Voila fini (pas trop tôt
)
Depuis peux, Phoenixios commençais a ce faire un nom dans la terre du milieu. Mais cependant sont commandent continuer de lui donner des missions insignifiante. Cette fois ci il avait ordre de retourner au Rohan pour apporter une missive à un commandant de ce pays. I lavait d’ailleurs eu un accroc entre lui et son chef. Un léger sourirent commença à naitre sur ses lèvres.
« Vous devez une nouvelle fois vous rendre au Rohan, apportez cette missive a Erarewyr, c’est un des commandants du roi.
-QUOI, encore une missive à porter. Donnez donc cette mission à quelqu’un d’autre. Il y a eu plein de nouvelle recrue, servez vous d’eux au lieu de réquisitionner quatre-vingt-dix hommes pour un bout de papier.
-Ceci n’est pas un vulgaire bout de papier comme vous dites. C’est de la plus haute importance, alors nous devons la protéger au péril de notre vie.
-Avec vous c’est toujours de la plus haute importance. Nous ne savons même pas si ce que vous dites est vrai puisque nous ne pouvons pas l’ouvrir.
-Aucune importance, vous la transporterais un point c’est tout.
-Très bien, mais sachez que ce sera la dernière fois. » Ce fut sur ces mots qu’il quitta son chef.
« Capitaine, capitaine.
-Oui, Bergen ?
-Pourquoi avoir un tel sourire alors que vous nous dites ne pas apprécier cette mission.
-Pour rien, oubliez sa. Alors où en sont les préparatifs ?
-Ils sont terminés. Nous n’attendons plus que vous et votre signal pour partir.
-Très bien, partez devant je vous rejoins. » Ce fut a ce moment qu’un soldat arriva pour le plus grand plaisir de Phoenixios par la suite.
« Commandant, nous avons besoins de votre aide. Ma compagnie vas ce faire attaquer par de nombreux orcs, nous ne serons jamais assez nombreux pour leur résister.
-Très bien je vais vous envoyé des soldats.
-Je ne voudrais pas vous importunez mais ma compagnie est la plus forte dans ce camps, c’est à nous d’y aller non ? » Ne put s’empêcher de dire Phoenixios.
-Certes mais laisse moi d’abord réfléchir a tout sa.
-Vous n’avez pas le temps, la troupe doit partir tout de suite ou ils arriveront trop tard.
-Nous sommes déjà prêt à partir.
-Bon très bien, allez y mais revenez avec la victoire, ou ne revenez pas du tout.
-Très clair chef. » Phoenixios content de lui, sourit a pleine dent.
La journée qui suivit fut joyeuse. Enfin au temps qu’elle peut l’être sachant que le lendemain la plus part des hommes ici présent peuvent mourir. Le chemin fut calme, aucune attaque ne fut perpétrée contre eux. Les oiseaux chantaient calmement dans les arbres et les hommes les écoutèrent d’une oreille attentive. Lorsqu’ils arrivèrent au sois disant camp, Phoenixios vit que ce n’était en faite qu’une simple palissade qui le protéger. Un troll même jeune peut la défoncer en un coup.
« Bergen, réunis les hommes au milieu de camp, je vais leur parler de mon plan. » Les hommes se déchargèrent de leur fardeaux, les chevaux furent desseller, et les tentes mises en place avant que Phoenixios ne put prendre la parole.
« Mes chères frères, nous sommes venus ici pour défendre ce camp, mais nous ne nous battrons pas à l’intérieure au début. Nous allons aller à leur rencontre. Soldat, avait vous envoyé des éclaireurs ?
-Oui.
-Très bien, alors combien a de troupes l’ennemi.
-Ils sont une centaine, et aux dernières nouvelles il y a un troll.
-S’il n’y en a qu’un sa peut aller. Je vais prendre avec moi que les rôdeurs. Bergen en attendant mon retour c’est toi qui commanderas le camp.
-Oui, chef. »
Il fallu tout de même une heure avant de trouver l’ennemi. Ils se trouvaient dans un camp de base. Celui-ci n’avait pas de mur, mais juste un fossé pour empêcher toute intrusion. Quelques gardes étaient à leur poste. Cependant le gros de la troupe devait se trouver dans les tentes a l’abri du soleil. Les hommes prirent position tout autour du camp. Phoenixios prit une flèche de son carquois, banda son arc et attendit que chaque homme fut près. Lorsqu’il vit que tout le monde étaient en position ou presque il lança le signal (le chant d’oiseau traditionnel des rôdeurs). Sa flèche partit en direction de l’orc le plus proche, elle se planta entre ses deux yeux. L’immonde créature tomba à terre. Les ennemis sortirent de leurs tentes en entendent les cris des blessés. Phoenixios vit le troll arrivait dans sa direction, il visa son œil mais le rata de peut, il eu le temps de prendre une autre flèche et cette fois celle-ci atteignit sa cible, mais cela n’arrêta pas le troll pour au temps, celui-ci donna un grand coup de point sur Phoenixios qui vola a travers les bois. Sa chute fut arrêté pas un grand chêne. Il perdit connaissance quelques secondes. Elles furent cependant suffisantes pour que le troll arme son attaque. Il abaissa violemment sa massue sur Phoenixios qui roula sur le coté.
En voyant leur chef en mauvaise posture les rôdeurs criblèrent le troll de trait. Ce dernier s’effondra par terre avec une multitude de flèches dans le dos. Phoenixios regarda tout autour de lui, en voyant ses hommes en difficulté il dit :
« Repliez vous vers le camps. » Il partit tout en lançant quelques flèches sur des orcs à découvert.
De retour au camp, Phoenixios partis à l’infirmerie se mettre un bandage à sa tête qui saignait. Une dizaine de rôdeurs arrivèrent peut après lui. Phoenixios engagea la conversation avec l’un de.
« Sais tu combien d’hommes sont mort et combien d’ennemis on péri ?
-Une dizaine d’homme sont mort, et une cinquantaine d’orc on périt plus le troll.
-Merci » Phoenixios ressortis de l’infirmerie et alla voir Bergen.
« Alors comment vont les hommes ?
-Au plus mal, pour ceux qui étaient déjà présent et nos nouvelles recrues, savent qu’ils ne passeront surement pas la nuit.
-Il ne faut pas les laisser comme, effectue une sortie avec les cavaliers, juste de reconnaissance, pas de combat sauf si tu ne peux pas faire autrement.
-Très bien à tout à l’heure. » Bergen le quitta sur ces mots.
Le soir, les cavaliers n’étaient toujours pas revenus, Phoenixios commençait à devenir inquiets à leurs sujets.
Un cor ce fit entendre au loin.
« Les orcs ».Hurla un soldat. Tout le monde se mit à sa place. Les archers se positionnèrent au dessus de la palissade, les piquiers derrière la porte avec les épéistes. Phoenixios vit un troll s’avançais. « Impossible il était mort » pensa t’il.
« Archers visait moi ce troll qu’il n’en reste rien. » Il se prit une vingtaine de flèches dans le corps sans pour au temps s’arrêter. Il fit voler la porte d’un seul coup de massue. Il reprit sa course vers les piquiers qui était resté au camp, il se prit cinq piques en plein dans le ventre. Il s’effondra de toute sa masse. Deux piquiers moururent écrasés. Les orcs quand a eux n’ont pas attendu, ils ont eu aussi foncé dans le temps. Les archers orcs tiraient sur les archers du bien. Plusieurs d’entre eux tombèrent. Les épéistes orc se lancèrent à l’attaque des piquiers. Plusieurs d’entre eux empalèrent les créatures du mal. Cependant ils ne pouvaient rien faire face au nombre des ennemis. Ce fut a ce moment la que les épéistes humains se lancèrent dans la bataille. Ces derniers tuèrent un bon nombre d’orc. De son promontoire Phoenixios arcelet les archers orcs de ses flèches. Chaque trait atteignait sa cible, il en était à son dixième orc. Cependant il dut descendre car les orcs commençaient à monté sur la palissade, il ramassa des flèches dans le carquois d’un archer morts avant de continuer à tirer plus loin. Dans sa fuite il tua deux orcs d’un trait entre les deux yeux du premier et le second d’une flèche dans le torse.
Très vite les combattants se dispersèrent en petit groupes. Phoenixios s’aperçut que les troupes du mal était les plus nombreuses. Les orcs prenaient le dessus, les hommes du bien refluaient de partout. Bientôt il ne rester plus qu’une trentaine de rôdeurs et une dizaine d’épéistes.
Quand tout à coup un cor ce fit entendre. C’était celui du Gondor. Des cavaliers surgirent de la forêt et balayèrent une vingtaine d’orc à l’extérieure du camp. Les rôdeurs à la vue de leur compatriote redoublèrent d’énergie et bientôt il ne restait plus aucun orc vivant.
Phoenixios alla voir le chef des cavaliers et lui parla :
« Qui êtes vous, vous qui arrivez au bon moment ?
-Ne me reconnaissez vous pas Capitaine ?
-Bergen ?
-Oui, c’est bien moi.
-On vous croyez mort.
-Et bien non, comme vous le voyez de vos yeux. Nous nous étions simplement égarer.
-Je reconnais là ton célèbre sens de l’orientation. » Phoenixios content de revoir son chère ami ne dit plus rien et le pris dans ses bras. Bergen étonné de temps de sympathie de la part de son Capitaine fut étonné.
Le retour se passer dans le plus grand bien, les hommes restant fêtèrent leur victoire une fois arrivé au camp principal.
Bilan : Tous les ennemis mort
30 épéistes morts et 28 archers morts
18 rôdeurs mort ainsi que 27 cavaliers.