Mission d'Artas

Ba non normalement tu ne perds pas, mais tu peux par exemple (pas sûr du tout mais faudra demander aux modérateurs) perdre beuacoup de troupes et te replier et perdre ta mission. Enfin essaye quand meme de ne pas perdre tes missions mais si tu es en infériorité numérique essaye d'utiliser la ruse.

Oui bien sur, on a déjà eut des joueurs qui ont décidé de perdre leur mission

Oui tu peux perdre, cependant vus que ta mission doit être plus ou moins réussi, tu peux dire que des renfort arrivent et que l'ennemi est balayé.

ok merci pour vos réponse.

Voila ma mission:


Objectif :
tu dois intercepter une colonne d'orientaux, sur une route boisé
ennemi: 40 orientaux en armure
prend les en embuscade

Artass et ses 18 fidèles rodeurs étaient arrivé a Minas Tirith, la plus grande cité des hommes, depuis trois jours. Ils se remettaient lentement de la perte de leurs deux compagnons d’armes. L’intendant du Gondor, le seigneur Denethor avait fais loger le sergent et ses homme dans les habitations de luxe du 3eme niveau de la ville. Les rodeur avaient droit a des repas digne de rois, avec bien sur bière a volonté. Ce repos a la capitale avait aussi été l’occasion pour les soldats de s’entrainer a l’arc et a l’épée. Ils avaient tous considérablement augmenté leur niveau de combat.
Leur repos ne dura qu’une petite semaine, mais c’était déjà bien. Artass jouaient a un jeu de cartes avec ses homme quand un messager de Denethor fit irruption dans la pièce. Il s’approcha d’Artass et vint lui parler
« J’ai une missive du seigneur Denethor pour vous, sergent, dit le messager avec une toute petite voix. Visiblement, le fait de voir des soldats du Gondor le rendait terriblement timide.
-Merci, dit Artass en prenant la lettre, dite a Denethor qu’il en sera fait selon ses désirs
- Bien monsieur, il ne reste plus qu’a vous souhaitez bonne chance, lance le serviteur avant de s’en aller a pas rapide des appartement
Artass ouvrit l’enveloppe avec précaution, en prenant bien soin de ne pas déchirer la lettre avec. Une fois l’enveloppe ouverte, le sergent ouvrit la lettre et la lut a haute voix :
Sergent Artass,
Une colonne d’orientaux se dirigent vers Minas Thirit
Vous êtes chargé de les tuer avant qu’ils atteignent la
Cité. D’après les éclaireurs, les ennemis sont au nombre
De quarante. Etant donné leurs nombres, je vous confis
15 cavaliers de Minas Tirith. Vous partirez demain a l’aube.
Bonne chance sergent.
Les rodeurs furent surpris du contenu de la lettre, ils devaient tuer quarante orientaux, et ils n’étaient pas de petits ennemi, il aurait bien du mal a gagner cette bataille. La présence de quinze cavaliers Gondoriens les rassurait quelque peu. Mais les soldats n’en étaient pas moins terrorisés. La soirée se passa donc dans le plus grand silence. Les soldats se couchèrent très tôt a l’exception d’Artass qui aimait vagabonder dans les rues de Minas Tirith. Le lendemain, le sergent réveilla ses hommes alors qu’il faisait encore nuit. Ils se préparent pour le voyage qui les attendait, car les orientaux étaient encore loin de la Cité Blanche. Ils rejoignirent les écuries au pas de course et trouvèrent bien vite les cavaliers qui allaient être leurs alliés. Les Gondoriens leur fournirent des chevaux. Ainsi, ils pourraient se rendre au point d’embuscade rapidement.
Le voyage se passa sans encombre, les rodeurs et les cavaliers partirent au galop dès que les immenses portes de la Cité Blanche se furent ouvertes. Sans les chevaux fournit par les Gondorien, Artass et ses hommes auraient mis toute une journée pour se rendre a la route emprunté par les orientaux. Il ne fallut pas moins de deux heures aux hommes pour se rendre au lieu de l’embuscade.
Une fois arrivé, il leur restait a peu près une heure pour préparer l’embuscade. Les cavaliers Gondoriens se réitérèrent du futur champ de bataille. Ils se postèrent dans une petite clairière non loin, et le sergent leur expliqua que si les rodeurs avaient besoin d’aide, il enverrait une flèche enflammée dans leur direction. Les cavaliers acceptèrent les ordres et allèrent se poster en attente dans la clairière. De grands arbres au feuillage vert couvraient les cotés du chemin de terre. Artass divisa ses troupes en trois groupes de cinq. Le premier groupe iraient du coté droit. Le second du gauche, et enfin le troisième sur une petite colline non loin de façon a prendre l’ennemis a revers. Quand au sergent, il se placerait derrière un vieux mur en ruines avec les trois soldats restant. Quand tout le monde fut en place, on alluma des torches de façon tirer des flèches enflammées. Les rodeurs attendirent patiemment l’arrivé des orientaux sur leur position. Un quart d’heure plus tard, des bruits de pas se firent entendre. Les orientaux ne tarderaient pas a arriver !
Pendant quelques secondes insoutenables, les hommes du Gondor attendirent patiemment que l’ennemi soit bien en face d’eux pour tirer. Puis, enfin, le groupe de gauche tira sa volée, suivi immédiatement de la volée enflammée de droite
« Embuscade ! Hurla un soldat oriental »
Les différentes flèche tuèrent sept oriental, quelques uns essayèrent de fuir en revenant en arrièrent mais aussitôt, les flèches du groupe de derrière sifflèrent pour les tuer. A ce moment, l’ennemi décida de combattre en se ruant sur les rodeurs. Les Gondorien sortirent leur épée pour affronter les hommes de Sauron au corps a corps. Artass et ses trois hommes n’étaient pas encore repérés, et ils décidèrent de passer a l’action en tirant des flèches dans la tête de tout les ennemis, ceux-ci trop occupé a combattre les rodeurs, ne les avaient toujours pas vus.
Malgré la réussite du sergent, certains des rodeurs étaient mort et leurs corps gisaient par terre, au milieu de bien d’autres cadavres. Malgré les pertes, les rodeurs continuait de se battre pour leur vie. Voyant leur nombre diminué considérablement, Artass décida d’aller leur porter assistance, il ordonna a ses trois hommes de rester cachés, puis il sortit son épée de son fourreau et s’élança a corps perdu dans la bataille. Deux orientaux se ruèrent sur le sergent dès qu’ils le virent, un des ennemis essaya de planter sa lance dans le sternum d’Artass, celui-ci évita en sautant sur le coté, puis il trancha la tête de son assaillant en profitant de son acharnement a soulever la lance. Puis le deuxième fonça sur lui et tenta de le décapiter d’un violent coup de sabre. Le rodeur se baissa pour esquiver l’attaque puissante, et d’un geste vif planta son épée dans le ventre de son adversaire.
Artass allait se jeter sur un autre oriental, quand un cor de guerre résonna a plusieurs lieues a la ronde. Le sergent se retourna et vit d’autres Orientaux arriver par l’Est.
« Les renforts, hurla un des ennemis
-Replier-vous ordonna Artass a ses hommes, ils sont trop nombreux.
Les rodeurs ne se firent pas prier, et déguerpirent a toute vitesse du champs de bataille. Le sergent les suivi en courant de toutes ses forces, la troupe devaient rejoindre Minas Tirith avec les cavaliers Gondorien au plus vite. Après quelques minutes de course intensive, ils arrivèrent a la clairière ou était cachés les cavaliers.
« A sergent, on vous attendait, dit son chef en les voyant arriver
-On repart immédiatement, ordonna le sergent rodeur, les Orientaux sont a nos trousses.
-Que, qu’est ce qui se passe ? demanda le cavalier.
- Pas le temps d’expliquer, en selle et au galop, fuyons pour nos vies, hurla Artass.
Les hommes du Gondor obéirent et tout le monde monta sur son cheval respectif et parti au galop vers la Cité Blanche. Les cavaliers semèrent rapidement les Orientaux qui étaient a pied. Deux heures après leur départ précipité de la forêt, ils étaient en vue. Les gardes allèrent informer Denethor de l’arrivée des hommes. Ce dernier les reçut immédiatement après leur arrivé a Minas Tirith.
« Alors, sergent, ces Orientaux sont t-ils anéanti, s’interrogea l’intendant du Gondor
-Non sire, des renforts sont arrivé et nous avons été obligé de fuir, avoua le sergent, une légère honte dans sa voix, mais les ennemis se dirigent toujours vers la Cité, il faut relancer l’attaque, demanda ensuite le sergent.
-Vous avez raison, sergent, que l’on prépare 50 cavaliers près a partir avant une heure, ordonna Denethor a un serviteur qui déguerpit a toute jambes après que l’ordre lui fut donné. Quand a vous, rassemblez-vous devant la grande porte en attendant les autres cavaliers.
Les rodeurs et les 15 cavaliers se rendirent a la grande porte pour attendre les renforts promit par Dentethor. Une fois arrivé, Artass fit le compte de ses hommes, ils n’étaient plus que 13, cela voulait dire que cinq de ses fidèles rodeurs avaient péris durant la bataille, la rage contre les Orientaux monta en flèche dans l’esprit du sergent, et ils en étaient pour les rodeurs encore vivant. Les cavaliers étaient tous la, avec les rodeurs ils étaient donc 28, avec les renforts promit par l’intendant, cela leur faisait une armée de 78 hommes de Gondor, tous a cheval, leur charge serait mortelle, pensa Artass en jubilant intérieurement.
Les renforts arrivèrent bien vite, ils étaient en touts points semblables au 15 cavaliers qui accompagnaient déjà les rodeurs. L’armée se mit a galoper vers l’ancien champs de bataille, pendant ce temps, les Orientaux s’étaient considérablement rapproché de Minas Tirith. Ils étaient maintenant a terrain découvert sur une grande plaine. Les cavaliers les repérèrent de loin, en sortant d’un petit bois.
Tous les cavaliers se mirent en position de combats en formant des lignes de 7 soldats les unes derrières les autres, ils étaient près a charger. Le capitaine des cavaliers souffla dans un cor de guerre du Gondor.
« Charger, pour les peuples libres, hurla t-il »
Il envoya son cheval au galop et fonça a une vitesse fulgurante vers l’ennemi qui les avait maintenant repéré. Tous les cavaliers l’imitèrent et la charge mortelle fut lancée contre les Orientaux. L’ennemi paniquait, ne sachant plus quoi faire, ils s’élancèrent vers les Gondoriens.
La charge des hommes fut véritablement mortelle pour la plupart des ennemis, au moins 40 ennemis tombèrent mort a l’arrivé des hommes du Gondor. Les cavaliers traversèrent l’armée des Orientaux pour ressortir a la fin de leur rang après avoir semé la mort derrière eux. Seulement quelques uns des ennemis étaient encore debout au milieu d’autre cadavres, mais quelques Gondoriens étaient tombés. Au grand soulagement d’Artass, tous les rodeurs étaient la. Une seconde charge fut lancée pour éliminer les survivants, et en quelques minutes, la plaine n’était jonché que de cadavres et des litres de sang s’y était déversé.
Artass et ses rodeurs étaient enfin venu a bout des Orientaux, ils rentrèrent a Minas Tirith pour prendre un repos bien mérité.

BILAN:
-Tous les Orientaux ont été eliminés
-5 rodeurs sont morts
-3 cavaliers de Minas Tirith sont mort

Je me permets de te dire bravo. Ta mission est bien longue.

désolé, je vien de me rendre compte que c super court

tu trouve ??

Ben c'est un peu plus long que ta mission précédente. C?est bien je trouve.

a ouai en fait c bien je trouve je sais pas pourquoi je trouvais ca court^^
j'espere avoir 1.5 avec cette note comme ca je serait sergent chef, au fait petite question, quand on passe sergent chef on a 50 soldat en plus de ceux qu'on a deja ou 50 en tout donc 30 soldat en plus ?
E t les troupes sont rafraichies ?

alors tes troupes ke tu avais en temps ke sergent sont renouvelé + 30 nouvelle recrue , j'ai vu ta mission je vais la noter

Les troupes sont renouvelées et tu passes de 20 soldats à 50 ( donc 30 soldats de plus que ce que tu commandais avant )

Merci de vos réponse
Et merci d'avance pour la note Ar-pharazon

Taille : 16/20
Histoire : 15/20
Action : 15/20
Orthographe : 8.5/10
Note générale : 16/20 bonne mission

merci pour cette note

Félicitation, te voilà maintenant sergent-chef, tu peux commander 50 troupes !

Merci Nico !
Voila maintenant je suis en attente d'une mission avec mes 50 rodeurs
Je vpuras bien un mission d'assistance pour aider les elfes, les nains, ou la rohan pour faire une histoire bien longue
Merci d'avance

ok alors tu vas aider des elfes


un village elfe est régulièrement attaqué, le village a une importance stratégique, défend le jusqu'a l'arrivé des renforts
le village est entouré d'un long mur de quatre mètres de hauts, composé de petites maisons , d'une forge et d'une caserne, il y a une seule porte grande et assez résistantes.

alliés: toi et tes hommes +50 elfes (arcchers principalement) du village ayant une bonne expérience du au assaut d'avant
+ 100 elfes armés comme tu le souhaite qui arriveront en renfort


ennemi: 1 vague: 50 orc avec 2 échelles
2 vague: 75 orc( 25 archers) + 1 troll + 2 échelles
3 vague: 40 orc + 40 haradrims + 20 orienuax + 2 troll + 1 belier + 3 échelles

il y a cinq heures entre chaque vague, au moment de la 3ème vague les renforts arrivent

Ok merci super mission.

Un post juste pour vous dire que je suis en train de faire la mission mais vous inquietez pas si je la rend pas tout de suite, mais la avec les vacance je vais avoir le temps d'un faire une bien longue.

ok , prends ton temps

Voila enfin ma 3eme mission, j'ai été long mais j'avais pas la tete a écrire^^




Objectif :
Un village elfe est régulièrement attaqué, le village a une importance stratégique, défend le jusqu'a l'arrivé des renforts
le village est entouré d'un long mur de quatre mètres de hauts, composé de petites maisons, d'une forge et d'une caserne, il y a une seule porte grande et assez résistantes.

Alliés: toi et tes hommes +50 elfes (archers principalement) du village ayant une bonne expérience du au assaut d'avant
+ 100 elfes armés comme tu le souhaite qui arriveront en renfort


ennemi:
1 vague: 50 orcs avec 2 échelles
2 vague: 75 orcs (25 archers) + 2 trolls+ 2 échelles
3 vague: 40 orcs + 40 haradrims + 20 orientaux + 2 troll + 1 bélier + 3 échelles

il y a cinq heures entre chaque vague, au moment de la 3ème vague les renforts arrivent.

1ere partie


Artass et ses rodeurs n’étaient plus que 13 quand ils étaient rentrés à Minas Tirith après le succès de leur dernière mission. Ils avaient été logés dans des appartements de luxes comme lors de leur première visite. Les soldats avaient célébré les funérailles de leurs cinq défunts compagnons d’armes. Artass avait été convoqué par Denethor dès leur arrivée a la Cité Blanche. Celui-ci l’avait fais venir dans la salle du trône. Artass n’aimait pas l’intendant du Gondor qui avait, d’après le sergent, la fâcheuse tendance a sacrifier des vies pour rien. Mais le sergent était bien obligé de se rendre devant lui. Quand il entra dans la pièce, il fut émerveillé par la beauté des lieux, tout était blanc et noir, des colonnes au table en passant par des statues sculpté dans du marbre blanc. Une voix se fit entendre peu après son arrivé :
« Bonjour Artass, lança Denethor assis sur son trône d’intendant.
-Bonjour, monseigneur, répondit le sergent avec respect.
-Je voulais personnellement vous remercier pour la réussite de votre mission et vous dire que je suis sincèrement désolé pour la perte de vos cinq hommes, répondit l’intendant. Dans le fond de son cœur, Artass savait que cette perte importait peu pour le soi disant roi du Gondor. Mais face a cette réussite, reprit t-il, j’ai décidé de vous nommer sergent chef des rodeurs de l’Ithilien. J’ai d’ailleurs, j’ai une mission pour vous, Artass, un de nos alliés demande une assistance pour un de ses villages qui se fait régulièrement attaqué par des orcs. Il s’agit d’un grand village d’Elfes qui est placé à un endroit stratégique. Les Elfes ont eu vent d’une immense attaque qui sera bientôt lancé contre eux, vous devez donc faire vite pour arrêter l’ennemi, continua Denethor.
-Merci monseigneur pour ma montée en grade, pour ce qui est du village Elfe, je pars sur l’heure, dit Artass en étant émerveillé par sa soudaine montée en grade.
-Revenez victorieux, s’écria l’intendant, ou ne revenez pas », acheva t-il sur un ton plus grave.
Le nouveau sergent chef le salua respectueusement et se retira de la salle du trône. Il se dirigea vers la caserne et fut surpris quand il vit 50 rodeurs a l’intérieur au lieu des 13 habituels. On lui adressa mainte et mainte félicitation pour sa montée en grade, puis il monta sur une table pour que tout le monde puisse le voir et l’entendre.
«Tout d’abord, je voudrais souhaiter la bienvenu a tout les nouveaux arrivants qui se joignent a nous aujourd’hui, commença Artass. Un murmure d’approbation se rependit dans l’assemblée. Mais je dois aussi vous informer que nous partons sur l’heure aider des Elfe à défendre un de leur village.
-Oui ! Pour le Gondor, hurlèrent a l’unissions les cinquante rodeurs.
-Alors, allez vous préparez, vous avez cinq minutes, que l’on emporte trois chevaux chargés de vivres, le voyage sera long, mes amis », termina Artass.
Le sergent chef sortit de la salle d’entrainement pour aller chercher son propre équipement. La sensation de commander autant de troupes lui faisait ressentir de la fierté, mais aussi de la peur, la peur de ne pas savoir bien commander ses troupes et de les envoyer a la mort inutilement. Mais il se concentra sur sa mission : sauver les Elfes. Il avait déjà entendu parler de ces créatures, les vieux racontars qui prétendaient en avoir déjà vu les décrivaient comme des êtres d’une beauté extraordinaire. Artass avait voulu se renseigner et s’était rendu a la bibliothèque de Minas Tirith, il y avait appris beaucoup de choses sur ce peuple étrange. Tout d’abord, les Elfes étaient des créatures immortelles, qui pouvaient vivre a jamais sans qu’une seule ride ne parcoure leur doux visage. Archers hors pairs, les Elfes faisaient mouche a tout les coups. Cela serait bien utile pour défendre le village, songea Artass.
Il se dirigea ensuite vers ses appartements privés. Son équipement se trouvait sur une table. Il enfila sa cape de rodeur, attacha le cor du Gondor ainsi que son épée a sa ceinture de cuir noir. Il mit son arc en place dans son dos, et fit le plein de flèches avant de placer son carquois dans son dos. Il était près a partir. Le sergent chef se rendit aux écuries pour y trouver son cheval blanc, et il finit par se rendre devant la grande porte de la Cité. Ses soldats se trouvaient là, il l’attendait.
« En avant ! » hurla Artass a toute la troupe.
Les Gondoriens partirent au galop et traversèrent une partie des champs du Pelenor avant de se diriger vers l’Ouest. La première journée de marche se passa sans soucis, les cavaliers, chevauchant a vive allure, ne rencontrèrent ni ennemis, ni obstacles. Ils longèrent les montagnes Blanche toute la journée. A la tombée de la nuit, Artass repéra un plateau plus en hauteur sur la montagne, cet abris serait parfait pour la nuit. Le sergent chef ordonna a ses hommes de monter un camps et d’allumer un feu, il les chargea aussi d’établir un tour de garde. Les troupes se sentaient observé et commençait a paniquer.
« Restez sur vos garde, mes amis, je sens qu’une présence maléfique se terre dans ces montagnes », dit Artass a ses hommes.
Malgré les doute des Gondoriens, la soirée fut des plus calme et les homme jouèrent a des jeux d’argent ou s’entrainèrent en prévision de la bataille qui les attendait dans peu de temps. Ce fut seulement a une heure avancé de la nuit que le soldat qui était de garde hurla :
« Des gobelins, ils nous attaquent, alerte, tout le monde près a riposter ! »
A la suite de ce cris, tout les soldats sortirent en toute hâte de leur tente respective, ils prirent tous leur armes, épées comme arcs, et se rendirent a la porte du camps. Artass, lui aussi, enfila sa cape et pris son arc a la main ainsi que son carquois avant de courir ver la porte. En effet, une quinzaine de gobelins se dirigeaient a vive allure vers le campement des rodeur.
« Bander vos arcs, et soyez près a tirez a mon ordre ! » Vérocifia Artass a l’attention de ses hommes.
Les cinquante rodeurs bandèrent leurs arcs, et attendirent l’ordre de leur chef pour décocher leurs traits. Les gobelins ne semblaient pas avoir vus que la résistance s’organisait derrière la porte du camp. Artass attendit qu’il soit bien a porter de tir et hurla :
« Décocher les flèches »
Une volée de cinquante traits partit en direction des gobelins qui furent tous tués sur le coup. Les soldats furent soulagés de leur victoire et impressionnés de leur facilités a gagner un combat. Tout le monde retourna se coucher mais la garde fut doublée par mesure de sécurité. Au petit matin, tout le monde était d’une humeur joyeuse, due a leur victoire de la nuit passée. Chacun se ventait d’avoir tué le plus de gobelins. Les homme rassemblèrent leur affaires et remontèrent leur tente avant de repartir au galop vers le village Elfe a l’Est. Cette journée fut des plus pénibles, car beaucoup d’obstacles se trouvaient sur le chemin des rodeurs. Entre les rochers immense, les chemins jonchés de tronc d’arbres, et des marécages boueux, les hommes n’urent pas une minute de repos durant cette journée. Le campement fut finalement monté dans une petite clairière a l’orée d’un grand bois de chêne. La nuit se passa sans encombres, et au réveil, les homme étaient près a reprendre la route du village des Elfes.
Pendant la troisième journée, les cavaliers galopèrent a une vitesse fulgurante, pour arriver en fin d’après-midi, en vue du village, alors qu’ils s’approchaient, il virent une cinquantaine d’orcs avec deux échelles se diriger vers le village.
« Nous arrivons trop tard, pensa Artass, a l’attaque ! » hurla t-il a l’attention de ses hommes, chargez !
Les cinquante rodeurs partirent en direction du groupe d’orcs au galop, mais quand l’ennemi arriva devant la muraille des Elfes, il fut accueilli par une volée de flèche, puis une deuxième et une troisième. Quand les hommes arrivèrent près du groupe d’orcs, ces derniers n’étaient plus que 25, ils chargèrent épée a la main et tuèrent au moins 15 orcs, puis une quatrième volée de trait fut tirée des murs du village et termina de tuer les survivants.
Les cadavres d’orcs gisaient sur le sol légèrement boueux accompagnés de bouts d’échelles fracassés. Aucunes des flèches n’avaient touché uns des Gondoriens. Ceci prouvait que les Elfes étaient bien des archers hors pairs. Artass et ses soldats se dirigèrent vers la grande porte du village. Un Elfe ordonna aussitôt que l’on ouvre celle-ci. Le sergent chef constata qu’une cinquantaine d’archers se tenait sur les murailles hautes de quatre mètres. Un des habitants du village approcha et demanda a Artass de le suivre :
« Je vous emmène voir notre roi, noble humain, dit l’Elfe
-Bien, répondit t-il, restez ici, » ordonna t-il a ses hommes
Le sergent chef suivit l’Elfe pour arriver dans une grande maison construite en pierre blanches. Beaucoup d’habitants se tenaient ici, visiblement, ils voulaient tous parler a un même homme qui se tenait sur un trône de couleur or, ce devait être le chef de la ville. L’Elfe s’adressa a lui d’une voix plus que douce :
« Bienvenue, homme, vous devez être les renforts promis par Minas Tirith
-Oui, grand roi, nous sommes venu vous portez assistance face a ces orcs répugnants, répondit Artass
-Bien, une des vagues d’orc vient d’arrivé, mais vous le savez déjà. D’après nos éclaireurs, les orcs enverront trois vagues sur le village, nous venu de résister a la première, annonça le roi avec satisfaction.
-Effectivement, commença le sergent chef, mais quelque chose me dit que nous aurons plus de mal pour les autres vagues. Ceux-ci n’étaient que des éclaireurs d’après moi, termina t-il.
-Je pense aussi, nous pouvons en déduire que les prochaines attaques seront plus sanglantes, répondit le roi.
-Avec une bonne organisation des défenses, nous pouvons les repousser, lança Artass joyeusement.
-D’après mes éclaireurs, les ennemis sont a peu près 225, ce sont principalement des orcs mais il y a aussi quelques Orientaux et une poignée d’Haradrims. Ils ont 7 échelles de sièges, 1 bélier et trois trolls adultes, répondit le roi.
-Mais, ils sont bien trop nombreux, monseigneur, nous ne gagneront jamais, s’effraya le sergent chef.
-Vous l’avez dit vous-même, avec organisation et défense, nous pouvons les vaincre, commença l’Elfe. Ensuite, 50 archers expérimentés se tiennent sur les murs de la ville près a se battre, avec vos soldats, cela porte le compte a 100 archers, continua t-il. Enfin, une armée est en marches pour venir nous aider, elle est composée de 40 épéistes, 20 archers, 10 cavaliers et de 30 piquiers. Ils arriveront dans 15h au village, termina le roi.
-Cela change tout, excusé-moi d’avoir désespéré, monseigneur, s’excusa Artass.
-Et je tiens a vous rappelez que nous venons d’anéantir 50 orc et deux échelle, il n’y a plus que 175 orcs et 5 échelles, répondit le roi.
-Ce qui reste une menace considérable, lança le sergent chef
-je vous laisse le commandement de mes soldats, car moi, je ne suis pas un Elfe fait pour la guerre, vous devriez aller a la caserne préparer les hommes pour la prochaine vague, dit le roi en congédiant Artass.

2eme partie:

A la suite de cet entretien, L’Homme sortit de la salle du trône, puis se rendit a la caserne en demandant le chemin a un Elfe. Une fois a l’intérieur de bâtiment, il fut surpris d’y trouver les Elfes et ses propres hommes en train de discuter. Manifestement, les Gondoriens étaient en admiration devant les Elfes, surtout devant leur habilité a manier l’arc.
« Elfe, homme, des orcs répugnant se dirigent vers le village, nous devons le tenir jusqu'à l’arrivé des renforts, nos ennemis enverrons encore deux vagues d’assaut sur la ville, annonça Artass aux guerriers.
-Tout les archers en place, ordonna le chef des soldats Elfes, tenez vous près a ripostez en cas d’attaque sur les mus de la ville.
-Rodeurs, allez vous postez sur les murailles Ouest de la ville, les orcs ne tarderont pas a arriver, ordonna a son tour le sergent chef des hommes.
Tout les rodeurs allèrent se poster aux cotés des Elfes sur les murailles, celles-ci mesuraient seulement quatre mètre de hauteur et d’après les soldats Elfes, elles n’étaient pas solide et ne résisteraient pas longtemps face a un troll ou un bélier. L’attente devant sur les murs du village fut longue et ennuyeuse, la pluie se mit a tomber a torrent une demie heure après le début de l’attente. Alors que les soldats étaient trempés jusqu’au os, un cor de guerre se fit entendre a quelque lieu de la ville. Les troupes de Sauron arrivèrent sur la route boisée qui menait au village Elfe. L’ennemi se mit en place devant la ville. 75 orcs se tenaient en rang devant les portes, quelques uns tenaient un troll avec de puissantes chaines en argent. Deux échelles de siège étaient portées par quatre gros orcs qui avaient l’air terriblement musclés. Leur chef s’avança en première ligne et brandit son épée en direction du village, c’était le signal que les orcs attendaient pour attaquer. L’ennemi s’élança en courant vers la ville en brandissant hallebardes, épées et couteau de cuisine.

« Feu, hurla Artass. »

Une centaine de traits fendirent le ciel et vinrent se planter dans le corps d’un orc pour la plupart. Seulement 20 orcs tombèrent a terre et les archers ennemis décochèrent une volée, les hommes et les Elfes essayèrent de se mettre a l’abris mais une dizaine furent transpercés de flèches. Les forces du Bien retirèrent une volée mais ne touchèrent pas beaucoup d’orcs. Les échelles commençaient a avancer vers es remparts mais il y’avait plus inquiétant encore, les deux trolls couraient eux aussi en direction des murs.

« Visez les trolls, ordonna le sergent chef, ne les laissez pas détruire le mur !

Les archers Elfes visaient les trolls tandis que les rodeurs essayaient de tenir les orcs éloignés de la muraille, les Elfes tuèrent un troll après quelques minutes, mais le deuxième atteignit le mur et commença le détruire, mais il état plutôt solide et le troll tapa pendant de longue minutes dedans pendant que les archers Elfes tentaient de le tuer. Il réussi, au bout d’une bonne quinzaine de coup de massue a en détruire une partie, a ce moment, les Elfes parvinrent enfin a le tuer, son corps s’effondra sur le champ de bataille et tua quelque orcs. A ce moment la, les échelles furent déposés sur le mur a quelque mètres des soldats. L’ennemis commença a grimper les échelles.
« Dégainer les épée, hurla Artass »

Le chef Elfe hurla également quelque chose en Elfique et ses soldats sortirent leurs épées de leur fourreau, près a combattre dignement. Les premiers orcs qui débarquèrent sur le mur furent vite tués en quelques coups d’épées, mais rapidement, les ennemis se firent nombreux sur les remparts et les soldats de Bien durent reculer face aux vagues successives qui montaient sur les remparts. Bientôt, tous les orcs furent sur le mur et une lutte terrible commença. Homme et Elfes se battaient cote a cote contre une armée orque. De nombreux corps gisaient par terre quand les forces du bien triomphèrent enfin des soldats du Mordor. Les carcasses orques furent balancées par-dessus les murailles. Les soldats survivants se réunirent a la caserne pour faire le bilan de la deuxième bataille. Les soldats semblaient en proie a une grande tristesse, et la peur de la troisième vague naissait dans leur corps. Ils avaient vaillamment combattus pour leurs vies, mais avaient perdu des compagnons très chers. En tout, 17 soldats avaient péris, 10 Elfes et 7 hommes étaient morts .

La brèche du mur n’avait pas le temps d’être reconstruite avant la prochaine attaque, Artass devait donc placer quelques hommes pour la défendre. Les soldats purent se reposer trois heures avant de remonter sur les remparts. La nuit commençait a tomber mais la lune était pleine et claire. Des feux furent allumé tout les cinq mètres, autant pour éclairer que pour enflammer les flèches. La peur envahissait peu a peu le cœur des soldats. Au loin, on pouvait voir une centaine de torches avancer dans la nuit telle des vers luisants. Le sergent chef avait placé 10 hommes caché près de la brèche du mur. Avec les Elfes, les force du Bien étaient 73 sur le mur, près a décocher. Peu a peu, on put distinguer des orientaux, des Haradrims, deux trolls, un béliers et trois échelles de siège.

« Nous ne gagneront jamais, murmura Artass pour lui-même.»

Bientôt, un cor de guerre se fit entendre et l’Ennemis fonça tête baissé vers les portes de la ville. Les Elfes et les hommes lâchèrent une volée qui anéantit les premières lignes des orcs. Mais les ennemis était nombreux et nombres de flèches n’atteignait pas leur cible. Soudain, les trolls se mirent a courir vers la ville.

« Visez les trolls, vérocifia Artass, tuez les ! »

Une cinquantaine de flèches s’abattit immédiatement sur un des trolls et il tomba raide mort. Puis les rodeurs se mirent a tirer sur le deuxième pendant que les Elfes s’occupaient du dernier. Pendant ce temps, les orcs eurent largement le temps d’emmener le bélier aux portes et de commencer a les enfoncer. Les rodeurs tuèrent les trolls mais le dernier décima les rangs des Elfes avant de mourir. Les orcs commencèrent a placer les échelles et a rentrer par la brèche. Devant le nombre de leur ennemis, les rodeurs qu’Artass avait placé a la brèche avaient battus en retraites. L’ennemis pénétra dans la ville, a ce moment la, les Orientaux montèrent par les échelles et commencèrent a décimer les rangs des Forces du Bien. Tout espoir était perdu, quand un cor de guerre résonna de la forêt toute proche. Toutes les têtes se tournèrent en direction du bois pour y voir sortir une grande armée Elfe.

« Devant les portes, ordonna un orc, en voila d’autres ! »
Les Elfes et les rodeurs recommencèrent a tirer sur leur ennemis pendant que l’armée Elfe avançait rapidement vers les Force du Mal. La rencontre des deux armées fut terrible et plusieurs ennemis furent embrochés sur des piques. Les cavaliers Elfe chargèrent et tuèrent nombre d’orc et d’Orientaux. Il ne restait que quelques ennemis quand un volée de flèches s’abattit sur les orcs et les tua tous. La bataille était enfin terminée et l’Ennemi avait été vaincu. Tout les survivant, Hommes comme Elfes se rassemblèrent a la taverne de la ville ou les attendait le roi.
« Mes chers frères, vous avez vaillamment et courageusement repoussé nos ennemis et sauvé les vies de nombres d’entre nous, commença le roi, malgré quelques pertes, nous devons tout de même nous réjouir de cette victoire, continua t-il, et que cette nuit soit celle des vainqueur !
-Oui ! hurlèrent tout les soldats »
La nuit fut une nui de fête et de chansons, les soldats savourait un repos bien mérité, et l’alcool des Elfe était particulièrement délicieux ! Le jour levé, Artass décida de reprendre la route de Minas Tirith a dos de cheval. Les Hommes partirent au galop après des adieux chaleureux avec les Elfes.
Ils galopèrent toute une journée et pénétrèrent en Rohan ou curieusement, des cavaliers avaient l’air de les attendre.
« Êtes-vous le sergent chef Artass de Gondor ? Se renseigna l’un d’eux
-Oui répondit Artass, surpris qu’on le connaisse aussi loin du Gondor
-Je suis venu quérir votre aide, une grande bataille va avoir lieu ici, et nous avons besoins de soldats.
-Je combattrais a vos cotés, pour nettoyer cette terre et la rendre paisible
-Bien, suivez nous jusqu'à Edoras, vous pourrez vous y reposez en prévision de la future bataille. Vous ne serez pas seul, d’autre soldats ont répondu a notre appel et nous allons lever une immense armée.
-Nous vous suivrons, jusqu’a la mort ! hurla Artass
La petite troupe de cavaliers se mit a chevaucher vers l’Ouest, en direction d’Edoras.

BILAN :
-Tout les Ennemis sont morts
-17 Elfes sont morts
- 8 rodeurs sont morts

ar-pharazon prend ton temps pour me noter, mais pas trop quand meme stp

je le ferais ce soir, désoler mais je dois y aller