquiva et entailla la jambe de son adversaire. Il tomba et roula pour se remettre debout. Le sang dégoulinait de sa jambe et il lâcha son bouclier pour tenir sa jambe. Morwena en profita et avec ses deux haches, elle décapita son ennemi. La tête vola et atterrit en pleine formation de sauvages. Le corps tomba à terre et le sang gicla de son cou. A l’endroit où la tête a atterrit, onze sauvages et un traître furent prit de terreur et s’enfuir du champ de bataille. Les quatre sauvages qui étaient devant Morwena furent eux aussi prit de terreur et s’enfuir à leur tour du champ de bataille. Les sauvages et les traîtres restant se placèrent en une formation de défense, mais ils avaient déjà tous perdus confiance et étaient prêts à s’enfuir. Les hommes du Rohan se placèrent autour d’eux et les encerclèrent. Huit éclaireurs attaquèrent deux traîtres et six sauvages. Les armes s’entre cochèrent et à plusieurs moments certains tombaient. Le sang coulait de leurs plaies. Un éclaireur survit à ce massacre, il était à bout de souffle, mais il continua le combat avec le reste des sauvages. Il avait quelques blessures à ses bras et à son torse. Il marcha sur un corps et il tomba par terre. Manque de chance, une hache était là et l’acheva… Mais le combat n’était pas encore terminé et les sauvages se prirent les attaques des guerriers en plein fouet. Sur l’autre côté latérale de la formation, huit guerriers et quatre sauvages ainsi que quatre traîtres se battirent. Les guerriers essayèrent de parer les attaques de leurs ennemis et réussirent à tuer quatre sauvages. Mais Les traîtres ripostèrent et parvinrent à tuer les huit guerriers. Mais quatre éclaireurs et quatre guerriers se ruèrent sur les traîtres et les traîtres se firent submergés et transpercés par les hommes du Rohan. Le champ de bataille était remplit de sang et de cadavres. Morwena et les gardes s’avancèrent vers les derniers ennemis et elle leur dit :

«Regardez où vous a mené cette envie de détruire Edoras, à votre perte ! Je vous laisse une chance de vous enfuir !»

Les sauvages discutèrent entre eux et ils s’enfuir. Seulement deux traîtres restèrent sur le champ de bataille et Morwena leur dit :

«Pourquoi vous ne fuyez pas comme ces sauvages ?
- Qu’est ce que nous réserve le Roi ?
- Si il vous trouve, vous subirez le même sort que vos compagnons morts ici !
- Et si nous nous rendons ?
- Les traîtres sont punis lourdement mais je ne pense pas que le roi veuille vous tuer ! Il vous condamnera sévèrement !
- Alors, nous nous rendons…»

Les traîtres laissèrent tomber leurs armes et deux gardes attachèrent leurs mains et prirent les armes. Ils repartirent alors vers Edoras. Le retour fut calme et paisible. L’ombre n’avait pas encore atteint ces terres. Mais ça n’allait pas tarder.
Après une dizaine de minutes de marche, ils arrivèrent à Edoras. Les guerriers partirent à l’infirmerie pour se soigner et Morwena et les gardes amenèrent au Roi les deux traîtres. Ils déposèrent leurs armes devant Hàma et entrèrent. Ils saluèrent le Roi et lui expliquèrent ce qui s’était passé. Le Roi écouta attentivement et dit aux traîtres :

«Vous étiez autrefois des soldats du Rohan. Et Saroumane vous a attiré dans son antre sois disante pleine de trésors. Oublier votre allié Saroumane et faîtes en votre ennemi ! Vous étiez des soldats du Rohan et vous le redeviendrez ! Vous allez resservir votre capitaine, Rowyn ! Allez maintenant, nous gagnerons cette guerre !»

Les anciens traîtres remercièrent le Roi et partir à la caserne pour remettre leurs uniformes. Morwena salua le Roi et partit vers l’auberge. Là elle trouva Rowyn et elle lui expliqua tout ! Après avoir entendu le rapport de Morwena, Rowyn était fou de joie et il sortit dehors en disant à Morwena :

«Merci infiniment, je vais continuer mes missions en toute sécurité !»

Et il partit avec sa formation. Morwena le regarda partir et elle partit elle aussi dans son village…

Terminé :

Bilan :
25 sauvages sur 45 sont morts.
20 sauvages se sont enfuis.
1 traître s’est enfui.
12 traîtres sur 15 sont morts.
2 traîtres sont redevenus des hommes du Rohan.
10 éclaireurs sur 20 sont morts.
8 guerriers du Rohan sur 20 sont morts.

Lexique :
Menu elfiques : voir premier post de la taverne vers les pages 6-7 (je crois)
L’homme à l’auberge d’Edoras : voir première mission.

Note :
Rowyn partit en mission assez loin, il ne revint jamais. Les éclaireurs trouvèrent sa formation détruite par des orques dans une forêt, ils trouvèrent aussi des cadavres d’orques. Par contre ils ne trouvèrent jamais le corps du capitaine. Aujourd’hui les éclaireurs recherchent son corps dans toute la terre du milieu mais ils n’ont plus d’espoirs pour le retrouver. Depuis cette troisième mission, Morwena ne vit plus jamais l’homme mystérieux, qui était-il ? Personne ne le sut…

ça me rappelle quelque chose, des soldats du rohan et des orques morts dans une forêt et un capitaine qui disparait, dis-donc, ça ne serai pas moi l'homme mystérieux ?

et oui c'est toi l'homme mystérieux !
J'en profite pour faire un p'tit up à Ar

Au fait, pendant ta prochaine mission tu entendras à un moment le tonerre. Ne t'en fais pas, c'est juste pendant la guerre du Rohan il se passera des choses étranges.

ok c'est noté !

Sparda, les choses étranges, l'eclair, ce serait pas t'a petite épée par hasard

taille: 14
action: 14
histoire: 15
orthographe 8.5
note générale: 15 ( bonne mission)

Ok merci !
Une mission svp !
mes troupes :
10 éclaireurs
12 guerriers du Rohan
5 Gardes Royaux

Voilà ta mission:

Le roi théoden eut vent de la fin de la bataille du chateau de Raölen, mais les rapports menés étaient du moins étranges. Il veut que tu ailles explorer le lieu pour éclaircir ces points sombres de cette affaire. Tu vas y découvrir des ruines en cendre. Tu exploreras les ruines mais tu feras une rencontre terrifiante.

Forces ennemies: Un monstre qui ressemble à Neomer (comme dans la troisième partie de la guerre du Rohan).

Forces alliées: Toi et tes hommes

Objectif: Explorer les ruines, te débarasser de la bête, et ramener le rapport à théoden.

le loup garou neomer est gravement lbéssé, tu devra utiliser cette blessure pour le tuer. Ce sont des grandes plaies sur sont corps, tire dessus, enfonce ta lame dedans car sinon, aucune lame ne peut le percer. Sa force es gravement diminuer ( a rapport a la guerre du rohan)

Houlà! La mission est bien pensée et je pense qu'elle sera bien racontée. J'aurai pourtant juré que ce Neomer à la *** avait crevé, pourquoi tant d'injustice envers le bien ?!