Thorondor de Numénor

Alfadir a écrit:

J'ai l'impression que tu t'inspire légèrement de BFME2, non ? ^^

Je m'inspire surtout de ce qui me semble logique, ce que je vois dans les films et de quelques jeux ( genre BFME ou les figurines )

Sparda, lui demande pas de rejoindre la guerre du Rohan ou Gauthier va faire une crise de nerf en apprenant que ça sera pas terminé de sitôt. ^^

Ta note:

Longueur: 16/20 ( net progrès comparés aux textes précédents. Faits tout de même attention à ne pas mettre trop d'espaces )

Action: 17/20 ( Bien décris! Toujours du progrès en vue. )

5/10 ( Gros hic de l'histoire. Pense à relire après avoir écrit, car certaines phrases sont vraiment bizarres. De plus les répétitions comme "sa masse me rata. Il releva sa masse" essai d'utiliser d'autres mots synonimes ( armes, lames, etc... )

Histoire: 15/20 ( Pas mal, mais le nombre de troupes perdues comparées au nombre d'ennemis et un peu bizarre. De plus que ton "saut de l'ange" )

Note finale: 15/20 ( Bonne note, dommage quand même pour l'orthographe. Un conseil: essai d'écrire les textes à l'imparfait et au passé simple, c'est plus pratique )

Je crois que j'ai envoyé le broullion, oups sur le coup j'ai pas fais gaffe j'ai publié le broullion parce que j'ai fini hier et j'aienregistré je voulais corriger aujourd'hui donc y eu bourde désolé, et sparda je fais la mission parce que jai quasiment plus de troupes donc je vais me faire décimer en moins deux y faut que je refasse le plein de troupe . Et pour le saut de l'ange c'en était pas un , mais je l'ai fait à la Gimli. En mode gros bourrin je leur ai sauté dessus

Désolé Sparda, j'aurais bien voulu mais je peux pas, trop peu de troupes

Mais c'est un peu sévere 4 mais bon bref c ton avis qui compte. Je prends t'a mission Sparda et pour la demande a mon avis j'irai quand j'aurais passer un niveau parce que l'a je sui trop justes mais merci quand même .

Et Sparda quand tu dis un capitaine je peux Faramir ? ou on peux pas prendre, dans les combats, des personnages de tolkien

Prend fara si tu veux, mais j'aurais plus aimé que tu en invente un de capitaine.

Bon bah j'en inventerais c pas grave je voulais juste savoir Bon bah, c'est partie ! Je sais pas mais quand je vois que jai une note pas terrible sa me booste pour faire un texte encore mieux
Et au faite pour l'histoire de la musique sa pourrait etre sympa dans certaines partie de l'histoire

Salut, un conseil, évite les espaces entre les dialogues c'est, a mon avis, soulant à lire et cela peut te pénaliser sur ta note de longueur.

Ok merci Gimli. Donc sa me fait 0,5+0,5+1=2. Y faut que j'ai minimum 14,5 a la prochaine mission, à moi de joué. Au faite Merci beaucoup Qv pour avoir changé la note d'orthographe parce que à la base t'avais mis 4, non? Mais c'est qu'il y avait une bonne raison pour que j'ai cette note.

Quelque questions Sparda. Le capitaine est ce que tu veux qui meurt ou qui vivent ?
(parce que je l'ai inventé en faite)
Et est que Il y a un troll ou quel que chose comme sa que tu veux rajouté?
Est que je peux inventer un capitaine ennemi?

Sparda tu n'as pas pris cette mission de LOTRC ?
@ Bereth tu peux inventer ce que tu veux ! Tant que ça reste dans l'univers de Tolkien et que ce n'est pas exagéré.

Merci Anakin Enfin on s'est jamais, je prefere être sûr, j'aime bien mettre des renfort ennemi pour pimenter l'histoire

Regradez cette vidéo car pour un court métrage sur le seigneur des annaeaux c'est vraiment bien

https://www.dailymotion.com/fr/video/x93zji_the-hunt-for-gollum-hd-version_shortfilms


En attendant mon texte

Je sens que tu va nous pondre un de ces textes, ça va être d'enfer !!!!

Merci beaucoup de ton soutien Sparda, je pense que je ne te décevrais pas et pour la longueur tu vas être content T'a vus la vidéo au Faite

Ouais, je l'ain vu. Quant à moi, dans la troisième partie de la guerre du Rohan, il va y avoir des révélations supra importantes sur Gaaldor. ça va être de la bombe

Ouai, je fonce voir sa mais j'ai une question les orcs qui gardent la ponts c'est vingt cinq guerrier et dix élites en tout ou 25 et dix elites par pont ?


Reponds moi vite stp

en tout, tu auras certainement subis plein de pertes à ce stade là. Mais si ce n'est pas le cas, tu as le choix de faire 25 orques et 10 élites par ponts

Bon bah je vais faire par pont alors comme sa la fin va etre sanglante et on sera quasiment autant qu'eux y aura pas d'avantage, oh non mais sa va saigniez, oh oui

Après avoir sauvé ce village de rohirrims, on t'envoie accomplir de nouvelles quêtes. Tes supérieurs sont heureux de tes exploits et te confient une mission importante: récupérer un poste stratégique à Osgiliath.

Forces alliées: Toi et tes hommes+30 guerriers du gondor+20 rôdeurs d'Ithilien+10 éclaireurs+1 capitaine

50 guerriers du gondor qui arriveront en renfort lorsque tu te seras emparé du poste

Forces ennemies:
Ceux qui gardent le poste: 40 guerriers orques+30 archers orques
Ceux qui irons t'attaquer une fois le poste récupéré: 70 guerriers orques+30 archers+20 orques hallebardiers+3 jeunes trolls des montagnes
Ceux qui garderont les ponts: 25 guerriers orques+10 orques noirs du mordor (élites)

1er Objectif: Reprendre la cathédrale en ruine à Osgiliath aux mains de l'ennemi.

2ème objectif: Tenir le poste et repousser les assaillants

3ème objectif: allumer les feux de signaux pour diriger les tirs de trébuchets sur trois ponts pour empêcher l'ennemi de progresser

Début de la mission :


J’ouvre les yeux, l’aube n’est pas encore levée, j’essaie de m’appuyer sur mes bras engourdis par la bataille d’il y a trois jours. Je me lève, mon dos me fait atrocement mal, je n’ai rien de cassé mais j’ai de grosses courbatures. Je me dirige à tâtons dans le noir pour trouver une lampe que je puisse allumer. Je tombe sur une chose molle et poilue, je crois que c’est la tête de quelqu’un. Je continue mon chemin et trouve un objet qui semblait ressembler à une lampe à huile, je tourne le mécanisme et le feu surgit. Les ombres apparaissaient sur le mur, terrifiantes. Je me dirige vers la porte et la cascade pour boire un peu d’eau. Quand soudain j’entends un bruits de claquement d’épées. Je m’approche doucement pour voir. Je me trouve derrière la chute d’eau de la cascade. Je longe le mur pour voir ce qui se passait derrière la cascade. J’éteins ma lampe. Je vois une face faiblement éclairée par une lanterne. Je m’approche discrètement de lui et vois avec stupeur que c’est un orc. Je n’ai pas d’arme. Il est en train d’éguiser sa lame. Si j’engage le combat, je vais me faire tuer. Je décide donc de l’abattre discrètement. Je m’approche doucement, il ne remarque rien. Mais que fait-il tout seul dans la nuit. Je sens que ça ne vaut rien de bon. Il faut que je le capture pour l’interroger. Je suis dans son dos. Mais je remarque un rouleau de parchemin sur sa ceinture, c’est un messager, il faut absolument que je le ramène vivant. Il plante son épée dans le sol et sort une gourde. C’est le moment. Je me saisis de son épée le plaque au sol et lui dit :
_ Que fait- tu ici, créature puante.
Il émet un gargouillement et me crache un liquide visqueux en pleine face.
_ Immonde créature ! dis- je, et je lui plante son épée dans la cuisse.
_ Arrrrrggg ! Rat puant du Gondor ! Crois-tu que je sois assez stupide pour te le dire ?
Je défais sa ceinture et lui ligote les mains.
_ Je te ferais parler par la force et je peux te dire que la torture que je vais t’infliger sera pire que la mort.Je le ramène à notre repaire et le conduis jusqu’à mes hommes.
_ Réveillez vous !
J’entendais des « Quoi, qu’est ce qui se passe ? » ou « On nous attaque ? » ou encore « Je jure de botter le derrière du gars qui m’a réveillé ! »

_ Je vous confis ça. J’ai une affaire urgente à régler.
Je prends son parchemin et je jette l’orc, qui tombe par terre, la tête la première.
_ Surtout, ne le tuez pas, j’en ai encore besoin.
Je referme la porte et me dirige vers la chambre de Faramir :
_ Capitaine.
_ Oui, entrez.
_Ce matin très tôt j’ai capturé un orc qui portait un message, le voici.
_ Excellent, donnez-le moi.
Je lui donne le parchemin, il prend son couteau découpe le sceau et l’ouvre :
_ Le langage du Mordor. Je ne sais pas le lire, mais il y a un mot qui revient souvent. Blorân, qui est une des manières de nommer Osgiliath. Je l’ai entendu maintes fois lorsque j’ai été en garnison à Osghiliath. A mon avis le Mordor prépare une attaque d’Osghiliath, ou bien plusieurs garnisons d’orcs doivent se rejoindre en ce point dans peu de temps.
_ Devons- nous y aller pour soutenir les soldats à Osgiliath ?
_ Pas de précipitations, faites venir Dreduil, il connaît certaines choses sur la langue du Mordor et tu m’a dis que tu avais le prisonnier, amène nous devons l’interroger et l’obliger à nous dire tout ce qu’il sait.
_ Bien, j’y vais de ce pas.

Que manigancent les orcs, si la pensée de Faramir s’avère être juste, il faut à tout pris que nous allions les aider Osgiliath. Je me dirige vers le bout du couloir et dit :
_ Dreduil ! Lève- toi et va dans la chambre de Faramir le plus vite possible.
Ensuite je vais dans ma chambre où mes hommes doivent normalement garder le messager. En espérant qu’ils ne l’aient pas tué. J’ouvre la porte ,il est couché sur le sol plein de sang, agonisant.
- Il se trouve que cette créature n’a cessé de nous insulter, je l’ai fait taire à ma manière.
_ Allez, lève toi ! Sinon je te ferais marcher et crois- moi tu regretteras cette solution.
_ Va crever, chacal de la tour blanche.
Je le prends par le pied et le traîne, jusqu'à la chambre du capitaine. J’ouvre la porte et le jette sur le sol.
_ Avance !
La créature gémit et essaie de ramper dans le coin. « Arrête ! » me dit Faramir. IL s’approche de moi et chuchote à mon oreille.
_ Il faut qu’il soit en état de parler, ne prends pas en considération ces insultes à ton égard. Quand il nous aura tout dit, je te laisserais t’en occuper car cette cachette doit rester secrète. Libre à toi d’agir en conséquence.
_ Bien, j’attendrai le temps qu’il faudra.
Je recule et me mets devant la porte et la garde tout en fixant des yeux la créature qui se tortillait, comme un asticot, et chuchotait quelques mots qui m’étaient inconnus. Dreduil et Faramir examinaient le parchemin. Dreduil semblait inquiet, plus sa lecture avançait, plus ses sourcils se fronçaient et son visage se crispait. Il posa le parchemin et dit à Faramir :
_ Si j’ai bien lu ce parchemin et si mes connaissances ne me font pas défaut, Osgiliath est en grand danger, les orcs prévoient d’envahir la partie sud d’Osgiliath. Et l’invasion commence dans trois jours.
_Envoie tous les guerrier disponibles. Qu’ils partent immédiatement et envoie des messagers à la citadelle pour les prévenir du danger.
_ Reçu !
_ Arkk arkkk arkk ! Vous allez tous mourir ! dit l’orc, en crachant du sang.
_ Tu tombes bien créature immonde, tu vas recevoir un avant-goût de la bataille.
Je dégaine mon épée, et lui pante dans la jambe. « La vois-tu ? » je retire ma lame et lui tranche la gorge. La créature cracha du sang et se tortillait de douleur, jusqu'à son dernier souffle. J’enlève le sang noir répandu sur mon épée, el rengaine au fourreau.
_ Je crois que je dois partir le plus vite possible ?
_ Oui en effet. Je t’envoie sous les ordres du capitaine Berethor, et avec toutes les forces disponibles.
_ Bien
Je me dirige vers la chambre oû se trouve mes hommes, et leur dit. « Sortez avec vos affaires et vos armes, nous partons pour une nouvelle mission. » Et d’un coup tout le monde s’agitait, se pressait et fourrait leur sac de tout ce qu’ils trouvaient et prenaient à la main leur épée et leur arc pour ne pas perdre de temps. « Retrouvons-nous à l’arbre du Noldor. »Je fais mon sac, prends mon épée et marche, sans tarder, vers l’arbre du Noldor. Cet arbre tient son nom de l’elfe qui, des années de cela, après une bataille perdue, s’est dirigé vers l’arbre, s’est assis et n’a plus jamais bougé. Plusieurs jours après son corps avait disparu, et personne ne l’a jamais retrouvé. Certains disent qu’il a fusionné avec l’arbre, d’autre, qu’un aigle géant l’a emporté dans les cieux. J’arrive à l’arbre, une vingtaine de personnes y étaient déjà, finissant de se préparer. Je m’assois contre l’arbre et passe ma main dans mes cheveux et tente de mettre au clair, les informations qui avaient déboulé dans mon esprit dans un flot continu. Nous sommes dix avec mes hommes, et pendant que je faisais le point ,d’autres hommes arrivaient. A la fin nous étions un peu moins d’une centaine ; j’aperçois Berethor arrivé paré d’une armure des gardes de la citadelle, et d’une cape noire. Il portait un casque de Numénor qui était utilisé durant la guerre de l’ultime alliance, sûrement un héritage, qu’il est bien rare de trouver de nos jours. Nous étions au complet apparemment. Il y avait beaucoup de classes différentes. Nous n’avons plus qu’à partir. Berethor monte sur un grand rocher, pour être entendu par tous, et dit :
« Guerriers du gondor, êtes-vous prêts pour aller à la bataille à Osgiliath. Là-bas, le combat fera rage, et je veux que nous arrivions en état de combattre, nous bivouaquerons la moitié de la nuit, tout le monde se reposera. Si personne n’a d’objection, nous partons immédiatement. »
Le plan me paraît assez bien, en espérant que nous ne tomberons pas dans une embuscade.
Nous partons à une allure très soutenue, le capitaine marche vite. Nous peinons à le suivre au départ, mais au fur et à mesure que nous avançons l’allure me paraît raisonnable si nous devons arriver à Osgiliath dans trois jours. Nous marchons à travers les bois, jusque-là, aucun danger, mais nous devrons passer par une partie du bois que les hommes n’aiment pas particulièrement. De jour elle est sombre et la nuit la visibilité est nulle, on ne voit rien à dix cm, et l’endroit est propice au embuscade et autres pièges organisés par les orcs. Mais en ce moment, il n’y a plus d’orcs qui traîne dans les environs. L’endroit est comme qui dirait désert. Nous traversons cette partie de forêt, sans encombre, mais la progression fut difficile, car il y avait un brouillard épais, qui était assez inexpliqué et dont la brume refoulait une odeur pestilentielle, comme un orc en décomposition juste sous votre nez ou un vieux troll qui vous cracherait son haleine en pleine figure. En gros, une odeur insoutenable qui vous donne des hauts de cœur. Nous trébuchions tous un peu, dans les racines des bouts de bois par terre et certains se prenaient des branches en pleine figure. Mais le plus inquiétant était les bruits qui nous entouraient, cela allait du glapissement au sifflement de flèche. J’étais à l’avant garde,et je demandais au capitaine quel sera le plan d’attaque :
_ Comment allez-vous procéder pour contrer l’attaque des orcs ?
_ Il y a une cathédrale au centre de la partie sud d’Osgiliath et c’est une pointe de commandement très important, car c’est la partie la plus haute du sud d’Osgiliath. Nos archers peuvent facilement cibler l’ennemie et l’abattre, car du coté où il attaque, il y a une place dégagée ou aucun endroit est propice à se protéger des flèches. Ensuite il nous sera facile de repousser l’ennemie si nous parvenons les premiers à cette cathédrale.
_ Et si c’est nous qui n’arrivons pas en premier ?
_De notre côté, il y a beaucoup de bâtiments, et la progression sera facile car les archers auront beaucoup de mal à nous toucher. Mais, il est quasiment sûr qu’il soit beaucoup plus que nous. Donc la partie la plus difficile sera de les repousser, car il en arrivera beaucoup d’un coup et il y aura des troupes d’orcs d’élites, en espérant qu’il n’y en ait qu’une.
_ Mais aurons-nous du renfort dans la bataille ?
_ Il est possible que plusieurs guerriers viennent se réfugier dans la cathédrale, après la déroute de leur unité. Et leur aide nous sera précieuse.
_ J’espère….
Et soudain une petite créature surgit d’un bosquet et s’arrête au milieu du chemin.
« Halte, que font les grands hommes dans ces bois. » dit la petit créature.
_ Nous sommes de passage, qui êtes-vous, répondez !
_ Il vous sera inutile de l’apprendre. Passez votre chemin ! Sinon vous aurez de gros ennuis
Le capitaine dégaina son épée et dit . « Je n’aime pas le ton avec lequel tu me parles ! »
_ Passe ton chemin !
Un homme posa la main sur l’épaule du capitaine. « Inutile de gaspiller notre temps pour lui. » Dit un l’homme à côté de Berethor, nommé Brethor.
_ Ecoute ton soldat, grand homme, et passe ton chemin !
Le capitaine rengaina son épée avec difficulté, et dit :
_ Allons-y !
Le capitaine passe à coté du petit homme sans le regarder avec la main crispée sur le manche de son épée. Nous passons à coté d’eux et l’espèce de nain nous regardais dans les yeux avec un sourire au coin des lèvres, fier d’avoir gagner la victoire contre le capitaine.
Nous poursuivons notre route à travers cette forêt et arrivons bientôt à une vallée à plusieurs Km d’Osgiliath. Nous posons notre bivouac à coté d’une colonne de pierre, la nuit était assez froide. Parfois un vent violent est glacial soufflait, venant de l’ouest.
Le lendemain nous repartons sur les routes. Nous arrivons au sommet d’une colline :

_ L’attaque à commencé ! dit le capitaine. Vite courons jusqu'à Osgiliath.
Nous dévalons la colline à toute vitesse et courons à travers la plaine pour y arriver le plus vite possible. Je cours de toutes mes forces pour tenir l’allure du capitaine qui parcoure la plaine comme un damné. Nous arrivons à l’entrée de la forteresse, les portes étaient ouvertes et les gardes étaient surpris de nous voir arriver comme cela :
_ Halte, qui êtes vous ? dit un des gardes
_ Les orcs attaquent ! Dit un homme, en haut d’une tour
_ Nous sommes venue en renfort. Dit le capitaine.
_ Vite, dépéchez vous
_ Ils attaquent la cathédrale ! dit le guetteur
Le capitaine pousse le garde et cours vers la cathédrale. Nous partons à sa suite. Nous entendons des tintements d’épées qui s’entrechoquent et le sifflement des flèches au loin. La bataille a commencé ! Nous tournons à une ruelle et nous pouvons à présent apercevoir la cathédrale.
Le capitaine s’arrete d’un coup. Ils nous dit :
_ Les orcs sont là, à mon signal vous chargerez et surtout veillez bien à rester a couverts ! Nous attaquons la cathédrale par la porte ils faut nous engouffrez dedans avant que les gondoriens qui la défendent ne meurent !
Le capitaine expire tous l’air dans ses poumons et crient :
_ CHARGEZ !!!
Tous les hommes se précipitent dans les ruelles pour arriver aux portes, je fais de même et mes hommes me suivent en file indienne. Des flèches sifflent de toutes parts. Mais peut atteignent leur cible et nous progressons à grands pas. Je cours dans les ruelles, mon cœur se serre en vue de la bataille. Nous débouchons à la porte de la cathédrales, le capitaine était dans la bataille. Un orc vetû de haillons et d’une plaque de protection volé à un guerrier me fixe du regard et cours vers moi. Je me lance sur lui, il essaie de me trancher la tête, je me baisse et lui coupe sa jambe, il tombe, et dans sa chute je lui plante mon épée dans le ventre. Un autre s’attaque à moi, il lance un poignard sur moi je que je dévie, et qui va finir sa trajectoire dans le bâtant la porte. Il saute sur moi, mais je lui prends son épée d’un coup sec et je lui envoie un coup de poing, je lui fiche mon épée dans sa tête et je lance sa lame sur l’un des orc qui tombe raide mort sur le sol. La bataille se poursuit mais nous avons l’avantage, les orcs reculent. Je prends l’escalier pour débusquer les archers. Ils sont plusieurs à tirer au travers des fenêtres. Le premier tire sa flèche et un sourire de satisfaction apparaît, au coin de sa bouche, il se prépare à en tirer une autre mais à peine avait t’il saisit sa flèche que sa tête jonchait le sol et se vidait de sang. L’orc à coté de lui sursauta de frayeur, il saisit une flèche et la tira maladroitement, elle si ficha dans le murs derrière moi, je sauta sur lui, trancha le bras et planta mon épée dans sa poitrine. Je l’envoie à travers la fenêtre avec mon épée et son corps finit sa course dix mètres plus bas. Je dégaine mon arc et vise les autres archers placé deux mètres au dessus de moi, ils sont cinq. Je vise l’orc situé le plus à gauche, je bande mon arc et lâche mon trait qui vient se planter dans le dos de la créature qui tombe en avant, passant par la fenêtre. Je les abats un à un. Après les avoir abbatus, je regardai en haut, il y avaient plusieurs archers, une vingtaine mais ils étaient tournés contre moi et me visaient. Ils tirent, je me plaque contre le mur d’en face. Les flèches partaient dans tous les sens, plusieurs se fichaient devant moi, j’essaye de me protéger par tous les moyens, par chance les autres orcs placés au dessous moi n’arrivait pas à me viser, je me couvrais la tête comme je pouvais croyant que cela me protégerait. Les flèches arretent de tomber, un orc sort sa tête. Je me relève d’un bond et cours dans l’escalier en montant les marches quatre à quatre. Les orcs recommence à tirer les flèches ricochent partout sur les marches. Certaines me frôlent de justesse, j’arrive en haut de l’escalier les orcs se retournent vers moi dégaine des petits poignards et les cinq archers se jettent sur moi en poussant des jurons et criant à tout va. Le premier saute sur moi tente de me planter les poignards dans le torse, avec une parade sec je lui fais faire demi tour, lui prend la tête et lui brise le cou. Je pousse le corps sur l’un pendant qu’un autre lance un poignard sur moi je le dévis et d’un lourd coup d’épée je lui tranche la tête. L’orcs qui avait le cadavre de son alliés le rejettent de coté et avec sa main tente de m’attraper la tête pour me ficher son poignard dans le cou. Je prends son poignet le lui retire et lui plante dans le dos. Je me débarasse du corps par dessus la barrière et je lance le poignard du précédent dans la tête d’un des orc qui courait vers moi. Le dernier orc se faufile derrière moi et essaie de me planter dans mon dos, j’esquive et bloque son bras, et je lui flanque un coup de coude dans la tête, il recule et se tient le visage. Il reviens vers moi, mais avant qu’il n’ait fais quoi que se soit je lui plante mon épée dans le ventre. La créature est tétanisé, avec mon pied je le repousse de mon épée et nettoie ma lame avec les haillons qu’il portait. Je redescends à toutes vitesses pour faire part à la bataille qui fait rage. Les orcs sont quasiment repoussés mais dix orcs et archers reviennent en renfort. Je prends mon arc, vise un des guerrier qui sont arrivés à la porte, je lâche mon trait qui s’abat dans la tête, celui ci tombe raid mort par terre et l’orc derrière trébuche sur lui s’écrase par terre la tête la première. J’appelle les archers à venir au niveau pour abattre les orcs qui viendraient en renfort. Puis je redescends en vitesse pour prêter main forte aux guerrier. Arrivés en bas, je vois quatre orcs regroupés, ni une ni deux je saute sur celui qui était le plus en retrait et je l’abats d’un lourd coup d’épée dans le dos. Les autres se retournent pour me faire face. Bergond, mon second arrive à mes cotés :
_ Qu’est ce que vous faisiez ?
_ Je m’occupais des archers aux niveaux supérieure. J’ai raté quelque chose ?
_ Non, a part le capitaine qui fait une boucherie, rien.
_ Tseeu.
Les orcs foncent vers nous. Je pars l’attaque du premier, et lui flanque un coup de poing. Pendant que Bergond se battait avec l’autre, j’achevais celui-ci. Le suivant s’attaque à moi, il portait une cimeterre à chaque main, il exécutait des mouvement circulaire tout en courant vers moi. Il arrive sur moi et tente de me trancher mes côtes à droite, mais je parsle coup avec mon épée. Avec a deuxième lame, il tente de me la planté dans le ventre, j’esquive de justesse, je bloque son bras avec ma main et je lui envoie un coup de pied dans les…… Il lâche ses lames et tombe à terre meurtrit de douleur. Je l’achève en plantant mon épée dans sa gorge. Je regarde Bergond qui retirait sa lame du ventre de l’orc. Les orcs battent en retraite à la porte, le capitaine fait volé les têtes sur son passage. Les orcs se font massacrés. Certains fuient vers d’autres garnison resté en retrait et d’autres combattent coûte que coûte mais se font tués un par un. Le capitaine retire sa lame de d’un orc et lève son épée :
_ Nous les avons repousser !
_ Capitaine ! Dit un homme. Des hommes de la citadelle arrivent.
_ Combien sont-ils ?
_ Une cinquentaine !
Le capitaine rengaine son épée et se dirige vers la garnison. Un homme descend de son cheval, et les deux homme s’étreignent. Ils doivent se connaître depuis fort longtemps. Bergond viens vers moi et me dit :
_ Que devons nous faire si l’ennemis revient à la charge ?
_ Barricader les portes ! dis-je.
Les soldats s’afferaient a bloquer les portes avec des tables et des pontons de bois :
_ Archers, montés aux niveaux supérieures et informez moi des mouvements de l’ennemis.
_ Bien ! crièrent-ils tous en cœur.
Je me dirige vers le capitaine, et l’homme qui semblait dirigé la garnison arrivée :
_ Que le soleil vous garde des ténèbres. ( C’est une formule de politesse qui est utilisée par les Numénoréens.)
_ Vous de même !
_ Thorondor, je vous présente Dharnuil, l’un des capitaines de la citadelle, nous avons fait plusieurs mission ensemble et avons évités maintes dangers.
_ Ainsi vous êtes le jeune sergent qui fait des ravages a l’ennemie, vos exploits sont parvenues à mes oreilles, je vous en félicite. » dit Dharnuil.
_ Je ne me doutais pas de l a portée de mes exploits. »dis-je.
_ Capitaine, une centaine d’orcs attaquent, ils sont accompagnés de trois trolls !
_ Préparez vous à vous battrent !
Les soldats étaient contre la porte et la barricadait avec leur bras comme ils pouvaient.
_ Les trolls ont des marteaux ! dit un archer
Les soldats dégainaient leur épées.
Le silence était pesant. Un coup de marteau s’abat violemment sur la porte. Un autre suit, puis plusieurs commencent à s’abattre comme la pluie sur les portes.
Les soldats sont crispées sur leurs épées. Ils agitent leur épées.
La porte se brisent les trolls s’engouffrent dans la cathédrale suivit de plusieurs dizaines d’orcs.
Les archers en haut abattait les orcs qui n’étaient pas encore entrer dans la cathédrale.
Le premier troll abats sa masse sur un pauvre rôdeur et envoie valdingué un de mes soldats vers un mur du bâtiment. Il balade son regard et se précipite sur moi en bousculant les orcs sur son passage. Il lève son arme dans les aires et l’abats sur moi je saute de cotés, ave son poing il m’envoie un coup que j’esquive de peu. Le troll tente de reprendre sa masse mais au moment ou il posa sa main sur sa massue, le capitaine trancha l’arrière du genou du troll. Celui ci se retrouva à genou, puis le capitaine se glissa devant lui, le troll tente de le repousser avec sa main le capitaine s’appuie sur son bras pour passer par dessus, et il se rertouve à la gorge du troll et le finit en la lui tranchant, puis il finit par une roulade avant esquivant ainsi le corps du troll qui s’écroule par terre. « Waooouuu…….. » j’étais bouche-bé, mais la bataille continue, un orc se dirige vers moi il il me donne un coup d ‘épée horizontale, je me baisse et lui envoie la mienne dans le ventre, je l’a fait glissé le long de son corps et l’achève en lui donnant un second coup d’épée dans le dos de l’orc qui était plié en deux avec le coup prédédent. Le deuxième troll fonçaient sur le capitaine, et abats son marteaux le capiataine saute en avant pour esquiver le coup. Il se redresse porte un coup sur le flanc du troll mais celui-ci se protège avec sa coudière. Le troll reprends son arme d’une main et prends le capitaine de l’autre. Berethor entaille la main du troll qui lâche prise immédiatement. Le troll rugit de douleur, et avec son pied, il tente d’écraser le capitaine, qui saute de coté de justesse et tranche le tendon du pied du troll qui tombe en arrière. Le capitaine saute sur le troll et essaie de lui planter son épée dans la gorge, mais avant que celui-ci assène son coup, le troll envoie valdinguer le capitaine avec sa main qui finit sa course sur une troupe d’orcs qui amortissent sa chute. Le capitaine se relève avec le bras en écharpe et entame un combats contre une demi-douzaine d’orcs. Le troll se relève et prends son marteau des deux mains et écrase tous sur son passage gondoriens et orcs compris. Bergond mais sa main sur mon épaule :
_ On le prends a deux ?
_ D’accord, prends à gauche !
_Compris.
Bergond cours vers le troll et je pars à ses cotés. Le troll nous vois arrivé et pousse un rugissement en tapotant son arme contre la paume de sa main. Nous arrivons à hauteur du troll, qui abats son marteau sur nous, Bergond saute à gauche, et moi à droite le troll nous regarde tous les deux d’un air béa mais à peine a t-il le temps de relever son arme que nous traversons avec Bergond la base de ses pieds, le troll tombe en avant, mais pose sa main pour éviter de s’écraser sur le sol et de l’autre attrape Bergond de sa poigne mais j’ai été plus rapide que lui, je saute sur le cou du troll et ma lame traverse sa gorge. Le troll émets un petit gémissement et laisse glisser Bergond de sa main pour ensuite tombée raide mort sur le sol avec la bouche entre ouverte et se grands yeux verts qui reste ouverts, qui lui donnait un air assez touchant et triste un même temps, comme un enfant à qui on aurait donner les armes trop tôt et qui se demandait ce qu’il faisait au milieu d’une telle boucherie. Mais en regardant ce troll mort, un orc surgit sur la dépouille et saute sur moi, la vue de cette pauvre créature avait éveillé une haine encore plus profonde pour ces abominations, l’orc tente de me planté sa lame je dévie sa lame et prends l’orc par le cou avec ma main et le plaque au sol, et avec mon épée je lui tranche le ventre, la créature pousse un cri aigu et je continue de l’étrangler. La créature cesse de bouger et gît au milieu de son sang et ses tripes. La bataille tourne à notre avantage, et nos archers postés en haut résistent aux traits des orcs placés en bas. Mais une vingtaine d’hallebardiers déboula d’un coup et poussa, les orcs aux combats qui tentaient de s’enfuir, au combat. Les orcs étaient de nouveau dans la bataille plus redoutable que jamais. Les hallebardiers fonçaient vers nous. L’un d’eux saute par dessus le cadavre du troll et effectue un grand mouvement circulaire avec son arme et l’abats sur moi, je l’esquive de peu, l’hallebarde s’enfonce dans le sol, l’orc essaie de retirer son arme du sol, mais je viens avant et fais voler sa tête. Le dernier troll qui jusque là affrontaient des guerrier se saisit du dernier et le lança de toutes ses forces contre la porte par laquelle nous étions entrés, le soldats s’écrase sur la battant de la porte et sa colonne vertébrale se brise en mille morceaux et le malheureux meurt sur le coup. Le troll prends un orc qui tentait de s’enfuir et le jette sur nous, heureusement il ne fais aucun dégât, mais le troll est très remonté. Dharnuil, le capitaine de la citadelle fonce aux galop vers le troll, le troll envoie sa masse de droite à gauche pour tué le capitaine, il se baisse de justesse, et se met debout sur son cheval. Il n’est pas en équilibre mais saute sur le troll et dégaine un poignard, il arrive sur le torse du troll et plante sa lame dans l’épaule de celui-ci et se hisse jusqu'à son cou. Arrivés en haut se tient debout sur le troll, mais d’un coup il pousse un cri et tombe du troll, il se retrouve par terre avec une flèche dans le dos, il est tordu de douleur et se relève tant bien que mal pour échapper au marteau du troll, un des guerrier tente d’affronter le troll pour permettre au capitaine de reculer. Le troll abats sa masse sur lui il esquive, mais le troll l’envoi contre le mur avec le coté de son marteau, le soldat et plaqué contre le mur et le troll frappe la malheureux et lui explose la tête. Je cours vers le capitaine et me saisi de lui, et le traîne derrière nos défenses :
_ Vous allez bien capitaine ?
_Oui, oui, sa va, mais retire moi la flèche.
_ Bien !
Pour que je retire la flèche plus facilement, j’use d’une petite astuce.
_ A trois je retire
_ D’accord.
_ Trois !

Je retire la flèche, et il émit un petit gémissement et m’envoie un regard noir, apparemment la ruse ne lui a pas plus du tout plu. La plaie n’est pas profonde. Il peut continuer à se battre, mais pour l’instant il faut qu’il ce repose. Je repars vers la bataille, un orc avec une hallebarde qui tenait au-dessus de sa tête pour achevé un guerrier, je range mon épée je prends le bout de l’arme et pousse avec mon pied l’orc qui tombe par terre, et je l’achève d’un coup de hallebarde dans la tête. Je me précipite ensuite vers un groupe d’orc en agitant ma hallebarde, et je leur envoie un coup de mon arme de droite à gauche et éventre deux orc, le troisième esquive et se jette sur moi. Il tente de me trancher la tête mais je pars avec le manche de mon arme puis envoie valdinguer sa lame dans les air, et je lui tranche la tête net. J’arrive au gros morceau, j’attaque le troll avec ma hallebarde, il m’envoie un orc mort dans la tête, j’esquive et j’abats mon arme sur lui qui esquive de peu mais pas assez et je lui tranche net les doigts de pieds. Il lâche son arme pour se tenir le pied afin d’arrêter le sang de couler, et émet des rugissements de douleur. Il est très énervé, il se tourne vers moi en grognant et se remet debout. Il prends son marteau et envoie des coups dans tous les sens pour m’avoir mais je recule et esquive sans mal ces tentatives. Il avance vers moi en boitant, je cours vers lui, il abats son arme sur moi mais je saute de coté et continue ma course. Il m’envoie un coup de poing, que j’esquive avec une roulade et me relève directement. Le trajectoire du poing finit dans le sol et explose les dalles, j’arrive devant lui et lui assène un coup de hallebarde dans les côtes, là ou il n’avait pas de protection, et c’est plus efficace que ce que je ne pensais, le troll rugit de douleur et mets sa main sur son flanc pour essayer d’apaiser la douleur et arrêter le flue de sang. Je lui assène au autre coup dans son bras qui tenait le marteau. Le troll lâche l’arme, mais me repousse avec son épaule et me fais lâcher l’hallebarde. Il prends l’arme et la brise d’une main, peu importe c’était une arme d’orc, je m’en serais débarassé après la bataille. Je tire mon épée et me lance une nouvelle fois sur lui. Il prends son arme d’une main et d’un geste lent tente de m’abattre mais son attaque subit un échec cuisant, je retourne mon épée et lui lance dans la gorge, mon arme atteint sa cible. Le troll tombe en arrière je saute sur lui dans sa chute et enfonce encore plus ma lame en profondeur dans sa gorge. Le troll tombe avec fracas et je me relève avec mon épée sur l’épaule et moi sur le corps de mon redoutable ennemi mort. Les orcs sont de nouveau en mauvaise passe, nous les repoussons. Le capitaine Berethor fait un carnage et tue des dizaines d’orcs sur son passage. Je me jette dans la bataille et tue plusieurs orcs, nous devons les repousser en dehors pour que nos archers puissent les abattre. Lorsque nous arrivons à la porte, les cadavres d’orcs s’entassaient devant la porte Les orcs tente de se battre, mais continue à reculer a vu d’œil. Le capitaine Berethor me regarde et me fait un signe de tête désignant les orcs, il veut tenter une sortie, je fais signe à Bergond de charger. Le capitaine crie « A mort ! ». Et saute au-dessus du monticule de cadavres et découpe les tête des orcs, je monte au dessus des orcs mort et me lance dans la bataille pour soutenir le capitaine, Bergond me suit de près. Nous les tenons devant la porte et le capitaine se retourne et dit :
- Fermez les portes ! Thorondor, Bergond, retourner dans la cathédrale.
- _ Et vous ?!
- _ Je me charge de les retenir !
- _ Non vous n’y arriverez pas !
- _ Exécutez mes ordres !
- Bergond me tire vers la porte et me murmurait dans l’oreille. « Il s’en sortira ». Je me débattais pour retourner à la bataille mais d’autres guerrier venaient aider Bergond à me ramener à la cathédrale. Les portes se referment et j’entends un écho de « Tirer !»
Le brouhaha cessa d’un coup, le silence était pesant, je décidais d’ouvrir la porte mais avant j’entends frapper. Nous ouvrons la porte et je vois le capitaine épuisé s’appuyant sur son épée, mais avec un sourire au coin des lèvres, derrière lui gisaient une vingtaine d’orcs abattus avec une volée de flèches de nos archers, situé aux niveaux supérieures :
_ Non , ce n’est pas possible, comment avez vous fait ?!
_ Lorsque les portes se sont refermés, j’ai ordonné aux archers de tirer, et avant que la volée nous atteignent, je me suis plaqué contre la porte et j’ai évité de justesse les traits, mais j’ai dû batailler ferme pour résister aux orcs avant que les archers ne tirent et je n’en peux plus.
_ Capitaine !
Un homme courait à toute allure vers nous et s’arreta devant le capitaine Berethor. Il était a bout de souffle et avait les mains sur les genoux, il avait une cape bleu marine avec des runes dorés naines sur les bord et portait une tenue simple de voyage. Il se lève et dit :
_ Les trébuchés sont armés. Ils attendent leur cible.
Le capitaine Dharnuil viens vers nous en boitant un peu et dit :
_ Nous nous occupons de cela, dites aux trébuchets de tirer sur les feux de signaux situés vers les ponts
Dharnuil se retourne et se dirige vers un coffre. Il l’ouvre et en sort quatre torches. Puis il prend une lampe situé au dessus du coffre et revient vers nous :
_ Prenez ceci.
Il me lance les torches que je réceptionne et il donne la lampe au capitaine Berethor.
_ Nous allons devoir allumer les feux d’alarmes, avec mes hommes je m’occupe du pont Est, Berethor tu t’occupe du pont Nord et Thorondor tu t’occupe du pont Ouest avec plusieurs hommes de ton capitaine.
_ Justement, combien sommes-nous ? dis-je.
Le capitaine Berethor se retourne et regarde brièvement les guerriers, puis regarde en haut les archers descendant peu à peu les marches.
_ Je dirais qu’il reste nous une trentaine d’archers de nos trois factions, j’ai vingt cinq guerrier encore. Dharnuil il te reste trente guerrier.
_ Et mes hommes sont aux nombres de six guerrier, plus mon second ». Dis-je
_ Bien ! J’envoie avec toi une dizaine de guerrier et plus cinq de Berethor. Combien sont-ils par pont ?
_ Vingt-cinq guerrier et dix orcs d’élites. » Dit le messager
_Bien, les trente archers vont se diviser en trois groupes qui rejoindront chacun une faction.
Les archers se disperse, je vois que les rôdeurs viennent avec moi.
_ Allons-y, vous transmettez le message aux trébuchets.
_ A vos ordres ! » et le messager repart en courant.
Et nous partons rapidement vers le pont Ouest. J’ai avec moi vingt guerrier et une dizaine d’archers. Nous traversons peu à peu la plaine ou tout n’étais que ruines et corps d’orcs avec une flèche plantée dans la tête ou dans la poitrine. Nous arrivons à un mur, derrière se trouve le pont, pour l’instant nous sommes cachés. Il faut envoyé une volée de flèches et laissée les archers en abattre au moins une bonne dizaine pour nous permettre de combattre à armes égales. Je poste les archers un peu partout, pour empécher l’ennemi de nous repérer et ainsi les attaquer alors qu’ils seront désorientés et ainsi bénéficié de l’effet de surprise. Je lève mon bras pour qu’ils se tiennent prêt a tirer et je l’abaisse. Les traits montent haut dans le ciel et s’abattent avec fracas dans les cris d’orcs et le bruit des flèches qui se plantent dans la chair, dans les dalles ou le bois des boucliers. J’ordonne aux archers de tirer à volonté et je crie « Chargez ! ». Moi et mes hommes courons vers l’ennemi. Je vois que les flèches ont abbatues une vingtaine de guerrier orcs mais n’a réussi à touché aucun orc d’élites. Ils chargent vers nous. Je dégaine mon épée et me retrouve avec ma lame dans une main et la torche enflammée de l’autre. Un rugissement retentit et un orc écarte les élites et foncent vers moi. Il était vêtu de plusieurs plaques coupantes qui formaient son armure, il était protégé par des épaulettes gondoriennes sales et rouillées, et portait des mailles qui formait un bas recouvert par un pantalon noir en haillons. Il dégaine une masse d’arme légère et une épée courte bâtarde, qui laissait voir la rouille et le sang séché de ces précédentes victimes, se doit être leur capitaine. Il balance sa masse en arrière et l’abats sur moi, j’esquive le coup et je réponds aussi sec avec un coup d’épée dans sa jambe, mais il mets sa lame en travers et me renvoie mon arme. Il retente une attaque avec sa masse que j’esquive mais il m’envoie un coup avec son épée que je pars de justesse et nos deux lames s’entrechoquent et un duel de force s’engage, je ne veux guère lui céder du terrain mais lui non plus, il prends de l’élan avec son bras et m’envoie la masse dans les cotes, je me saisit du manche de l’arme avant que le coup s’abatte et lui envoie un coup de genou dans le ventre. L’orc lâche sa masse et recule de quelque pas il se tient le ventre avec sa main et regarde l’endroit ou je l’avais frappé. Il relève la tête avec un regard haineux et vociférant de rage, il saute sur moi en me pointant son épée, je dévie le coup et lui envoie un coup de torche enflammée dans la tête. La créature pousse un cri strident et tombe par terre en gesticulant, en se tenant son visage qui le brûlait. Je retourne mon épée et lui plante ma lame dans le torse. L’orc se fige et rends son dernier souffle. Un élite ayant vu la scène court vers moi dans l’espoir de le venger, il fait tourner sa lame au-dessus de sa tête et m’envoie une attaque descendante, je pars le coup et lui réponds avec une coup d’épée dans la tête. L’orc se baisse et me balaye, je tombe à terre et il tente de me planter sa lame , je repousse son attaque et avec mes mains, et je lui brise le cou. L’orc tombe raid mort par terre, je reprends mon épée et ramasse la torche. Je cours vers un guerrier orc, il se retourne mais pas assez vite et sa tête finit de rouler sur les dalles. Je m’attaque maintenant à un autre élite, il portait une lance grossière, je lui envoie un coup d’épée dans les cotes mais celui-ci pars avec le corps de la lance et avec la pointe, m’envoie un coup dans le ventre, je lâche la troche et me saisit de la base de la lance, je la lui retire et lui tranche le ventre d’un coup d’épée, l’orc tombe à terre agonisant et je lui plante son arme dans la tête. Les orcs d’élites se battent comme des diables et mes hommes ont du mal à les repousser. Mais la victoire est proche. J’engage le combats avec un élite qui porte la bannière du Mordor, il fait tournoyer sa lance dans tous les sens, et je peine à parer ces coups mais il me lance une attaque descendante que se fiche dans le sol je bloque sa lance avec mon pied et lui tranche net la tête. Je me saisit de la lance et la propulse dans un orc d’élites qui se battaient contre un de mes soldats. Puis je fonce vers un autre et par derrière je lui plante mon épée dans le dos et la retire d’un coup sec. L’orc s écroule par terre, je le crois mort je m’en vais combattre un autre ennemie mais il me prends le pied et je tombe sur le sol il s’aggripe et moi et dégaine un poignard, il m’envoie son poignard dans le torse mais avant que le coup ne s’abatte l’orc se fige et tombe à coté, Bergond apparaît derrière la créature et m’aide à me relever :
_ Encore une fois sergent !
_ Mais il m’a prit en traître.
_ Si vous le dites.
Un orc surgit dans le dos de Bergond et lui envoie un coup de cimeterre dans la tête, je le tire vers moi et pars le coup puis je lui envoie la torche dans la tête. L’orc cours dans tous les sens avec des braises dans le visage, et avant qu’il ne se remette, je lui découpe la tête :
_ Encore une fois Bergond
_ Mais …. Raaaahh !
Et il se précipite sur un orc pour se défouler sur lui. Je retourne dans la bataille. Nous bataillons durement mais leur nombres diminue peu à peu. Un dernier soldats d’élites se défends avec ardeur, je lui engage le combat. Il tente de m’envoyer un coup dans le ventre mais son coup est lent et j’esquive facilement je me précipite vers lui et lui plante mon épée dans le ventre. L’orc rugit, il retente une attaque, mais je me baisse, retire ma lame et lui tranche la tête. L ‘endroit ou nous sommes est jonché de cadavres d’orcs, il me reste une dizaine de guerrier, à peine, debout et un blessé qui marchait difficilement, je ramasse le drapeau du gondor qui avait été mis à bas par les orcs et enflamme le

feu d’alarme, le feu prends vite. Nous déguerpissons vite fait d’ici et nous nous dirigeons vers le pont le plus proche pour prêter main-forte au capitaine. Nous courons au bord de la rivière et voyons plusieurs troupes ennemis qui arrivent en renfort de l’autre coté. Nous sommes proche du pont et le capitaine a quelques problèmes car ils sont encerclés et à mon avis les archers n’ont pas eu la même efficacité que les miens. Le capitaine et ses hommes ne sont plus qu’une dizaine, et une vingtaine d’orcs les entouraient. Je dégaine mon épée et envoie une nouvelle charge avec la dizaine de soldats qui m’accompagnaient et les archers qui faisaient diversion aux ennemis de l’autre coté du pont qui n’allaient pas tarder à arriver. Nous arrivons sur l’ennemie, qui en cercle autour du groupe du capitaine, étaient un peu séparés du reste du groupe. Je m’attaque a un orc qui portaient deux épées courte. Il fait tourner ses lames et m’assène un coup aux cotes que j’esquive en déportant sur la gauche et je me retourne, en lui envoyant un coup lourd dans la tête. L’orc se prend le coup et se retrouve avec mon épée plantée dans la tête. Je retire l’épée et dans le même instant un orc saute maladroitement sur moi avec une lance à la main, j’esquive le coup facilement et me saisit du manche de la lance. Je lui envoie le bout de la lance dans le visage, puis retourne la lance pour la lui planter dans le ventre. L’orc tombe en arrière et finit d’agoniser par terre. Je retire la lance de l’orc qui émit un petit gémissement, et fonce sur un autre orc avec la lance dans une main et ma redoutable épée dans l’autre. Le capitaine reprend courage et se lance dans la bataille. Nous nous débarrassons facilement des guerriers et d’une partie des élites mais quatre de battaient encore farouchement et nous étions une dizaine encore. Le capitaine ordonne aux hommes de les encerclés, les orcs se tournait pour surveiller l’homme qui irait les attaquer en premier. Et d’un coup un des élites saute sur le capitaine pour tenter de tuer le plus possible de gondoriens avant de mourir. Le capitaine stoppe l’arme de l’orc avec son épée puis le prends par le cou et le plaque au sol instantanément puis lui plante sa lame dans le ventre et l’orc tétanisé meurt dans un dernier souffle. Les élites venant de voir ce spectacle, se jettent sur le capitaine. Celui-ci reste immobile, impassible et quand l’un des orcs abat sa lame, il esquive d’une rapidité surhumaine et tranche la tête de l’orc puit se retourne et tranche le corps d’un des élites. Le dernier est immobile, médusé, il n’en croyait pas ses yeux. Le capitaine fait tourner son épée et se dirige vers l’orc tremblant qui reculait, fit volte face et tenta de s’échapper les guerriers l’encerclaient et pointaient leur épées vers lui. L’orc s’arrêta de justesse, se retourna et attaqua désésperement Berethor. Le capitaine dévia sa lame, la fit voler en l’air et planta sa lame dans l’élites qui cracha une giclée de sang, vacilla et tomba par terre comme une souche. Il rengainait son épée quand soudain une explosion se produisit à l’Est et a l’Ouest, nous regardons le feu d’alarme, il est allumé ! Les trébuchets tirent ! Nous courons à l’abri, et quelques seconde après, le pont vola en éclat. Nous entendons des vois au loin, le groupe du capitaine Dharnuil se dirigeait vers nous et la bonne humeur était de mise, les guerriers riaient entre eux, nous avons remporté la victoire ! Berethor dit :
_ Pas trop dur ?
_ Non, je vois que vous avez eu du mal. » répondit Dharnuil.
« Ne t’inquiète pas pour moi va.
_ Vous n’êtes guère plus qu’une quinzaine et une vingtaine d’archers
_ Et vous qu’une dizaine et dix archers
_ Bref, nous devons nous dépécher de retourner à la citadelle afin d’effectuer notre rapport.
_ Nos chemin se quittent une fois de plus trop tôt.
_ Peut être se reverra t’on, au revoir mon ami.
Les deux hommes s’étreignent et le capitaine Dharnuil part avec ses hommes.
_ Allons-y nous aussi, les orcs ne peuvent plus envoyer de renfort et les hommes d’Osgiliath les mettront facilement en déroute.
Nous repartons donc et passons devant la cathédrale, dont le sol était jonché de cadavres d’orc et ou certains guerriers cherchaient desesperement quelqu’un certainement un ami qui a péri durant la bataille, nous avons remporté la victoire mais au prix de lourdes pertes, et la joie laissa vite place à la tristesse.
Nous sortons de Osgiliath, et continuons notre route vers la forêt. Etrangement tout est calme, les petites créature qui nous avaient barrer la route la dernière fois n’était pas la mais malgré cela, il y avait quand même cette impression que quelqu’un ou quelque chose nous espionnaient et scrutaient le moindre de nos gestes.
La traversé m’a parut longue mais nous arrivons bientôt à l’orée des bois D’Ithilien. Nous campons brièvement et le lendemain matin nous n’avons pas tarder à partir, le capitaine est pressé. Nous marchons rapidement, d’un pas léger, et arrivons rapidement au repaire. Arrivés la, je me dirige dans les couloirs avec le capitaine Berethor. Nous arrivons à la porte de la chambre du capitaine Faramir, il frappe à la porte et nous entendons « Entrez ! ». Le capitaine passe la porte, j’entre lentement et Berethor dit :
_ Mission accomplie, les orcs ont été repoussés.
_ Des pertes ?
_ Oui, moi compris, nous ne sommes plus qu’une vingtaine.
_ Si peu d’entre vous sont revenues.
_ Oui, malheureusement, mais nous avons vaincu et repousser l’ennemi.
_ Vous pouvez disposez, mais je voudrai vous voir seul à seul Thorondor.
_ Oui, de quoi s’agit-il ?
_Je sais que vous êtes fatigué et en deuil de vos guerriers morts aux combats, mais préparez vous à tout moment à repartir en mission, je suis désolé, mais je suis obligé, vous comprenez.
_ Oui, mais je vous serai gréer de m’accorder quelques jours de repos, à moi et mes hommes.
_ Accordé. Mais profiter en bien c’est le seul conseil que je puisse vous donner.
_ Je vous remercie.
Je me détourne, passe la porte et me dirige vers mes hommes pour prendre un peu de repos.

Fin de la mission :

Bilan de la mission

_185 guerrier orcs mort
_ 60 archers orcs mort
_ 20 hallebardier orcs mort
_ 30 orcs d’élites du mordor
_ 3 jeunes trolls des montagnes

_ 75 guerriers du gondor morts
_ 15 rôdeurs d’Ithilien morts
_ 7 éclaireurs morts


1 er Objectif: La cathédrale à été reprit.
2 ème objectif: Assaillants repousser
3 ème objectif: Les ponts ont été détruits

Bonne Lecture !

Et voila je vous souhaite à tous une bonne lecture, et j'attands Sparda pour la note

Pour un début, tu commences fort... Tes missions sont excellentes (mise à part les quelques fautes) ...
Pour ton grade ça mérite 18 en longueur (bon c'est Sparda qui cote aussi)

Jolies missions! Tu as un avenir prometteur!