Les Guerres de la Terre du Milieu
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Les Guerres de la Terre du Milieu

La reprise du jeu de rôle créer sur le forum Le Seigneur des Anneaux : l'âge des conquêtes
 
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 Arthad du nord

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Gauthier555
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king-of-angmar
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MessageSujet: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeSam 12 Juin - 22:57

--------------------------------------------------------------------------------

nom : Arthad
Race : dunedain
Camp : le bien
armes : un arc long, une épée datant du siege de fornost, toujours aussi ttranchante
équipement : une cape de camouflage (de vraies feuilles y sont brodés), un bouclier noir
troupes : 10 rodeurs, tres bons en tir a l'arc et en embuscade, mais l'absence d'armure les rends moins résistants et moins forts dans la tactique consistant a charger en hurlant "OOOOOOOUUUUUUAAAAHHH!!!!!!!" ^^
10 guerriers en armure, lance, épée et boucliers.
Arthad : Arthad est le dessandant d'un des gardes du roi Arvedui, le seul héritage qu'il possede est son épée, tranchante comme les meilleurs haches des nains et légeres comme les épées des elfes, son arc est le présent d'un elfes qu'il a un jour secouru, ils fut entrainé par ce même elfes et vie au abord de bree, préférant défendre plutot qu'attaquer.

j'attend vos missions Wink


Dernière édition par king-of-angmar le Mer 16 Juin - 19:01, édité 1 fois
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lordkiller

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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeSam 12 Juin - 23:28

Bienvenu à toi dunedain que ta cause soit juste
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Turgo
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeSam 12 Juin - 23:32

Mission:
Tu es envoyé par le chef des rôdeurs(cousin d'aragorn me souviens plus de son nom sorry)
pour essayer de pactiser avec les Hommes de Dun, des hommes ne seraient pas de trop pour les rôdeurs mais attention des emissaires d'Isengard arrivent aussi.
Tue-les et convaincs les hommes de ce village de te joindre à ta cause!
Alliés:Toi, tes hommes( tu peux pas avoir comme allié les hommes de pays de dun pour linst^^)
Ennemis:Cinq chevaucheurs de warg avec cinq arbalétriers et leur chef, un puissant épéiste


Bonne chance rôdeur Smile
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king-of-angmar
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeSam 12 Juin - 23:36

halbarad?

ok je m'en occupe^^
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Turgo
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeSam 12 Juin - 23:39

Ouimerci, faut trop que je relise le livre...

ET METS UN AVATAR ^^
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king-of-angmar
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeMar 15 Juin - 17:28

voila pour l'avatar, et pour la mission, tout va bien, je suis à 1 page 1/2 et je suis encore très loin du départ vers le village (selon mes estimations, je serait vers 3 pages, voir plus au moment du départ).
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Gauthier555
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeMar 15 Juin - 21:05

Euh... Descendant d'Aragorn, ou parent d'Aragorn, je le sens pas trop, d'ailleurs on avait dit pas de parenté avec les héros...

Essayez de comprendre qu'on est dans le même univers mais décalé, donc pas de héros encore...
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeMer 16 Juin - 18:53

Gauthier555 a écrit:
Euh... Descendant d'Aragorn, ou parent d'Aragorn, je le sens pas trop, d'ailleurs on avait dit pas de parenté avec les héros...

Essayez de comprendre qu'on est dans le même univers mais décalé, donc pas de héros encore...
des aisselles (dsl) je savais pas, je corrige Very Happy
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Turgo
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 17 Juin - 11:07

king-of-angmar a écrit:
Gauthier555 a écrit:
Euh... Descendant d'Aragorn, ou parent d'Aragorn, je le sens pas trop, d'ailleurs on avait dit pas de parenté avec les héros...

Essayez de comprendre qu'on est dans le même univers mais décalé, donc pas de héros encore...
des aisselles (dsl) je savais pas, je corrige Very Happy


mdr des aisselles Razz
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 17 Juin - 17:25

c'est se que je pensé lol!
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeMar 13 Juil - 14:09

ce sera bientot fini, je suis au combat final
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 17:55


« Des cris, des hurlements, des rires sadiques… puis plus rien : tout devient noir et se brouille, je tombe à terre, quelques instants plus tard (où peut-être des heures, je n’en sais rien) un homme me relève, il me dit :

- Debout soldat, un garde royale ne se laisse pas vaincre aussi facilement! La porte tombera bientôt, nous devons protéger Arvedui, des alliés viendront peut-être!
Je reprends connaissance et je lui répond :
-Je n’ai guère d’espoir de ce côté-là, ils arriveront trop tard.
-Dans ce cas, nous vendront chèrement nos vie! Viens, nous devons rejoindre le roi.
Sur le trajet, ma curiosité me força à lui demander :
- Que m’est-il arrivé?
-Un rocher envoyé par une catapulte a explosé pas loin de toi et tu t’es pris les débris.

Le roi donnais des ordres et exhortais ses hommes à tenir la ville :
-Tenez bon soldats! Vous êtes les derniers des Dunedains, les créatures de la couronne de fer sont à notre porte, peu importe qui elles sont, vous leurs ferez face! Vous êtes les soldats d’arnor, vous ne reculez pas devant le danger. Des archers sur les murs et derrière la porte! Faites des remparts de vos boucliers et chassez ces impuretés de vos terres!
-Bien dit mon seigneur! dis-je en m’avançant vers lui.
- Mon ami, vous êtes toujours en vie; un de mes soldats m’avait dit vous avoir trouvé mort!
-Non, j’avais seulement perdu connaissance, je suis prêt à reprendre le combat!
-Ca fait plaisir à entendre, un combattant telle que vous me sera bien utile.
-Le roi sorcier est avec ses troupes? Demandais-je au souverain d’Arnor.
-Non, il n’y a qu’une petite troupe de siège, pour nous affaiblir.

C’est à ce moment que la porte céda, libérant des orques et des hommes des ténèbres.
Une volée de flèche s’abattit sur les premiers orques, d’autres furent empalés sur les lances des courageux guerriers du nord. Mais le mur de bouclier fut brisé et les hommes du mal se lancèrent sur nous en hurlant leur haine à notre souverain.

Le premier qui arriva était grand, le visage sale et les cheveux hirsute. Il me donna un coup d’épée qui me fit chanceler, mais ma riposte fut très rapide et il n’eut pas le temps de l’esquiver correctement et son épée vola. Il me donna donc un coup de poing.
Je n’eut aucun mal à l’esquiver en me baissant et je lui trancha la jambe avec mon épée. Un autre arriva, mais avant qu’il n’eut le temps de faire quoi que se soit, il fut transpercé par une flèche. Un dernier fonça vers le roi, qui lui trancha la tête net avant de crier « POUR ARNOR!!!! ».

Les orques d’Angmar se battait mal, les dunedains les transperçaient de leurs lance affutés où les tranchaient avec leurs épées, Androth, l’homme qui m’avait secouru, était en mauvaise posture, il se battait à un contre trois, je lui prêta main forte, avant que les hommes corrompus ne remarque qu’ils étaient attaqués, l’un d’eux fut empalé par mon épée, un autre me donna un coup que je para de mon bouclier, mais déjà il m’en donnait un autre, qui me fit tomber à terre, mais avant de tomber, je l’attrapa et l’entraîna dans ma chute. Il fut déstabilisé et je pus le tuer d’un coup d’épée.

Androth mit un coup qui trancha le bras de son agresseur, puis lui trancha la tête dans une giclée de sang. Les orques reculaient en désordre, partout ils étaient estropiés, les hommes d’Arnor avaient pris des chevaux et écrasaient les répugnantes créatures d’Angmar, en les embrochant, en les tranchant ou en les transperçant. La première vague était repoussé et la porte n’était pas très endommagée.

Les soldats étaient près à recevoir la deuxième vague, ils se réorganisèrent et installèrent des trébuchets sur les murs, un soldat arriva et dit :
- Seigneur, le capitaine des murs est mort!
-C’est fâcheux, je n’ai personne pour le remplacer, tous les capitaines sont à leurs postes!
-Je peux y aller, mon roi, proposais-je au roi.
- Oui, les hommes de cette cités me sont très loyal, mais aucun plus que toi, je sais que tu garderas ces murs.
-Jusqu’à la mort mon roi, dis-je en m’agenouillant.
-Jusqu’à la mort ou que je te rappelle, dis le roi en riant.
Je courus vers les solides murs de la citadelle : Fornost, dernier bastion des hommes du nord. Sur les murs, les archers gardaient des torches à portée pour enflammer les flèches.

La nuit tombait, et il faisait de plus en plus froid, et je savais qu’il n’y avait pas de rapport entre ce froid et la nuit qui tombait. Des ombres se dessinaient au loin, étant le meilleur tireur, j’enflamma une flèche et l’envoya le plus loin possible. Des orques furent éclairés un moment. Un des archers cria « LES ORQUES ARRIVENT !!!». Lorsque ils arrivèrent avec des échelles de siège, ils furent écrasés sous le feu, le fer et la pierre.

Les trolls furent bien plus coriaces, ils tuèrent quelques archers et endommagèrent la grande porte, alors qu’il n’en restait plus qu’un, le plus grand et le plus fort, les orques apportèrent les béliers, je me concentra et je réussi à toucher le dernier troll entre les deux yeux, il mourut sur le coup. Les gardiens des murs firent pleuvoir le feu sur les béliers et sauvèrent la porte une fois de plus.

Les soldats d’Angmar s’étaient tous rassemblés non loin, ils étaient vraiment très nombreux! A leur tête, le Roi Sorcier, accompagné d’un cavalier noir. Je compris alors que les béliers qui s’embrasaient et l’armée rassemblés était une diversion, pendant ce temps, des hommes de Rhudaur s’étaient rapprochés discrètement et escaladaient le mur avec des échelles.

Je me rua vers cette partie du mur. J’aurais voulu faire tomber l’échelle mais les hommes du Rhudaur étaient trop nombreux. L’un d’eux me donna un terrible coup de hache…qu’il rata, ne faisant que m’écorcher l’épaule…et tua un de mes camarade en l’entrainant à bas des murs, mais je vengea mon camarade en faisant un croche-pate au meurtrier qui tomba avec un cri déchirant avant de se déchirer lui-même sur les lances de ses alliés. Un autre me donna un coup de lance, facile à éviter (bien que je failli perdre l’équilibre), je lui arracha la lance des mains et lui enfonça dans le ventre et transperça celui qui était derrière lui, puis je les balança du mur.

Ils emportèrent un des leurs dans leur chute mortel. Une volée de flèches venu du bas des mur décima les rangs des renégats, la confusion qui s’en suivit me permit de faire tomber l’échelle et dans décapiter un en éclaboussant les autres de sang. Mes hommes réussirent à tous les tuer. Mais une explosion assourdissante retentit, venant des portes.

Je couru vers le centre de l’explosion, un terrible spectacle s’offrait à moi : un battant de la porte était tordu, l’autre était à deux doigts de tomber, et devant les portes se tenait le Roi-Sorcier, qui déchainait sa magie sur les portes. Le détenteur de la couronne de fer serra le poing et la porte fut brisée, libérant des hordes de créatures. Une nouvelle volée de flèche s’abattit, ainsi que des pierres de nos trébuchets, mais les troupes d’élites d’Angmar continuaient à avancer et à tuer les courageux défenseurs du nord.

Je coupe la corde du mécanisme de la porte et saute sur les soldats d’Angmar tout en reculant. Je plante mon épée dans la tête de l’orque qui eut le malheur de se trouver à l’endroit où j’ai atterris, je ressors ma noble épée de l’orque hideux et je donne un grand coup horizontale qui coupe au niveau des reins un homme d’Angmar.

Je reçoit enfin un soutien : un contingent de lancier à cheval vient écraser mes attaquant, l’un de mes alliés reçoit une flèche en plein cœur, je saute sur son cheval et me joint au défenseurs de la porte, je coupe la tête d’un orque juste avant qu’il ne plante sa lance dans un autre cavalier, puis je fonce aider un de mes camarades qui n’a plus de cheval. Il se dépêche de monter en croupe et tire son épée, à nous deux, nous tuons plus d’orque, mais la bataille tourne à leur avantage, nos cavaliers meurs, malgré les volées de flèches enflammées. Le roi hurle « REPLIEZ VOUS DERRIERRE LA PORTE SECONDAIRE!SABOTEZ LES TREBUCHETS! ».

Nous ne nous faisons pas prier et moi et les quelques survivants chevauchons vers la deuxième porte. Je rejoins le roi et lui faire part de mon aventure sur les murs.
- Ainsi le Roi-Sorcier à détruit les portes par la magie, je pense qu’il a réussi parce qu’elles étaient déjà endommagées, mais celles-ci devraient tenir.
- Avez-vous un plan, mon seigneur, dis-je.
-Pas un plan à proprement dit, mais une tentative désespérée, il faut tenir la ville le plus longtemps possible, attendre des renforts et ainsi avoir une chance de survie.
- Une chance très mince, mais nous devons la saisir, dis Androth.
- Mon épée et ma vie vous appartiennent, lui dis-je.
-J’espère ne pas avoir à les sacrifier, répondit le roi.

Les défenseurs de la porte devaient retenir des assauts incessants d’orques, d’hommes et d’autres immondes créatures. Je pris un arc et grimpa l’escaliers qui menait aux remparts. Je décochais quelques flèches sur les créatures les plus proches, mais à présent, elles ripostaient : Je fus à deux doigts de me faire tuer par un archer orque. Cette fois, leur approche de la porte était moins orthodoxe : une batterie de béliers avançait droit vers la porte, les béliers sans protections furent rapidement éliminés, mais les autres étaient bien plus difficile à détruire (mais ils ne purent résistés aux flèches de feu), mais aucun ne réussit à atteindre la porte.

Leurs trolls eurent plus de chance, si on peut appeler chance le fait de se faire tuer par dizaines. Mais ils atteignirent la porte et l’endommagèrent assez pour qu’il soit probable qu’elle craque au prochaine assaut. Mais nous avons continuer à la tenir, aucun bélier, aucun troll ne parvint à l’endommager davantage.

Des cors sonnèrent, tous les hommes furent abattus en entendant les renforts d’Angmar arriver, mais ils se rendirent compte que c’était des cors d’hommes : des chasseurs royaux, accompagnés de hobbits et de chiens de chasse venaient d’arriver, les chiens avaient bondis en avant et mordaient les orques qui tentaient vainement de se défendre. Les hobbits montraient des talents à l’arc et enfonçaient leurs flèches dans les points vitaux comme le cœur, la tête… et les chasseurs étaient fidèles à leurs réputations.

Les orques se ruèrent surent les nouveaux intervenants en se débarrassant avec beaucoup de mal des chiens qui continuer à en tuer. Les renforts reculaient mais continuaient à tirer, en décimant les rangs ennemis qui paraissaient infini. Mais lorsque les orques les eurent rejoint, cette action héroïque tourna court, bien qu’il furent des épéistes confirmés, les chasseurs furent vite abattus et les assaillants se reconcentrèrent sur nous.

Cette fois il fut plus facile pour nos ennemis d’atteindre la porte car nos hommes étaient démotivés. La porte, qui étaient le dernier bouclier du nord, tomba. Les premiers orques ouvrirent une brèche dans le mur de bouclier avant de recevoir des coups d’épées dans le ventre. Le roi cria :
« -les gardes royaux, venez avec moi! »
Je dus donc quitter la bataille pour rejoindre le roi.
« -Où va-t-on mon seigneur? Demanda Androth
- Nous rentrons au palais, nous tiendront pas. DERRIERE VOUS ADRETAM!
Je réussi à me retourner pour parez le coup et à mettre un coup de pied dans le ventre de la créature et je lui arrache son épée et la lui la plante dans le ventre puis lui coupe la tête avec Aranaroth, ma terrible lame.

Nous avions réussi à rejoindre le palais dans le sang des hommes et des orques. Un orque qui semblait assez important cria :
« LA! LE ROI EST LA! ATRAPPE LE! »
Lui et sa bande se rua sur nous, je décocha une flèche sur le chef qui se mit à saigner abondamment mais continua sa course vers nous il hurla comme un fou en se ruant sur moi et le choc fut tellement fort que je tomba et Aranaroth me glissa des mains; l’orque m’écrasait mais je réussi à prendre une flèche dans ma carquois accroché à ma cuisse et la lui enfonça dans la gorge, cette fois il mourut. Je récupéra Aranaroth et coupa un orque au niveau du ventre alors qu’il attaquait un de mes camarades, il fut couvert du sang noir des orques.

Moi, le roi et ses gardes réussirent à atteindre les portes du palais et nous barricadions les portes pour ralentir les orques. Nous avions tous bandés nos arcs quand nous avons ressenti un froid surnaturel, la porte se gela et se craquela avant d’exploser, pour libérer non pas des orques mais des créatures fantomatiques, Avec des orbites vides, nous décochions nos flèches mais ces dernières se contentèrent de les traverser. L’un des gardes pris de folie se rua sur eux tandis que d’autres partaient en courant. L’épée du garde n’eut pas plus d’effet que les flèches

Le roi, et ses derniers gardes coururent vers la salle du roi. Mais quelque chose de plus terrible arriva, le Roi Sorcier en personne ouvrit la porte accompagné du cavalier noir. Androth se rua sur le roi qui fit un mouvement du bras et immobilisa Androth et le perfora avec son épée je voulu crier mais ma rage l’emporta, tandis que le cavalier noir affrontais les deux autres gardes, moi et le roi affrontions le chef d’Angmar.

Il attrapa le roi à la gorge, mais je lui donna un coup sur le bras, il lâcha prise mais se concentra sur moi; le roi voulu intervenir mais le cavalier avait vaincu ses adversaires et l’attaquait. Le Roi Sorcier avait une force colossale et je ne pouvais pas lui mettre de coup car les siens me demandait trop de force pour parer, heureusement, j’eus de la chance car il donna un coup dans le mur et il me donna cette occasion pour lui mettre un coup, il émit un hurlement rauque, avant de reprendre l’assaut et de m’envoyer à terre. Il sortit un poignard, mit un pied sur moi pour m’empêcher de bouger et balaya mon épée d‘un coup; voulant gagner du temps je lui dis :
« -lâche! Enlevez votre heaume, montrez votre visage!
-très bien tu l’aura voulu, ce sera la dernière chose que tu verra! »dit-il de sa voix rauque

Il enleva le heaume, j’aurai voulu crier mais je n’y arrivait pas, j’étais comme paralyser. Et il enfonça sa dague et la sensation de froid s’accentua tellement que j’eut l’impression de mourir sur le coup puis … je me réveilla. »


« -AAAAHHH!
-Vous avez encore fait ce rêve, sergent? Avec votre ancêtre? Me dis une voix familière.
-Oui, mais il va de plus en plus loin, au fait, ça fait longtemps qu’on se connait, appelle moi par mon prénom et tu peux me tutoyer.
-Oui, ser… Arthad.
-Adreban, as-tu-vu des étrangers cette nuit?
-Non, Arthad, tout ce que j’ai vu, c’était un sanglier.
-Tu en est sur? Est tu sur que ce n’était qu’un sanglier? Lui dis-je avec un peu d’angoisse
-Oui, il est cuit en ce moment sur le feu. Me répond-t-il en riant.
- Très bien, tu peux aller dormir je prend le tour de garde. Dis-je soulagé. »

Rien ne bougeait, la forêt était silencieuse, quand soudain, je crus entendre un bruit de branche qui craque, je prend mon arc, me cache sous ma cape de façon a ne laisser que la flèche dépasser et j’attend. Je distingue des ombres dans les bois, et j’entend alors un sifflement, semblable à un cri d’oiseau : un cri de ralliement rodeur. Beaucoup de soldats seraient sortis de leurs cachettes mais pas moi.

Soudain, une des silhouettes sort de l’ombre, je la reconnais immédiatement : c’est Halbarad Dùnadan, grand capitaine des rodeurs. Il dit à ses hommes « Venez, ils dorment tous, ne faites pas de bruit. » tous ses hommes passèrent devant lui, j’étais donc le seul derrière Halbarad, je me releva et dit en pointant mon épée sur lui « Ce n’est pas prudent de rester tourner vers un côté, on ne sais jamais…»

Les voyant dégainer tous leurs épées je rajouta :
«- Vous voulez du sanglier? » Avec un petit sourire gêné.
-Volontiers, ça fait longtemps que je n’en ai pas mangé. Répondis-t-il en rengainant son épée, qui êtes vous, rodeur, si vous en êtes bien un…
-Je suis Arthad, descendant d’Adretam, possesseur d’Aranaroth. Dis-je en montrant le fléau d’Angmar.
-un descendant d’Adretam, que faites-vous d ans ces bois?
-Nous chassons tout les orques qui osent y pénétrer.
-Pas bien glorieux comme mission, ils n’arrivent presque jamais ici.
-Presque. Lui fis-je remarquer.
-J’ai une mission plus importante si vous voulez. Ça vous fera un peu voyager.
-Dites toujours.
-Voila, nos éclaireurs rapportent que Saroumane recrutent des hommes de Dùn, ses émissaires vont bientôt arriver dans un village qui se trouvent à deux jours de marche d’ici environ. Essayez de convaincre les hommes de nous rejoindre plutôt qu’ Isengard.
-Très bien nous nous mettrons en route dès demain.
-Alors ils arriveront avant vous, ils ont des ouargues.
-DEBOUT TOUS LE MONDE, ON S’EN VA!
-Guezguizbaz? Demanda un de mes hommes à moitié endormie. »

Je fais un rapide débriefing à mes hommes et nous partons. La forêt est sombre et vaste, un endroit propice pour une embuscade. Nous progressons donc avec prudence, et en cueillant tous les fruits comestibles que l’on trouve (la marche, ça creuse). Nous arrivons dans une clairière, je dis à mes hommes : « montez le camp ici, nous allons nous reposez ».

A ce moment là, une flèche me passe à côté. Mes hommes ont le reflexe de faire un cercle boucliers \ archers. D’autres flèches arrivent mais se plantent dans les boucliers, les flèches des rodeurs leurs répondent, plus précises, elles touchent cinq des quinze orques qui se jettent sur nous. Deux d’entre eux avancent vers moi, le premier donne un coup plutôt faible, que je pare, puis je lui met un coup de poing dans le visage avant de l’assommer avec mon bouclier.

L’autre est plus fort, il me met un coup qui me fait tomber à terre, je suis sauvé par Adreban, qui lui envoie une flèche entre les deux yeux, le sang coule à flot, il tombe à terre et ne bouge plus tandis que la mare noire s’élargit autour de lui. Je vois le reste des orques se faire embrocher sur les lances de mes soldats. Je prend l’orque que j’ai assommé, il est couvert de sang, je le réveille et lui dis :
« -dis moi qui t’envoie!
-Je ne dirais rien, tu ne peux pas me faire parler!
-C’est-ce qu’on va voir. »

Et je retrousse mes manches et je me met à le frapper comme un fou. Je le met à terre et lui donne plusieurs coups de pied dans le ventre, je le prend par ses rares cheveux et lui met un énorme coup de poing qui le renvoie à terre. Puis je demande une lance à un de mes hommes, pendant ce temps l’orque s’était relevé et avançaient vers moi en titubant à cause du coup de poing qu’il avait pris.

Je lui met alors de puissant coup avec le bois de la lance dans le ventre et dans le dos, avant de prendre une corde et de l’attacher à un arbre et de frapper chaque centimètres carré de son visage en disant « dis moi qui t’envoi, parle! » , en ponctuant chaque mot d’un coup de poing. Alors qu’il saigne abondamment, surtout de la lèvre et du nez, je lui dis : « je voulais pas en arriver là », je sors un poignard et commence à lui entailler les bras (en continuant à le frapper au visage par moment).

Quelques droites, crochets, uppercuts, écorchures, bleus… plus tard :
« -d’accord, je vais parler, arrêter . Dis-t-il d’un ton implorant.
-Ben, tu vois quand tu veux, alors qui t’envoie?
-C’est Saroumane, il convoite les terres du nord. Et il a entendu que les rangers enverraient un émissaire
-Comment l’as t-il su?
-Saroumane a des espions partout.
-Même parmi les rodeurs du nord?
-Peut-être… j’en sais rien…
-Quelques coups pourraient te ramener la mémoire? Dis-je en caressant mes poings avec un sourire cruel.
-NON! Je vais parler! Oui, il a un espion parmi les rodeurs de votre chef, du moins, c’est-ce qu’il nous a laissé entendre lorsqu’il
-Vous pensiez vraiment pouvoir nous tuer, à quinze orques contre vingt rodeurs?
-nous étions quarante, dont vingt Ourouk-haï, mais une dispute à éclaté entre les Ourouk-haï, huit sont morts avec cinq orques. Les douze derniers Ourouk-haï ont étés tués par une meute de ouargues sauvages. Ils se sont approchés silencieusement du camp des ourouk-haï, ils ont étés dévorés pendant leurs sommeil.
-Rien d’autres à dire?
-Non, laissez moi partir maintenant! Dit-il avec force.
-Je ne laisserai aucun orque souillez cette forêt! Dis-je en brandissant mon épée.
-Non, Arthad, ne le tue pas! Dis Adreban.
-Ne me dis pas que tu prend ça défense. Pourquoi ne pourrais-je pas le tuer?
Il prit une flèche et tira dans le cœur de l’orque.
-Parce que je voulais le faire moi! »

Nous reprenons la route au pas de course. Traversant les bois, nous arrivons aux pieds des monts brumeux, contraste terrifiant avec la végétation luxuriante des alentours. La plaine devant nous est immense, le soleil à son zénith écrase littéralement le paysage. La progression est difficile à cause de la chaleur, mais nous je savais qu’on devait se dépêcher. Nous avancions rapidement et furtivement jusqu’à ce que je remarque quelque chose sur la gauche : Fondcombe apparaissait au loin. C’était un déchirement de passer devant sans y aller. Je me fis alors la promesse d’y aller un jour.

En attendant, je devais me concentrer sur l’objectif : rejoindre le village au plus vite. Alors le nord recevraient un nouveau contingent de soldats, qui pourrait être suivit par d’autres. Un bosquet se dresse devant nous, nous nous y enfonçons, après avoir vu maint arbres, je vois une ombre derrière une rangée de feuillage, elle disparait promptement, je dis à mes hommes de chercher la personne que j’ai vu. Je cherche derrière plusieurs arbres quand soudain je le vois, il est encapuchonné et il ne ma pas remarquer, je m’approche et met mon épée sur sa gorge et lui conseille de ne plus bouger.

Une voix très familière me répond :
« -C’est de cette manière que tu traite tes amis, Arthad?
-Galomir? C’est toi?
-Au moins tu te souviens de moi, veut tu enlever ton épée, rodeur.
-Enlève d’abord ton capuchon!
-Comme tu veux, ami. »
Il retire sin capuchon et je vois le visage de l’elfe qui m’a tout appris sur les bois, l’arc et qui à retrouvé l’épée d’Adretam, mon ancêtre, dans les ruines de Fornost et qui m’a appris à m’en servir.
« Venez soldats, je l’ai trouvé, mais vous pouvez ranger vos armes. »
Nous nous rassemblons dans la forêt, et je présente Galomir à mes hommes, la plupart est enthousiasmé : ils n’ont jamais vu d’elfes. Galomir nous demande :
« -Que faites vous dans ces bois? C’est rare que des rodeurs s’y aventurent.
-Nous sommes en mission pour Halbarad Dùnadan, nous devons convaincre des hommes de Dun de rejoindre la cause du nord. Le problème, c’est que Isengard convoite aussi ce village, il a envoyé des émissaires. As-tu vu quelque chose qui pourrait nous intéresser?
-J’ai vu une bande d’orque à quelques lieus d’Orthanc, il montaient vers le nord, cinq orques transportant chacun un arbalétrier sur son ouargue et un chef Ourouk, sur un ouargue plus grand et plus féroce que les autres. J’ai aussi vu une bande d’orque à pied, ils avaient l’air de vous chercher, vous les avez vu?
-Oui, mais ils sont tous hors d’état de nuire. Excuse nous mais nous devons nous dépêcher de gagner le village, j’espère que nous nous reverrons bientôt, adieu mon ami.
-Adieu, Arthad, que ta mission soit couronnée de succès, puisse la lumière de l’étoile du soir t’éclairer. je voudrais aussi te remettre ce pain elfique, une bouchée peut nourrir un adulte pour toute la journée. Vous avez de quoi tenir quatre jours.
-Merci, mon ami, que tes flèches trouvent leurs cibles. J’espère avoir la chance de te revoir un jour.
-Moi de même, Arthad du nord.
Et nous repartons (pour la dernière fois j’espère) à la recherche des hommes sauvages.

Nous sommes arrivés non loin de la porte de la Moria, mais la fatigue nous oblige à ralentir, nous parcourons encore quelque lieues dans la plaine, puis nous nous arrêtons, nous faisons un feu et nous établissons un tour de garde. Je m’endors rapidement, et une fois de plus, je fais mon rêve, je revois tout : l’avant-garde d’Angmar, l’attaque des murs, la retraite, le chemin vers le palais et la mort d’Adretam. Mais je suis réveillé par un hurlement, un hurlement de ouargues.

Tous mes hommes sont déjà debout, le hurlement semblait assez lointain, mais un ouargue affamé peut se déplacé très vite, nous prenons des tisons brulant et nous nous préparons à l’attaque des loups. Je balance quelques bâtons enflammés autour du camp pour être prévenue lors de l’attaque des ouargues, enfin le premier s’approche, il est taché de sang noir. Je dis à mes hommes :
« Ce sont eux qui ont abattus les Ourouk-haï qui devaient nous tuer. »

Et le loup fond sur moi, je sors mon épée et la lui enfonce profondément dans la gueule, puis je prend ma torche et brûle le pelage d’un autre ouargue, qui s’enfuit en criant pitoyablement. Une de ces immondes créatures m’attaqua par derrière et me fit perdre mon épée et ma torche, et le loup sauvage m’écrasait de tout son poids, c’était le ouargue que j’avais brûlé (il sentait le brûlé) heureusement, mon rêve finis par être bénéfique : je pris une flèche dans mon carquois et la lui enfonça dans la gorge. Je réussis à me dégager et à viser l’œil de la créature qui attaquait Adreban, qu’il acheva promptement, je dis à mon second : « maintenant nous sommes quitte! » puis il prit une flèche et la décocha au dessus de mon épaule, tuant le ouargue qui bondissait sur moi, puis il dit :
« plus maintenant! »

je vis un de mes hommes se faire dévorer par un des loups avant de se faire abattre d’un coup de lance. Les rodeurs se rassemblèrent, enflammèrent leurs flèches et firent pleuvoir leurs traits sur les ouargues qui reculèrent dans une débâcle désordonnés, harceler par les lances et les flèches qui les transperçaient de toutes parts.

Le bilan s’élevait à deux morts : un hommes d’armes et un rodeur. Les ouargues avaient beau être une dizaine, ils étaient très féroces. Malgré le délais serré, nous prenons le temps de faire une sépulture digne de ce nom à nos valeureux soldats tombés au combat. Et nous reprenons la route vers le village. Traversant montagnes, pentes rocheuses, plaine, et rivières à gués.

Une pente en particulier fût particulièrement éprouvante, je faillis me rompre le coup une demi douzaine de fois :
« Contourner la colline serait une perte de temps, il va falloir la traverser.
-ça risque d’être difficile, combien avons-nous de corde? Demande Adreban.
-…
-Nous n’en avons pas une seule. Répondis un homme d’armes. On a laissé la dernière sur l’orque.
-C’est du suicide, Arthad, nous n’y arriveront jamais! Dit mon second abattu.
-Nous n’avons guère le choix, ce serait compromettre la mission. Dis-je pour les exhorter à se relever. Aucun de vous n’est obligé de me suivre, vous pouvez rebroussez chemin, moi j’y vais.

Et je vais vers la colline, Adreban sur mes talons, puis tous me rejoignent. Je commence à poser mes pieds sur les pierres qui sortent par-ci par-là, et j’avance sans penser à ce qui se passera plus haut si je tombe. Nous avançons prudemment, en silence. Personne n’ose parler de peur de déclencher une chute de débris.

Je me dis que nous serons bientôt arriver au sommet, que nous pourrons boire et manger à notre fin une fois ceci terminé. Je m’efforce de ne pas regarder en bas et de me concentrer sur les prises, qui se font de plus en plus rare, de plus, je commence à faiblir. Cette ascension est vraiment difficile, mais je crois apercevoir le sommet, soudain, j’entend un bruit d’effondrement, je regarde en bas et je vois Adreban tomber, la scène se déroule comme au ralenti, je tend ma main et je réussi à refermer mes doigts autour de sa main moite.

J’essai de le remonter mais il s’agite trop, même en tirant de toutes mes forces, je lui dis alors :
« reste calme, essaye de ne pas bouger!
-Facile à dire, tu ne penche pas dans le vide, toi!
-Je te signale que je n’ai qu’une main libre en plus de mes pieds pour m’accrocher!
-Bon, on va pas se disputer, vas-y, j’arrête de bouger, remonte moi.
-C’est-ce que je vais faire. Je met toutes mes forces et je réussis à le remonter, et je rajoute :
Là, on est plus que quitte! C’est toi qui a une dette envers moi.
-Je te signale que TU avait une dette envers moi, ça y est, tu la payé, maintenant, on est quitte.
-C’était bien plus dure que de viser un ouargue ou de trancher un orque, et faut pas oublier que tu as tuer MON orque… . On est encore en train se disputer… concentrons nous sur l’escalade plutôt.
-Tu as raison, pas pour la dette mais pour l’escalade.
Et nous nous dépêchons de rejoindre le sommet de la colline, mais l’ascension devenait de plus en plus difficile, les prises étaient devenus rares, et nous devons souvent nous arrêter pour les repérer, prendre notre élan et sauter.

Nous arrivons enfin au sommet, exténués et un peu secoués, mais vivant. Adreban avance vers la pente que nous devons maintenant descendre, il dit :
« J’ai l’impression que ça va être encore plus dure de descendre 
-… . Nous restons muets d’horreur.
-Je rigole la pente est douce de ce côté! »
Je distribue un peu de lembas à mes compagnons, qui le mange d’une bouchée. Puis nous descendons avec bonne humeur la pente. Après un tel périple, la descente paraissait comme un bonheur intense. Nous arrivons au bas de la pente, et nous savons que le village n’est plus très loin, Halbarad avait dit « C’est à deux jours de marche ».

Nous arrivons dans le pays de Dun, le village n’est plus bien loin, mais le soir tombe. Nous cherchons le village, mais nous ne le trouvons pas, nous nous enfonçons de plus en plus dans le pays. Nous redoutons une embuscade des soldats d’Isengard, plus forts que les simples vermines orques. Tous le monde a une main sur la garde de son épée. Je colle mon oreille à terre et j’écoute, j’entend un fort martèlement, je pense d’abord aux cavaliers ouargues, puis je me souviens qu’ils sont seulement six. Et je repense alors au village, je suis le bruit, en me recouchant par moment.

Puis nous arrivons en vue de l’objectif de notre quête, qui nous a déjà couté la vie de deux des nôtres. Nous avançons au pas de course dans le pays sauvage. Nous somme euphoriques, enfin, c’est la fin de tout! Nous pouvons enfin être récompensé de nos efforts, mais avant, il faudra abattre les soldats d’Isengard, qui doivent eux aussi proche du village. Je me reconcentre donc sur ce petit contretemps. Je dis aux rodeurs de prendre une flèche au cas où. Puis nous nous collons au mur de bois du village et nous longeons la muraille, flèches, lances ou épées sortis.

Je dis à mes hommes :
« très bien soldats, la bataille final approche, ça sera surement plus difficile que d’affronter une dizaine de ouargues ou une quinzaine d’orques, mais vous avez escaladé la colline rocheuse, ce qui n’était pas une mince affaire. Je vous félicite et j’espère que vous serez tout aussi valeureux lors de cette bataille.
-Nous y tacherons, sergent. Répondirent en cœur mes soldats.
-Avons-nous une tactique? Questionna Adreban.
-Plus ou moins : je regarde s’ils sont là, si oui, vous tirez vos flèches rapidement, puis les soldats lourds avancerons, lances et boucliers en avant, moi à leurs têtes. La moitié des rodeurs nous suivrons et combattrons à l’épée, l’autre moitié fera pleuvoir les flèches sur les ourouk-haï.

J’avance et je sors ma tête, les ourouks sont là. Je fais un signe à mes hommes, ils sortent de leurs cachètes et tirent leurs flèches, blessants deux arbalétriers et tuants un autre, je tire la mienne, mais je rate ma cible car elle c’est mise en mouvement. Je dégaine mon épée, mon bouclier et me prépare à leur charge.

Adreban et moi avançons, suivit un peu plus loin par mes soldats lourds. Le ouargue qui n’a plus d’arbalétrier, accompagné d’un autre, se ruent sur mon second, qui, calmement, tue le premier ouargue en lui déchirant la mâchoire avec son épée, faisant chuter son unique cavalier, qui est achevé d’un coup de lance; et tranche l’orque qui est sur le deuxième, au moment où l’ourouk allait le tuer avec son arbalète.

Mais ce dernier vois alors son tir dévié, qui part dans la tête d’un de mes soldats. L’ourouk chute mais réussis à battre en retraite, le loup d’Isengard, lui, est comme fou et se jette dans les rangs de mes hommes, il tue un rodeur à coup de griffe, mais en voulant mordre un de mes hommes d’armes, il se prend sa lance dans la gueule. Mais il a quand blessé au bras.

Un chevaucheur se rue sur moi, je met mon bouclier en avant et j’entend un sifflement indiquant que le carreau de l’arbalétrier c’est planté dans mon bouclier. Lorsqu’il s’approche, je lui met un coup de pied et monte à sa place sur le ouargue. Je met un coup de poing à l’arbalétrier pour lui faire lâcher prise, mais il l’esquive, et contre-attaque, je réussi à tenir sur le ouargue malgré la force du coup, je prend l’ourouk à la gorge, et le pousse au moment où je plante Aranaroth dans la tête de l’animal.

Je reprend mon épée et me rue sur l’arbalétrier qui à sortit une épée courte, je le frappe au visage avec la garde de mon épée, il met une main sur le visage et me frappe à l’aveuglette avec son épée, je met mon bouclier mais il a porté son coup plus haut et il me blesse à l’épaule.

Il reprend ses esprits et me charge, cette fois, je lui met un coup de boule, il recule, les deux mains sur son visage ensanglanté, j’en profite pour lui coupé un bras, il est tellement résistant qu’il tente de m’attaquer avec son deuxième bras, mais je bloque son coup, lui coupe son dernier bras et le pousse avec deux doigts pour l’achever, je ne dois pas me reposer sur mes lauriers, la bataille est loin d’être fini, le chef Ourouk-haï affrontait Adreban, je voulu aller l’aider mais un ouargue et ses cavaliers me barraient le chemin, je fis une roulade pour me rapprocher de mes ennemis, cette action fut doublement bénéfique, car elle me permit également d’éviter le carreau que m’envoyait l’arbalétrier.

Je donne un coup avec mon épée dans une patte de l’horrible monture, qui rue et fait tomber ses passagers avant de battre en retraite; heureusement, deux flèches viennent se planter dans le corps de mes agresseurs, l’une dans la tempe de l’ourouk, qui meurt sur le coup, et l’autre dans la jambe de l’orque, que j’achève d’un coup d’épée dans le ventre.

Adreban ne se bat plus contre le chef ourouk, mais ce dernier fait un véritable massacre dans mes rangs : trois hommes d’armes l’affronte sans avoir le dessus, l’un d’eux lui donne un coup de lance, que l’ourouk esquive, avant de couper la lance en deux d’un coup d’épée. Le soldat sort alors son épée, les deux autres lancent l’assaut contre leur ennemi, qui arrête les deux coup et fait un croche pied à celui qui a frappé en dernier, puis il écrase littéralement l’homme qui a récemment perdu sa lance sous les coups. Ce dernier penne à contrer ses coups avec son bouclier.

L’autre soldat (qui était à terre) est à genoux, en train de se relever, mais il n’a pas le temps,
car le chef des ourouks lui tranche la gorge, faisant luire son épée d’une lueur rouge très inquiétante. Les deux survivants, voulant venger leur camarade, l’attaque chacun d’un côté, il pare avec son épée l’un des coups et arrête l’autre avec sa main, entaillant sa chair, la lame de l’épée se colore d’un noir profond.

L’ourouk-haï est vraiment impressionnant : il arrache l’épée qui est planté dans sa main, puis se rue sur son propriétaire à présent désarmé et lui assène de sauvage coup sur tout son corps, il en prend tellement que les entailles et le sang qui en coule le rendent méconnaissable, puis il n’a aucun mal a abattre le dernier de ses adversaires : il lui plante une épée dans son bouclier et tire dessus, le bouclier pars avec et le soldat est sans défenses, l’ourouk en profite pour le tuer.

Puis il remonte sur ouargue et se lance sur un rodeur qui tentait de lui barrer le chemin; le ouargue le mord à divers endroits, avec une violence inouï qui me donne des nausées. Il lui découpe un bras avec ses griffes puis lui mort la jambe jusqu’à ce qu’elle se détache du reste du corps. Après, il lacère le visage du rodeur à grand coup de griffes, et enfin lui mord sauvagement… M’enfin vous voyez quoi… .

Je continue à courir pour intervenir, le champs de bataille étant très dispersé. Un orque avec son poignard me fonce dessus, je brandis mon épée et lui met un coup, qu’il part, et il me met un coup de pied dans le ventre, je suis propulsé à terre. Je me relève et je pars le coup de poignard qu’il m’envoie, et de ma main libre, je lui met une série de coup de poing dans le ventre; il lâche son poignard et plonge pour le récupérer au moment où j’allais le couper en deux avec ma lame.

Je me prépare donc à lancer un nouveau coup sur l’orque à terre (pas de pitié pour les orques), mais il m’envoie de la terre en plein visage, je met mes mains sur mes yeux, il me fais tomber, je réussi à ouvrir les yeux et je le vois, poignard levé, prêt à s’abattre sur moi, je lui donne un coup de pied en plein visage. A son tour d’être envoyé par terre .

Nous nous relevons en même temps, je le laisse attaqués en premier, erreur, car il ne m’attaque pas de front, mais il me contourne rapidement et m’attaque de flanc, malheureusement pour lui, je me retourne avant que le coup ne s’abatte, l’obligeant à me frapper dans le dos, là où est attaché mon bouclier, son coup est alors aussi dangereux que s’il m’avait lancé un petit caillou, puis je me retourne et lui met un coup dans la tête avec la garde de mon épée, suivit d’un coup de genoux dans le ventre, et d’un coup de bouclier en plein visage, il tombe à terre, inconscient.

je le laisse là, un prisonnier peut toujours servir; et je continue ma marche vers le chef ourouk, qui sème la mort partout où il passe, mais Adreban c’est de nouveau interposé et leur combat reprend, ils sont tous deux d’excellents combattants, mais je dois me dépêcher, je ne supporterais pas la mort de mon second.

Adreban tente de donner un coup dans les jambes de l’ourouk, mais ce dernier pare, et donne un coup de coude dans la bouche du rodeur, qui recule en titubant, mais réussi à mettre son épée à temps pour stopper le coup de l’ourouk-haï, cependant Adreban est à présent à terre, et l’ourouk lève son épée en hurlant « Je suis un combattant ourouk-haï, je suis Vrùgush, je suis invincible! »
Heureusement, Adreban lui met un coup de pied dans le flanc qui l’empêche de toucher sa cible, qui se relève et repart à l’assaut

Adreban lui met un coup de poing dans le ventre et attaque avec son épée en même temps, l’ourouk contre les coups d’épée avec la sienne et prend le poing de mon second, puis l’envoie par-dessus son épaule. Le rodeur s’écrase lamentablement par terre, ce qui n’est pas étonnant, lorsqu’ on voit la force de son adversaire, mais il se relève, péniblement, mais il est debout.

Vrùgush le charge avec une vitesse impressionnante, Adreban tombe à nouveau, mais un homme d’armes tente d’arrêter l’ourouk, ce dernier jette sa lance telle un javelot, qui arrive à quelques centimètres de la cible, mais cette action eut au moins l’effet de détourner le chef isengardien de sa proie, le soldat dégaine son épée, mais son adversaire est bien trop fort : il donne un puissant coup horizontale, le soldat pare, mais est déstabilisé, et il est envoyé à terre, il réussis in-extremis à mettre son bouclier pour stopper le coup, et il réussit à se relever.

Mon courageux soldat attaque, mais l’ourouk donne un coup à l’opposé et l’épée du Dunedain vole. Vùrgush lui coupe une jambe pour qu’il est une mort lente et douloureuse. Puis il se rapproche de Adreban, qui est debout, respirant bruyamment, la lèvre en sang. Adreban donne un coup d’épée, mais il n’a plus assez de forces, et le soldat d’Orthanc arrête le coup et prend Adreban à la gorge, mon second n’a pas la force de se défendre, tous semble perdu

Mais je me jette sur l’Isengardien, il stoppe mon coup, mais il est surpris, il lâche Adreban et se concentre sur moi. Il me dit tout en m’attaquant
« tu veux mourir comme tous tes alliés? Je suis invincible!
-Vous ne tuerez plus mes soldats! Dis-je en parant son coup
-Alors tu est le sergent de ce tas de bras cassés! Dis-t-il d’un ton railleur »

Je lui envoie un coup à la gorge, mais il le dévie et mon coup ne fait que le blesser au bras gauche, il me donne un coup de coude de ce même bras dans le visage, puis un coup de pied dans le ventre, et il me lance à terre, je roule pour esquiver, et je lui met un coup de pied… pas très réglementaire, ce qui me donne le temps de me relever.

Il reprend l’attaque, je dois parer ses coups un par un, il est très rapide, mais je m’en tire bien, je le laisse attaqué, pour le provoquer, pour attirer son attention, et… je lui met un coup de genoux dans le ventre, puis je lui met un coup dans son épée, il ne s’y attendait pas, et son épée vole.

Il se met alors à me frapper a coup de poing, et je lâche moi aussi mon épée, je tente de la récupérer mais elle tombe dans la pente, je n’est pas d’autres choix que de me défendre avec mes mains. Je lui met un coup dans le ventre, il n’a aucun mouvement de recul. Il contre-attaque mais je réussi à esquiver son coup en me baissant.

Cette fois je commence par un coup dans le flanc, mon coup touche sa cible, et l’ourouk semble moins apprécier; je lui donne un série de coup dans chaque flanc, puis un dans le visage.
Il chancèle mais il n’a pas dit son dernier mot : il ressaye de me porter un coup au visage, mais un fois de plus, je me baisse au bon moment. Alors que je crois avoir échapper à son coup, je reçois un formidable uppercut dans le menton

Je tombe à terre, la bouche en sang. Il va m’achever à coup de pied, mais je me rappelle que j’ai mes flèches, j’en prend une et l’enfonce dans la jambe de l’ourouk, il hurle de douleur et son sang noir coule abondamment de sa blessure. Mais il n’en fais rien : il me frappe quand même. Je reçois la partie métallique de sa jambière dans le ventre. Je souffre horriblement.

Je réussis malgré tout à prendre le pied de mon agresseur alors qu’il me donnait des coups moins forts pour m’humilier. Mais c’est moi qui l’humilie, je garde son pied en hauteur et je donne un coup dans son tibias. Il chute en avant et je me relève. Lui aussi se relève déjà, j’esquive son coup, et je réussi à lui asséner un coup au visage, puis dans le flanc et un coup de pied dans la blessure de flèche. Pendant qu’il crie de douleur et qu’il rate complètement son coup de poing, je passe derrière lui et lui enfonce une flèche dans le dos.

Il se retourne et me donne un fulgurant coup de poing qui me sonne. Je reprend mes esprits quelques secondes plus tard. Je le vois qui va chercher son épée. Je dévale la pente qui me sépare de la mienne. Et quand je la remonte, il me voit avec mon épée et il va vers le village, dont la porte est ouverte.

Je le suis, épée en main. Lorsque j’entre dans le village, je le vois, il tient une jeune femme, d’une vingtaine d’années. son épée contre sa gorge. Instinctivement, je sors mon arc et je me prépare à décocher ma flèche. L’ourouk me dis :
« si j’étais toi, je ne ferais pas ça. Lâche tes armes, et accompagne moi en Isengard, mon maître à des questions à te poser. »
Je savais que si je refusais, la fille y passerait, Vrùgush rajouta :
« Je te donne trois secondes pour obéir! Lâche ton arc et viens avec moi! »
Je savais qu’il fallait que je le fasse.
« Un »
Que je le tente, car sinon, les victimes seraient bien plus nombreuses.
« Deux »
Maintenant!
« et… »

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase : ma flèche s’était plantée entre ses deux yeux. Il tombait à terre et avait lâché son épée. La jeune fille s’évanouit. Un vieil homme s’approche de moi et me dit
« Merci pour ce que tu as fais, je savais que les ourouk-haï tenterait de prendre le village par la force, et en plus, tu as sauvé la vie de ma fille, merci.
-Ce n’était rien, seigneur. Mais j’ai une faveur à vous demandez en retour.
-Vas-y, parle, nous avons une dette envers toi.
-J’aimerais que vous rejoigniez ouvertement la guerre contre Sauron et à Saroumane.
-Désolé mais je ne peux pas, déclaré la guerre à Saroumane dans ses zones seraient un suicide!
-Qui vous parle de rester ici? Venez avec nous dans le nord! Le village de Bree serait un endroit parfait!
-Je dois encore y réfléchir, je ne sais pas, rodeur.
-Appelez moi Arthad, seigneur.
-Je te contacterais lorsque j’aurais pris ma décision, tu n’as qu’a rester ici quelques temps! Toi et tes hommes, vous devez être exténués!
-C’est le cas de le dire.
-Tu pourra rester autant de temps que tu veux, je te dois bien ça!
Une question me viens à l’esprit
-Pourquoi la porte n’était elle pas fermée?
-Le mécanisme est cassé.
Mes hommes me rejoignent, portant morts et blessés, malgré le deuil que nous éprouvons, chacun est content que tout soit enfin terminé… pour l’instant.

Bilan :
7 hommes d’armes morts
5 rodeurs

Le village est à nous!


Dernière édition par king-of-angmar le Jeu 15 Juil - 17:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 17:56

Je te corrige ça après en attendant je te donne ça!
Mission: Orthanc n'aime pas les défaites et elle envoie une force d'élite vers le village, tant pis s'il est détruit il servira d'exemple, selon Saroumane. Cependant, le chef du village décide d'armer les hommes afin qu'ils puissent défendre leurs terres. Tu décides de les aider à se défendre.
Alliés:Toi, tes Hommes, dix archers du pays de dun, au tir puissant mais qui tirent sans trop bien viser. Quinze lanciers De Dun avec lance, boucliers et une petite épée . Dix épéistes de Dun avec épées et boucliers
Ennemis: Un uruk très puissant avec deux trolls d'Isengard qui ne possèdent pas d'armure mais leurs mains nues seules sont terrifiantes. Vingt chevauchers de warg, dix épéistes uruk hai et huti arbalétriers
Les unités ennemies sont toutes des élites
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 18:00

Dis-moi mon bon Arthad combien t'as fait de pages ?
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 18:01

11 pages sur works mon bon turgo pirat
pensait pas avoir fait autant afro
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 18:07

Bon, vu que c'est ta première mission. Je dois dire que tu t'es S U R P A S S E.
Très peu de personnes postent comme ça dès leur première mission bravo !
Longueur:19/20 Excellent pour une première mission.
Action:18/20 On est plus que servis pour ça
Histoire: 16/20 ça m'a plu.
Orthographe:8/10 Quelques petites fautes, rien de grave!
Moyenne:20/20 Pour moi.
Je ne coterais plus jamais de cette manière mais tu m'as beaucoup impressionné pour cette première mission je pensais plus trouver 20 lignes avec 999 fautes sur chaque mot mais là Bravo!
Tu devrais passer en grade mais je te conseille pour pas casser le fonctionnement de la GB et de la Mission de prendre tes nouveaux équipements et hommes après la GB =)
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 18:36

Bon, Dieu sait que je ne fais pas confiance à Turgo, mais ta mission m'a l'air pas mal. Premier bon point: la longueur. Je n'ai pas vu ça chez un néophyte depuis très longtemps, félicitations. Pour le reste, je n'ai pas encore lu ton texte, donc je donnerai mes impressions plus tard.
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 18:44

On voit bien que c'est une mission donnée par moi et non par un nab un être qui n'a pas besoin de s'abaisser pour faire ses lacets^^
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 18:48

Petit, apprends que je n'ai pas besoin de faire mes lacets, j'ai une demi-portion du Sud pour les faire à ma place, tellement honorée de cette tâche que ça fait 20 ans qu'elle y consacre sa vie.
De plus, je ne suis pas sûr qu'il ait 20/20 grâce à la "qualité exceptionnelle" de la mission que tu lui a donné, soldat du dimanche...
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 19:10

La Demi-Portion du Sud ne peut faire tes lacets, même si elle voudrait, tu connais le proverbe "On grandit en apprenant " Donc t'as intêret à apprendre...
Je préfère être soldat du dimanche que m'essuyer la barbe avec de la bière silent
(cf gimli dans les deux tours lorsqu'il mange avec théoden )
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 19:45

Citation :
Je préfère être soldat du dimanche que m'essuyer la barbe avec de la bière silent
Euuuh...ça y'a pas être français ! Toi vouloir dire "essuyer la bière sur la barbe", alors que toi dire "utiliser de la bière pour essuyer la barbe"
Citation :

(cf gimli dans les deux tours lorsqu'il mange avec théoden )
Réference au film==> Evil or Very Mad What a Face
De plus, je ne suis pas Gimli.
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 19:57

Turgo a écrit:
Moyenne:20/20 Pour moi.

20 SUR 20 affraid affraid affraid affraid affraid affraid affraid
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! c'est génial! franchement, je pensais pas que j'aurais autant!!!

ok pour la monter en grade!
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 20:04

Désolé je voulais parler ta langue , mystérieux indigène What a Face
On a tous un certain "représentant " pour chaque race, orques exemple gothmoq uruk-hai lurtz et désolé pour les nains c'est gimli et dès que je trouve la source dans le livre je te la file geek
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeJeu 15 Juil - 20:06

Turgo a écrit:
Désolé je voulais parler ta langue , mystérieux indigène What a Face
On a tous un certain "représentant " pour chaque race, orques exemple gothmoq uruk-hai lurtz et désolé pour les nains c'est gimli et dès que je trouve la source dans le livre je te la file geek
et gimli essuya la bière avec sa barbe
le seigneur des anneaux les deux tours, JRR Tolkien
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MessageSujet: Re: Arthad du nord   Arthad du nord Icon_minitimeSam 17 Juil - 0:06

Ok, mais ça:
Citation :
orques exemple gothmoq uruk-hai lurtz

J'ai un doute sur Gothmog, mais Lurtz n'existe pas chez Tolkien, c'est une jacksonnerie. Le seul uruk nommé chez Tolkien est Uglùk, lieutenant de la Main Blanche.
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