Mission d'Artas

Ouai tkt je t'en veux pas lol prend ton temps

taille: 17/20
histoire:16 /20
action: 15.5/20
ortographe: 17/20
note générale: 16.5/20

Merci pour la note
Je demande pas de missions car je vais bientot faire la bataille du Rohan avec Sparda et tt les autres

tu peux faire une mission en même temps qu'une mission commune, mais tu devras attendre la fin de la mission commune pour poster ta mission !

Ok ba alors en attente d'une mission svp

j'aime bien te donner des missions alors:

une large compagnie d'orc a été aperçu, détruis là, celle-ci à passer l'anduin d'une façon inconnu et a décimer des rodeurs qui ont fuis a cheval, tu les trouvera a cinquante-cinq mille de Cair Andros( soit 50 kilomètres ps:je di sa au hasard)

aide les a repousser l'assaut ennemis

alliés: toi, tes hommes et 50 rodeurs sur chevaux

ennemis: 70 orc armés de tous ce que tu veux+ 20 orientaux en armures armés d'hallebardes.

moi j'adore les missionns que tu me donne, mais je la ferais après la bataille commune au Rohan, pacque je suis a Edoras pour faire cette mission commune, donc buter des orcs près de l'Anduin^^ mais je la ferais apré la missions commune

la mission commune sera la semaine prochaine tu as une semaine pour la faire et comme tes unités ne changeront pas tu peux la commencer dès maintenant si tu veux.

Ouai mais g pas la tete écrire en ce moment donc je la ferais a près la bataille commune lol

oki pas de problème

Salut a tous et salut a Artass, je suis la pour dire que je suis dans l'attente d'une mission, donc voila allé voir SVP.



Le nom ses mission Kabuki.

Salut la compagnie, me revoila après une longue longue longue absence a cause de la loi Hadopi (merci Sarko !). En fait ma connexion a été coupé pour téléchargement alor que cté mon voisin qui le faisait car je lui avait donné la clé wap une fois. Alors le temps de le prouver et tt ca on a eus quand meme 3 mois de coupure (grr ) donc voili voilou je revien vous m'avez manquez (si, si).
Donc voila je suis super heureux et je suis en attente d'une mission pour aider des nains si possible.
Merci !!

Alors personne pour une mission snif

Ben,tu n'as pas fais celle qu'Ar t'as donné à la page précédente,si ?

Erf je l'avais completement zappé celle la, bon ba je m'y met, pour la cohérence je dis que je ne suis plus a Edoras mais a Minas Tirith.

Et voila ma mission, vu que Ar est en vac's, quelqu'un pourrait noter a sa place svp sinon c pas grave et en attente d'une mision pour aider nos amis (ou ennemis) nain svp. Bon je cause trop voila ma mission:

1ere Partie:

une large compagnie d'orc a été aperçu, détruis là, celle-ci à passer l'Anduin d'une façon inconnu et a décimer des rodeurs qui ont fuis a cheval, tu les trouvera a cinquante-cinq mille de Cair Andros (soit 50 kilomètres PS: je di sa au hasard)

aide les a repousser l'assaut ennemis

alliés: toi, tes hommes et 50 rodeurs sur chevaux

ennemis: 70 orc armés de tous ce que tu veux+ 20 orientaux en armures armés d'hallebardes
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Moi et mes fidèles Rodeurs étions de retour à Minas Tirith. Nous devions rester aider un guerrier du nom de Gaaldor, mais quelques jours après s’être installé a Edoras, une missive très importante d’un des dirigeants de l’armée du Gondor nous était parvenue :

« Sergent chef,
Le Gondor a besoin de vous et de vos soldats. Une large compagnie d’Orc et d’Orientaux ont réussis à pénétrer sur notre territoire et ont décimés les rangs des Rodeurs qui ce trouvait sur place, il n’en reste qu’une cinquantaine. Après vos récents exploits chez les Elfes, j’ai décidé de vous envoyer les repousser. Vous serez aidé des cinquante cavaliers Rodeurs restants. Rentrez au plus vite a Minas Tirith pour recevoir vos troupes et commencer votre mission. »

La missive portait le seau du Gondor, je décidai donc de rentrer a la cité Blanche au plus vite. Après 4 jours de voyage sans pratiquement aucune pause. Nous arrivions au Grande porte de la Cité.
« Halte la, Rodeurs, les portes sont fermées a cette heure, qui êtes vous et que venez vous faire a Minas Tirith, me lança un soldat du haut des remparts.
- Je suis le sergent chef Artass de Gondor, et on m’a convoqué ici afin d’aller repousser les Orcs qui ont passé l’Anduin, répondis-je.
- On vous attend a la caserne, sergent-chef, me répondit un autres, laisse le entrer, ordonna t-il au premier qui m’avait adressé la parole.
Après avoir marmonné quelques paroles inaudibles dans sa barbe, il consentit à ouvrir les portes de la ville. J’entendis les gonds grincer, et quelques instants plus tard, la porte commença à pivoter pour nous laisser passer. Les gardes n’ouvrirent pas la porte en grand, seulement quelques mètres séparaient la porte gauche de la droite. Moi et mes soldats entrâmes dan la Cité Blanche et presque aussitôt, les portes ce refermèrent avec le même grincement de gond.

Je connaissais bien le chemin de la caserne, ayant grandi à Minas Tirith, je connaissais la Cité comme ma poche. C’est donc en utilisant quelques uns des raccourcis gravés dans ma tête que nous arrivâmes très vite à la caserne. En passant devant l’écurie, je remarquais plus de chevaux que d’habitude. Ils devaient appartenir aux rodeurs survivant qui devait nous accompagner. On pouvait apercevoir de la lumière dans la caserne à travers les fenêtres. Mes rodeurs étaient en colonnes derrière moi, quand nous arrivâmes devant la porte, je leur fis signe de s’arrêter. J’allais saisir la poigné de la grande porte de bois, quand a ma grande surprise, elle s’ouvrit sans même que je la touche. Je compris alors qu’un des soldats qui étaient à l’intérieur m’avait ouvert.

« On vous attendait, me lança t-il avec joie. »
Moi et mes soldats pénétrâmes dans la large pièce. Une cinquantaine de soldat étaient alignés en un rang parfait. Je fus soudain flatté que l’on me confie autant de soldats.
« Bonjour, soldats, je suis le sergent chef Artass, et je serais votre chef pour cette mission, dis-je en faisant le tour des rang. Nous devons a tout prix chasser ces Orc puant de notre territoire, j’ai bien dit a tout prix, ce qui inclus la mort, me suis-bien fait comprendre ?! Demandais-je en haussant la voix.
- Oui, pour le Gondor ! Répondirent tous les soldats, y compris les miens en hurlant.
-Bien, repris-je, reposer vous, nous partons demain a la première heure.
Tous les soldats se retirèrent dans les quartiers de la caserne qui leur étaient attribués. Un profond sommeil s’empara de tout les Rodeurs. Mais je n’arrivais pas a dormir, je décidai donc d’aller me promener sur les remparts pour me changer les idées. En sortant de la caserne, je vis que la nuit était assez animée, on pouvait voir divers poivrots chancelant pour tenir debout rentrer chez eux après une soirée passée a s’enivrer. Je longeais une rue ou se trouvait une auberge réputé pour ses alcoolique. J’entendis un cri a l’intérieur qui me fit frissonner. D’instinct, je sortis mon épée de son fourreau pour m’approcher à petit pas de la porte de l’auberge. Soudain, un homme fut projeter hors du bâtiment et s’écrasa lamentablement sur le sol pierreux.
« Les bagarres, c’est dehors que ca ce passe, messieurs, hurla un homme qui devait être le patron de l’établissement. »
Trois hommes sortirent de l’auberge. A une vitesse extraordinaire, je me cachais derrière un tonneau qui était posé a ma droite, les hommes ne me virent pas.
« Allez, tuons le, déclara l’un d’eux.
-Attend, on pourrait juste le tabasser, il ne mérite pas la mort, répondit un autre.
-T’est fou, il a osé, nous insulter, il mérite bien la mort pour ca, répondit le troisième. »
Soudain je sortis de ma cachette, l’épée brandit vers les agresseurs. Ils reculèrent tous d’un pas, l’un d’eux trébucha, et s’écrasa par terre comme une loque.
« Ne vous approchez pas de lui, ou je vous pourfends, lançais-je avec une grande colère.
- Quoi, nous sommes trois et tu ose nous défiez, je vais t’apprendre a me respecter, répondit le plus courageux des trois.
Il sortit une épée qui était caché dans sa longue tunique, et la pointa vers moi. Il fonça et voulu m la planter dans le ventre, mais j’esquivais l’attaque avec facilité. Constatant qu’il avait échoué, il eut un mouvement de recul qui lui fut fatal. Je frappais a sa main ou il tenait son arme, il la lâcha et elle s’écrasa par terre. Ne voulant pas le tuer, je lui transperçais la jambe droite de haut en bas, il hurla de douleur et me supplia de le laisser puis il perdit connaissance.
« Tu vas regretter ca, me dit le deuxième en ramassant l’épée, on va te tuer ! »
Le troisième sortit également son épée et les deux avancèrent vers moi. Cette fois, c’est moi qui chargea en premier, assenant un coup d’épée qui visait le torse de celui qui se tenait a ma droite, il réussi a parer. L’autre, profitant de ce moment de faiblesse, voulut m’assener un coup d’épée dans le dos, je dus sauter en arrière pour l’éviter. Je titubais puis finis par me remettre debout. Ils foncèrent vers moi et l’un d’eux tenta de me décapiter, je me baissais pour éviter l’attaque et en profitais pour lui transpercer le ventre, il tomba sur le dos, mort. J’étais toujours baissé et l’autre voulut abattre son épée sur moi, je vis l’arme arriver droit sur et je pensais que j’allais mourir quand le dernier des trois hommes tomba lui aussi raide mort. Je ne compris pas la raison de sa mort, mais quand il tomba, je vus l’homme qui avait été jeté hors de la taverne, l’épée a la main. Il avait transpercé mon adversaire par derrière. Il jeta son épée, tachées de sang par terre puis il me dévisagea.
« Merci, Rodeur, me dit-il
- Merci a toi, tu m’as également sauvé la vie, mais qui est tu ? Lui demandais-je
-Mon nom est Kale fils de Rale, et toi tu es Artass de Gondor, n’est ce pas, le Rodeur Sombre ?
-C’est bien ainsi que l’on me nomme, mais comment sait tu ca ?
-Tu est assez connu a Minas Tirith, pour tes exploits qui ont permis de sauver le Gondor mais aussi d’autres royaume.
-Alors enchanté Kale, mais dit moi, que te voulais ces hommes.
-Ils avaient insulté l’armée du Gondor, en disant qu’elle ne faisait rien pour nous protéger du Mordor, je leur ai répondu qu’ils n’avaient qu’a aller combattre les armée de Sauron et les Nazgûls, ils l’ont… mal pris je dois dire, ce qui m’a valu de me mettre dans ce pétrin. Si tu n’étais pas passé par là, je crois bien qu’ils m’auraient tué.
-Je dois partir, Kale, je pars demain a la première heure pour défendre le royaume, et il est grand temps que je me repose pour accomplir a bien ma mission.
-Alor je viens avec toi, me répondit-il le plus simplement du monde
-Comment ? Tu n’es pas militaire, voyons, c’est insensé
-Je sais me battre, s’il m’avait donné l’occasion de me défendre, je les aurais tués.
- Bien, suis-moi, on va voir ca à la caserne.
-Je te suis, répondit-il.
Après avoir quitté la rue ou se trouvait l’auberge, nous continuâmes notre route vers la caserne. J’empruntais toujours les même raccourcis mais Kale semblait lui aussi les connaitre. Une dizaine de minute plus tard, nous arrivions aux portes du bâtiment. Il n’y avait pas de lumière et tous les soldats semblaient dormir. J’emmenais Kale dans la cour d’entrainement a l’épée. Je me plaçais au centre et l’invitais à me rejoindre. Il s’avança tout en dégainant son arme. Nous nous faisions face en se dévisageant mutuellement quand il s’élança soudain, la lame en l’air. Il l’abattit sur moi avec une force surhumaine, je plaçais mon épée pour parer, mais la violence du coup me projeta à terre. Me voyant ainsi m’étaler sur le sol, il recula et attendit que je me relève. Je m’appuyais sur mon arme pour me redresser. Une fois debout, il voulut ré exécuter son attaque meurtrière, mais je fus le plus rapide, je bondis sur le coté, et il enfonça sa lame dans le sol sablonneux. Je profitais de son inattention pour enfoncer mon pied dans ses cotes. IL bascula sur son flanc droit et tomba lui aussi a terre.
« Bravo, je vois que tu sais bien te battre, je t’accepte dans mon armée, déclarais-je.
-Merci, Artass, tu dispose d’un certain talent pour t’adapter aux situations ou tu es tenu en échec, répondit-il.
-Oui, c’est vrai, lançais-je avec humour. Maintenant, on devrait vraiment aller se coucher, la journée de demain risque d’être riche en bataille et il nous faudra des forces pour affronter les armées du Mordor. Tu partageras ma chambre, lui déclarais-je.
-Bien, je te suis »
Je nous conduisit a notre chambre, situé a l’étage supérieur, après de nombreux efforts pour ne pas réveiller les soldats qui dormaient, nous arrivâmes enfin dans la chambre réservée au gradées de l’armée. Je lui souhaitais bonne nuit et il fit de même, je m’endormis après plusieurs minutes. La nuit fut des plus calmes et c’est les rayons du soleil qui me réveillèrent. Je soulevais ma couverture et enfilais une simple chemise et un pantalon de toile. Je réveillais Kale lui soulevant sa couverture. Il sursauta puis revint à la réalité. Je le laissais s’habiller et descendit dans la pièce ou dormait tout les Rodeurs. Quelques un était déjà réveillés mais la plupart dormait encore a point fermés. Je me mis sur les marches de l’escalier et criais du plus fort que je pus.
« Debout soldat, le Gondor n’attend pas, nous partons dans une vingtaine du minutes, soyez prêt. »
Après cette déclaration, une grande agitation eut lieu. Tous les soldats s’efforçaient de se lever au plus vite et d’enfiler leurs tenues de combat. Je remontais dans ma chambre pour y trouver Kale lui aussi en train d’enfiler son armure. Je décidais de l’imiter, et de moi aussi enfiler les pièces de mon armure légère et de passer ma cape de Rodeur par-dessus. Mon épée était caché par ma longue cape a capuche. Cet habit vert-noir m’avait donné le surnom du « Rodeur Sombre ». Je plaçais mon arc et mon carquois en les attachants dans mon dos, une dizaine de minute plus tard je m’adresser a Kale.
« Vien, je vais te présenter au reste des hommes.
-Je te suis, me répondit-il, comme a son habitude. »
Nous descendîmes l’escalier menant a la grande salle ou se trouvait les soldats, ils s’afféraient a préparer leur affaire pour le départ prévu dans quelques minutes. Ils levèrent tous la tête quand ils me virent apparaître avec un parfait inconnu.

« Mes amis, voici Kale, commençais-je, je l’ai rencontré cette nuit. Il nous accompagnera car il m’a sauvé la vie et sa maîtrise de l’épée est grande. »
Les Rodeurs approuvèrent tous d’un signe de tête. Moi, Kale et ma troupe sortîmes de la caserne pour se diriger vers les écuries. Il était encore très tôt et le soleil n’était levé que depuis quelques heures. Nous empruntâmes la rue principale pour nous y rendre. A ma grande surprise, quelques habitants de la cité était venu nous souhaité bonne chance. Je les saluais d’un signe de tête. Quand nous arrivâmes devant l’écurie, je vis que les chevaux avaient été préparés. Il y’en avait une bonne centaine. Mes soldats n’étaient plus que 42 et les renforts comptaient 50 hommes. Si je me comptais, nous étions au total 93 soldats. Il y’avait largement assez de montures pour toute la troupe.
« Allez-y, soldat ! Lançais-je, tous a vos monture, et en route pour l’Anduin !
-Ouai !! Hurlèrent les soldats. »
Bientôt, tous soldats furent montés sur un cheval et la marche commença. Je me plaçais en tête, Kale a mes cotés. Après quelques minutes, nous arrivâmes devant les Grandes Portes de la ville. Je revis le même garde que la veille sur les remparts. Cette fois, il ouvrit les portes sans réticences. Une fois la porte traversée, elles se refermèrent toujours avec ce grincement de gonds. La troupe s’arrêta, attendant mes ordres.
« Allez, compagnons, au galop, pour le Gondor ! Hurlais-je pour que tous m’entendent bien. »
Nous commençâmes par avancer au trot jusqu'à être a bonne distance de la cité. Ace moment, mes soldats et moi-même partirent au galop vers le Nord. La distance a parcourir étant assez petite, au bout d’une heure nous étions arrivé près de l’endroit infesté d’Orc. Seulement un mile nous séparait d’eux, mais nous étions couverts par la forêt dense de la région. Je fis signe a ma colonne de Rodeurs de s’arrêter d’un simple mouvement de bras.
« Halte, soldat, nous devons prévoir un plan et j’attends vos suggestions, elles sont toutes la bienvenue, déclarais-je.
- Nous devrions attendre la nuit, Artass, suggéra Kale, nous pourrons mieux les surprendre si l’obscur couvre nos déplacement.
J’affirmais d’un geste de la tête
- Chef, j’ai vu des ruines d’anciennes tours, nous pourrions nous y cacher pour y lancer l’assaut.
Je réfléchis pendant une bonne minute, et aucun soldats n’osa prendre la parole pendant ma réflexion, je repris la parole en relevant la tête.
-Voila ce que nous allons faire, quarante d’entre vous vont rester ici jusqu'à ce qu’ils reçoivent un signal de notre part. Une foi ce signal reçu, vous chargerez sur l’ennemis. Avant cela, nous nous faufilerons jusque dans les ruines et quand nous déclencherons l’assaut, vous chargerez pour décimer les rangs ennemis. Kale, je te charge d’envoyer le signal.
-Et que sera ce signal ? S’interrogea un de mes soldats
-Kale vous rejoindra en courant en portant une torche enflammée, une fois ici, il montera a cheval et vous chargerez. Il vous dirigera pendant l’assaut. »
Les soldats acceptèrent ce commandement sans aucunes réticences. Nous montâmes un bivouac dans une clairière en attendant la nuit. Une fois au crépuscule, je formais les deux groupes d’attaque. Environs une heure plus tard, la nuit était tout a fait tomber et l’obscur régnait dans la Terre du Milieu. Je savais que les Orc étaient de biens meilleurs combattant dans le noir, étant donné qu’ils ne supportaient pas le soleil et ses rayons. Mais la nuit couverait le déplacement de mes soldats pour se rendre dans les anciennes tours en ruine. Une fois que le plan fut répéter a tout les soldats, je plaçais mon arc et mon carquois remplis dans mon dos. Je fixais également mon épée a son fourreau, lui-même attaché a ma ceinture de cuir avant de m’adresser au soixante hommes qui me suivrait bientôt en territoire ennemis.
« Soldats, nous allons partir pour ces ruines dans quelques instants et la prudence sera de rigueur pendant ce trajet, bien que le campement ennemis soit assez éloigné, nous devons quand même nous méfiez de ces monstres, ils pourraient patrouillez autour du camp. Déplacez vous accroupis et soyez prêt a vous coucher a mon signal. Une fois sur place, attendez mon signal pour tirer. »

Mes soldats acquièrent en silence, une minute plus tard, nous etions en marche vers les anciennes tours. Nous avançâmes baissés, et une bonne moitié qui nous séparait de notre objectif fut bientôt couverte. Ce n’est qu’arrivé sur le haut d’une petite colline que je les vis : Trois Orc qui patrouillait lourdement armés. Un signe du bras, et mes soldats étaient couchés, et rampaient vers le sommet de la colline.
« Il faut les éliminer en même temps, murmurais-je au reste de la troupe, vous deux, rejoignez moi, continuais-je en désignant deux de mes meilleur archers. »
Les soldats furent bien vite a mes cotés, arcs bandés, les flèches pointés vers les ennemis.
« Nous n’avons pas le droit a l’erreur soldats, tenez vous prêt, chacun le sien ! »
Quelques instant passèrent, ressemblant a une éternité jusqu'à ce que je prononce :
-Feu ! »
Les trois flèchent fendirent le ciel noir de la nuit pour se planter dans les corps des Orcs. La mienne toucha sa cible à la tête, les deux autres vinrent se planter dans le corps des monstres, ne leur laissant aucune chance de survie. Les cadavres s’étalèrent sur le sol. Mes rodeurs poussèrent un faible cri de victoire.
Je fis signe aux soldats de se remettre en route pour les tours. Je me relevais tout en restant accroupis, et pris la tête du groupe. Nous poursuivîmes notre chemin sans encombre, pour arriver aux ruines quelques minutes plus tard. J’ordonnais a une dizaine de soldats de rester au pied des tours pour lancer l’assaut, Kale a leur coté. Quad j’ordonnais aux soldats restant de monter jusqu’au premier étages, un d’eux me dit que l’escalier était fracassé et qu’il faudrait escalader la façade. La tour tombant en ruines, de nombreux trous et fissures étaient présents dans le mur des façades. L’escalade ne prendrait quelques minutes et nous attendrions aisément les étages supérieurs. Moi et mes soldats rangèrent nos armes, nous avions besoins de nos deux mains pour escalader. Ceux restés en bas nous aidèrent en nous hissant sur une bonne partie du mur, et en quelques minutes, moi et mes cinquante rodeurs était au premier étage. Un feu fut allumé, qui servirait a enflammé les flèches. Les soldats furent dispersés sur la longueur de l’étage, et bientôt tout les soldats furent en position de combat.
« Bandé vos arc, et enflammé vos flèches ! Hurlais-je pour que tous m’entendent. Aussitôt dis, aussitôt fait. Et maintenant : FEU ! Criais-je de toute ma voix.
Une pluie de flèches rougeoyantes partit de l’ancienne tour pour traverser le ciel assombrit et vinrent finirent leur course dans le camp ennemis. Plusieurs tentes prirent feu et l’incendie se propagea a une vitesse fulgurante. Des cris de douleur et de paniquent s’élevèrent du campement. Les Orc essayaient de traversé les flammes pour sortir de la zone incendiaire. La plupart réussirent avant d’être tués par les flammes, et la trentaine de survivant se cachait derrière un gros rocher, intouchable pour nos flèches.
« Kale, hurlais-je, c’est le moment d’aller prévenir la cavalerie.
- A tes ordres, j’y vais ! Me répondit t-il. »
Je le vis attraper une torche et commencer a courir vers la forêt, je ne voyais même plus mes autres soldats ils étaient surement trop bien cachés. Arrivé a mi-chemin, Kale s’étala sur le sol herbeux, une flèche plantée dans le dos. Je suivais la trajectoire de la flèche pour découvrir quatre barques remplie d’Orientaux sur le fleuve. Ces derniers semblaient bien armés. Je comptais environs une vingtaine de nouveaux ennemis qui commençaient a débarquer sur la terre ferme. Il fallait absolument que nos cavaliers charge pour éliminer les forces du Mal.
« Restez ici, et feu a volonté, pour le Gondor ! Hurlais-je a mes soldats, je vais m’occuper du signal. »
Je pris une torche et l’enflammais dans le feu qui nous servaient a rendre nos flèches encore plus destructrices. Les Orientaux nous repérèrent et se mirent a couvert derrière de gros rocher tout en essayant de nous tirez dessus. Je sautais du premier étage par un des nombreux trous présent dans la façade, l’escalade aurait pris trop de temps. Armé de ma torche et de mon épée, je m’élançais dans la plaine verdoyante. Les ennemis semblaient trop préoccupés par la bataille contre mes alliés, qu’ils ne me remarquèrent pas commencer à courir. C’est ce que je croyais, jusqu'à ce qu’après un bref regard en arrière, je vis un Warg monté d’un orc répugnant a ma poursuite. Je courais pour ma survie quand je remarquais une flèche qui venait droit dans ma direction. J’avais le choix, la flèche qui m’aurait tué ou le Warg, le chois fut vite fait. Je plongeais a terre, lâchant la torche et mon arme. Le projectile passa la ou je me trouvais un instant auparavant et continua sa course pour finalement se planter dans le cou de la bête immonde qui me poursuivait, elle s’effondra lamentablement sur le sol. L’Orc qui la montait fit un vol plané et se retrouva a une quinzaine de mètre de moi. Il se releva très vite, pour me foncer dessus a une allure fulgurante, j’étais désarmé. D’un geste vif, je saisis la torche enflammé et la brandit vers l’Orc. Sa tête entra en contact avec la flamme et il se mit a crier de douleur. Il s’effondra devant moi, le visage complètement brulé et noirci. Il était mort.
Je jetais un regard vers la forêt et vis un de mes hommes a l’orée du bois, l’arc a la main. Je repris ma course en brandissant ma torche. En quelques dizaine de seconde, j’étais arrivé ou se trouvait le reste de mes hommes. Je pris la parole, tout essoufflé :
« Nous devons aller les aider, l’ennemis se cache nous devons l’anéantir ! Criais-je pour être entendu de tous. »
Les cavaliers montèrent bien vite sur leur bête et je fis de même. Quelques instants après mon ordre, je chevauchais en tête de groupe vers les Orc et les Orientaux. Quand ils nous virent arriver, certains des ennemis se mirent a découvert pour tenter de us tirer des flèches. Ceux qui sortaient de leur cachette étaient rapidement exterminer par les rodeurs se trouvant dans les anciennes tours. Réalisant qu’une armée chargeait vers eux, les Force de Sauron essayèrent d’atteindre les barques sur le fleuve. Un bon tiers fut exterminé par les archers. Les ennemis couraient sur une plaine pour atteindre les navires quand j’arrivais enfin avec mes cavaliers.
La charge fut si terrible qu’aucun ennemi n’en réchappa. Nous fonçâmes dans le tas d’ennemis a une vitesse fulgurante, et ils furent tous aplatis sous les sabots de nos montures ou tuer par une de nos lances. Une fois tout nos ennemis a terre, je me dirigeais vers l’endroit ou j’avais fut Kale tomber a terre, en ordonnant aux restes des troupes de se rassembler a l’orée des bois. Je chevauchais a une grand vitesse pour arriver bien vite devant le corps d Kale, une flèche plantée dans son dos. Il poussait de faibles cris de douleur. Au moins, il n’était pas mort ! Je m’approchais rapidement de lui.
« Kale, c’est moi, Artass, commençais-je. Nous avons écrasé l’ennemi. Il émit un faible grognement de satisfaction. Il va falloir te soigner, nous repartons immédiatement a Minas Tirith, tu y seras entre de bonnes mains.
-D’accord, mais il faudra me porter, réussit t-il a articulé.
-Aucun problème, répondis-je en riant de bon cœur. »
A la guerre, ces moments de rigolade et de joie était rare, et je savais les apprécier. Je hissais Kale sur mon dos, le portant comme un « sac de patates ». Je l’allongeais et l’attachait a l’arrière de mon cheval pour ne pas qu’il dégringole derrière moi. Je retrouvais mes soldats a la lisère de la forêt, et quelque minutes plus tard, nous étions de nouveaux en route pour la Cité Blanche. Une les immense portes ouvertes, une foule joyeuse nous attendait dans la cours a quelques pas de la portes. Des hommes et des femmes, fleurs a la main, nous acclamait. Certains d’eux nous désignait du doigt a leur enfants, en leur déclarant que nous étions des exemple pour la population. J’ordonnais a mes soldats de ce rendre a la caserne et de prévenir le haut commandement de la réussite de notre mission et de nos quelques pertes. Quand a moi, je me dirigeais vers l’infirmerie pour y déposer Kale. Une fois chose faite, je rejoignis mes hommes a la taverne pour une nuit de fête, célébrant notre victoire


BILAN :
- Tout les ennemis sont morts
- Sept des rodeurs envoyé en renfort sont mort, cinq de mes hommes blessés légèrement, dont Kale.

Euh quelqu'un pour noter
Svp et une new mission chez les nain svp car j'aurais bientot plus internet donc pr ecrire pendant ce temps

WaW, impressionnant niveau longueur !
J'aime beaucoup ta façon d'écrire !

Merci, la longueur vient avec les mission, plus tu en fait plus tu en a a la fin tu ne t'en rend même pas compte lol.

Tu t'est vraimient bien améliorer niveau longueur (comparer à ta première mission je suis impressionner )

Beh merci pour les compliment hein c simpa

J'demande une mission, pour la note j'attendrai que Ar revienne

j'étais pas la pendant kelke jour ar est tu la pour coter ?
en attente d'une mission