voila, ma deuxième mission je l' ai faite sur word pour supprimer le maximum de fautes voila:
Mission: Un groupe d'orc se balade impunément dans le territoire du Gondor. Il faut que tu les affrontes et que tu les tues.
Troupes ennemies : un groupe de 20 orcs dont 3 archers
Troupes alliée : toi et tes hommes.
Halbort et ses hommes s’étaient reposés onze jours à Minas Thirit en compagnie de leur famille et de leurs amis puis ils s’étaient mis en route pour la forêt Druadan, juste au nord de la capitale du Gondor. Cela faisait deux jours que les rodeurs marchaient vers le nord, sans aucun signe de l’ennemi. Le troisième jour dans l’après midi, ils aperçurent une fumée opaque qui montait dans le ciel, le groupe se mit à courir à travers la plaine, corps et âmes, en direction du feu. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent enfin dans un camp détruit. Des hommes du Gondor et des carcasses d’orcs dispersées jonchaient le sol. La bataille avait été un vrai carnage, les cadavres des gondoriens était mutilés, la douleur et la souffrance se lisaient encore sur leurs visages meurtris, la tête d’un soldat était empalée sur un pieu.
- Quel affreux spectacle ! L’affrontement a été sauvage, il n’y a plus âmes qui vivent, murmura tristement Halbort.
- Là bas ! Un survivant !
Halbort s’approcha d’un soldat agonisant, il était étendu sur le sol, il avait une flèche plantée dans la jambe et il saignait abondamment à la tête. Son bouclier était fendu. Halbort s’agenouilla et pris la main du mourant… le soldat commença à parler d’une voie fébrile :
- Des orcs…nous ont…sauvagement…attaqués…par…surprise…mes compagnons…sont morts…vengez…nous…ils sont… partis vers le nord…massacrez…les…
- Je le ferai ! Répondit-il, mais le soldat s’était éteint, il était mort…
- Mes compagnons ! Le Gondor a besoin de nous ! Ces soldats on été massacrés impunément sur nos terres par c’est pourritures du Mordor ! Nous devons les venger ! Reposez-vous ! Demain, dès l’aube nous irons chasser de l’orc !
- Oui mon capitaine ! Reprirent les rangers en brandissant leurs arcs.
- En attendant, brûlez les cadavres !
Les rangers obéirent et exécutèrent les ordres de leur chef. Quand ce fût fini, ils installèrent leur camp un peu plus loin et allèrent donc se coucher en pensant aux événements qui se dérouleraient le lendemain.
Au petit matin, Halbort fut le premier debout. Il se hâta et réveilla ses hommes un à un. Ils prirent enfin la route en direction du Nord. Pendant quelques heures, ils traversèrent une longue forêt de pins. Au bout de trois heures de marche, le groupe des vingt hommes d’Halbort atteignit la lisière de la forêt, ils en profitèrent pour s’abreuver, puis ils se remirent en route durant une heure encore. Ils parcoururent encore des plaines verdoyantes. Enfin, ils repérèrent au loin le groupe d’orcs qui fuyait vers l’Ouest. On ne pouvait distinguer parfaitement leur nombre mais ils semblaient être peu nombreux, une vingtaine au maximum. Halbort décida de les pister discrètement jusqu’à la nuit. À ce moment-là, les rangers tendront une embuscade.
Le soleil commençait à se coucher, les orcs firent donc une halte à la lisière d’un bosquet. Le groupe de rangers contournèrent leur campement et allèrent s’installer dans le petit bois, en attendant que les serviteurs du mal s’endorment enfin. Quelques heures plus tard les créatures de Sauron avaient trouvé le sommeil. Seuls deux orcs guettaient, assis près du feu de camp. Les rangers s’approchèrent à pas feutrés, deux d’entre eux bandèrent leur arc et décochèrent leurs flèches. L’une d’elle vint se planter immédiatement dans la tête d’un orc, la seconde s’abattit directement dans la gorge de son compagnon. Celui-ci poussa un cri si strident qu’il réveilla la horde de monstres. Les rôdeurs étaient repérés.
- à mort ! Hurla Halbort d’une voie puissante, en chargeant l’ennemi, il tira une flèche qui tua un orc qui s’effondra lourdement sur le sol.
- Tirez ! Hurla à nouveau le chef.
Les rangers décochèrent une volée qui fit quatre morts, puis ils dégainèrent leurs épées et s’engagèrent dans un corps à corps. Le combat faisait rage et les orcs avaient déjà essuyé deux pertes. Soudain, trois flèches tirées par des orcs filèrent. Une seule fit mouche en touchant Itraïl à l’abdomen.
- Tenez vos positions ! Je me charge des ces archers ! cria Halbort
Il tira une flèche qui atterrit dans le torse de l’un d’eux, puis il chargea, épée en main le deuxième archer et lui abattit lourdement sa lame dans l’épaule. Surpris par la rapidité fulgurante de l’attaque, il fut tué. Le troisième archer assaillit Halbort à la tête. Il esquiva l’attaque facilement et il enchaîna d’un coup puissant qui atteint son adversaire au buste et le tua. Halbort s’apprêtait à retourner auprès de ses frères mais un orc à la musculature imposante - le chef - lui barra la route. Il portait à sa main gauche un bouclier où était peint le grand œil, à sa main droite il tenait une hache massive.
- Je vais te tuer chien ! Hurla le monstre.
Il porta un coup puissant à la tête d’Halbort qu’il esquiva de justesse. Il riposta ensuite par une attaque que le chef bloqua avec son bouclier,
- C’est tout ce que tu sais faire Humain ! Beugla l’orc.
Il assena un coup de hache que Halbort dévia de justesse à l’aide de son épée mais il le blessa tout de même au bras. Fort heureusement, la blessure n’était que superficielle. Halbort riposta immédiatement et abattit son épée dans les genoux de l’orc. Cela le fit fléchir puis il trancha d’un geste adroit sa tête hideuse.
– Voila ce qu’il en coûte de s’aventurer dans les territoires du Gondor ! Infâme créature !
Halbort alla porter main forte à ses compagnons afin d’achever le peu d’orcs qui étaient encore en vie. Quand ils furent tous morts, les rangers allèrent vérifier l’état de la blessure d’Itraïl. Heureusement la plaie était peu profonde, il était donc hors de danger, puis ils allèrent se recueillirent un instant sur la dépouille de Théradore qui avait été tué lâchement et sauvagement par un orc d’un violent coup de hâche dans le dos durant l’affrontement. Les rôdeurs honorèrent et pleurèrent donc la mémoire de leur brave compagnon. Théradore avait été un bon soldat, vaillant et téméraire. Ils l’enterrèrent selon les rites funéraires. Dès que la cérémonie fût terminée, ils empilèrent les cadavres des orcs et les brûlèrent. Quant à Halbort, il alla examiner la carcasse du chef… « Mais que venait faire ces créatures sur nos territoires ?» se demanda t’il. Soudain, il aperçut un parchemin à la ceinture de cuir du monstre, Halbort le saisit puis le déroula. Il s’agissait d’une carte de la Terre du Milieu vaguement représentée. Une grosse croix noire était tracée juste au sud de Cair Andros sur la rivière Anduin. « C’était donc là-bas que se rendaient les orcs… » Songea Halbort. Il accrocha la carte à sa taille et alla aider ses frères d’armes.
La nuit était déjà tombée depuis un bon moment, ils allèrent enfin dormir.
La compagnie se réveilla tard dans la matinée. Après avoir mangé un sanglier qu’ils avaient pourchassé et tué un peu plus tôt dans le matin, ils se mirent en route pour Minas Thirit.
Ils marchèrent durant quatre jours et ils arrivèrent enfin dans la majestueuse capitale du Gondor. Le groupe de rangers se sépara donc. Halbort monta jusqu’au troisième étage de la cité et alla voir le capitaine Altraïl dans ses quartiers. Il demeurait dans une grande bâtisse en pierre blanche. Halbort ouvrit les grandes portes de bois ornées de l’arbre blanc symbole de Minas Thirit. Il traversa le couloir et rejoignit la salle d’armes où devait se trouver son supérieur. Le capitaine Altraïl comprit en discernant l’expression grave de son soldat, que quelque chose de grave venait de se produire. Il exigea que ses gardes du corps les laissent seuls. Halbort posa un genou à terre.
– Qu’y a-t-il ? demanda Altraïl.
– Mon capitaine, un groupe de soldats du Gondor a subi une embuscade par une bande d’orcs sanguinaires, il y a de cela six jours. Il n’y a aucun survivant dix-huit victimes sont à déplorer… Soyez sans crainte nous les avons traqués et nous les avons exterminés tous, sans exception ! D’après une carte que j’ai pu me procurer sur leur chef, ils projetaient d’attaquer une garnison de soldats à un avant poste juste au sud de Cair Andros.
– Je vous remercie pour ses précieuses informations Halbort. Je vais envoyer de suite une missive au commandant de Cair Andros pour qu’il renforce les patrouilles le long du fleuve Anduin.
Halbort se releva, salua Altraïl et quitta sa demeure. Il alla enfin panser sa blessure et partit rejoindre ses hommes à la taverne qui buvaient une chopine pour fêter la réussite de leur mission. Il s’assit à leurs cotés et but de bon cœur avec eux.
voila, me m' ataque à ta mission ar-pharazon