Mission n°1
Depuis un mois, les attaques du Mordor avaient cessé en Ithilien. Artass et ses hommes commençaient a s’ennuyer dans leur campement. Jusqu’au jour ou un messager portant les couleurs de Faramir arriva au camp. Artass le reçu cordialement en l’amenant dans sa tente.
-Alors, qu’est ce qui vous ammene, messager? Lui demanda t-il
-J’ai un message pour vous Artass, de la part de Faramir, c’est assez urgent, lui répondit t-il
-Je vous écoute, lui lança le sergent
-Un groupe d’Haradrims est entré en Ithilien et ils se dirigent vers Minas Tirith, vous devez les tuer avant qu’ils atteignent la cité, lui ordonna le messager.
-Vous pouvez dire a Faramir qu’il sera fait selon ses ordres
-Bien, alors il ne me reste plus qu’à vous souhaiter bonne chance a vous et a vos hommes
-Nous vaincrons, ne vous en faite pas, lui répondit gentiment Artass
-J’en suis convaincu, mais j’oubliais sergent, je vous suggère envoyer quelques éclaireurs avant d’attaquer car nous ne connaissons pas leur nombre exact, lance le messager avant de quitter le tente d’Artass.
-Merci du conseil murmura Artass pour lui-même avant de quitter la tente a son tour.
-Rodeurs, rassembler vos affaire, nous partons demain a l’aube combattre quelques Haradrims qui osent pénétrer sur notre territoire.
-Ouais ! Hurlèrent a l’unisson les soldats qui en avait marre de ne rien faire de leurs journées
La soirée fut calme et tous les hommes se reposèrent pour la journée qui les attendait le lendemain. A l’aube la petite troupe se mit en marche vers le sud. Ils durent lutter contre la nature pour arriver près de leurs ennemis. Vers midi, Artass ordonna que les rodeurs montent un camps de fortune dans une petite clairière verdoyante. Le sergent parti en reconnaissance avec deux de ses hommes.
Les trois soldats se firent discret comme des ombres pendant la reconnaissance, ils arriverent finalement a un chemin qui menaient a Minas Tirith. Une fumée s’élevaient loin derrière eux.
-Combien sont t-il a ton avis demanda Artass au plus vieux des deux soldats.
-Je dirais une trentaine, sergent lui répondit le rodeur.
-Nous devons nous dépêcher de rentrer au camp et de revenir avec les autres pour préparer une embuscade
Le petit groupe courut a une vitesse fulgurante jusqu'à leur campement de fortune. Une fois la bas, ils prévinrent les autres rodeur de nombre de leurs ennemis. Ils ne parurent pas du tout gener par leur inferiorité numérique, mais ils en avaient vu d’autre, après tout. La troupe se mit donc en route vers l’emplacement qu’Artass avait repéré durant la reconnaissance. Il s’agissait d’un endroit un le chemin était bordé par deux petite collines ou poussait des herbes hautes.
Artass divisa ses troupes: 10 rodeurs se posteraient sur la colline de gauche, accompagnés par le sergent, tandis que les autres iraient sur la colline de droite. Soudain des bruits de pas résonnèrent non loin de leur position.
« Tout le monde en place chuchota Artass, ils arrivent ! »
Tous les rodeurs rejoignirent leurs postes respectifs. Le sergent leur fit un geste pour leur dire de bander leurs arcs. Quelque seconde plus tard, les Haradrims étaient en vue. Le soldat d’Artass avait vu juste, une trentaine d’homme se dirigeait vers les rodeurs embusqués. Il portait tous des peintures de guerres, a leur ceinture pendait des sabres a l’air terriblement tranchant. Les Haradims portaient des lances de jet dans leur dos, Ils pourraient donc atteindre les rodeurs. Quelque chose attira soudain l’attention d’Artass, en tête de troupe, il y’avait un homme terriblement musclé, il arborait les couleurs du Harad avec un drapeau accroché dans son dos. Cet homme semblait être le chef de la troupe avec son allure de guerrier vétéran. Les Haradrims se rapprochèrent rapidement de l’embuscade, les hommes d’Artass étaient en place, l’arc bandé, la bataille pouvait commencer.
Les rodeurs attendirent que les Haradrims soit bien en dessous d’eux puis Artass tira la première flèche, elle fendit l’air pour venir se loger dans le bras du chef ennemi. Celui-ci poussa un terrible cri de douleur, mais il se retira la flèche du bras d’un coup sec. Qui était donc ce guerrier qui résistait a une telle douleur. Le sergent fit signe a ses hommes de décocher. Avant que les Haradrims ai pus réagir, une vingtaine de flèches volait dans leur direction. 10 des ennemis tombèrent raides morts a la première volée de flèches. Les autres déguerpirent de la route pour fuir vers la forêt toute proche.
« Tuez-les avant qu’ils atteignent la forêt, hurla Artass ! »
Les rodeurs décochèrent une vingtaine d’autres flèches qui ne tuèrent que 5 ennemis, mais les rodeur n’avaient pas bien visé a cause de leur précipitation. Artass fit rapidement le calcul, il leur restait 15 ennemis a tuer, et ils étaient toujours 20, maintenant, c’était les rodeurs qui avaient la supériorité numérique.
Les Haradrims vivant c’était réfugier dans un petit bois voisin que le sergent avait l’intention d’enflammer
« Tout le monde vient sur la colline ouest, ordonna t-il, que trois hommes allument un feu, et que les autres restent près a tirer sur le bois si les Haradrims sortent de leur trous, rajouta Artass »
Les ordres furent rapidement exécutés, et le feu bien vite allumé. Le sergent ordonna aux rodeurs d’enflammer leur flèche et de tirer sur le bois. Vingt flèches enflammées traversèrent le ciel bleu pour finir leurs courses dans le petit bois ou se cachaient les Haradrims. La petite foret eu bientôt pris feu et des ennemis en flamme sortirent en toute hâte pour trouver un point d’eau dans lequel il pourrait éteindre les flammes qui leurs parcouraient le corps
Ceux qui osaient sortir étaient bien vite stoppés en pleine course par des flèches extrêmement bien tirés Très vite, il n’y eu plut un seul ennemis vivant aux alentours. Artass allait ordonner la retraite quand un homme sortit des flammes, c’était le chef des Haradrims. Il s’avançait lentement vers la troupe lorsque deux rodeurs se ruèrent sur lui, curieusement, il n’était pas en flamme, mais Artass comprit bien vite la raison pour laquelle il était sain et sauf. Son armure l’avait protégé des flamme, et c’était le seul a en porter une. Les rodeurs essayèrent de lui transpercer le corps mais il esquiva habilement la première attaque et brisa la nuque de son adversaire d’un violent coup de coude. Le Haradrim ramassa l’épée du rodeur et s’en servit pour transpercer le deuxième soldat qui n’eu pas le temps de réagir.
« Laisser le moi, ordonna Artass, trop de sang a déjà couler a cause de lui »
Les rodeurs obéirent et s’écartèrent pour laisser passer leur chef. Le sergent rangea son arc et dégaina son épée, il s’avança lentement vers son ennemis, près a parer une attaque soudaine, mais le Haradrim était trop futé pour se faire avoir de la sorte. Artass décida d’attaquer le premier, son épée fendit l’air pour transpercer la poitrine de l’ennemi, mais celui-ci para l’attaque du sergent pour lui en assener une autre tout de suite après, Artass para a son tour mais la violence du coup le projeta terre. Le Haradrim voulut l’achever d’un grand coup d’épée, mais a une vitesse fulgurante, Artass esquiva et l’épée qui vint se planter dans le sol sablonneux. Le sergent profita d’un moment d’inattention de son adversaire qui essayait de retirer son épée du sol pour transpercer la poitrine. Enfin, le Haradrim était mort.
Artass félicita ses hommes et promis des funérailles digne du Gondor pour les deux soldats tombés au combat. La troupe regagna le camps d’Artass, le sergent envoya deux messager prévenir Faramir de la réussite de la mission. Mais une ambiance de mort regnait sur le camp, Artass décida alors de se rendre a Minas Tirith pour faire des funéraille digne de vrai guerriers et pour changer les idées de ses homme.
Bilan :
-Tous les Haradrims ont été abattus.
-2 rodeurs sont morts pour le Gondor.