L'haradrim rebelle

Hélas, je pille maintenant le Pays de Dàle et les Nains d'Erebor... Je suis d'aillleurs bloqué en pleine mission

Merci je la commence tout de suite

;p désole du double post j'arrivais plus à supprimer^^

Mission:

Il faut à tout prix soutenir tes alliés en péril,une armée imposante comme celle qui les menace doit surement avoir du mal à s'approvisionner,aussi il faut attaquer les convois chargé de nourrir les soldats ennemis :

Objectif:

-Empêcher un maximum des chariots de ravitaillement de rejoindre les assiégeants.

-Essayer de découvrir la provenance et la nature des ennemis

Effectifs:

Allié: toi et tes soldats.

Ennemis:

Les chariots n'ont pas de gardes,étant donnés que les ennemis sont censés être emprisonnés dans leurs murs,par contre il est probable que des patrouilles surveillent le flux des arrivés et se mettent en route si les vivres n'arrivent pas.
Je te laisse définir le nombre de combattants / race / types,le tout en fonction de tes préférences

-Non, non ce n'est pas possible dis-je en tombant, mes jambes ne me soutenant plus.
Un des quinze cavaliers que j'envoyais toujours ravitailler la ville ne faisait que dire non, que ce n'était pas possible, que la ville juste hier était joyeuse et qu'une armée tel que celle-ci n'aurait jamais pu venir jusqu'ici et il ne faisait hocher la tête en signe de négation.
Pourtant c'était vrai et ils étaient bien là, l'ennemi dont on ne savait ni la race, ni le nombre exact et ni leur origine seulement leur force.
Je m'effondra...
Je me réveilla en sursaut, j'étais sur un lit de camp avec un chiffon mouillé d'eau froide sur mon front.
-TURGO dirent mes deux loyaux compagnons Kakor et Kikor.
-Doucement, doucement dis-je en souriant en les voyant sauter sur moi.
-Turgo, quand tu t'es évanoui, nous et nos hommes ne savions plus quoi faire, on avait pris l'habitude de t'obéir et on n'a jamais pensé une seconde comment ferions-nous si tu ne serais pas là pour nous aider et nous donner des ordres, on a fait un campement à l'abri des regards et des éclaireurs puis on s'est occupé de toi.
-Comment vont les hommes?
-Ils vont bien, ils sont en train de se reposer après un bon repas.
Un rapide coup d'œil vers l'extérieur de la tente me montra qu'on était à la tombée de la nuit, Kakor et Kikor ont dû me veiller pendant longtemps.
-Qu'on donne l'ordre qu'on dorme tous, une longue journée nous attend demain.
-Oui!
Kakor m'apporta un morceau de volaille froide aux herbe que je mangea sans appétit et je m'endormis profondément après...
Le lendemain matin, tous mes hommes et moi nous réveillâmes simultanément, nous nous lavâmes et ma troupe et moi-même s'armâmes et prîmes un petit déjeuner léger composé de pain rassis, de jus de fruits et d'œufs crus que nous avalâmes après les avoir cassés.
Je convoqua Kakor et Kikor dans ma tente et leur dit:
-C'est une grande et puissante armée qui essaye et qui va peut-être réussir de détruire notre ville!
-Qu'allons-nous faire?
-Le seigneur et Joutar ne sont pas là pour me donner des ordres ou pour me dire que faire, nous devrons donc improviser et cela sous mon commandement.
Je me massa les tempes, j'étais en proie à une profonde réflexion car je savais que le destin de mes hommes et peut-être de la ville dépendait de moi et, je venais de le réaliser, je n'avais jamais fait quelque chose d'important, c'était la véritable première épreuve qui m'était apparue, si je la réussissais j'en sortirais plus fort et plus sûr de moi mais si j'échoue...
Des milliers de femmes seront violées, des enfants seront massacrés, des hommes torturés, le peuple de Rahjmed exterminé et mes hommes subiraient le même sort et moi je serai sans doute torturé et je ne mourrais que dans d'atroces souffrances.
-Turgo?
-Ça y est Kakor, j'ai un petit plan qui au lieu de détruire nos ennemis, devraient sans doute les affaiblir.
C'était une décision sage, car je ne pouvais tuer des ennemis qu'en livrant bataille et avec le nombre ridicule de mes propres soldats et celui des milliers de soldats de l'ennemi, nous mourrons sans doute sans avoir touché le moindre ennemi, les archers qui nous auraient tués à 500 mètres de l'arrière-garde.
-Qui est?
J'avais mûri ce plan dans ma tête et j'y avais trouvé plusieurs avantages.
-Une armée tel que celle-ci doit sûrement prendre des quantités phénoménales de nourriture et ils doivent donc recevoir des apports réguliers de vivres, nous allons intercepter ces convois et les voler, ça n'affamera sûrement pas toute l'armée mais une partie et ça sèmera le doute dans le cœur de nos ennemis.
-Turgo, tu dis beaucoup le mot ennemi mais qui sont ces ennemis? Des Corsaires? Des Haradrims? Des Orientaux?
-Ce ne sont pas les ennemis qui manquent à notre cité mais je pense que c'est un ennemi spécial dis-je en souriant, les Corsaires ne gaspilleraient pas autant d'hommes pour une simple ville, si c'est des hommes d'Harad, il faudrait que ces soldats soient sous la bannière de plusieurs villes pour produire une telle armée ce qui est impossible en ces temps et les Orientaux n'y gagneraient aucun intérêt en attaquant une ville si lointaine de leur pays, je penche sur un certain peuple en particulier mais je ne vous ferais pas part de mes doutes maintenant, de toute façon, d'une manière ou d'une autre nous aurons des informations en attaquant le convoi.
-Et...
-Non Kikor, j'ai assez donné d'informations pour l'instant, allez donnez les indications à tous les hommes maintenant.
Ce fut un Kikor déçu et un Kakor songeur qui quittèrent ma tente.
J'allais voir Ulfang qui lui seul ne m'harcelait pas et lui donna une carotte et une pomme verte, ses préférées, et en caressant sa tête je pensa à un élément qui pourrait considérablement changer la situation pour Rahjmed, et positivement.
Nous laissâmes le camp avec huit soldats pour le surveiller qui en valaient facilement vingt et finalement nous nous plaçâmes de chaque côté de la route qui menait à notre ville, maintenant à l'armée, afin de prendre en embuscade les potentiels convois.
Ceux-ci ne tardèrent pas.
Il y avait plus de trois chariots, rempli de vivres à vue d'œil et protégés par deux gardes seulement, sûrement l'ennemi pensait que tous les Rahjmediens se terraient dans la ville et que leurs vivres n'avaient donc rien à craindre mais c'était sans nous compter et avec un cri de rage je fonça vers les gardes qui finissaient tranquillement une bouteille de vin mais Kakor et Kikor furent plus rapides que moi et les têtes des malheureux gardes volèrent bientôt quelques mètres plus loin.
Dommage pour l'interrogatoire ce sera pour le prochain convoi.
Je fouilla les convois et je vis une chose qui me troubla, il y avait peu de poisson, ce qui montrait que ce n'était pas des gens de la côte mais énormément de pain et de viande et de fruits et de bière que je goûta et que je trouva très bonne, quoiqu'un peu fade, et les gardes étaient des hommes, bruns.
Mes doutes furent confirmés en voyant dans les convois des armes et des armures, mais surtout il y avait un casque avec des ailes, des gondoriens...
La bière me rappela mon rapide séjour à Minas Tirith.
Ces bâtards avaient donc osé venir dans NOTRE territoire et massacrer notre peuple, cette grande armée ne visait pas donc rien que Rahjmed mais le Harad, Umbar et les Royaumes du Sud. Nous étions donc tous concernés. Je me jura que si nous survivions à l'assaut, je me mettrai corps et âme à détruire ce royaume de marins bâtards qui pensaient avoir droit sur toute terre, toute vie mais surtout sur toute pièce d'or. Ils avaient asservi le Rohan à leur volonté mais ils n'auront jamais le Harad.
JAMAIS!
J'envoya avec deux soldats les convois dans notre camp et j'attendis le prochain convoi qui tarda beaucoup et après deux heures d'attente et quand Kakor découragé me dit que faire une pause au camp n'était pas une mauvaise idée, j'entendis le bruit de roues sur la route et je vis un chariot rempli d'armes de qualités surveillés par quelques paysans qui bavardaient en riant.
Quelques secondes après je venais fouiller les chariots et je dû reconnaître amèrement que ces armes étaient mieux forgées que les ardentes lames du Harad, je regarda avec envie une lame de bonne facture qui brillait au soleil puis je me rappela qu'elle avait été créée par des gondoriens qui avaient espoir que ces lames tuent le plus d'hommes du Sud possible.
Les deux soldats étaient revenus depuis longtemps et je les renvoya au camp avec les chariots.
Quelques minutes après qu'ils soient revenu, je vis une large troupe mener un large nombre de chariots vers l'armée.
J'hésitais à donner l'assaut, nous étions diminués de plusieurs soldats et ils étaient plutôt nombreux et l'ennemi saurait sûrement que quelque chose de bizarre est arrivé si trois chargements d'affilée n'étaient pas arrivés et ils enverraient sûrement une grande troupe qui tuerait nos compagnies brisées par l'assaut précédent puis quand je vis une compagnie de cavaliers supplémentaires arriver de l'autre bout du chemin venir et trouver l'autre troupe, j'entendis la patrouille parler au convoi, ils parlaient en langage commun:
-Ah enfin dit celui qui semblait être le chef de la patrouille.
-Pardon? dit le seul soldat du convoi en cheval.
-Deux importants chargements devaient arriver et rien n'est arrivé.
-Bah ils se sont sûrement perdus.
-J'en doute; ils verraient de loin notre glorieuse armée assiéger ces chiens de Sauron dit-il en crachant.
C'en était trop, ils étaient peut-être soixante-quinze soldats et nous quarante et au moment où j'allais donner l'ordre d'attaquer, Kakor m'arrêta par la main et par un seul regard.
C'était pure folie et je le savais.
Je me mordis la lèvre pour me retenir et je voulus entendre le reste de la conversation:
-Je pense qu'ils ont été attaqués dit le chef de la patrouille.
-Bah par qui veux-tu qu'ils soient attaqués dit le chef du convoi en riant, tous les ennemis sont enfermés dans la cité et si nous devons reconnaître une qualité aux Haradrims c'est qu'ils savent sécuriser leurs routes, c'est rare de se faire brigander par ici.
S'il savait combien il se trompait... Il n'avait jamais entendu des pillards haradrims alors qui, tellement nombreux, se sont finalement vendus comme mercenaires.
-Pas comme notre Ithilien dit en souriant le cavalier qui commandait à la patrouille.
-Bon on y va? Kiraet et son armée nous attendent.
-Oui.
S'ils savaient que plus aucun convoi après eux n'allait passer, bien gardé ou pas ils n'auraient certainement pas éclatés de rire.
Kiraet...
Par la suite je me rappèlerais de ce nom...
Je plaça les arbalétriers dans les arbres et le reste de la troupe était dispersé des deux côtés de la route.
Une heure plus tard arriva un convoi qui possédait six chariots accompagnés de seulement sept cavaliers.
Je fonça en hurlant tel un mumâkil vers eux et mon épée lacérait un torse puis j'étripai un cheval avant d'enfoncer ma dague entre les deux yeux du cavalier tombé puis je lança sa lance tombée en plein dans le poitrail d'un autre animal qui hennit de douleur avant de s'effondrer.
Les flèches des arbalétriers furent décochées avec art et cinq cavaliers tombèrent, les trois derniers cavaliers furent désarmés et quand on leur demanda des informations, ils ne répondirent pas.
On recommença et on les gifla jusqu'à ce que je vis un mince filet de sang couler de leur bouche.
Ces chiens s'étaient coupés la langue!
Les convois avaient des vivres, des armes mais quelque chose me surprit, j'allais vérifier la véracité plus tard dans le camp.
Le jour était bien avancé et nous rentrâmes dans notre camp, dans les bois.
Il devait être dans les environs de dix-huit heures et, j'en étais sûr et certain, qu'aucun convoi n'allait passer avant demain.
Je prépara un repas à mes hommes:
Des omelettes avec du thon, du pain haradrim, un mouton à la broche et je vida des poissons avant d'en faire un petit barbecue, je ne craignais pas que la fumée de mon feu avertisse les gondoriens, à la distance où ils étaient ils ne pouvaient rien voir et penseraient sûrement à un petit feu de bois.
Puis j'allai fouiller tous les convois, je retrouvais dans chacun d'eux un coffre.
Lourdement verrouillé.
Mais il ne résista pas à ma lame et son contenu était:
De l'or, beaucoup d'or et de pierres précieuses.
J'allai vérifier cela dans tous les convois et le contenu était le même donc j'arrivais à la conclusion que ces Gondoriens avaient fait appel à des mercenaires, beaucoup à en voire la somme.
Je souriais d'aise en pensant à ce que les mercenaires allaient faire en voyant que leur salaire n'était pas arrivé.
Nous bûmes une bonne partie de la bière gondorienne que nous avions pris avant d'aller nous endormir.
Un village en feu...
Ma mère hurlant derrière moi...
Un mystérieux cavalier m'arrachant des bras de ma mère...
Une ville aux contours lointains mais familiers...
Une statue montrant un homme qui tenait quelque chose...
Une tombe portant le nom de...
Je me réveilla avec la gueule de bois et je médita sur mon rêve qui, j'en étais sûr et certain, me montrait mon passé.
J'allai réveiller tout le monde et nous mangeâmes quelques morceaux du mouton de la veille et nous allâmes nous armer et nous laver.
Pendant ce temps, j'avais rassemblé tous les coffres , qui étaient au nombre de dix, et en rassemblant tout le trésor dans une partie je compris que c'était peut-être le double ou le triple du trésor royal de Rahjmed et si nous comptions tous les convois qui allaient arriver et celui qui était passé, j'étais sûr et certain qu'au minimum le tiers de l'armée Gondorienne était des mercenaires.
Je laissa les mêmes gardes de la veille surveiller le camp et je partis de nouveau pour l'embuscade.
La patrouille du cavalier montait et descendait la route, sûrement car une insurrection s'était déroulée au camp et que la moindre pièce d'or serait la bienvenue!
Ils étaient au nombre de vingt et il n'y avait pas de convoi pour l'instant, Kakor donna discrètement l'ordre aux arbalétriers embusqués dans les arbres de tirer.
Dix flèches volèrent vers l'ennemi, quelques chevaux furent touchés et deux cavaliers morts mais le reste s'en sorti indemne.
Nous sortîmes des deux côtés de la route avec colère.
Enfin j'allais me venger sur ce cul blanc de Gondorien!
Je le chercha immédiatement des yeux et il me vit aussi, il chargea avec son cheval et voulut m'embrocher mais j'avais sauté et je parvins à esquiver son cheval et sa lance, ensuite j'allai contre-attaquer en coupant les jambes de son cheval qui s'effondra, j'avais un pincement au cœur chaque fois que je tuais un de ces nobles animaux mais je n'avais pas le choix, le chien du Gondor se retourna vers moi et fonça tel un démon sur moi mais je passa mon épée dans la main gauche afin de mieux recevoir ce coup en horizontal, je le para sans difficulté et j'assénai un coup de poing, qui même s'il était faible avait eu le mérite de le faire chanceler, j'enchaînai d'un coup de pied et le poussa vers un arbre, son épée était à terre et la mienne au niveau de sa gorge et je lui dis:
-Parle et tu auras la vie sauve dis-je d'une voix froide et distante.
-Oui, oui , tout ce que vous voudrez dit ce traître.
-Qui sers-tu?
-Rikaen, c'est un riche chef de guerre gondorien qui a fait le serment d'asservir tous les Royaumes du Sud et de l'Est.
-Tu as un maître bien ambitieux à ce que tu me dis.
-Il est soutenu par Denethor mais Beregond et Faramir désapprouvent ces agissements.
-Hier, s'est-il passé quelque chose d'anormal?
Il me regarda avec surprise puis il avoua que les nombreux mercenaires de l'armée s'étaient énervés et avaient tué des soldats du Gondor et une partie de l'armée des mercenaires avait quitté le siège.
-Est-ce tout ce que tu as à me dire?
-Oui, oui.
-Alors meurs.
Je l'égorgea, y'a-t'il pire crime que vendre son frère?
Entretemps, mes hommes avaient dégagé les corps du chemin et fouillé pour essayer de trouver quelque chose de curieux mais n'avaient rien trouvé.
Je savais que si la patrouille ne revenait pas, le pire serait à prévoir.
Jusqu'à la tombée de la nuit plus aucun convoi n'était arrivé et finalement, en rentrant au camp j'expliquai à mes hommes que nous devrions partir, Rahjmed était vouée à la destruction. C'est ce que je pensais sincèrement. Je leur dis aussi qu'ils n'étaient pas voués à la servitude et qu'ils pourraient partir seuls et libres mais ils me répondirent tous qu'ils me suivraient jusqu'à la mort, j'eus chaud au cœur en entendant cela.
Le lendemain matin j'allai en haut de la colline et je vis finalement en haut des grands murs de la cité une grande garnison et des archers.
Mais c'était trop tard.
Du moins c'est ce que je pensais.
Un cor sonna, et d'autres lui répondirent et je vis derrière la cité des cavaliers charger l'ennemi.
Je criais de joie.
Les alliés étaient venus!

Fort court tout ca,mais bien aéré,c'est déjà un plus.
Je te note:

-Taille:14/20,si j'ai mis 16 à Urgog,je ne peux pas te donner plus

-Action:15/20

-Orthographe:7/10 quelques fautes de style,plus des accords du verbe qui ne sont pas toujours adéquats mais rien de dramatique,le style reste un peu pauvre

-Histoire:15/20 j'ai bien aimé l'idée des mercenaires,même si j'aurais préféré plus de description du camps ennemis,les types de mercenaires...

Total : 14.5 /20 donc je te mets 15/20 en cote d'encouragement,ca m'ennuie un peu que la cote soit aussi proche de celle d'Urgog alors que sa mission est supérieur mais si ca ne le dérange pas,pas de problème,je cote différemment selon la personne et sa qualité habituelle de récit.

Ta mission est plaisante,mais il ne faut pas oublier que tu as tout ton temps pour la faire,donc tu n'es pas obliger de te dépêcher autant ^^
Mais si tu as de l'inspiration,tant mieux,je préfère te coter de manière sympa si ca peux te motiver à écrire.

Merci Adrian mais je préfèrerais que tu me notes 14/20 ma mission n'est pas aussi bien que celle d'Urgog et je veux être lentement grand guerreir pour que mes récits aient le temps d'être améliorés et je demande une mission

Sa ne me dérange nullement Adrian. Je conçois que les critères diffère en fonction des personnes et des grades. Par exemple, un sergent ne sera pas noté de la même façon qu'un Commandant en Chef =)

Choisis la cote que tu préfères Azert,je te laisse seul juge.

Merci de ta compréhension infecte créature

Mission:

-Ta cité ne tolèrera plus d'être mise en danger,il faut établir des tours de guet et des forts sur les frontières afin de prévenir de nouvelles invasions.
Tu dois escorter les ouvriers chargés des constructions,mais avant toute chose,aller les quérir dans un petit village proche.
Les mercenaires qui ont désertés l'armée ennemie rodent encore en petites bandes éparpillées sur tout le territoire,c'est le principal danger de cette mission.

Troupes:

-Mercenaires rebelles : je te laisse choisir à nouveau le nombre et genre vus que tu n'as pas précisé dans la mission précédente

Allié: 50 charpentiers,avec fatalement le matériel qui va avec,donc chariots,mulets...

Voila

Bonne mission Adrian mais une tite question construire une tour de guet et un fort prendra combien de temps? Ca prend un jour?

Ben,les tours pas bien longtemps,disons un ou deux jours,les forts plus longtemps donc tu devras laisser une partie de tes troupes avec les charpentiers pour ne pas devoir attendre et continuer,en laissant à chaque fois 5 hommes et 20 charpentiers par exemple.

Avec évidemment possibilité que tes troupes isolées soient attaquées ou que tu décides d'aider aux travaux pour faire une partie plus 'travailleuse" que guerrière,enfin,tu as pas mal de possibilité.

Ah ok donc un petit fort prend une semaine?

Ben logiquement bien plus mais pour faciliter la mission on va dire ca.

Ouais j'avoue je vais pas rester un an sur du désert :p

azerto copie pas trop sur tyrius s'il te plait parce que je voulais que sa soit un perso unique^^ mais sinon au pire on a qu'a être enemi, enfin dans pas mal de temps mais on le sera

je te jure que je ne recopie pas tyrius je le trouve trop coincé^^ mais surtesdeux compagnons j'avoue :p

mes deux compagnons?

L'un qui est mort et l'autre qui parle a l'hasharii

à mes deux capitaines, enfin plus q'un et bientôt 0, uè fin si tu les suit trop tu vas mourrir c'est pas cool ^^

Nan j'ai pris que le bon, le mauvais j'ai pas gardé

Quelqu'un pourrait me filer une autre mission?
Je suis à la moitié de celle d'Adrian et je suis bloqué, pouvez m'en donner une autre en attendant?
Merci

Je veux bien, mais tu en es où ?
Où es-tu ? Avec qui ? Pourquoi ?
Grob'

Merci!
Je suis à Rahjmed et ma ville vient tout juste de se lever de son siège, mes troupes sont de 45 cavaliers d'élite .
P.S Une bonne mission hein grob' ça fait longtemps que j'ai pas massacré de l'orque

Je demande une mission, je suis actuellement à Rahjmed et je possède toutes mes troupes et je ne possède qu'une seule arme, une épée.

Tu voudrais être opposer à quel genre d'ennemi pour la mission suivante,une préférence ?

Mmh, des Orques , Adrian !
Fais une belle mission steuplaît, bien RP ^^