Récits du Nùménoréen

Salut à vous

Je voudrais une mission, maintenant que j'ai terminé la grande bataille. Rappel, je suis un grand guerrier avec 5.5, je me trouve à Umbar. J'ai 160 hommes sous mes ordres, vétéran, arbalétriers, piquiers, guerriers, et mon lieutenant

oki


alors le roi des corsaires( si il y en a un) te demande de faire plusieurs raids en Gondor , tu y trouveras des navires ennemis et beaucoup de village , bref amuse toi. le roi veut que tu fasse vite et te prête beaucoup de chose.

ennemi: 5 navires transportant 30 hommes chacun + 2 village avec un mur . Dans les villages il y a 50 villageois + 30 guerriers a chaque fois.

alliés: le roi est sympathique et te donne sept bateaux pouvant transporter 40 soldats + 120 corsaires mal entrainé + 2 bélier.

Ok

Merci à toi Elfe

pas de problème, j'en donne beaucoup depuis quelque temps.

Brifeng : Le roi d'Umbar te demande de faire plusieurs raids en Gondor. Tu y trouvera des navires ennemis et beaucoup de village, bref amuses toi. Le roi veut que tu fasses vite et te prêtes beaucoup de chose.
Ennemis : 5 navires transportant 30 hommes chacun + 2 village avec un mur . Dans les villages il y a 50 villageois + 30 guerriers a chaque fois.
Alliés : Le roi est sympathique et te donne sept bateaux pouvant transporter 40 soldats + 120 corsaires mal entrainé + 2 bélier.

Khiliani et ses hommes étaient rentré à Hironeiden depuis quelques jours déjà. De nouvelles recrues corsaires avaient rejoints leurs forces suite à leur retour de la guerre.. Khiliani décida de ne pas de faire forger un autre plastron, désormais, il n'en porterai pas, afin d'être sûr que ses ennemis le reconnaissent de loin.. Cela faisait des mois qu'il était devenu, par la force, le seigneur de Hironeiden, petite cité corsaire sur la côté de la Baie de Belfalas. Et depuis ce jour, tout ce qu'il faisait de réellement important se soldait par un échec, ou une dure victoire.. Le chef numénoréen était à la taverne du port, avec ses hommes, comme chaque jour depuis le début de sa longue carrière de combattant. Il était à une table, avec Rupert, son second, et quatre de ses vétérans. Son lieutenant mesurait 1m74 et était assez mince. Il portait des cheveux noirs mi-longs, avec des yeux noirs. Il était orignaire d'Umbar, bien que sa grand mère fut haradrime. Il est donc un mélange de suderon et de numénoréen noir. Chacun des hommes avait un verre plein, avec trois bouteilles posées sur la table.. Ils étaient silencieux, se rappelant les terribles évènements de la précédente bataille, en Harad..

De plus, maintenant que leur supérieur avait tué un chef suderon, les relations pourraient s'aggraver enconre davantage entre les deux nations.. Soudain, brisant le lourd silence, un homme entra en courant dans la pièce. Il avait de larges épaules et une panse bien remplie. Il avait de longs cheveux bruns qui descendait sur son dos. Il sembla chercher quelqu'un du regard, lequel s'arrêta sur Khiliani, seigneur de Hironeiden. Le corsaire s'approcha et vit alors Rupert. L'homme s'inclina devant son lieutenant et regarda le chef numénoréen, avant de prendre la parole :

-Khiliani, Umbar a fait parvenir un message.. Le roi lui même te demande à la capitale. Tu dois y être avant le Orgaladh.

-Le roi ? Que peut-il bien me vouloir.. Enfin, sa nous occupera. Rupert, prépares nos hommes, je les veux équipés et armés dans moins de dix minutes sur la place de la ville.

-A tes ordres Khiliani.

Le chef corsaire regarda son lieutenant, ses vétérans et le messager partirent pour accomplir ses ordres. Il allait revoir le roi, un homme qu'il n'avait plus revu depuis sept ans.. Le corsaire rentra dans sa tour et alla s'équiper, et s'armer. Il passa la grande porte devant les deux gardes, monta les escaliers, traversa les couloirs ornés de richesse et arriva enfin dans sa chambre. Il prit son sabre, sa dague et quitta sa demeure.Il arriva sur la grande place et y retrouva sa grande armée, près de cent soixante hommes attendaient là, armés, équipés, et prêts à se battre, car si, il faut rejoindre le roi, c'est qu'il y avait une raison militaire... Rupert arriva avec un plastron flambant neuf qu'il tendit à son supérieur. Khiliani le regarda et lui répondit :

-Non Rupert, ce n'est pas la peine. J'e n'en ai aucune nécéssité..

-Khiliani, sans armure, une simple flèche peut t'abattre...

-Alors je mourrais, mais ce n'est pas mon destin, j'en ai eut la confirmation à la Bataille du Harondor. Si je dois mourir, ce sera de la main de ce rôdeur, et de nul autre..

-Très bien, comme tu veux.

Le chef numénoréen entama alors un petit discours pour expliquer à ses hommes leur mission, simple, mais qui déboucherait sûrement sur une bataille difficile. Ensuite, toute l'armée se dirigea vers le port afin d'embarquer sur les navires corsaires. Khiliani monta sur le pont de son vaisseau amiral et ordonna à deux marins de hisser les voiles. Chaque bâtiment fit de même, et bientôt, une partie de la flotte de Hironeiden navigait vers le Nord, vers Umbar, capitale du pays portant le même nom. Le vent soufflait fort sur la mer, aidant les navires du Sud à avancer plus vite que n'importe qui d'autre. Khiliani monta sur la proue du navire de tête, l'air était froid, une grande tempête se préparait.. Enfin, les navires arrivèrent au port d'Umbar, sans incidents... Khiliani laissa ses hommes à bord, et descendit avec dix vétérans et Rupert. Ils marchèrent à travers les rues de la cité portuaire sous le regards qui habitants.. Ils furent rapidement accosté par un groupe de gardes qui les conduisirent au palais du roi.. Ce dernier était magnifique, encore plus que celui de Hironeiden. Lorsqu'ils furent devant le roi, Khiliani posa un genoux à terre en baissant la tête, chacun de ses hommes faisant de même. Le roi était un vieil homme aigri et désagréable. Il était ridé, avec des cheveux gris qui tombaient sur sa nuque. Il s'imaginait être l'homme au dessus de tout, simplement parce qu'il était le fils de l'ancien roi.

-Mon seigneur. Que peut Hironeiden pour vous ?

-Ce n'est pas Hironeiden qui me sert, mais vous.

-Bien entendu mon seigneur. Cela vas de soit. Que puis-je donc faire pour vous ?

-Et bien, nous avons assez patienté.. Les raids contre le Gondor peuvent reprendre.. J'ai envoyé deux de mes navires pour s'occuper de ces paysans.. Mais ils ne sont toujours pas revenu après tout ce temps.... Ne t'avais-je pas ordonner de venir avant le Orgaladh ? Tu est en retard....

-Veuillez me pardonner mon seigneur, mais le voyage est long depuis Hironeiden.... Dois-je partir à leur recherche ?

-Non, je n'ai pas besoin d'eux.... Tant pis pour eux s'ils n'ont pas été digne de vaincre.... Prends ta flotte, avec une partie de la mienne, et pars pour les côtes gondoriennes. Pilles les, n'ais aucune pitié ! Ne laisses aucun survivant..

-A vos ordres, mon seigneur. Je prépare mes hommes au voyage sur le champ.

-Alors pars sur le champs, vas !

Khiliani baissa la tête à nouveau, puis, il se releva, et partit avec ses hommes qui l'avaient imité. Des raids, à croire que Khiliani était toujours ce sergent qui pillais les côtes gondoriennes ! Enfin, peu importait cela, il fallait obéir au roi d'Umbar. Cela rappela au corsaire l'époque où il servait Curian, qui avait finit par tomber de sa tour, laissant le pouvoir à Khiliani. Une grand flotte fut préparée, ainsi qu'une bonne armée en plus de celle de Hironeiden. C'est ainsi que sept navires corsaires, chargés d'hommes armées et équipés, et prêts au massacre, se mirent en route vers les terres paisibles du Gondor, de l'Anfalas, province du seigneur Golasgil. Le ciel devenait noir, et grondait. La tempête, cauchemar des corsaires, allait bientôt avoir lieu, et engloutir tout navire se trouvant dans la Baie de Belfalas.... Khiliani monta au poste de navigation où se trouvait un vieux marin borgne et Rupert qui veillait près de lui....

-Rupert, il vas falloir faire vite. Nous ne pourrons peut être pas rentrer avant que la tempête ne se déclenche....

-Tu as raison, mais nous allons au maximum, le vent est très fort, donc même si nous le voulions, nous ne pourriont pas ralentir....

La flotte corsaire arriva finalement sur les côtes de l'Anfalas. Les troupes débarquèrent et se rassemblèrent en ligne sur la plage, devant leur supérieur. Il y avait là près de quarante guerriers, autant d'arbalétriers et de lanciers. Il y avait aussi les quarante vétéran restant, en comptant Rupert, ainsi que cent vingt corsaire du roi, qui diversifier entre guerrier, arbalétriers et lanciers. Aucun n'était véritablement un guerrier.... Le roi d'Umbar avait ausi prêté des navires et deux bêliers. Khiliani savait qu'ils étaient en territoire ennemi, mais ces hommes, ces hommes n'avaient jamais combattu un ennemi supérieur en nombre et en puissance. Ils ignoraient la difficultée du vrai combat. Le vétéran d'Umbar les regarda un à un d'un air grave....

-Ecoutez moi, tous. Nous sommes en Gondor, pensez-y ! Ici, ce n'est pas un entraînement entre amis, n'oubliez pas ! Et n'ayez aucune pitiée.... Ni pour les hommes, ni pour les femmes, ni pour les enfants ! Massacrons ces fils de chiens du Gondor ! En avant !

En disant cela, Khiliani leva son sabre, de même que tous les hommes présents, en acclamant leur chef. Alors que les troupes se dirigeaient vers l'intérieur des terres, une vigie signala une flotte gondorienne en approche, ils devaient venir de Dol Amroth. Le grand guerrier d'Umbar lança un regard à Rupert, qui voulait dire bien des choses... Le lieutenant d'Umbar couru vers les navires corsaires avec des arbalétriers et des guerriers pour stopper l'avancée de la flotte de l'Ouest. Pendant ce temps, Khiliani et le reste des troupes fonçaient vers les terres pour trouver des villages à piller.... Ils tombèrent sur un village gondorien, dans les plaines de l'Anfalas. Le village était entouré d'une pallissade de bois, avec à l'intérieur des maisons de bois, avec un toit de paillasse. L'officier d'Umbar ordonna la charge sur ces paysans du Gondor. Ils trouvèrent la porte principale, en bois. Les corsaires enfoncèrent la porte avec un tronc d'arbre mort sur la lisière d'un bois. Khiliani passa dans le village en premier et se retrouva devant les guerriers de la milice du village. Le chef numénoréen transperça un des guerriers, avant de bloquer la lame d'un autre. Il effectua deux autres parades, avec une attaque juste après qui fut parée. Il planta la lame de son sabre dans l'articulation du genoux de son assaillant, qui s'effondra à genoux sur l'herbe. Khiliani l'égorgea d'un violent coup de sabre, envoyant du sang dans toutes les directions.... Le chef corsaire et ses hommes commençaient à prendre du terrain sur les forces gondoriennes. Une partie des hommes de Hironeiden partit par le flanc pour rejoindre le village, laissant les guerriers du Gondor combattre les forces corsaires. Le numénoréen s'avança dans le village, suivi d'une poignée d'homme qui empêchaient quiconque de toucher leur chef. Khiliani pénétra dans une maison, où se trouvait quelques villageois gondoriens. Des femmes, des enfants, des vieillards... Le corsaire entra d'un pas lourd, sabre en main, avec un regard dur. Ses hommes commencèrent à rebrousser chemin, car ce n'était que des civils, mais Khiliani les rappela.

-Qu'ais-je dis sur la plage ? J'ai ordonna aucune pitié !

-Mais, Khiliani, ce sont des femmes, des enfants, des vieillards, ils ne méritent guère la mort... Le roi serait contre !

-Le roi est-il là ? Non, je suis le commandant de cette mission... Et ces enfants sans menaces deviendront des guerriers qui lutteront contre nous pour venger leurs pères... Alors, massacrez les !

Les hommes obéirent, bien malgré eux, et se jettèrent sur les civils du Gondor. Khiliani transperça une fillette, avant de jeter son corps meurtri violemment sur le mur... Un de ses hommes égorgea un vieil homme, avant d'éventrer sa femme.

Soudain, une femme d'une trentaine d'années se jetta au pied de Khiliani, l'implorant de lui laisser la vie. Le corsaire lui envoya un coup de genoux dans la tête, avant de l'attraper par les cheveux pour la traîner ensuite sur le sol, vers un escalier, qui menait au toit du bâtiment.... Elle pleurait pendant qu'il la traîner....

-Pitié, je ferais n'importe quoi !

-Vraiment ? Serais tu prête à t'offrir à moi ?

-Je.... Oui, je.... Oui, je ferais n'impourte quoi !

Il la lança dans le vide, et ce "saut" lui brisa les ors, sans la tuer. Elle hurla de douleur.... Il dit "Je ne laisse pas vivre les chiennes du Gondor". Khiliani redescendit et ordonna à un de ses vétérans de la traîner jusqu'à la mer, et de la noyer.... L'homme obéit sans sourciller et sans hésiter, il était aux ordres de Khiliani depuis si longtemps...
Pendant ce temps, Rupert menait la flotte vers les combats. Il était sur la proue du navire de commandemant, armée de son arbalète. Ses hommes étaient pour la plupart des arbalétriers, tous excellent, à part bien sur les bleus d'Umbar.... Enfin, les navires étaient à portée, chacun des deux camps usant de balistes et autres armes de siège sur les navire, de même que les flèches et les carreaux qui volaient dans les deux sens. Le lieutenant d'Umbar arma son arme et fit feu droit sur un archer du Gondor qui s'écroula d'une flèche entre les deux yeux. Déjà un navire corsaire avait été envoyé par le fond, tandis que deux bâtiments gondoriens gisaient au fond des mers. Le navire de tête de l'Ouest passa juste à côté du navire de commandemant de Hironeiden. Rupert envoya ses quelques guerriers aux cordes, pour aborder le bâtiment ennemi, il se joignit d'ailleurs aussi à eux. Il rangea son arme à distance dans le dos, et dégaina son cimeterre. Il transperça un marin du Gondor, avant d'égorger un soldat gondorien. Deux corsaires gagnèrent la cale qu'ils sabotèrent bien vite afin de couler le navire ennemi. Les combats continuèrent encore quelques minutes pour occuper siffisemment les hommes de l'Ouest. Puis, Rupert ordonna la repli des hommes. Les hommes du Gondor restèrent surpris devant ce repli soudain, mais ils comprirent bien vite le stratagème employé par les corsaires. Le bâtiment naval gondorien sombra, entraînant dans la mort les hommes du Gondor... Soudain, la foudre tomba, la pluie et le vent aussi, la tempête commençait.... Rupert posa sa réserve de carreaux sur un tonneaux, mais au même moment, un violent choc se fit retentir contre la coque du navire. Le lieutenant de Hironeiden tomba en avant sur sa réserve de projectile, dont l'un lui était recourbé suite à un coup d'épée...L'embout lui traversa l'oeil, sans s'enfoncer trop profondémment dans sa tête... Rupert tomba sur le dos en hurlant, sans s'arrêter. C'était un léviathan, à croire que ces créatures ne s'arrêtaient jamais... C'était sûrement le même que lors de la grande bataille du Harondor. Un des arbalétriers vînt déloger le carreaux de l'oeil droit de son supérieur avant de lui faire un bandage de fortune pour éviter que le sang ne coule trop... Alors que les arbéltriers faisaient feu depuis tous les navires, le vaisseau amiral sombra... Rupert tomba dans l'eau froide de la Belfalas, avec quelques uns de ses hommes, d'autres, qui s'étaient réfugiés dans la cale ou les cabines furent engloutis dans les flots de la baie, alors que la tempête faisait rage...

Cependant, sur les terres, Khiliani et ses hommes finissaient de massacrer les civils et les derniers miliciens du villages, tous dans d'attroces souffrances, en ayant aucune pitié, pour quiconque... Les maisons furent brûlées, de même que la pallissade. Les corps restèrent en place pour être dévoré par les prédateurs aériens de l'Anfalas. Le chef corsaire rassembla ses hommes, après avoir brûlé les quelques pertes occasionnées par les combats.

-Soldats, la tempête fait rage en mer, dépêchons nous et allons voir où en sont Rupert et ses troupes ! En avant, on attaque encore un village et ça ira !

-A vos ordres chef !

Les forces du Sud redoublèrent de vitesse pour atteindre au plus vite le second village en question. C'est ainsi qu'après quinze minutes à courir dans les plaines, les troupes d'Umbar tombèrent sur un autre village, mieux fortifié apparemment. Khiliani envoya les hommes du roi avec le bêlier en avant pour briser la porte, afin que ses propres hommes risquent moins que ces débutants... Soudain, des flèches volèrent de la pallissade, ainsi, les gondoriens savaient que les corsaires venaient, parfait... Les rares arbalétriers qui étaient resté avec Khiliani firent feu pour tenir en respect les adversaires, le temps que les bleus détruisent la porte. Enfin, après quatre coups, la porte se brisa, laissant les forces numénoréennes pénétraient dans le petit village. Khiliani arriva vite à l'avant des troupes, avec ses vétérans afin de montrer leur supériorité aux hommes du roi. Chacun d'eux se battait avec rage et haine contre les hommes du Gondor.... Nul ne survivait à leur assaut inarrêtable. Le chef d'Umbar transperça un villageois armée d'une fourche, avant de parer les coups d'un des guerriers. Il contre attaqua ensuite et fit reculer son assaillant. Ensuite, il lui entailla la jambe, l'homme tomba au sol. Khiliani planta la lame de son sabre dans sa gorge, le laissant suffoquer dans la douleur.... Il tourna ensuite son regard vers les habitations, il savait ce qu'il lui restait à faire....

Cependant, en mer, les autres navires de la flotte luttaient toujours contre les derniers bâtiments gondoriens, en plus de la tempête.... Deux vaisseaux se retrouvèrent côte à côte, laissant les corsaires aborder les pauvres hommes de l'Ouest. Même sans chef, les numénoréens se débrouillaient bien face aux forces du Gondor. Le déluge les avait entraîné au large, empêchant toute aide extérieure à la bataille d'intervenir. Rupert, lieutenant de Hironeiden, était tombé avec le vaisseau amiral lors de l'attaque du léviathan.... Il était au fond des flots, avec la créature monstrueuse et quelques uns de ses hommes avec lui. Ils tentèrent tous de foncer sur l'adversaire invincible pour l'abattre an s'aidant du nombre. Un corsaire fut avalé d'un seul coup par le serpent de mer, tandis qu'un autre était envyé dans les profondeurs par un coup de queue. Voyant cela, le reste des hommes commença à fuir comme ils le pouvaient, mais avec les courants de la tempête, ils n'avaient aucune chance.... Rupert nagea au plus vite vers la surface, mais lorsqu'il émergea, il se retrouva juste à côté de la coque d'un bâtiment du Gondor, à cause des courants. Le navire lui percuta la tête, le plongeant dans un long sommeil.... Un groupe d'arbalétrier se plaça sur la flanc de leur navire et ouvrirent le feu sur un bâtiment ennemi. D'un autre côté, les archers faisaient feu eux aussi, ais avec une moins bonne puissance et précision....

Sur les terres, Khiliani s'approcha alors des habitations pour s'occuper des villageois. Il était avec cinq de ses vétérans. Ils pénétrèrent dans une maison où se trouvait une quinzaines de personnes, hommes, femmes et enfants. Khiliani et ses hommes les massacrèrent dans les cris, les pleurs et la douleur. Nul ne survécu à leur rage.... Ensuite, les corsaires mirent le feu au bâtiment, et répétèrent cette opération à toutes les habitations. Toutefois, le reste des civils et des miliciens fut enfermé dans le bâtiment principal du village. L'entrée fut bloquée et le toit fut enflammé.... On entendait des hurlements de l'intérieur, avant de ne plus avoir que le silence.... Le chef numénoréen rassembla ensuite ses hommes et rejoignit les côtes de l'Anfalas pour retrouver Rupert et ses hommes. Lorsqu'ils arrivèrent, le ciel était encore noir, mais la tempête avait cessé, des débris de bois flottaient sur l'eau, et trois navires corsaires se trouvaient non loin, mais pas le vaisseau amiral.... Un navire se rapprocha pour récupérer les forces terrestres, en l'absence du navire de commandemant. Une fois à bord, Khiliani demanda à voir Rupert, mais on lui annonça que son navire avait sombré suite à une attaque terrible....

Le chef coraire ordonna le départ vers la cité d'Umbar, pour dire au roi que la mission était un succès. Ils voyagèrent pendant des jours pour arriver le Orgilion de la semaine suivant leur départ. Ils avaient eut quelques pertes, mais cela n'était guère important, a part Rupert, mais bon.... Lorsqu'ils arrivèrent à bon port, Khiliani fit débarquer seulement les hommes du roi et se rendit au palais pour voir ce dernier. Il pénétra dans la salle du trône et s'inclina devant son roi, tout en le haïssant profondémment pour son inaction....

-Mon roi, j'ai accompli votre mission.

-Non, vos hommes ont accompli cette mission, pas vous....

-Hum.... Bien entendu.... Deux villages de l'Anfalas brûlent et sont couverts de corps, des corps d'hommes, de femmes et d'enfants....

-Très bien.... Sa ira pour le moment.... Rentres à Hironeiden, tu ne me sert plus à rien pour l'instant....

-A vos ordres, monseigneur....

Khiliani se releva et se dirigea vers les ports d'Umbar. Il réembarqua avec ses hommes et fit mettre les voiles vers sa cité, pour pouvoir se reposer. Ils arrivèrent enfin à Hironeiden, aprsè trois jours de voyage. Toutefois, au moment où Khiliani avait rejoint ses forces navales, Rupert se trouvait sur une petite plage, avec trois arbalétriers. Le lieutenant se releva péniblement, il ne voyait rien de l'oeil droit, il se souvînt du bandage qu'il tenta de retirer, mais il n'y était déjà plus.... Rupert n'y voyait plus avec cet oeil, et cela ne reviendrait sûrement jamais.... Il avait perdu son cimeterre, mais gardait son arbalète qu'il avait dans le dos, mais sans aucune réserve de flèches qu'il avait laissé sur le pont du navire. Il réveilla ses hommes dont deux avaient arbalètes et projectiles, et l'autre avait son cimeterre. Le groupe s'approcha de l'eau pour pouvoir se situer un peu mieux, car ils pouvaient être sur n'importe quelle côte de la Baie de Belfalas. Au loin, on voyait les navires corsaires de Khiliani qui faisait embarquer leurs troupes sur l'Anfalas, Rupert était donc en Harondor, ce lieu maudit qui coûta la vie à nombres de braves.... Le lieutenant sûderon rassembla ses hommes et ils partirent pour le Sud, le Harad. Ils marchèrent pendant deux jours, avant de pénétrer en territoire sûderon. Après dix minutes, ils trouvèrent un ancien camp, avec des braises froides et quelques tentes usées. Soudain, un cor résonna et un groupe de dix cavaliers du Harad sur chameau arrivèrent. Leurs archers ouvrient le feu et tuèrent l'arbalétrier au cimeterre qui s'effondra. les trois autres corsaires et sûderon vengèrent leur allié et mirent à terre trois haradrims. Le chef de ces derniers prit alors la parole pour éviter d'autres pertes face à ces corsaires.

-Qu'est-ce que vous voulez, corsaires ? Êtes vous des hommes de Hironeiden ?

-Je suis sûderon et numénoréen, nous sommes frères. Et non, nous ne servons pas cette cité, mais le roi d'Umbar.

-Sa ira alors, car le chef de Hironeiden n'est qu'un traître envers notre peuple.... Vous avez besoin d'aide ?

-Hum... Des montures serviraient, oui.

-Alors prenez ces chameaux, et rentrez chez vous. Bonne chance, mon frère.

-Merci à vous, frère sûderon.

Les trois hommes prirent les chameaux et se dirigèrent au galop vers Hironeiden, pour retrouver leur seigneur. Ils voyagèrent pendant trois jours, avant d'arriver aux portes de la cité. Les deux arbalétriers relâchèrent leur monture qu'ils ne supportaient plus, mais Rupert garda la sienne, car les chameaux sont très efficaces en Harad, et leurs pas les conduisaient bien souvent dans ces contrés.... Le lieutenant d'Umbar rejoignit la taverne et y retrouva ?Khiliani a qui il raconta les derniers évènements....

Bilan :
-63 hommes du roi.
-4 navires.
-Sept de mes arbalétriers.
-Douze de mes guerriers.
-Quatre de mes lanciers.

taille: 16.5/20
action: 17.5 /20
histoire:16
orthographe: 8/10 ( des fautes d'inattention )
total: 17/20

Merci
J'ai donc 7 point de grand guerrier, et voilà mes troupes :

20 marins d'Umbar.
28 guerriers d'Umbar.
27 arbalétriers d'Umbar.
31 lanciers d'Umbar.
40 vétérans d'Umbar(élites qui ne valent qu'un).
Rupert, lieutenant de Hironeiden.

J'attend une autre mission

briefing: ta cité est prise en siège, des anciens combattants de la ville qui t'onnt échappé( il y en a pas beaucoup^^) ont demandé l'aide des haradrims et des mercenaires et des soldats de Khand. Un grande armée t'entoure, détruit là ,ils n'auront aucune pitié et encore moins pour toi.


ennemis: 50 haradrims dont 10 cavaliers (armés comme tu le souhaite) +20 ancien habitants ( armés de sabre) +75 mercenaire corsaires ( armés d'albaletes, de sabre, et de pieux) +75 pilleurs de Khand ( armés de masse, d'épées et de lance) soit en tout: 220 ennemis bien protégé(armures ,casques,bouclier)

ps: seul les haradrims, la moitié des corsaires et les habitants savent bien se battre sinon ce sont des novices

Je posterai bientôt ma mission, enfin
Pour cette dernière, j'ai prévu trois partie. La première traitera de mon lieutenant qui fera un petit raid, avant de rentrer et de voir la cité attaquée. Le seconde racontera ce qui arrriver pendant la 1ère partie à Khiliani et à la cité, et la 3ème parlera de l'uinion de Rupert et Khiliani et comment ils ont botté le cul aux haradrim

préssé de voir cela

Moi aussi !!! moi aussi !!!

Ne vous attendez pas à quelque chose d'extraordinaire
VOilà la 1ère partie :

Brifeng : Hironeiden subit un siège. Des anciens hommes de Curian, qui avaient pu fuir lors de l'attaque de Khiliani, ont demandé l'aide aux variags, haradrims et mercenaires corsaires. Une immense armée est là, détruis les vite car ils n'auront pas de pitié pour toi....
Ennemis : 50 sûderon, dont 10 cavaliers.(je choisi l'équipement). +20 anciens hommes de Curian(sabre) + 75 mercenaires(arbalète, sabre, pieu), pilleurs variag(masse, épée, lance)soit 220 ennemis
Alliés : Khiliani, Rupert et leurs hommes.

Dans la cité de Hironeiden, Khiliani était sur les ports de sa cité. Il regardait la Baie de Belfalas, avec au loin, un navire corsaire qui sillonait les eaux pour le compte du chef numénoréen. A son bord se trouvait Rupert, lieutenant de la cité corsaire. Cet homme était de sang numénoréen, avec un peu de sûderon. malgré sa diffiscience de l'oeil droit, suite à une chute malchanceuse, il demeurait un excellent arbalétrier, le meilleur de tous.... Il avait été envoyé là-bas pour surveiller la Baie, afin d'éviter une attaque du Gondor comme cela s'était passé des années auparavant. Le lieutenant de Hironeiden avait avec lui quinze marins, trente guerriers, quatorze arbalétriers et vingt lanciers d'Umbar. Il restait donc cinq marins, dix guerriers, quinze arbalétriers, quinze lanciers et les quarante vétérans de Hironeiden à la garnison de la cité corsaire. Le ciel était tranquille, bien que quelques nuages blancs et gris tournaient dans les cieux paisibles. Le soleil était caché derrière les nuages laissant la terre sans protection contre les ténèbres.... Rupert monta sur le pont de son nouveau navire de commandant afin de mieux voir l'horizon.... Au nord se trouvaient les côtes de l'Anfalas, province gondorienne, à l'Est se trouvait le Harondor. Au Sud, il avait l'Umbar et le Lointain Harad. Et enfin à l'Ouest, il avait une étendue d'eau éternelle, la Grande Mer de la Belegaer. Le lieutenant de Hironeiden fit venir les marins sur le pont pour leur donner les ordres de manoeuvre du vaisseau amiral. Deux des marins montèrent avec un arbalétriers, dont un des survivants du naufrage de Rupert, devenu sergent de Hironeiden par la suite et qui lui coûta un oeil....

-Soldats, il nous faut partir vers le Harondor pour piller un des village du Harondor, ces hommes qui ne savent pas choisir entre le Gondor et le Harad, étant issu des deux.... Mettez le cap vers l'Est, et vers les terres du Gondor Sud pour massacrer ces paysans, en avant !

-A vos ordres lieutant. En avant, hissez les voiles ! "Encouragez" les rameurs, hahahaha ! Dis moi Rupert, Khiliani est au courant de notre pillage ?

-Il le saura après, mais ne t'inquiètes pas, il approuve toute attaque contre le Gondor et ceux liés par le sang avec ces chiens. De toutes façon, les seuls contre qui il refuserait qu'on aille attaquer, ce serait le Harad qui déjà eut son compte de morts par nos troupes.

-Très bien, alors on y vas, aucun problème.

Les deux navires corsaires partirent donc vers l'Est pour rejoindre et piller les côtes du Harondor. Etrangement, à peine la mission était donnée, le ciel se mit à gronder et il s'emplit de nuages noirs et sombres. Le tonnerre gronda violemment, annonçant une tempête comme celle que les hommes d'Umbar avaient subi quelques jours auparavant.... Après la moitié d'une heure, les hommes débarquèrent sur le sable fin. Rupert descendit avec vingt guerriers, dix arbalétriers et quinz lanciers, laissant le reste des troupes et le sergent corsaire à bord des navires, accosté pour tenir à la tempête, afin de protéger les embarcations d'éventuels attaquants. Les pillards d'Umbar marchèrent tranquillement dans les sous bois et les plaines désertiques du Harondor, jusqu'à trouver un village. Ils y parvinrent au bout de deux heures de marche. Le village était entouré d'une pallissade de bois, avec une porte à l'air peu solide. Il y avait aussi quatre tours de garde, pouvant accueillir cinq archers chacunes. Le village était dans un petit bois, expliquant qu'il soit intact en raison de son endroit caché.... A l'intérieur, par les portes ouvertes, on pouvaient voir les maisons de bois, avec les traditionnels toits de chaume. Il y avait des paysans, fermiers et autre villageois, mais aucun soldat en vue.... Rupert lança l'assaut sur le village avec toutes ses troupes avides de sang. Une fois à l'intérieur, quelques villageois tentèrent une résistance contre les envahisseurs, même si leurs chances de victoire étaient infimes.... Rupert décocha un trait avec son arbalète qui atterrit droit dans la gorge d'un paysan. Pendant ce temps, les troupes de corps à corps déchainaient leur fureur sur les hommes du Harondor, nul ne survivait à ce carnage.... Et deux dizaines de minutes plus tard, malgré une farouche résistance de la part des civils, les corsaires purent rassembler un bon nombre de prisonniers sur la place du village, tandis que quelques hommes mettaient le feu aux habitations et autres bâtiments. Le lieutenant de Hironeiden rassembla ses hommes devant les esclaves afin de décider quoi en faire....

-Soldats, massacrez moi ces chiens ! Nul ne doit réchapper de nos pillages, soyez sans pitié, comme Khiliani nous l'as toujours dit....

-A vos ordres lieutenant.

Les corsaires égorgèrent chacun des hommes, des femmes, et des enfants qui avaient pu survivre quelques minutes au massacre du village, appelé par la suite, le massacre du Harondor.... Les numénoréens qui étaient tombé face aux villageois furent brûlés, afin de reposer en paix, avec le reste du vilage et ses anciens habitants. Le lieutenant sûderon partit ensuite avec ses hommes jusqu'au lieu de débarquement pour reprendre la mer avec le reste de ses troupes, qui l'attendaient patiemment sur le sable.... Pendant le trajet, Rupert eut l'impression constante et désagrable d'être suivi par quelqu'un.... pourtant, personne ne se trouvait à proximité. Lorsque les corsaires arrivèrent enfin à la plage, ils trouvèrent les hommes des navires en plein combat avec des haradrims ! Rupert lança l'assaut de ses forces pour prendre à revers les sûderons, mais ces derniers se battaient bien, c'était des guerriers excellents. Pourquoi attaquaient-ils les forces d'Umbar, était-ce une déclaration de guerre ? En tout cas, Khiliani n'en serait que peu satisfait.... Rupert rangea son arbalète dans son dos et dégaina son sabre pour guider les guerriers corsaires, tandis que le sergent de la cité de Hironeiden menait les forces mlitaires restées sur les embarcations pour percer les lignes haradrims et ainsi permettre à son supérieur de rejoindre la côte pour appareiller et fuir ces ennemi. Car il n'y avait que trente sûderons, mais une soixantaine d'autre venaient d'arriver par derrière les troupes de Rupert ! Le lieutenant d'Umbar chargea dans la mêlée pour passer au plus vite, il transperça un haradrim, avant d'en éventrer un second. Il continua ainsi tout en avançant, pendant que ses hommes faisaient de même. Ensuite, Rupert se mit à crier :

-Montez à bord, on se replie ! On se replie !

Rupert grimpa sur le vaisseau amiral suivi par nombres de ses hommes, tandis que certains étaient obligés de resté pour sa battre où alors ils mourraient en fuyant, tels des lâches.... Les arbalétriers se placèrent sur les rembardes du navire pour couvrir le repli de leurs alliés. Et c'est ainsi que le vaisseau amiral prit la mer, avec à son bord dix marins, vingt guerriers, dis arbalétriers et quinze lanciers. Le reste des forces du lieutenant avaient péri sur le sable ou le village, de même que le sergent de Hironeiden. Les sûderons partirent à pied vers Umbar, il fallait prévenir Khiliani au plus vite de cette attaque et peut être de l'assaut haradrim sur la cité.... Sauf que, des hommes du Sud prirent deux navires corsaires restés sur la plage pour poursuivre les hommes d'Umbar.... Une course poursuite s'engagea alors entre les troupes corsaires et les forces haradrims. A la tête des hommes du Harad, on pouvait voir un homme visage découvert, avec un regard froid. C'était un des capitaines du Harad, un officier qui ne devait chercher que la mort de Khiliani, seigneur de Hironeiden.... Rupert alla à l'arrière du navire pour observer les forces adverses. Il y avaient deux navires, avec au minimum trente soldats dans chaque, et le reste devaient passer par les terres pour attaquer Hironeiden.... Quelle bande de lâches ces gens du Sud ! Rupert lança ses ordres :

-Doublez l'allure ! Dépêchez-vous ! On doit rejoindre la cité au plus vite, pour avertir Khiliani et préparer nos défense, allez !

Mais le navire était sa vitesse maximale.... L'une des embarcations sûderon rattrapa la vaisseau corsaire et l'aborda, pendant que l'autre navire accèlérait pour aider ses alliés. Le lieutenant d'Umbar fonça en première ligne avec son sabre, malgré son handicap à l'oeil droit, pour repousser les adversaires toujours plus nombreux. Quoique, en ce moment, les forces corsaires étaient supérieur en nombre, du moins, jusqu'à ce que l'autre navire aborde le vaisseau amiral par l'autre côté.... Les corsaires étaient devenu inférieur en effectifs et devaient se battre sur deux fronts, sans échapatoire autre que sauter à la mer. Rupert se rua alors dans les cales d'un des navires avec deux de ses hommes et se hâta de le saboter. L'embarcation coula donc, entraînant dans la mort les hommes du Sud présents à son bord. Les autres sûderon commencèrent donc à reculer sur leur autre navire, laissant plus de place et plus de chance de survie aux corsaires. Et finalement, le navire de Hironeiden abandonna le combat et partit vers ses ports, laissant les ennemis en plan au beau milieu de la Baie de Belfalas. La vaisseau haradrm partit alors accoster sur leurs côtes pour poursuivre à pied, ce qui était plus dans leurs habitudes plutôt que par la voie des mers. Le navire amiral de Hironeiden arriva finalement en vue de la cité corsaire de Khiliani. Rupert s'avança alors à l'avant de son embarcation pour regarder avec effroi sa cité.... La grande tour de son supérieur brûlait, de la fumée s'échappait des autres bâtiments. Le lieutenant sûderon était arrivé trop tard pour prévenir le chef numénoréen, il fallait se depêcher pour pouvoir sauver les survivants possibles de l'attaque, avec chance, Khiliani aurait survécu....

-Depêchez vous ! Hironeiden est en flammes ! Allez ramer, hissez toutes les voiles, vite !

2ème partie :

Khiliani s'éloigna alors de la fenêtre, quittant la vue de la Baie de Belfalas où se trouvait le navire de Rupert. Il quitta sa tour et rejoignit la taverne du port, pour boire avec ses hommes, ses vétérans. Il entra donc dans l'auberge, salua la tavernier et alla s'assoir avec sept de ses alliés. L'homme salué auparavant arriva avec une bonne bouteille et la donna au seigneur de la cité corsaire. Soudain, un homme portant les emblêmes royaux arriva par l'ouverture de la porte. Il avait le visage grave et semblait chercher quelqu'un. D'ailleurs, il était venu là pour trouver Khiliani et lui transmettre un message du roi. Il vînt le trouver à sa table, le salua et prit la parole.

-Khiliani, seigneur de Hironeiden ?

-En effet, c'est moi. Que veux tu ?

-Le haut roi d'Umbar vous envoie un message. Récemment, des sûderon sont venu à la capitale et ont demandé des informations sur vous. Des villageois ont répondu à leurs questions malgré les ordres de notre souverain, faites attentions, on ne sait jamais quelles sont leurs intentions. Selon des éclaireurs, il y a un camp à deux heures d'ici à l'Est, rasez le, cela vous permettra d'améliorer votre défense dans cette zone. Tel était le message du roi.

-Hum.... Très bien, merci, tu peux rentrez chez toi.

L'homme s'inclina et repartit aussitôt vers la cité d'Umbar. Pendant ce temps, Khiliani s'était levé et se dirigeait à présent vers le place de la cité, avec ses vétérans. Il les envoya chercher le camp en question, eux qui étaient les meilleurs guerriers de la cité. Ces derniers partirent donc avec la toute confiance de leur chef. Ils passèrent par la grande porte de la cité et marchèrent vers l'Est, pour trouver les lieux. Au bout de deux heures à marcher à travers les dunes de l'Umbar et du Harad, les vétérans de guerre arrivèrent enfin à l'objectif. Le lieutenant du groupe des vétérans se nommait Arkos, il était un des premiers hommes de Khiliani et le servait aveuglement depuis cette vieille époque. Arkos ne portait pas une armure lourde commes autres vétérans, mais une armure légère sous des tissus légers. Il prit la parole pour donner ses ordres à ses hommes.

-Bon, c'est un camp sommaire, une petite pallissade de bois, même pas de porte. Aucune tour de guet apparente, et appremment, ils ne sont qu'une cinquantaine, on devrait pouvoir les éliminer facilement. Séparons nous en deux groupes de vingt et l'un des deux passera par l'entrée principale, les autres, vous devrez esalader la pallissade par un autre côté pour les prendre à revers. Aucun ne doit survivre, on fait ça pour mieux défendre cette zone, mais si un réussit à fuir, cette mission n'aura servit qu'à accélérer le processus de guerre et nous forcer à une bataille entre nos deux peuples. Allons-y mes amis, je dirige celui qui fonce en première ligne, les autres, à votre emplacement, allez !

Les quarante hommes se séparèrent donc en deux groupes égaux et chacun alla à l'emplacement prévu. Les haradrims du camp attaquèrent aussitôt le groupe de Arkos, tombant ainsi dans le piège des numénoréens. Le lieutenant du groupe bloqua la lame d'un des sûderon, avant de le transpercer avec haine et sauvagerie. Ses hommes se battaient aussi bien et massacraient les hommes du Sud-Est avec rapidité et efficacité. Et lorsque le second groupe de corsaire arriva par le flanc, les haradrims comprirent qu'ils étaient condamnés.... Une dizaine des corsaires se hâtèrent de traverser le camp pour prendre les torches présentes et brûler les tentes des mauvais hommes. Arkos se retrouva finalement au capitaine du Harad qui dirigeait les troupes de ce camps. Le sergent-chef d'Umbar lança l'assaut en premier, ne laissant aucun répit à son adversaire. Ce dernier pu ensuite éviter la lame du cimeterre ennemi et commencer sa contre-attaque sur son assaillant. Le grâdé corsaire se baissa alors pour esquiver l'attaque et planta son arme dans la jambe du chef du Harad. Le capitaine tomba à genoux, avant d'être achevé sans pitié par son ennemi qui lui trancha la tête en deux, au niveau du nez.... Aucun sûderon ne pu survivre à l'assaut des numénoréens et le camp fut vite rasé entièrement, laissant des flammes et des cadavres.... Arkos rassembla alors ses troupes sur une colline en vue de l'ancien camp sûderon, sur le chemin du retour de Hironeiden.

-Bien mes amis, ces chiens du Harad vont désormais pourir dans ces lieux.... Rentrons à Hironeiden pour informer Khiliani de notre succès. Le ciel se couvre, depêchons nous de rentrer, on ne sait jamais.

Les vétérans de guerre se mirent donc à courir vers leur cité portuaire pour pouvoir rentrer à l'abri et faire leur rapport à Khiliani, terreur des mers. Ils voyagèrent deux heures et demie en raison d'une petite pause au milieu, et rejoignirent finalement la cité numénoréenne. Ils allèrent se reposer, laissant leur chef faire son rapport au seigneur de Hironeiden. Les deux hommes se dirigèrent vers la tour du palais pour discuter tranquillement de la situation. Khiliani s'asseya à une table où un repas se trouvait et se servit, invitant son second à faire de même. Il sortit également une bouteille de vin, servit son ami et lui même avant de boire une bonne gorgée. Arkos le remercia d'un signe de tête et bu lui aussi. Il préféra rester silencieux et laisser son supérieur commencer la discution.

-Alors Arkos, comment s'est passé la mission que je t'ai confiée ? Est-ce une réussite ?

-Elle s'est passée à merveille. Nul homme n'a survécu à notre attaque. Alors que dans nos rangs, il y a seulement sept hommes qui sont tombés dans la destruction du camp. J'en ai d'ailleurs profité pour éliminer un de leurs capitaines, sa en fera toujours un de moins à nos trousses.... Je continue à croire que de tuer Tamir fut une erreur Khiliani, les haradrims n'avaient déjà qu'une envie, c'était de te tuer, et avec ce meurtre, ils veulent te faire souffrir, tuer tous tes hommes, détruire ta cité, nous devons nous attendre à devoir les tuer par dizaines de dizaines, voir des centaines. Il se peut même y avoir une guerre ouverte entre l'Umbar et le Harad, et jamais le roi ne te soutiendra, il préfèrera te livrer lui même que de combattre nos voisins, de peur que Sauron ne vienne s'en mêler....

-Tu parles bien. Sauron.... Nous avons bien trop d'ennemis, les peuples libres, les sûderons... Les mahûd vont certainement les suivre si guerre il y a. Les variag, hum, ils resteront dans leurs terres je pense, à moins que les orientaux ne viennent, mais quand je vois Ulfang, je me dit que ce n'est pas le genre d'homme à venir de si loin pour aider leurs alliés.... Un jour, nous serons libre mon ami, un jour, lorsque ces querelles entre le Harad et l'Umbar seront terminé, nous pourrons nous soulever contre le Mordor ! La libération des Nations du Sud. J'en rêve depuis quelques mois, mais se révoltait en ce moment serait une terrible erreur, alors gardons cela pour nous.

-Oui, c'est vrai, tu m'en parle depuis quelques temps, dans nos longues soirées dans la taverne du port. Où est Rupert au fait ? D'ordinaire, il est présent dans ce genre de "réunion d'officier". Il est en mission, lui aussi ?

-Oui, je l'ai envoyé patrouillé en Belfalas, pour nous prévenir en cas d'attaque navale du Gondor, ou même des elfes, ils semblent particulièrement actifs ces temps-ci.... Je les croyais dispersés et faibles, mais ils ont du se rassembler pour aider les "peuples libres" dans leur lutte contre le Mordor et ses alliés, nous....

Khiliani se leva doucement et s'installa à la fenêtre de la tour, pour regarder la Baie de Belfalas, et curieusement, les embarcations de son lieutenant semblaient être à terre, sur les côtes du Harondor. Que diable faisait-il là-bas ? Khiliani se retourna aussitôt vers Arkos.

-Il y a un problème.... Rupert est à terre, en Harondor, qu'est-ce qu'il fait là-bas ?

-En Harondor, il n'y a rien, a part quelques villa... Voilà, il y a des villages, il a du avoir soif de pillages, il a alors accoster là-bas plutôt que en Gondor où c'est trop risqué.

-Hum.... Ouais, sa doit être possib.... Bruit de fracas .... Qu'est-ce que c'est que ça ?!

La tour toute entière venait de trembler, avec un bruit assourdissant. Khiliani couru vers une fenêtre donnant sur les murs de la cité, là où se trouvait la porte. Il y avait une immense armées, avec les étendards du Khand, du Harad, un inconnu, ainsi qu'un qui n'avait pas était vu depuis bien longtemps, celui que Curian lui même portait.... Les ennemis devaient être plus de deux cent, alors que les corsaires étaient approximativement quatre vingt dix hommes prêts à se battre jusqu'à la fin. Ces hommes étaient constitué de cinq marins, vingt arbalétriers, dix guerriers, quinze lanciers et quarante vétérans de guerre. Les échelles escaldèrent les murs de la cité, laissant les variag et les mercenaires grimpaient pour assailllir la ville corsaire. Arkos grimpa les escaliers pour défendre les murs de Hironeiden avec la moitié des vétérans et les guerriers. Pendant ce temps, Khiliani était à la tête de l'autre moitié des vétérans, ainsi que des lanciers et des arbalétriers. Ils se placèrent derrière la porte sur laquelle on entendait un lourd bruit qui semblait la marteler.... Selon le sergent-chef de la ville, c'était un bêlier manié par les sûderon et les hommes de Curian. Après une dizaine de coups pendant lesquels les variag et autres mercenaires se battaient toujours avec violence sur les murs contre les corsaires inférieur en nombre, bien que, par chance, la place étant limité sur les murs, les ennemis ne pouvaient tous monter en même temps, laissant une infime chance de victoire aux numénoréens. Arkos transperça l'un des inconnu, avant d'éventrer un homme de Khand, puis, il contra une lame variag et enfonça son cimeterre dans la gorge de son assaillant. Et soudain, la porte se brisa dans un grand fracas, laissant les haradrims et les corsaires s'engouffrer dans la brèche. Khiliani fut le premier à charger, faisant reculer certains des hommes de Curian à sa vue.... Il commencça à donner de puissants coups de sabres horizontals avec lesquels il en tua plus d'un.... Ses hommes le rejoignirent presque aussitôt pour commencer eux aussi un carnage sur leurs ennemis.... La bataille continua ainsi pendant trente bonnes minutes, avec les assauts sur les murs et par la porte de la cité. Arkos se baissa pour éviter une lame, puis, il se releva en envoyant un coup de poing dans la tête de son assaillant qui tituba en arrière. Le sergent-chef de Hironeiden enfonça alors son cimeterre dans le torse du variag qui sécroula avec fracas sur les pierres du sol. Khiliani pendant ce temps affrontait le commandant sûderon en combat singulier, avec tous les autres soldats, alliés et ennemis, qui combattaient juste à côté, sans s'en mêler. Le chef d'Umbar commença par bloquer les diverses attaques de son adversaire, jusqu'à recevoir un coup qui l'envoya au sol sous la puissance, et pourtant, il en fallait de la puissance pour mettre à terre Khiliani.... Ce dernier roula alors sur le sol pour éviter un coup de grâce et se releva en donnant un croche pied au commandant ennemi qui tomba à son tour, mais qui ne pu éviter le coup fatal du corsaire.... La lame du sabre vînt se planter dans le visage du sûderon, lui entaillant profondémment la tête, et le tuant sur le coup.... Alors que Khiliani se relvait, il remarqua que les murs étaient presque perdu, car les adversaires remplçaient toujours leurs hommes, mais pas les corsaires.... Et même à la porte, les numénoréens commençaient à faiblir.... Le seigneur de Hironeiden n'avait plus le choix, il fallait sauver ses hommes, tous ceux qui pouvaient l'être....

-Repliez vous ! repliez vous ! Partons vers les quais pour protéger la fuite des civils, allez !

Les corsaires partirent donc vers le coeur de la ville, poursuivis par les forces ennemies qui en profitèrent pour se rassembler sous la bannière du capitaine variag. Après quelques minutes de course, les numénoréens d'Umbar arrivèrent devant les habitations, ils se placèrent de façon à bloquer la rue principale pour permettre une fuit aux gens de la cité, vieillards, femmes et enfants. Les guerriers de la cité avaient tous péri, de même que la moitié des lanciers et une dizaines des vétérans. Les quelques marins étaient tous morts, eux aussi.... Khiliani envoya les lanciers pour escorter les civils jusqu'aux embarcations, mais d'abord, il fallait les rassembler tous devant la taverne du port. Les arbalétriers montèrent sur les toits des bâtiments et barricadèrent les portes pour être sûrs de ne pas être dérangés. Enfin, les haradrims, variags et autres hommes du Sud arrivèrent pour lutter face aux corsaires. Toutefois, le ciel était remplis de nuages noirs, la tempête s'annonçait, on ne pouvait pas prendre la mer.... Arkos fit donc entrer les civils dans la tevernes et les conduisit dans les chambres pour qu'ils soient en sécurité. Khiliani en plein dans la mêlée passa un ordre à Arkos qui se hâta d'aller le répété à une dizaine de vétérans.

-Mes amis, Khiliani a une mission pour nous. Nous devons passer par les égouts pour rejoindre la porte et arriver derrière leurs lignes, de cette façon, nous pourrions détruire leurs catapultes.

-Compris, alors allons-y.

3ème partie :

Le vaisseau amiral de Hironeiden accosta alors dans les quais de la cité portuaire. Rupert descendit avec ses troupes, il avait quinze marins, trente guerriers, vingt lanciers et quatorze arbalétriers. Ensembles, ils chargèrent vers la taverne du port, massacrant les ennemis qui l'assiégeaient. Au même moment, Khiliani, Arkos, et leurs troupes sortirent pour les aider, repoussant les forces du Sud. A peine la porte ouverte, Khiliani transperça un mercenaire, et bloqua la lame d'un sûderon, puis, il contre attaqua et l'éventra avec une joie sadique. Rupert posa un genoux à terre et comença à tirer ses carreaux sur les assaillants. Arkos dégaina son cimeterre et chargea dans la mêlée avec les vétérans, tandis que les arbalétriers de la cité couvraient leurs alliés depuis les toits, faisaint reculer les variags, sûderons, mercenaires et les corsaires. Et finalement, après maints combats, les assaillants de la cité reculèrent pour se battre sur la grande place, pouvant ainsi se servir de tout leurs hommes en même temps et profiter de leur avantage numérique. Khiliani rassembla ses hommes et prit la parole avant de poursuivre ses ennemis.

-Rupert, tu est revenu juste à temps, enfin, un peu avant, on ne t'en aurais pas voulu.... Maintenant que nous sommes au complet, ils n'ont plus aucune chance. Tu mènera tous nos arbalétriers sur les toits pour pouvoir tirer sur les forces ennemies du flanc Sud, Arkos, tu guidera les vétérans pour prendre nos adversaires sur le flanc Nord. Quand à moi, je dirigerais les autres forces par le côté Ouest, de façon à prendre le gros de leurs armées. Compris ?

-A tes ordres.

-Oui mon ami, je ferais cela.

Le lieutenant de Hironeiden prit alors averc lui les arbalétriers et rejoignit les toit, pendant que le sergent-chef menait les vétérans de guerre près de la grande tour pour déchiqueter les assaillants. Khiliani partit avec les lanciers, les guerriers et les marins pour se retrouver face aux sûderons, laissant les mercenaires face aux vétérans et les variag sous le feu de Rupert et ses hommes. Arkos tomba alors face au capitaine de Khand qui était parmi les mercenaires. Il évita la lame ennmie, puis la bloqua, avant de se baisser pour l'esquiver. En se relevant, le sergent-chef de Hironeiden trnasperça la jambe de son ennemi qui recula en boîtant. Le capitaine ennemi déglutit difficilement et recommença ses assaut sur le jeune numénoréen. Arkos effectua alors une roulade sur le côté et planta sa lame dans les côtes du variag qui tomba en suffocant, avant de rendre l'âme.... Khiliani pendant ce temps, était dans la mêlée à massacrer quiconque se dressait devant lui. Lorsque soudain, il ressentit une petite douleur dans le torse, il regarda et vit une flèche d'un des mercenaires figée dans à côté de son épaule, dans sa chair. Il la retira avec une petite douleur et fit un signe avec son pée en direction du son attaquant. Ce dernier s'effondra aussitôt, un carreaux dans la gorge, de la part du lieutenant de la cité. Le sang se déversa sur les graviers, et l'homme tomba face contre terre, dans une marre du liquide rouge. Arkos récupéré l'épée du capitaine de Khand et massacrait ses ennemis avec ses deux épées. Il bloqua le cimeterre d'un sûderon, avant de lui entailler la jambe, le faisant omber à genoux.... Le sergent-chef d'Umbar plaça ses deux lames de parts et d'autres de la gorge de son adversaire, et malgré la demande de pitié de ce dernier, Arkos rejoignit ses lames, décapitant complètement le variag de ce fait. le sang gicla sur les tissu recouvrant l'armure du corsaire. Pendant ce temps, Khiliani se baissa pour ésquiver une épée, et sortant sa dague, il la planta dans le torse d'un ennemi. Ensuite, le seigneur de Hironeiden fit le tour pour se retrouver derrière l'homme et l'égorgea sauvagement avec sa dague, il tînt encore l'homme qui se vidait de son sang. La douleur en son torse revînt tout à coup, il préféra donc reculer et rejoindre la taverne pour se reposer un peu, laissant l'honneur à Arkos et Rupert de mener les troupes à la victoire.

Finalement, l'armée ennemie n'était plus dirigée que par des sergent peu expérimenté qui préfèrèrent fuir en lâches que mourir en combattants.... Le gros de leurs forces fuya donc avec eux, laissant les mercenaires corsaires et les hommes de Curian, seuls.... En souvenir, Rupert fit tirer une dernière volée histoire de tuer encore quelques uns de ces variag et des sûderons qui se stoppèrent immédiatement pour former une ligne défensive et résister aux carreaux. Le lieutenant d'Umbar venait de commettre une grave erreur, il avait retenu les ennemis qui désiraient fuir.... Khiliani revînt alors pour aider ses hommes à la victoire, après avoir bu quelques verres. Quoiqu'il en soit, les assaillants de la cité étaient désormais en nombre inférieur. Arkos menait ses vétérans comme un grand officier, c'était un meneur né. Il transperçait les hommes presque sans difficultée, jusqu'à tomber sur un mercenaire d'au moins deux mètre cinq pour au moins quatre vingt dix kilogrammes. Il portait une grande masse à deux mains. Arkos évita les coups lents de son ennemis, mais même s'ils étaient lents, ils étaient puissants ! Et après quelques roulades effectuées avec de plus en plus de difficultées, Arkos fatigua et prit une seconde pour se reposer, une seconde de trop.... La masse ennemie vînt le heurter de plein fouet dans le dos, le projetant contre une des maisons. Soudain, un morceau de la tour, consommé par les flammes se détacha et tomba sur le champ de bataille, écrasant une bonne dizaine d'hommes. L'homme à la masse la leva au dessus de son adversaire et, au moment de l'abattre, un sabre s'enfonça dans son dos, le mettant à terre, à quatre pattes. Le seigneur numénoréen était là, sabre en main, il tenta de décapiter le "géant", mais sa lame ne fit que s'enfoncer dans sa nuque, sans la traverser totalement. L'homme se redressa avec le sabre coincé dans la nuque et finalement, il tomba en arrière, s'écrasant avec fracas sur le sol.

C'est là que, enfin, les ennemis se rendirent.... Ils n'étaient plus qu'une dizaine d'hommes, face aux corsaires, presque six fois plus nombreux. Khiliani, Arkos et Rupert s'avancèrent alors vers les prisonniers. Leur chef s'approcha lui aussi, c'était un sûderon.

-Voici donc le "grand" Khiliani. Le traître qui a osé s'attaquer à nous ! A notre peuple ! Et après, tu pense que nous sommes des traîtres d'attaquer Hironeiden ? Hahaha, ce n'est que justice !

-Justice ? C'est moi qui fait la justice en ces lieux.... Et à cette époque, j'étais aux ordres de Curian.

-Ah oui ? Même quand tu as massacré Tamir ?

-Tamir était un lâche et un traître. Comme tous les sûderons....

Le haradrim dégaina alors un cimeterre et se rua sur Khiliani qui évita l'attaque, avant de planter son sabre dans le torse du jeune sûderon. Il le replanta trois fois à divers endroits du torse, reproduisant la douleur de la blessure. Ensuite, il ordonna la mise à mort des survivants ennemis qu ne purent même pas se défendre de l'attaque de Rupert et de ses arbalétriers. Khiliani s'avança alors devant sa tour, puis, il se tourna vers le coeur de la cité. Elle était ravagées et brûlait de toute part.... Il ordonna aux civils d'éteindre les flammes pendant que lui comptait son armée. Il lui restait douze guerriers, vingt cinq vétéran, vingt arbalétriers, un marin et c'est tout.... Ils n'étaient plus que soixante, en comptant les deux officiers d'Umbar. Khiliani et ses deux second allèrent à la taverne pour boire un peu, laissant les citoyens et les troupes finir d'éteindre les flammes, et d'entasser les cadavres en deux tas, les alliés, et les ennemis. Le tas des ennemis avait été fait au dehors pour y pourir et être dévoré par les créatures des lieux. Les corsaires quand à eux furent disposé sur un navire dans les quais. Après les trois heures de travail nécéssaires, Khiliani vînt et ordonna qu'on le brûle en l'appareillant pour que le navire enflammée vogue vers l'Ouest, vers les eaux infinies. Il ordonna ensuite le reconstruction de la ville qui dura des semaines entières.... La porte fut refaite, les maisons reconstruites et la tour rebâtie. La taverne du port avait été le dernier refuge des corsaires et pour cela, le tavernier fut récompensé en pièce d'or.... Et lorsque, enfin, les travaux furent terminé, Khiliani monta au sommet de sa tour et admira la grande cité de Hironeiden, la majestueuse cité même. Elle resterai debout encore bien longtemps, et ses ennemis s'y fracasseraient pendant encore des années !

Bilan des pertes :
19 marins d'Umbar.
28 guerriers d'Umbar.
14 arbalétriers d'Umbar.
35 lanciers d'Umbar.
14 vétérans d'Umbar(élites qui ne valent qu'un).
Arkos, sergent-chef d'Umbar(vétéran)
Rupert, lieutenant de Hironeiden.

Et voilà

Il me reste 12 guerriers, 25 vétéran, 20 arbalétriers, 1 marin, Rupert et Arkos
J'attend donc la note de Ar', et une nouvelle mission pour celui qui voudra

alors:

taille: 16.5/20 ( j'aurais préféré plus mais c'est déjà bien.)
histoire: 17/20
ortohgraphe: 8/10 ( des petites fautes par-ci par , rien de pas grave mais tu peux les éviter)
action: 16.5 ( pas assez décrit a mon goût.

ce qui te fais un total de 17/20


ps! dis moi si il y a un prolème

Merci bien pour cette note Ar'

Je redemande donc une mission
je suis un grand guerrier avec 8,5 points
Il me reste 12 guerriers, 25 vétéran, 20 arbalétriers, 1 marin, Rupert et Arkos

je te donne une mission malgré la on envie que tu passe commandant^^

alors: tu décides de te venger, les haradrims ont attaqué ta cité et tu dois les faire payer. Détruis le plus de village possible et si tu le souhaites. Tu rencontreras au minimum deux villages avec même et par chance des combattants variags et des femmes et enfants variag sur ta route. Ils croyaient que tu étais mort, fais leur payer!


ennemis: 50 villageois par village et 40 femmes+ 15 enfants
caravane composé de 45 soldats de khand armés de ce que tu veux et 20femmes+ 12 enfant.

Merci bien Ar'
je sais déjà quoi faire des femmes

Ar', je te précise que ma missio est assez sur Khiliani et autre chose que la mission en fait. C'est mon lieutenant et mes troupes qui accomplissent la mission que tu m'a donné, donc la partie où ils se battent devrait etre moins longue que le reste. j'espère que sa dérange pas, je met ma mission libre en place en fait, avec Khiliani

et bien, si la mission est executer même si ce n'est pas par toi je ne vois pas d'inconvéniant puisque tu vas continuer l'histoire de ton perso

Ouais, d'ailleurs, pour le moment, sur 196 lignes, sur Word, il y en a 50 qui parlent de la mission que tu m'a donnée :/
Mais j'ai détruit que 1 village, dont j'ai de quoi faire des lignes, j'essayerais au moins une centaine de lignes Word, pour paser à 296.
Voilà une partie :

Brifeng : Tu décides de te venger, les haradrims ont attaqué ta cité et tu dois les faire payer. Détruis le plus de village possible et si tu le souhaites. Tu rencontreras au minimum deux villages avec même et par chance des combattants variags et des femmes et enfants variag sur ta route. Ils croyaient que tu étais mort, fais leur payer!
Ennemis : 50 villageois par village, 40 femmes et 15 enfants. 45 soldats de Khand par caravanes avec 20 femmes et 12 enfants.
Alliés : Arkos et ses hommes.


Dans la cité de Hironeiden, Khiliani était dans la taverne du port. Il était assis à une table à laquelle étaient également quatre de ses vétérans, Rupert et Arkos. Ils buvaient tous un verre en repensant à l'attaque de leur cité par les forces haradrims et variags. Il fallait une vengeance digne de ce nom, un autre grand pas vers la chute de Hironeiden.... Khiliani posa son verre sur la table, joignit ses mains en mettant les coudes sur la table et prit la parole.

-Mes amis, ces chiens de l'Est ont commis une grave erreur de nous attaquer.... Nous vengerons nos frères tombés à la bataille ! Et ensuite, une fois cela fait, nous marcherons vers le Mordor afin de détruire les camps des orques présents sur notre route. Bien sur, nous n'assailliront pas le pays des ténèbres lui même, mais en massacrant les garnisons aux alentours, cela l'affaiblira et laissera peut etre le temps à ces abrutis du Gondor de frapper vite et fort, nous laissant ainsi une opportunité d'attaque.

-Très bien Khiliani, mais c'est risqué.... Vengeons nous déjà des sûderons et des variags, nous penserons au Mordor ensuite.

-Oui, ,je suis d'accord. Je vous laisse mes amis, réfléchissez-y, et Rupert, Arkos, rejoignez moi quand vous aurez fini vos verres devant le port.

-A tes ordres Khiliani.

Le chef corsaire se releva alors, en jetant une poignée de pièce sur la table, et se dirigea vers la sortie de l'auberge. Il tira la porte de bois et rejoignit le quartier du port. Il se dirigea ensuite vers le port où il s'appuya sur un muret de pierre donnant vue sur la Bais de Belfalas. Il repensa à son plan, il était simple. Se venger des hommes du Harad et du Khand, puis de courir vers le Harondor de détruire les camps des orques présents. Khiliani pensait cela facile, mais en réalité, s'il avait su que cet acte conduirait les siens à un destin bien pire que la servitude envers le Mordor.... Soudain, il ententendit des pas résonnaient sur le sol pierreux derrière lui, le tirant ainsi de ses pensées. Il se retourna et vit alors Arkos, un homme qui devait avoir une tête de plus que Khiliani, et portait des cheveux bruns courts. Il avait également une armure légère, recouverte par ses vêtements et portait un cimeterre à la ceinture. Le chef numénoréen parla :

-Ah, Arkos, tu est là, que fait Rupert ?

-Il arrive Khiliani, il arrive.... Que nous veux tu de si important ?

-Patience, attendons notre cher lieutenant.

-Je suis là !

Khiliani se retourna vers la voix qui venait de parler. C'était Rupert, lieutenant des arbalétriers de Hironeiden. Un homme avec de longs cheuveux noirs et un oeil qui ne servait plus, suite à un terrible accident en mer.... Il portait quand à lui une armure moyenne, avec le cimeterre à la taille lui aussi, ainsi qu'une petite arbalète dans le dos.

-Bien, j'ai donc une mission pour chacun de vous.... Rupert, prends la mer avec une trentaine d'hommes de la cité et rejoint la frontière du Harondor et du Harad. Une fois là-bas, pilles les villages des haradrims que tu trouvera, puis revient.

-A tes ordres Khiliani.

L'homme s'inclina alors et se dirigea vers la taverne pour y récupérer des hommes, laissant les deux autres officiers corsaires discutaient de la mission du sergent-chef de la cité.

-Quand à toi, tu vas prendre mes hommes et partir pour la frontière d'Umbar et du Harad, et fais de même avec leurs villages. N'ais aucune pitié pour ces chiens de l'Est....

-Compris mon ami, mais, et toi, que vas tu faire ?

-Je.... j'ai à faire à la capitale.... Diriges mes hommes, je t'expliquerai à ton retour.

-Très bien, comme tu veux.

Celui-ci s'inclina lui aussi et se dirigea vers la place de la cité. Khiliani devait en réalité aller voir un de ses contact à Umbar pour préparer son plan afin de relever les siens contre le Mordor, tout puissant pays.... Mais il avait préféré ne rien dire à ses officiers, au cas où ils échouraient et seraient capturés par l'ennemi.... Le corsaire vit alors Rupert et ses hommes qui embarquaient sur le Orgaladh, navire amiral de la flotte de Khiliani. Ils hissèrent les voiles noires et prirent la mer, on voyait les rames en pleines actions, il devait avoir pris les eclaves qui servaient de rameurs pensa Khiliani.... Puis, le chef corsaire se redressa et se dirigea vers la place du marché. C'était un lieu où les marchands venaient exposer leurs produits aux habitants de la cité, et qui avait lieu trois fois par semaine. Khiliani poussa doucement un homme devant lui, et tenta de se frayer un chemin à travers le foule dense. Il arrivera finalement devant un étalage où se trouvaient diverses provisions. Le marchand était un vieil homme avec une longue barbe grise, tout comme ses cheuveux. Il portait une tunique de couleur bleue, avec un chapeau étrange de la même couleur. C'était un homme nommé Lorgan qui venait là depuis maintes années.

-Lorgan, je vais partir seul pour Umbar. J'ai besoin de provisions, qu'as tu de bien à me proposer ?

-Hum, et bien, déjà, prends du pain, et tiens, cette viande se conserve très bien, pendant au moins, une bonne semaine avec ce sel. Et j'ai également quelques fruits à te proposer, qu'en dis tu ?

-Oui, sa me vas, tu me prépare ça s'il te plait.

Le vieux marchand répondit positivement et commença à emballer les provisions choisie de façon à ce que la viande se conserve, sans que Khiliani n'ai à le faire. Ensuite, il tendit le sac vers le seigneur de la cité pour le lui remettre. Il prit alors la parole en souriant.

-Voilà, sa devrait pouvoir te permettre de tenir au moins une semaine, si tu n'est pas un de ces hommes qui avalent tout en une seule fois.

-J'essairais Lorgan, j'essairais.

Khiliani prit le sac en souriant lui aussi, ils se connaissaient depuis tellement longtemps, depuis l'époque où Khiliani n'était un petit gosse des rues, mendiant avec les autres au marché.... Cette enfance si dure explique sans doute pourquoi l'appât du gain l'emporte si souvent sur le corsaire. Khiliani donna à Lorgan les dix pièces de cuivre nécéssaires aux achats et se dirigea vers la taverne pour prendre à boire. Après s'être péniblement dégagé un passage dans la foule, il arriva devant la taverne, un grand bâtiment avec la façade extérieur en pierre, et à l'intérieur renforcé avec du bois. le toit était de chaume, posé sur de lourdes poutres. Au dessus de la porte, on voyait une enseigne avec le nom de la taverne. Khiliani poussa la porte de bois et entra en ces leiux qu'il connaissait si bien. Le sol était fait de parquet. Il y avait un grand comptoire sur l'un des murs, avec des dizaines de bouteilles entreposées derrière. Sur le mur opposé, il y avait deux fenêtre donnant vue sur le début du marché, et sur l'opposé de la porte, il y en avait une donnant vue sur les quais. Il y avait aussi une dizaine de tables dans la grande salle où étaient assis des marins pour la plupart, ainsi que de rares civils. A côté du comptoir, on voyait un escalier grinçant qui semblait mener aux chambres de l'auberge. Le tavernier était derrière le dit comptoire avec un autre homme, ainsi que deux jeunes femmes qui étaient plus là pour laver les verres ou pour servir les clients peu recommandables des lieux.... Khiliani se présenta devant le directeur de la taverne. C'était un homme assez grand et avec de larges épaules. Il portait une longue barbe brune qui descendait sur sa grande panse. Il avait des cheuveux bruns mi-longs avec un oeil de la même couleur, et l'autre recouvert par un morceau de tissu. Il l'avait perdu dans une bagarre avec un marin complètement ivre qui termina emprisonné dans le geôles de Curian. Khiliani prit ensuite la parole.

-Bonjour Lothiann, j'ai besoin de quelques réserves d'eau....

-De l'eau ? Qu'est-ce que tu vas faire avec de l'eau ? Hahahaha.

-Je part pour Umbar, il m'en faut pour le voyage, avec un peu de rhum bien entendu.

-Umbar dis tu ? Cela fait bien longtemps que je n'y ai pas mis les pieds. Pourrais tu emmener mon fils pour qu'il achète quelques chose pour moi ? Je pense bien que toi, tu n'as pas le temps.

-Hum.... Bon, très bien, il pourra venir, mais qu'il aille s'acheter des provisions, les miennes ne suffiront pas pour deux.

-Très bien, merci à toi Khiliani.

Le jeune homme qui était derrière le comptoir était en fait le fils du tavernier, un dénommé Tannis. Il était grand et fin, avec des cheveux courts et bruns. Il était très jeune et n'avais sûrement jamais combattu.... Khiliani devrait le ramenr en vie s'il ne voulait pas devoir tuer le tavernier.... Ce dernier alla donc voir un marchand sur la place pour prendre des provisions, pendant que son père, Lothiann, préparaient les réserves du corsaire. Cependant, il y avait deux tonneaux d'eau et un de rhum, avec en plus les sacs de nourriture. Il faudrait trouver un moyen de porter tout cela. Khiliani cherchait une idée, et il se souvînt heureusement de ce naufrage qu'avais subi Rupert. Il était revenu avec un chameau, cette créature du désert pour porter les tonneaux d'eau au moins. Il regarda le tavernier et parla :

-Lothiann, attends moi s'il te plait. Je vais aller chercher mes montures pour porter les tonneaux.

-Sa vas être dur pour un cheval d'en porter deux.... Un sa devrait aller, mais là, deux....

-J'ai un chameau et un cheval, sa devrait aller, le chameau prendra les deux d'eaux, le cheval celui de rhum et la nourriture. Je reviens.

L'aubergiste répondit oui d'un signe de tête, pendant que son fils revenait du marché avec ses sacs. Khiliani quand à lui, partait à travers la grande place où avaient lieu des évènements autres que la marché, comme par exemple des mises à mort, ou des spectacles.... Il se dirigeait vers les écuries et autres bâtiments de ce genre où se trouvait son destrier et le chameau de son lieutenant. Il traversa donc la place sous le regards des enfants présents et en évitant de bouculer les habitants de la cité. Peu après, il arriva devant le bâtiment recherché. C'était un bâtiment avec une grande hauteur et une double porte de bois, à l'intérieur se trouvait des box où étaient les chevaux et autres montures. Khiliani en ouvrit un et récupéré ainsi le chameau avant de prendre également le cheval. Il les tira tous les deux par les rennes vers la taverne pour leur faire transporter les provisions. Avec l'aide de Lothiann, Khiliani attacha les deux tonneaux d'eau sur chaque côté de la selle du chameau et celui de rhum du le cheval, ainsi que les sacs de nourriture sur l'autre face du destrier. Il regarda ensuite les deux hommes présents.

-Très bien, au revoir Lothiann, et merci de ton aide.

-Ce n'est rien, au revoir Khiliani, toi aussi Tannis, fais attention à toi.

-Allez viens Tannis, occupes toi de guider les rennes du chameau, je me charge de cheval.

-Compris Khiliani.

Les deux numénoréens partirent donc avec leurs montures qui marchaient derrière eux. Ils se dirigèrent vers la porte de la cité de Hironeiden qui s'ouvrit aussitôt. Ils passèrent et avancèrent vers Umbar au Nord des havres du pays des corsaires. Après une dizaine de minutes, alors qu'ils étaient sur le point de ne plus être en vue de la cité, Khiliani se retourna un instant pour voir sa ville. Elle était majestueuse, avec ses longs et grands murs de pierres, et l'immense porte de bois. Avec la grande tour de Khilaini qui se dressait fièrement au Nord de la cité. Il se remit ensuite en chemin, vers la capitale de l'Umbar....