Thorondor de Numénor

Pour la première vague j'ai mis deux ourouks aux bélier tu voulais plus ou moins? et aussi je leur ai donnés des boucliers aux ourouks si tu veus pas, tu me le dit et jarrange. C'est comme tu veux.

Les boucliers sont, normalement, un de leur équipement qu'ils ont toujours, alors oui mets les.

Pour le reste:

-le bélier est normalement porté par 4 ou 6 ourouks.
-les échelles sont portées par deux ourouks ( berserkers montant dessus quand les porteurs les soulèvent. )
-les mines sont aussi portées par deux ourouks ( quand la mine sera posée, 2 berserkers vont tenté de la faire exploser avec leurs torches. )

Voilà

Merci Et j'ai hate de finir et de poster le texte ( j'en suis qu'a la prmière vague de bière )

euh d'ourouks pardon

Quand tu me dis une petite impro aux scénar . Je peux mettre un renfort des troupes ennemis en plus Parce que avec ce que j'ai en tête sa va pimenter la fin du combat si tu vois ce que je veux dire

Tu peux mettre des troupes ennemies en plus si tu veux, genre des chevaucheurs de wargs qui pourchassenz les rohirims qui t'arrivent en renforts, une attaque surprise lors du voyage d'aller ou de retour, un messager à la fin de ta mission qui te dit qu'il a besoin d'aide dans une région à cause d'une attaque ennemie, des trucs comme ça mais pas de renforts alliés, sauf permission du donneur de la mission.

merci ! Sa va saigner

merci ! Sa va saigner

Juste un truc Bereth, il faudrait penser à effacer tous tes autres sujets, ils prennent de la place pour rien là.

Désolé, Mais quelqu'un peut voir vite fait mon profil ( Nico si t'a le temps ou quelqu'un d'autre) je vois pas le mot avatar pour rajouter une photo ou peut etre autres choses en tout cas quelqu'un peut jeter un petit coup d'oeil s'il vous plait.

Si tu cliques sur "profil", tu as, en haut de la page, les onglets "informations", "préférences", "signature", "avatar", "amis et ignorés" et "sujets surveillés".

Cliques sur "avatar" puis, une fois la page mise, sur "parcourir" et tu pourras prendre une image dans tes fichiers. Une fois cela fait, clique sur "enregistrer" et tu auras ton image enregistrée pour ton profil. );

Eh ben justement y a pas sa . C'est mon ordi je crois, mais bref j'ai presque fini mon texte et y a une (petite) surprise dans les forces du mal

[size=12]Les ourouks haïs de Saroumane attaquent le Rohan et mettent les rohirrims en danger. Les hommes de Gondor doivent aller aider le Rohan avant que celui-ci tombe. Une garnison d'ourouks va attaquer un village, défends-le! Il possède un mur pouvant accueillir des hommes dessus. Les ourouks vont attaquer par vagues. Ne laisse pas la porte tomber et défends les murs.

Troupes alliées: Toi, tes hommes, 40 paysans apeurés équipés de ce qu'ils peuvent avoir (arcs, fourches, lances, haches) et 25 rohirrims armés de lances qui arriveront lors de la dernière attaque.

Troupes ennemies:
1er vague: 15 ourouks épéistes, 5 arbalétriers et 1 bélier.
2e vague: 20 ourouks épéistes, 10 arbalétriers, 4 échelles et 4 berserkers (ils seront sur les échelles quand elles seront levées sur les murs. )
3e vague: 25 ourouks épéistes, 25 arbalétriers, 20 piquiers, 4 échelles, 1 mine, 2 béliers et 6 berserkers.

Objectif primaire: Protèges le village (habitants compris ^^ ) et ne laisses pas les ourouks haïs le dévaster.
Objectif secondaire: Ne laisse pas les paysans mourir tous, gardes-en au moins la moitié en vie.
Objectif tertiaire: Tiens les murs et la porte.








Début de la mission :






[size=12]Les ourouks haïs de Saroumane attaquent le Rohan et mettent les rohirrims en danger. Les hommes de Gondor doivent aller aider le Rohan avant que celui-ci tombe. Une garnison d'ourouks va attaquer un village, défends-le! Il possède un mur pouvant accueillir des hommes dessus. Les ourouks vont attaquer par vagues. Ne laisse pas la porte tomber et défends les murs.

Troupes alliées: Toi, tes hommes, 40 paysans apeurés équipés de ce qu'ils peuvent avoir (arcs, fourches, lances, haches) et 25 rohirrims armés de lances qui arriveront lors de la dernière attaque.

Troupes ennemies:
1er vague: 15 ourouks épéistes, 5 arbalétriers et 1 bélier.
2e vague: 20 ourouks épéistes, 10 arbalétriers, 4 échelles et 4 berserkers (ils seront sur les échelles quand elles seront levées sur les murs. )
3e vague: 25 ourouks épéistes, 25 arbalétriers, 20 piquiers, 4 échelles, 1 mine, 2 béliers et 6 berserkers.

Objectif primaire: Protèges le village (habitants compris ^^ ) et ne laisses pas les ourouks haïs le dévaster.
Objectif secondaire: Ne laisse pas les paysans mourir tous, gardes-en au moins la moitié en vie.
Objectif tertiaire: Tiens les murs et la porte.








Début de la mission :






De retour après une dure mission qui nous a coûté plusieurs hommes valeureux, nous prenons un repos bien mérité. Nous sortons, avec Bergond, pour discuter. Pendant que nous marchions, je me souvenais de notre première mission ensemble. C’était un jour ensoleillé et nous sommes partie dans le matin à travers les bois, marchant dans la rosée du matin qui nous rafraîchissait les pieds. Nous étions aux ordres de Faramir, bous étions une cinquantaine pour une embuscade contre les haradrims. Nous étions tous armés d’arc du Gondor, avec des tenus de route légère. L’embuscade se tenait dans la vallée et nous nous sommes postés dans les hauteurs pour les abattre sans qu’ils aient le temps de riposter. Lorsque les haradrims étaient arrivés dans le vallon, ils étaient accompagnés d’un gigantesque oliphant. Nous étions prêts à renvoyer ces hommes, asservis par l’œil, dans le néant. Dans un bruit sourd, nos flèches en tels nombres, assombrirent le soleil pour retomber sur leur cible, qui moururent dans un râle crépitant. L’oliphant ne semblait ne pas ressentir le moindre trait qui lui était adressés, mais ne pas non plus comprendre l’affolement de ces petites choses au sol. Il essayait tant bien que mal de ne piétiner aucun des haradrims, mais il s’affolait de plus en plus en se dirigeait dangereusement vers nous. Les haradrims de l’arrière-garde comprirent vite la situation et s’enfonçaient dans la forêt pour nous débusquer. Il fallait laisser les arcs pour abattre nos ennemis avec le tranchant de nos lames. Les haradrims de l’arrière-garde étaient une trentaine, mais bien entraînés et redoutables au corps à corps. Faramir sonna de son cor puissant qui fit trembler l’ennemi et cria « CHARGEZ ! » Nous descendions la pente à toute vitesse pour faire faces aux ennemis.

Un haradrim fonça dans ma direction et dans un coup d’épée rapide, tenta de me coupé la tête mais, avec mon épée, je fis voler sa lame et ripostai dans un coup d’épée dans la tête, et dit avec un léger sourire « Il n’est pas près de se relever lui ! ».
La bataille faisait rage l’oliphant affolé continuait de piétiner les haradrims qui tentaient désespérément de le calmer. Nous avions un très net avantage et nous ne tardions pas à tous les tuer, non sans mal. Il nous restait la plupart de nos hommes et les haradrims de l’arrière-garde étaient mort, se vidait de leur rester de leur sang ou bien était ou allait se faire piétiner par l’oliphant incontrôlable…… « Eh, OH ! Mais vous dormez ma parole, c‘est tellement barbant quand je parle ? » « . Mais non, non je me rappelais juste notre première mission côte à côte, balbutiais-je, mais ou en étions-nous ? « Je vous demandais si vous aviez reçu un nouvel ordre de mission, alors ? » . « Non, mais rentrons au repaire, je suis las de cette marche ». Après longue marche fort peu enrichissante nous rentrons.

Je retourne dans ma chambre pour réfléchir est résumée notre situation actuelle en vue de peut être une future mission. Nous sommes quinze, il me reste six archers, huit guerrier, et … .Moi. J’espère que nous n’irons pas vers une autre mission périlleuse, mais en disant cela je commençais à en avoir la très nette certitude. Les troupes sont moralement en confiance et physiquement fraîches et disponibles, en tout cas c’est mon impression, mais je ne sais pas si notre nombre sera suffisant pour une embuscade ou autre mission de bataille face à face. Je crois que je vais dormir un peu sa me fera du bien, et d’ailleurs je commence à m’endo…….
« Thorondor, Thorondor !! ». Quoi, encore. « Faramir m’envoie, vous quérir. »Oh non c’est reparti encore et toujours, je commençais à m’endormir moi.
Je traverse mollement les couloirs, pour arriver le moins tôt possible. Arriver devant la porte du capitaine, je frappe très doucement la porte. « Entrez ! » me dit-il. Je rentre. J’essaie de paraître éveillé et en pleine forme au contraire de mon état actuel et dit d’une une voix à demi assuré. « Vous vouliez me parler mon capitaine ? »

_ Oui, j’ai une nouvelle mission.

_ Bien et quoi consiste t-elle ?

_ Je vous laisse lui expliquer

_ Fort bien

Quoi ? À qui parle-t’il ? Et soudain je vois un homme sortir de l’ombre vêtu de noir qui s était apparemment caché dans le coin. Je ne l’avais pas vu, il dit :

_ C’est à vous que je me dois de vous expliquer la mission.

_ C’est ce que je vois, vraisemblablement. » Cet homme était de forte stature, il avait des cheveux blonds et portait une petite épée, c’est sûrement un cavalier.

_ Mais au faite, j’ai oublié de me présenter. Galweïr, je suis messager du Rohan venant demander de l’aide à nos alliés, et amis du Gondor, je suis envoyé par le roi lui-même. Saroumane le blanc envoie demi-milliers d’ourouk-haï à travers le pays pour asservir mon peuple, nous manquons d’hommes car certain est partis guerroyer dans de lointaines contrés. Je vous demande de l’aide rapidement.

_ Je ne dispose que de ces quelques hommes pour l’instant, dit Faramir, et vous les envois immédiatement. J’enverrai d’autres hommes, quand ils seront revenus de mission.

_ Je vous en remercie, dit Galweïr


_ Vous partirez le plus tôt possible

_ Bien, dis-je

_ Vous pouvez disposer Thorondor.

_ Merci capitaine

Je me dirige vers la porte, l’ouvre et sors, ronger par l’inquiétude. Le messager sort à ma suite. Il me dit :

_ Il y a une chose que vous devez savoir, L’Isengard à envoyé des troupes bien entraînés des machines à tuer. Sanguinaires, n’ayez aucune pitié car sachez qu’ils n’en auront aucune.

_ Rassurez vous je le sais, j’en ai déjà affronter vous savez.

_ Ce n’est pas cela que vous devez savoir ceux là on des armure lourde solide, il vous sera difficile de les abattre.

_ Ils doivent bien avoir un point faible ?!

_ Si vous le dites ! Aller je vous souhaite bonne chance, vous en aurez besoin !

_ Merci.

Ah bon sang, il va falloir vraiment être prêts, j’espère que nous ne tomberons pas sur une centaine d’ourouks d’un coup. Je rentre dans l’endroit ou mes hommes sont installés et leur disent :
_ J’ai reçu l’ordre du capitaine Faramir de partir au plus vite au Rohan, nous devons aider les rohirrims à défendre leur peuple.

_ Oh là ! Déjà nous sommes à peine arrivé.

_ Ce n’est pas moi qui donne les ordres, notre rôle, c’est de les exécuter ! Préparez vous, nous nous réunissons dans un quart d’heure à la cascade.

_ Reçu ! clamèrent-ils.

Je refais mon sac de voyages, prends quelques vivres mes armes, ma cape de voyage, et je rempli mon carquois de flèche et vais directement à la cascade.
J’arrive à cette fameuse cascade, son eau clair descendit sans un bruit et tombait dans un petit crépitement à la source en bas. La cascade nous servait pour cacher notre repaire aux yeux de l’ennemi. Personne n’était encore arrivé, je décidais de m’assoir pour me mettre à l’aise avant l’arrivé du reste de mes hommes. Il arrivait par un ou deux, nous sommes vites réunis. Je demande : « Tous le monde a son équipement, pouvons nous y aller ? ».Aucune réponse, je prends ça comme un oui. En même temps je les comprends nous sommes très peu et qui sait ce que nous trouverons arriver là-bas.
Nous traversons la forêt sans encombre . Bientôt, nous arrivons à proximité de la forêt. C’est là que nous mettons notre premier campement, d’après mes calcules nous arriverons dans trois jours dans le pays du roi Théoden. Le lendemain nous continuons à marcher dans les plaines verdoyantes durant deux jours de longue marche. Nous installons notre dernier campement avant de pénétrer en Rohan. L’ambiance est morose les hommes sont quelques peu épuisé de la longue marche, l’un dit :

_ Comment sa va se passer maintenant ?

Je réponds :

_ Nous allons pénétrer en Rohan, les ennemies doivent avoir attaquer il y a deux ou trois jours, là-bas nous recevrons les ordres.

_ Combien sont t’il a peu près ?

_ Cinq cents ourouks

_ CINQ CENTS ?!

_ C’est exact mais ils sont disperés dans tous le pays il se peut qu’ils forment des toupes d’une cinquentaines d’ourouks.

_ Nous sommes une vingtaine, c’est du suicide, Faramir a perdue la tête ?

_ Nous du renfort après et puis il y a les villageois et n’oublions pas les rohirrims.

_ Mais tout de même cinq cents, la mission d’avant nous à privée de six de nos hommes et certains d’entre nous ne sont pas encore tout a fais en possession de tous leur moyens.

_ Je le sais mais nous irons quand même. Je vais dormir, vous devriez en faire de même, si vous voulez récupérez.

_ Je m’endors en pensant à demain et au bataille qu’elle nous réserve, et j’éspere que notre espoir ne faillera point jusqu’ au combat.

Le lendemain, nous nous levons tôt et marchons à travers les plaines du Rohan. La marche et pénible et le soleil en cette saison et étrangement absent. Le ciel et gris et vers midi, moi et mes hommes aperçevont un nuage noir à l’horizon, ce nuage contenait une certaine sensation malsaine, et d’un seul coup un petit nuage se détacha du plus important. « Saroumane… » je crie : Des crébains du pays de Dun. Mais il se dirige vers l’est. Nous devons nous dépéché.
L’ennemi a beaucoup progressés, ils nous reste peu de temps nous devons a tout prix nous dépechés. Nous avons radicalement accéléré la cadence. A la tombé de la nuit nous arrivons à proximité d’un village voisin, mais il fait trop sombre pour pouvoir y aller nous devons nous arréter et rester en alerte, l’ennemi rôdent par ici ! Je ne peux pas dormir, je suis trop inquiet et il y a beaucoup de bruit qui chaque instant fais monter la tension dans le groupe. Les esprits s’échauffent, nous évitons de justesse quelques altercations.
Le lendemain nous nous levons fatigués le moral est au plus bas, mes hommes ont besoin d’un grand réconfort, avant la bataille qui ne saurait tarder, j’avoue que moi non plus je n’ai guère d’espoir. Nous levons le camp et partons vers le village que nous avions aperçu la veille. La marche a mesure que nous avançons nous semble de plus en plus longues et pénible, j’espère que ce village saura nous apporter un peu de réconfort.
Nous arrivons aux villages, les villageois en nous voyant commence à paniquer, ils courent à toute vitesse dans l’enceintes des murs de pierre de bois du village. Le mur d’enceinte a était fait, apparemment il y a fort longtemps mais avec un art ancien, qu’il le rendait quasiment aussi dur que la pierre. Un villageois apparaît en haut et s’exclame avec autorité :

_ Qui vas là, que venez vous faire en ces terres, répondez .

_ Nous avons été appelé par le roi Théoden nous sommes des guerrier du gondor mon nom est Thorondor fils de Ténedor, pouvez nous laissés moi et mes hommes nous réfugier dans vos murs car nous sommes las d’un tel voyage.

_ Qu’est ce qui nous prouve que vous n’êtes pas des hommes aux service de Saroumane ! me répondit-il.

_ Cela aurait été le cas nous vous aurions attaqués sans perdre de temps et nous vous aurions peut être tous déjà massacrés

Il resta silencieux à mon avis je lui ait fais peur.

_ Ah ! Euh…..bah, entrés.

J’en étais sûr. Il est pas bien courageux lui !

_ Soyez le bienvenue. me dit-il

Ou bien c’est que je suis très persuasif.
Les femmes et les enfants sont placardés dans leur maison, les villageois sont armée de lance et parfois certains de fourches. Il en a 5 ou 6 qui tiennent un arc et une dizaine porte une épée. Ma fois sa peu allée il doivent savoir a peu près se battre. Je vois dans leur yeux une certaine confiance mais en même temps une peur, cette peur que je connais, je l’ai ressentis maintes fois avant d’engager un combats avec un ennemi. Je dit au villageois qui m’a fait entrer :

_ Combien êtes vous dans ce village

_ Une quarentaine tout au plus.

_ Combien d’entre vous ont déjà guerroyé ?

_ Tous ici, comme vous le voyez les fortifications de ce village sont uniques en Rohan durant un temps nous nous faisons attaqués assez souvent et nous avons emporter la victoire grâce à ce murs bâtit il y a longtemps. Mais cela remonte à plusieurs années que nous ne sommes pas partis guerroyer, mais je pense que nous sommes encore capables de tenir les armes face à l’ennemi.

_ Bien ! avez vous une auberge ou nous puissions passer la nuit ?

_ Oui, il y en a une au Nord d….

_ Alerte ! Les ourouk’haï arrivent !

Une cloche retentit dans le village, les hommes se précipite sur le haut du mur pour regarder, je fais de même.
Une troupes de plusieurs ourouks arrivent, et plus loin une autre arrive a l’horizon. Les villageois commence à courir dans tous les sens. J’essaie de calmer quelqu’uns, mais rien a faire. Je prends mon souffle et cri :

_STOP !! Arretez de fuir. Calmez vous, reprenez votre sang froid, bon sang. Qui est le chef ?

_ Hélas nous n’avons aucun chef les vrais guerrier sont partis à la guerre, loin.

_Eh bien je vous commenderais ! Que les archers se tiennent prêts sur le mur. Avez vous une réserve d’arme ou quelque chose d’autre que vous pouviez vous servir de projectiles ?

_ Nous avons une réserve mais ce n’est qu’en cas de nécéssité absolue.

_ Vos vies ne sont elles pas une nécessité absolue, amenez moi là-bas, Bergond occupe toi de barricader la porte avec tous ce que tu trouves

_ Bien reçu !

Je cours droit dans l’allé principale du village, et le villageoi me montre une petite cabane cadenassée. Je tire mon épée et brise le cadenas d’un coup lourd. La porte s’ouvre et je découvre à mon étonnement une dizaine d’arc en bonne état, des lances en très grands nombres, des épées, des haches et des cels de cheval.Je prends les arcs les épées et les haches puis je reviens en courant a l’entrée et distribue les armes aux villageois. Nous sommes prêts à combattre, je fonce sur le mur, ils arrivent. Je me retourne vers les villageois mais en regardant dans leur yeux je vois une panique total et une peur insondable. Je prends mon courage en main et leur dis avec conviction :

_ Aujourd’hui nous allons combattre l’ennemi, nous nous battrons et remporterons la victoire ou bien nous mourrons, mais je jure sur ma vie les gens se rappelleront de nous, de ceux qui ont résisté jusqu’au bout, de ceux qui se sont battus jusqu'à la mort, ou de ceux qui ce jour là se sont battus et ont remporté la victoire, et ceux jours là les gens se souviendront de nous !! Allons à la guerre, remportons cette victoire pour le Rohan !! A la victoire.
Et ils reprirent tous en cœur :

_ A la victoire !!

Je me retourne vers les ourouks et les vois commencé a courir vers nous. Je donne les instructions à mes hommes pour la bataille, les archers tire à mon commandement les guerriers se prépare à repousser les ennemies. Quand je regarde mes hommes et les villageois je les vois renaître, comme si il avait retrouver une vitalité caché et dans leur yeux brûlais une flamme, la volonté d’abattre ces créatures. Les créatures poussent un cris grave et rocailleux et se rue à l’attaque de nos murs.Les ourouks sont une quinzaine armés d’épée tranchantes, il y en avait quatre armés d’arbalètes et quatre ourouks portant un bélier. Je donne le signal, les traits pleuvent mais les ourouks qui n’ont pas succombés aux flèches se regroupent autour du bélier et le protège avec leur bouclier les arbalètent se mettent dèrriere eux, mais après une autre volée de flèches, deux arbaléstiers se font percer de toutes parts n’étant pas assez protégé, les deux autres essaient tant bien que mal de se cacher.
Le bélier avance. Je prends mon arc, vise l’un des ourouks postés devant le bélier, et je lâche le trait, qui se loge dans le cou de la créature qui tombe net, et je donne le signal pour une autre volée de flèches qui perce la droite du bélier et tue trois guerriers ourouks et abats un des porteur du bélier. Mais tout de suite après, d’autres ourouks passent devant avec leurs boucliers et prennent la place des tués et celle du porteur. Ils avancent quand même, j’ordonne plusieurs fois de tirer mais rien a faire, ils avancent. Les arbalètes jaillissent et tire deux traits qui arrivent dans la tête d’un villageois et l’autre rase son voisin. Un homme crie et pleurs apparemment les deux devaient être frères, il se jettent sur son frère et le serre de toutes sa force. Après avoir pleurer toutes les larmes de son corps, il se saisit d’une lance, et la projette de toute sa rage et de sa haine dans la tête d’un des ourouks qui la traversent et finit sa trajectoire dans la tête de l’ourouk placé derrière le premier. C’est une chance je donne le signal sans perdre de temps et une volée de flèches s’abat sur les ourouks et qui tue ceux placés devant et ceux à gauche. Il restait 6 ourouks et 1 arbalétrié. Je reprends mon arc et ordonne à Bergond de viser les deux ourouks au bouclier à gauche pendant que je visais celui à droite, et à mes autres archers de viser les quatre porteurs de bélier à mon signal. Je lâche la flèche, Bergond en fait de même les deux traits touchent leur cible, puis je donne le signal pour une volée de mes archers qui abattent les derniers ourouks de cette première vague.
A peine avions nous tuer ces ourouks, que d’autres tous frais venaient nous attaquer, mais il nous restait encore une bonne résèrve de flèches. Les ourouks cette fois ci était beaucoup plus nombreux que tout à l’heure, Il devait y avoir un peu plus d’une vingtaine de guerrier, une dizaine d’arbalétriés, quatre échelle avec une douzaine d’ourouks, pour les porter et les maintenir, et quatre berserkes enragés qui couraient et poussaient des hurlements à vous glacer le sang. Lorsque les ourouks virent le nombre important de nos archers, ils se mirent en formation moins rapide mais avec les boucliers devant au dessus, en une formation triangulaire, qui les obligeaient a ralentir l’allure, mais à en conserver une rapide.

Ils ne tardèrent pas à arriver devant la porte, les arbalétriés nous obligèrent à reculer d’un pas en lançant une salve de carreaux qui blessa deux villageois et en tua un en pleine tête. Les villageois se remettent à leurs postes et les ourouks montaient les échelles avec les berserks en haut. Une échelle arrive près de moi et se plaque sur le mur, le berserke rugit et saute mais il en faut plus pour m’impressionner, je lui plante mon épée dans le ventre en plein vol, et le rejette au dessus du mur. Je me saisis de l’échelle et la pousse sur les ourouks. Malheureusement les villageois ne se débrouille pas aussi bien que moi et les berserks font des ravages dans les rangs, mais Bergond réussi a s’en débarassé d’un et mes hommes ne tardèrent pas à en venir à bout, mais pendant ce temps les ourouks montent sur les échelles et arrivent sur le mur. Mes hommes poussent les deux échelles au centre. Bergond me fais signe de me baisser je crie « Baissez-vous », et une volée de flèches abats les quelques ourouks sur le mur, les autres arrivent par les échelles et les arbalétriés tirent des carreaux en tous sens et leur sifflement ne cessent pas une seconde. Un berserks était toujours debout et se débatait comme une diable, je fonça pour aider les villageois quand soudain une échelle se plaque et un ourouk’haï saute sur moi et me plaque au sol. Il me donne un coup de poing que j’esquive de justesse, et je riposte en lui flanquant un coup de poing de toutes mes force, qui le fit reculer de plusieurs pas je regarde ou il avait frapper : la marque forme un cratère le bois à l’endroit était littéralement explosés, si je l’avais pris dans la tète celle la il m’aurait cloué sur place dans le bois. Mais l’ourouks, emplit de rage revient à la charge, il lève son épée au dessus sa tête et de l’abat sur moi de toutes ses force, je pars avec une grande difficulté et d’un coup sec, j’envoie sa lame valdingué dix mètre plus loin et lui plante la mienne au fond de ses entrailles. Je retire mon épée et vais aider les villageois dans leur duel avec le berserks. Il tenait une lame immense, tranchante des deux faces, pour blesser plusieurs ennemies en même temps, et avec cette lame il fait des ravages dans nos rang. Je me dirige et saute sur lui pour lui planté mon épée dans la tête. La créature se retourne et à peine a t-elle comprit ce qui se passait que sa tête roulait parmis les corps des villageois et des ourouk’haï. Leur nombre baissait a vu d’œil, il restait deux ou trois ourouk’haï sur le mur et plus personne pour tenir les échelles. J’ordonne le signal aux archers qui d’une vollée de flèche abattirent cinq arbalètes mal protégés. Mais les boucliers tenaient fermement. Il fallait y aller !
Je saute par-dessus le mur à leur plus grande stupeur et m’abbatit de tout mon pods sur leur défense qui s’écroula, les ourouk’haî était désemparé je me releve vite et déguerpit de toute vitesse avant que mes archers ne lâche leur traits. Je remonte par une des échelles et je saute derrière un renfort pour me protéger d’un des carreaux des arbalètes. Je donne le signal et les ourouks se font percer de toutes par,t par les flèches. Ils sont tous mort, mais quelle idée complètement bête j’ai eu, maintenant j’ai mal aux cotes, au bras et aux jambes. Mais quel abruti je fais, remarque sa à marcher, la prochaine fois, j’enverrai quelqu’un d’autre le faire à ma place. Je dis à mes hommes de jeter les échelles de notre coté elle nous seront peut être utiles un jour. Le soleil se couche, je me pose dans un coin et commence à dorm….

_ Les ourouks, d’autres troupes arrivent !

_ Alors là, qu’il se ramène qu’on en finissent une bonne fois pour toutes ! criai-je

Je regarde sur le murs, les corps commence s’entasser, mais je vois que trois de mes hommes et que une douzaine de villageois sont tombés. « Mettez les corps de notre coté du mur, nous nous en occuperons après la bataille, si il y a un après bien……

_ MRRRRUUUAAA !!!

_ Oh, non, un jeune trolle des cavernes. Il ne manquait plus que ça.
Il ne reste plus beaucoup de flèches, et ouhhaaa…… Ils sont trop nombreux on ne pourra pas tenir longtemps. Il y a plus d’une vingtaine de guerrier d’arbalètes, des piquiers, des échelles et … qu’est ce que donc que cette immonde boule noir je ne voie pas bien. UNE MINE !!
« Il ne faut pas que cette mine explose je veux tous les archers dessus abbatés les porteur de mines attendez mon signal !

_ Il faut abandonner le village ! Tous est perdu ! dit un villageois

Je me dirige vers lui et lui dit :

_ A quoi bon s’enfuir, il nous retrouverons et nous tuerons. Nous allons peut être y rester mais plus tard, vous vous souviendrez de cette journée, la journée ou le bien à triompher du mal, ou les villageois ont repoussés ces créature et vous pourrez dire, j’y était, je me suis battue et vous raconterez à vos enfants et petits enfants l’histoire de ces valeureux guerrier. Levez-vous peuple du Rohan et faites face à cette ennemi ! A vos armes !! Battez-vous !!

Je sentis dans l’atmosphère comme un parfum de bataille, les villageois se relevait, le courage est revenue, la victoire est à notre porté. Les ourouks arrivent, ils font une formation autour du bélier, les piquiers sont devant et les arbalétriers sont derrière et tire des carreaux. D’un coup les ourouks se déploient et plaquent les échelles avec les berserks en haut. Le trolle attend derrière, que la bataille fasse rage pour finir le travaille. Les berserks cette fois là sont acceuliis a coup de lance et sont vite repoussés mais deux autres montent les échelles et les ourouks montent à leur tour. J’ordonne à mes archers de tirer leur flèche à volonté, la première volée fait tombé la première ligne de piquiers. La bataille commence. Un berserks saute de l’échelle. Je me présente devant lui. Il lance un coup circulaire de son épée mais j’esquive de justesse, avec l’élan de son coup précédent il rabats son épée, d’une rapidité extrème je pare au dernier au moment. Je renvoie sa lame et je lui donne un coup d’épée, il esquive et m’envoie son épée en pleine face je me baisse et lui tranche les jambes. Il tombe par terre et je l’achève avec un coup d’épée dans la tête. Un autre ourouks court vers moi, mais je détourne sa course en parant avec mon épée et lui tranche la tête. La seconde volée abats le flanc gauche des guerrier et cinq arbalètes. Mais de mon coté, les arbalètes font des ravages et blessent nombre de villageois mais n’en tue qu un. Mais dans le feu de la bataille je vois qu’ils ont posé la mine du coté droit des remparts et un berserks coure avec une torche enflammée et se dirige dangereusement vers la mine. Je me saisis de mon arc, ….je vise ….. et lâche mon trait qui va se loger dans la tête de la créature, nous sommes sauf pour l’instant.
Mes archers font des ravages et tue en nombres les ourouks en bas. Et d’un coup je vois les ourouks se poussés pour laisser faire le bélier. Je crie « Abattez les porteurs !! » et une volée de flèche s’abats sur les porteurs qui tombent comme des mouches, mais d’autres prennent leurs places malgré nos efforts.Mais la bataille fait rage sur le mur. Un ourouks que je n’avais pas vu jusqu’a présent, surgit et me donne un coup d’épée que je n’ai pas le temps d’esquiver, mais au moment ou j’allais recevoir le coup fatal Bergond surgit, part le coup d’épée et tue la créature d’un lourd coup, dans le torse.Il me dit :

_ Il faut arreter de revasser, la prochaine fois je ne serais pas là pour vous sauvez la mise.

_ Oui tu as raison…. Attention !!

Un ourouk’haî charge Bergond dans le dos, celui ci tombe avec fracas, l’ourouks lui envoie un coup d’épée, mais j’interviens de justesse, fait valser son épée et lui plante ma lame dans le ventre.

_Nous sommes quitte, je crois ?

_En effet.

Je prend sa main et l’aide à se relever.

_ La bataille n’est pas fini !

_ Allons repousser ces créatures ensemble.

Et nous retournons dans la bataille. Je m’attaque à un ourouks qui avait tous juste montés de l’échelle, il tourne son regard vers moi et pousse un cri rocailleux. Il envoie son épée dans un mouvement circulaire je me baisse, puis avec l’élan du coup précédent, il m’attaque du haut pour faire retomber son épée sur ma tète, je me jette plus loin et lui tranche le bassin. La créature tombe à terre en se vidant de son sang. Je regarde mes hommes qui repoussent vaillament l’ennemi, à nous la victoire. Quand soudain une explosion retentit, venant de la palissade gauche. Ils ont fait explosé la mine ! Le mur à cédé. Des bruits de tambour viennent de la porte, deux béliers sont en train de défoncer la porte. Je cris aux archers « Tuez les ourouks à la porte nous occupons de ceux qui sont à la palissade. Je crie à mes hommes « Chargez !! ». Une dizaine de guerrier ourouks pénètrent dans le village. Nous sommes une vingtaine à les attaquer. Nous pouvons les repousser. Soudain nous entendons un rugissement venues des profondeurs. Et le troll surgit de la brèche en défonçant une partie de la palissade. Un villageois se jette sur lui dans une attaque déséspéré, le troll se saisit de lui, l’écrase contre le sol et le jette sur une des maisons. J’ordonne à mes hommes d’attaquer, je me glisse discrètement en haut de la palissade et cours au bord de la brèche. Le troll dépasse la brèche, je me jette sur lui et lui plante mon épée dans l’épaule. Le troll pousse un hurlement, je saute du troll, je me présente face à lui. Il me regarde et m’envoie un coup de massue. Je saute de coté, et cours vers lui. Il essaie de me balayer du bras, j’esquive en glissant juste en dessous, et me relève pour lui trancher le ventre, je porte mon coup, mais mon épée ne lui inflige qu’une moyenne blessure, j’aurais du pourtant lui trancher le bide. Mais avant que je puisse reculer avec son bras bléssé, il m’envoie valdinguer, dans un botte de paille. Je me relève avec difficulté, le troll ne m’a pas oublié, et se dirige à toute vitesse vers moi. Le troll abats sa massue sur la botte de paille Je saute en dehors de la paille. Je la regarde, elle était complètement défoncer, le troll reprends sa massue et se rue sur moi en agitant sa masse au dessus de sa tête. Arrivé sur moi, il abats sa masse avec fracas . Je me jette sur la coté, et pars sur le troll. Je lui tranche le genou et avec une agilité d’elfe je monte sur son bras. Je lui donne un coup d’épée dans le bras et saute sur sa tête mais il me repousse d’un faible coup de bras. Je me retrouve dans son dos. Je me précipite sur lui escalade son dos et arrivé a sa tête je glisse devant lui en me retenant par son coup et je lui tanche la gorge. Le troll hurle de douleur, titube et tombe comme une masse sur le ventre.

« Sa c’est fait ». Puis je me dirige vers les ourouks qui s’étaient infiltré dans la brèche. Il se faisait dominer, de part parce qu’il étaient en infériorité numériques de l’autre, que les villageois et mes hommes se battaient avec une folie vengeresse. Mais il en restaient qui se battaient avec acharnement. Je me précipite sur le premier venu qui ne me voyant pas arriver, n’a pas eu le temps de tourner la tête que je lui avais planter ma lame dans le dos. L’autres ne tarda pas à se faire submerger par tous les assaillants qui l’entoure.
Les hommes qui défendaient encore la porte se faire submérger. Les flèches manquent, les ourouks étaient une trentaine et nous avions trop peu d’hommes pour les repousser. Ils essaient de défoncer la porte, et ils ne restaient que peu d’hommes pour la défendre. Nous allons aidés les hommes à repousser l’ennemi.
Je me dirige droit vers la porte et j’ordonne à mes hommes de tenir la porte pendant que j’allais chercher des flèches dans la cabane. J’arrive à la cabane, il y avait des tonnes de choses poussiéreuse set roulliées, je dégage tout les objets et heureusement pour nous, il en restaient un carquois plein. Je reviens en courant et monte en haut du mur, je distribue les flèches aux archers et leur donne le signal pour une ultime volée de flèches , qui abats les porteurs de bélier. Les ourouks allait nous submèrger, quand soudain retentit un son de cor venant des plaines. « Les rohirrims ! » . Les cavaliers du Rohan chargèrent nos assaillants. L’impact des rohirrims à cheval était foudroyant, les ourouks se firent massacrés, les cavaliers les avaient chargés avec une puissance inouïe et les têtes des ourouks volaient sur leur passage.Ils ne tardèrent pas à tous les exterminer. Une fois que tous les ourouks étaient morts ils viennent aux villages, et dire :

_ Vous êtes sain et sauf, apparemment. Nous sommes venues au bon moment, nous avions vues les ourouks passés près des villages et nous les avons suivi jusqu’ici. Je vous remercie Gondorien, sans vous nous serions arrivés trop tard et les ourouk’haï aurait mit ce village à feu et à sang. Vous pouvez rentrez dans vos terres nous nous chargerons du reste des ourouks.

_ Merci, je vous souhaite bonne fortune.


_ A vous aussi, Gondorien. Au revoir.


_ Au revoir


Je regarde le champ de bataille, il y avait un amoncelement de cadavres devant la porte, des corps d’ourouks en pagaille dans la brèche et surtout le sol devant le mur était jonché de cadavres d’ourouks des première vagues. Mais Beaucoup de villageois restaient sans vie sur le mur, les villageois riaient mais lorsque leur yeux se portèrent sur leur amis morts, la joie laissa place à la tristesse, certains n’avait pas encore atteint l’age d’hommes. Je vois que certains de mes hommes sont tombés, nous ne sommes plus très nombreux une dizaine. Certains sont vivants mais bléssés, le temps soignera cela, mais la perte de certains de leur proche sera une plaie qui ne cicatrisera peut-être jamais. Nous enterrons nos soldats morts au combat, l’histoire retiendra d’eux qui se sont battus jusqu’au bout au qu’ils se sont sacrifiés pour leur peuple. Lorsque les femmes et les enfants sortent des maisons, certaines femmes étaient heureuse de retrouver leur mari, mais d’autres s’agenouillant auprès de la depouille de leur mari. Certains enfants étaient trop jeune pour comprendre l’horreur de la chose et je leur souhaitent de ne jamais assister à ces scènes.
Nous devons partir, nous disons adieu aux villageois et leur laissont reconstruire leur futur défense. La tristesse de mes hommes qui avaient perdues leur meilleur ami dans la bataille nous obligeait à partir et à quitter le champ de nos malheurs mais aussi celui de leur victoire, pour retourner pleurer nos camarades et nous receuillir sur les terres de nos ancètres
Nous arrivons a traverser les plaines qui donnaient sur la forêt qui délimitait la frontière entre nos deux pays. La marche dans la forêt nous est pénible et le soir certains de mes hommes les plus jeunes pleurent dans la tristesse de la nuit, et maudissait les ourouks qui étaient la cause de leur malheur. Nous traversons la forêt pour arriver dans les bois d’Ithilien ou Faramir attend notre rapport. L’ambiance au sein de notre groupe est silencieuse, certains pleurent, la disparition de leurs amis, à en crever. D’autres préferent rester silencieux, voulant respecter la mémoire des hommes tombés.
Le lendemain nous arrivons au refuge, nos pieds trempent dans la rosée du matin et l’odeur de l’herbe à pipe et de la bière fraîche ravivent le cœur de mes hommes. Je me dirige vers la chambre du capitaine, toc à la porte et entre. Le capitaine me dit d’un ton grave :

_ La mission à telle été un succés.

_ Oui nous avons repousser l’incursion d’une bonne partie des ourouks.

_ Bien, les rôdeurs que j’ai envoyés devrait être arrivés, j’espère que les pertes ne sont pas trop lourdes.

_ J’ai perdu cinq de mes hommes et certains sont accablés par le chagrin, je vous demande quelques jours de repos.

_ Accordé

_ Merci, mon capitaine

_ Je suis content que vous ayez réussi cette mission, vous aviez ma confiance et vous l’avez encore

_ Je vous remercie, c’est un grand honneur. Puis-je disposez ?

_ Bien sûr.

_ Merci.

Je rentre dans mes appartements, et vois mes hommes assez triste et en même temps soulagé que la mission soit finit. Je m’assois et m’endors enfin. Le calme et le silence règnent. Je peux enfin me reposer sereinement.













Bilan :

Coté du mal :
_ 60 ourouks épéistes tués
_ 40 arbalétriers tués
_ 3 béliers détruits
_ 8 échelles détruites
_ 10 berserks tués

Coté du bien :
_ 5 guerrier morts
_ 24 villageois tués
_ 2 cavaliers morts


Objectif primaire: Protèges le village et ne laisses pas les ourouks-haï le dévaster. Réussi
Objectif secondaire: Ne laisse pas les paysans mourir tous, garde-en au moins la moitié en vie. Réussi
Objectif tertiaire: Tiens les murs et la porte. Réussi à moitié

Et voila Bonne lecture

Ah ben putain, tu t'es pas fait chier sur ce coup-là. t'as au moins quintuplé la longueur de ton ancien texte. Bravo !

qv3me a écrit:

-le bélier est normalement porté par 4 ou 6 ourouks.
-les échelles sont portées par deux ourouks ( berserkers montant dessus quand les porteurs les soulèvent. )
-les mines sont aussi portées par deux ourouks ( quand la mine sera posée, 2 berserkers vont tenté de la faire exploser avec leurs torches. )

J'ai l'impression que tu t'inspire légèrement de BFME2, non ? ^^

belle augmentation, c'est beaucoup mieux , malgré beaucoup de texte c'est déjà un effort de fait.

tu parle à qv3me ?
Parce que moi je me suis inspiré de quasiment personne

Et au faite sa dérange pas le lecteur si dans le texte on met de la musique tiré de Lsda, comme vous voulez et merci pour le compliment Alfamir

Bon y a pu qu'a attendre qv3me pour ma note

eh merci aussi ar c vrai que je devrais avoir une meilleur note en longueur mais attendons l'avis de qv3me

Laisse moi te répondre à sa place:
0/20 en longueur (c'est trop court!!!!!!) non c'est pas vrai

nn je rigole mais la dessus par rapprt au premeir de mes textes je me sui surpassé et j'ai rajouté un troll dans la baston je pense que sa a pimenté la fin

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Levez-vous guerrier, cette nuit les lances seront fracassés, les boucliers voleront en éclat, le sang coulera, ce sera une journée rouge avant que l'aube ne se lève !

En attendant que tu soit noté, ça te dirais de partciper à la Guerre du Rohan ? Si non, dans ces cas, voici ta nouvelle mission:

Après avoir sauvé ce village de rohirrims, on t'envoie accomplir de nouvelles quêtes. Tes supérieurs sont heureux de tes exploits et te confient une mission importante: récupérer un poste stratégique à Osgiliath.

Forces alliées: Toi et tes hommes+30 guerriers du gondor+20 rôdeurs d'Ithilien+10 éclaireurs+1 capitaine

50 guerriers du gondor qui arriveront en renfort lorsque tu te seras emparé du poste

Forces ennemies:
Ceux qui gardent le poste: 40 guerriers orques+30 archers orques
Ceux qui irons t'attaquer une fois le poste récupéré: 70 guerriers orques+30 archers+20 orques hallebardiers+3 jeunes trolls des montagnes
Ceux qui garderont les ponts: 25 guerriers orques+10 orques noirs du mordor (élites)

1er Objectif: Reprendre la cathédrale en ruine à Osgiliath aux mains de l'ennemi.

2ème objectif: Tenir le poste et repousser les assaillants

3ème objectif: allumer les feux de signaux pour diriger les tirs de trébuchets sur trois ponts pour empêcher l'ennemi de progresser


Voilà, et si t'es pas content, c'est pareil !