Missions pour moi

c'est parce que c'est sa deuxième mission c'est pour cela que j'ai mis autant

Voilà la mission que m'a donné Gimli (désolé pour le retard et j'ai fait une légère modification d'objectif que j'ai mis entre parenthèse):

Tu tes fait repérer par des éclaireurs elfes, tu dois les tuer. Dans le cas contraire une armée viendra t'anéantir.(l’armée va venir car cette mission déclanchera la mission commune, donc je ne tuerai pas tout les elfes éclaireurs mais une bonne partie, l'elfe qui survivra sera l'eclaireur dont parle Eliotruc dans la mission commune)) Attention ils sont plusieurs mais dispersé en petit groupes. Attention aussi aux araignées, un de tes compagnons a faillit se faire prendre déjà.

Armée ennemis:40 elfes par groupes de 5 a 10 (a toi de voir) ainsi qu'une dizaine d'araignée.

Quand Nostros et ses hommes furent guéries et reposée du combat qu’il avait fait quelques jours auparavant, ils décidèrent de rejoindre l’armée qu’ils avaient quittée au mont Gramm. Ils se dirent que si ils arrivés à temps, ils pourrait arriver avant la fin de la bataille.

Ils firent des préparatifs, ils récupérèrent la voile du bateau pour la découper et en faire des tentes ou encore des paquets pour transporter la nourriture qui restait à bord.
Après avoir salué le médecin, ils se mirent en route, le voyage se passa bien. Ils avaient parcouru la moitié du chemin. Ils plantèrent les tentes dans une clairière pas très éloignés du chemin puis, se réunirent autour du feu pour mangeaient.

Ils profitèrent de cette occasion pour parler un peu.
« -Que ferons nous une fois que nous rejoindrons l’armée ? » Demanda un des soldats qui restait.
« -Nous combattrons comme avant, si ils ont déjà fini la bataille contre les gobelins, nous partiront pour d’autres région, nous ferons d’autres missions et ainsi de suite… »

Les bruit la forêt avec les feuilles des arbre, accompagnés par le vent les firent dormirent, tel une berceuse depuis longtemps oublié que les arbres leur chantaient.
Ils reprirent la route le lendemain, ils arrivaient en vue de l’ancien gué, le soir, mais eurent un mauvais pressentiment.

L’air était lourd, chargés du sang et de la haine des hommes et empestait la mort. Arrivés dans le gué qui était peu profond et formait ainsi un passage, Nostros vit un cadavre bleuis, gonflé par l’eau.
Au loin, d’autres cadavre flottaient, il reconnût alors l’armée qu’il avait quittés, il chercha avec ses compagnons d’éventuelles survivant.

Nostros, au fond de lui-même, espérait que Handir qui avait décider de partir de son plein gré n’était pas parmi les corps gonflés dont la peau s’ouvrait de temps en temps pour déversant les intestins dans l’eau plus ou moins rougis. Il décida de passer malgré tout dans le gué avec ses compagnons, qui écarter les cadavre du bout des armes, remplis de dégoût.

Ils continuèrent ainsi, repoussant les morts et les membres perdus lors du combat. Ils arrivèrent sur l’autres rives, plein de boue, d’algues et de sang. Nostros aurait bien aimé se laver de la crasse accumulée depuis le voyage mais, ils ne trouvèrent pas d’autres rivières ou lacs. Ils continuèrent désespérément leur recherche en faisant deux groupes de trois et un groupe de quatre.

Nostros marchait avec les trois autres hommes de son groupe et vit une flèche de feu embrasait la noirceur de la nuit. C’était le signal convenu s’il trouvait quelque chose ou en cas de problème, une demi-heure plus tard, ils arrivèrent. Surion avait réussi à trouver quelques survivant, ils étaient uns quinzaine, tous des archers.

Ils indiquèrent aux autres troupes ou étaient les autres survivant qui s’était caché dans les collines ou les grottes. Nostros et Elryl, qui étaient à la tête des deux autres groupes, partirent dans les directions indiquées. Surion resta aux prés des survivant en leur demandant ce qu’il s’était passé.

Une seconde flèche enflammée indiqua à Nostros que Elryl avait trouvé d’autres rescapés. Peu après, il remarqua une caverne et crut entendre quelque chose à l’intérieur, il s’aventura et reconnût Handir malgré son armure rouillé et sa mine déconfite.

« -Handir, c’est toi ?
-Nostros ? »

Les deux hommes se reconnurent et se réjouirent de se retrouver. Nostros ordonna à un des archers qui l’accompagnaient de prévenir les autres en tirant une flèche. Il rejoignirent Surion qui était resté au près des autres guerriers rescapés.





Handir leur raconta ce qu’il s’était passé :
« -Après avoir quitté ton groupe, j’ai rejoint un autre corps d’armée. Nous avons réussi à traverser la vieille route de la forêt en deux jours en campant dans quelques clairières.
C’est quand nous avons traversé le gué que nous nous sommes fait attaqués par une gigantesque armée d’elfes.
Nous arrivions vers l’ancien gué quand nous avons vu les archers ennemis en face de nous prés à nous tirer dessus.
Le général ordonna alors aux fantassins de devant de parer aussitôt avec leur bouclier pour défendre le reste de l’armée mais la première volée fût dévastatrice pour nous.

Après avoir essuyé cette attaque, les cavaliers chargèrent sur les ennemis, la plupart furent abattus mais les fantassins arrivèrent en se protégent, les archers qui étaient derrière réussirent à leur infliger de lourde perte, quand le général ordonna la retraite, moi et les survivants nous sommes cachés en nous divisant en trois groupes.
Nous avons tenus quelques jours et vous nous avez retrouvez.

-Cela explique les cadavres dans le gué et plus loin. » Conclut Nostros.

Ils décidèrent de dormir, et établirent un campement. Le lendemain matin, Elryl se leva en premier. Il prit un arc et décida de partir à la chasse quand soudain, il entendit une branche se craquer, il se retourna et eût tout juste le temps de reculer et d’éviter une flèche fatale.

Il cria de toutes ses forces en courrant vers le camp mais se prit une flèche dans le mollet, Surion se leva en premier, suivi bientôt des autres survivants, il sortit son arc et alla voir ce qu’il se passait.
Elryl s’était pris une flèche dans le bras, il avait de la chance que son ennemi n’était pas très précis. Il était quasiment par terre. Il vit le mystérieux inconnu s’approcher et dégainer son épée, il la leva bien haut et la lame d’acier scintillait sous le lever du soleil.

Il en profita pour sortir son poignard et le planta directement dans les côtes de son ennemi, celui-ci se tordit de douleur et abattit son épée sur le sol avec violence. Elryl eut tout juste le temps de faire une roulade sur le coté.
A peine son ennemi en vue, Surion pris son arc et tira une flèche en plein cœur de l’elfe qui essayait tant bien que mal d’achever Elryl qui se tordait de douleur au sol. Nostros le porta jusqu’au camp et examina ses blessure.

Il s’était pris une flèche dans le mollet qui l’empêcher de marcher et une autre dans le bras qui l’empêcher de combattre. Son bras saignait abondamment et Surion arracha un morceau de toile pour lui faire un garrot.
Un des hommes arriva pour lui dire que l’elfe mort était un rebelle. Nostros décida de partir traquer les autres éclaireurs, s’il y en avait. Ils étaient une cinquantaine, quinze archers, dix piquiers et vingt-cinq fantassins en tout.

Il ordonna à sept fantassins et un piquier de rester au camp pour le protéger d’une éventuelle attaque. Les blessés les rejoindront aussi au fur et à mesure.
Ils se divisèrent alors en trois groupes dont les troupes sont partagé tel qu’il y ait six fantassins, trois piquiers et cinq archers dans chaque troupe.

Nostros se dirigea avec la sienne vers le Sud, Surion vers le Nord et l’autre groupe vers l’Est.
Le soleil commençait à se coucher et Nostros s’enfonçait de plus en plus dans la noirceur de la forêt suivi de prés par ces hommes.

Il s’attendait à une embuscade à tout moment et il se retourné à chaque bruit. Il entendit alors le bruit singulier de la corde d’un arc qui se tend. Il sortit le sien et ordonna à ses archers de se préparer à tirer et à ses fantassins de les protéger à l’aide de leurs boucliers.
Ils attendirent ainsi pendant au moins un quart d’heure. Nostros se dit qu’en fait il n’y avait rien et continua la traque. Soudain, il entendit une flèche siffler dans les airs et elle se ficha dans le crâne d’un des piquiers.

« -A l’attaque !! » Cria t’il. Les flèches fusèrent de tout parts et les archers ne voyant pas assez bien, tirèrent un peu au hasard dans les arbres. Nostros tira un projectile enflammé qui se ficha dans un tronc. Le feu éclaira assez les alentours pour que les archers puissent tirer correctement sur les elfes ennemis. Cinq d’entre eux tombèrent, les autres allèrent plus loin.

« -Faites attention, les ennemis sont très bien organisé. Si je renvoie les blessés au camp, il y aura sûrement quelques elfes pour les achever, si je continue, il est fort probable qu’ils nous retendent des embuscades dans l’obscurité de la forêt. Soldat, prenez tous une torche et regardez dans les moindres fougères, les moindres recoins. J’aimerais bien que quelques-uns d’entre vous monte dans les arbres aussi mais cela nous ralentirait considérablement et je ne veut pas qu’ils préviennent un quelconque renfort, l’armée elfiques qu’a décrit Elryl a été sûrement envoyé via les informations que ses éclaireurs leur avaient fournis. Sur ce soldats, en avant et que la traque reprenne. » Il ne lui restait plus que deux piquier, trois fantassins et miraculeusement, aucun archer fût touchés.

Surion avançait avec son groupe, il n’avait pas encore vue d’ennemis mais s’attendait à tout moment à une embuscade. Un de ses soldats entra dans une caverne au milieu d’une clairière pour regarder si quelques ennemis ne s’y cachaient pas.

Il entra avec d’autres fantassins, les piquiers en arrières et les archers arc bandés prêt à tirer. Il s’approcha pas à pas, prudemment pour ne pas faire de bruit puis, d’un coup sa tête fut arrachée. Les soldats se regardèrent entre eux, visiblement choqué par ce qu’il venait de se produire. Ils décidèrent de lancer une torche dans la grotte et, ils virent une dizaine d’araignée sortir de la caverne, certaine avec les pattes déjà roussies.

Les soldats paniquèrent un peu mais tinrent bon, les archers avaient déjà tués quelques-unes de ces affreuses bêtes. Quelques soldats furent mordus par celles-ci, Surion espéra que ces bestioles n’étaient pas venimeuses. Ils réussirent à en venir à bout en s’aidant des torches, les araignées se réfugièrent dans la caverne que les soldats s’empressèrent d’enfumer. Surion et sa troupe eurent à peine le temps de se reposer que déjà, quelques elfes les prirent en embuscade.

Surion et son groupe se mirent en position défensive, les archers derrière les fantassins. Les rebelles chargèrent au corps à corps et s’avérèrent de redoutable combattant. Surion sortit des petits couteaux qu’il lança sur les ennemis, certes, ils n’étaient pas très efficaces quand ceux-ci touchent le haut du corps ou l’armure mais ils s’avèrent redoutables quand on se les prend dans la tête. Ainsi, Surion et son groupe réussirent à les battre malgré de nombreuses pertes une dizaine d’elfes.

Ils n’étaient plus que quatre fantassins, un piquier et trois archers sans compter ceux qui s’étaient fait mordre par les araignées. Vu leur petit nombre, Surion décida de ne pas renvoyer les blessés au camp. Ils continuèrent leur traque en espérant ne pas retomber sur quelques ennemis qui croiseraient leur chemin.

Le 3eme groupe était commandé par un Fantassins du nom de Isurion, il marchait sur la vielle route de la forêt, à la recherche des éclaireurs. Ils ne savaient pas combien il y en avait mais espérait ne pas trop se faire attaquait. Il marcha sans entendre le moindre bruit suspect. Il observait les étoiles avec un air rêveur tout en faisant attention au reste de sa troupe. Il décida finalement de rebrousser chemin en allant dans la forêt.

Nostros et son groupe continuais péniblement leur chemin, il n’y à qu’une choses que Nostros pourrait redouter, la pluie. En effet, elle leur masqueraient leurs ennemis, les empêcheraient de bien viser et éteindrait leurs torches. Heureusement, le temps avait l’air plutôt sec et un soldat remarqua dans une clairière un petit groupe d’éclaireur. Ils étaient cinq en tout. Nostros ordonna aux archers de grimper dans les arbres pendant qu’ils se cacheraient dans les buissons.

Quand ces hommes furent en place, il sortit seul de son buisson puis, masqué par la nuit s’approcha peu à peu. Quand il fut sur de pouvoir toucher sa cible, il sortit son arc, ajusta la flèche avant de crier à ses hommes d’attaquer. L’homme qu’il voulait viser se retourna et la flèche lui transperça l’œil dans un bruit glauque. L’homme au sol, hurla de terreur avant de mourir quelques secondes plus tard. Les archers tirèrent alors leurs flèches qui tuèrent trois des éclaireurs. Les fantassins les avaient encerclés et ils n’avaient plus aucune chance. Nostros s’approcha d’eux puis, interrogea le premier elfe.
« - Sais-tu où sont les autres groupes d’éclaireur ? » demanda t’il.
Le soldat lui cracha au visage. Nostros, essuya la bave qu’il s’était pris sur la joue puis et sortit son épée.
« -Tenez le bien » Dit-il aux fantassins prés de lui.

Il força l’elfe à ouvrir la bouche puis, lui trancha la langue. Celui-ci, poussa un hurlement bizarre, le son avait du mal à sortir de sa gorges qui s’emplissait de sang. Les fantassins eurent du mal à contenir l’homme fou de douleur mais, parvinrent à l’immobiliser. Nostros prit la langue et la mis dans la bouche de l’éclaireur. Celui-ci, s’étouffa puis, se noya finalement dans son propre sang.

« -Je te conseil de parler sans attendre et de ne pas m’offenser, je suis très susceptible » Dit Nostros en souriant tout en regardant le second elfe.
Ce dernier, avoua qu’une dizaine d’entre eux se cachaient dans une caverne, très au nord, plus loin dans la forêt. Nostros et ses hommes se mirent en route, en amenant leur prisonnier avec eux.

Surion et sa troupe décidèrent de retourner au camp, l’attaque des araignées combinées à l’embuscade des éclaireurs peu après, les avaient exténués. S’ils combattent à nouveau, il y a de forte chance pour qu’il meure tous. De plus, Surion à remarquer que les araignées était venimeuses. Il avait au passage, pris quelques glandes à venin et demanda aux hommes atteints de ne pas paniquer. En réalité, il sait qu’ils sont déjà perdus, le camp est trop loin et si le poison est rapide, ils mourront en chemin. Ils rentrent donc en priant pour arrivaient sans encombre au campement où Elryl les attends.

Isurion parcouraient la forêt quand uns des hommes lui dit qu’il avait entendu un bruit suspect. Il ne l’écouta pas et poursuivi son chemin. Un autre soldat lui fit la même remarque et il décida de s’arrêter. Ils se mirent en position défensive et attendirent patiemment. Le groupe de piquier eut l’initiative de donner des coups de lance dans les buissons, un cri de douleur les avertit qu’il y avait effectivement une embuscade.

Le piquier sortit sa lance du corps de l’elfe dont il avait transpercé la gorge, des éclaireurs sortirent des autres buissons et foncèrent sur le groupe, trop tard car les fantassins parèrent la charge avec leur bouclier avant de riposter. Quelques archers sortirent des arbres et tuèrent deux fantassins, ils se firent rapidement repérer et tuer. La troupe conta ses pertes, deux fantassins un archer et un piquier. Ils continuèrent leur chemin vers le campement.

Handir et les autres attendaient le retour des groupes de Nostros Isurion et Surion. Ils ne s’étaient pas encore fait attaqués. La blessure du bras de Handir lui faisait de plus en plus mal, il espérait qu’elle ne s’infecterait pas.

Nostros suivait le captif et arriva en vue de la grotte. Il ordonna à ses hommes de rester en arrière. Il s’empara d’une torche et vit, au fond de la grotte une dizaine d’araignées morte. Il s’approcha de l’elfe, furieux et cria :
« -C’était un piège !!! Tu nous as fait perdre du temps ! » En criant ces mots, il le prit puis, le mit dans la grotte avant d’obstruer celle-ci avec l’aide de ses hommes grâce à une pierre assez haute pour la boucher.
Les soldats entendirent les cris de l’homme qui allait sûrement mourir de faim après avoir mangé les araignées roussies…

Nostros se dirigea vers le camp et trouva ses compagnons. Ils comptèrent leurs pertes puis ils entendirent des bruits de sabot. Au loin, un cavalier courait en se dirigeant vers le sud, Nostros reconnut un des éclaireurs rescapés qui l’avaient attaqué, lui et sa troupe. Il prit son arc et tira une flèche qui hélas, rata sa cible, il était trop loin.

Nostros ordonna à ses hommes de le poursuivre malgré leur fatigue, il espérait l’avoir pendant qu’il s’arête. Ils prit la tête du groupe puis, longea le fleuve. Deux soldats portèrent Handir qui ne pouvait pas marché à cause de sa blessure. Quelues soldat mourrurent en chemin, le poison avait fait son effet.
Bilan:
17Mort dont:
4Piquiers
7Fantassins
6Archers

Ar t'as été généreux mais t'as bien fait parce qu'il était seulement sergent les gars... Au grade de capitaine se sera plus pareil.

Perso, je trouve que par apport à toutes les nouvelle recrue, c'est moi qui fait les texte les plus longs =) et je suis passer sergent chef en seulement 2 missions ^^

Voila ta note

Longueur: 15 évite tout les espace s'il te plait, sa pourrais te pénaliser dans la longueur plus tard.
Histoire: 15 Évite les répétitions car au bout d'un moment c'est lourds.
Action:16 beaucoup d'action et bien gore
Orthographe: 7 beaucoup trop de répétition qui gâche un peux le texte et quelques fautes de frappes.

Total: 15/20

Belle mission, mais à l'avenir si tu pouvais éviter trop de répétitions et les espaces tu aura surement de meilleur note.

d'accord, merci de me critiquer, je ferai plus attention lors de ma prochaine mission

Prêt pour une nouvelle mission =)

Voila une mission:
Tu dois détruire un petit village d'elfe pour avoir ton propre repaire, tu pourras commencer par un petit campement mal protégé pour te réfugié ici apres tes missions afin de te reposer.
Troupe alliés:Toi et tes hommes.
Troupe ennemis: 50 elfes dont 20 armées d'arc et les autres d'épées elfiques, moyennement fort au combat.
Objectif:Prend le village elfe pour qu'il devienne tom campement!

Nostros et ses homme allèrent vers le Sud, en longeant le grand fleuve, Handir étant blessé fut porté par deux soldats, ils n’étaient plus que trente-huit, neuf archers, onze piquiers et dix-huit fantassins. Ils regardaient le fleuve paisible qui coulait aussi lentement que leur marche, ils n’avaient pas de chevaux donc ils allaient moins vite. Au bout de cinq jours sans incident notable, ils arrivèrent bientôt en vue d’un campement fortifié, il était perché sur une pente assez inclinée qui formait un plateau, entourés de quelques pieux, il y avait là vingt tentes, une trentaine d’elfes étaient entrain de s’entraîner à l’épée tandis qu’une vingtaine étaient à l’intérieur de la barricade pour protéger le camp. Nostros ordonna à ses hommes de rester dans les parages sans se faire repérer, si s’était le cas, ces elfes auraient vite fait de les trouver et de les tuer.
Ils devaient s’organisaient s’ils voulaient prendre ce campement qui était très bien positionné, il se situait non loin du Lorien près, au Sud à l’Est et à l’Ouest des partie boisées permettes d’être protégés des éclaireurs en tendant des embuscades, au Nord le delta que forme Nimrodel avec Anduin autorise une fuite en cas de problème en allant directement dans le fleuve. Le tout est situé sur un plateau permettant de tenir tête de façon stratégique à un éventuel ennemi en plaçant les archers en hauteur, le terrain étant en pente, cela les ralentiraient et les épuiseraient aussi, le seul problème allait être de prendre ce campement.

Nostros décida donc de camper pour la nuit en réfléchissant comment ils allaient s’y prendre pour abattre ces fiers guerriers. Il décida d’abord avant toutes vaines tentatives de les observer. Il partit les observer seul pendant trois jours, il demanda à ses hommes de ne pas s’inquiéter de son absence et de continuer sans lui sous les ordres de Surion s’il ne revenait pas avant quatre nuits. Il assista donc à la vie de ce camp en regardant chaque homme et leurs habitudes, le matin, la moitié allait se laver tandis que les autres s’entraîner au maniement de l’arc ou de l’épée, peu avant midi, ils allaient chercher des troncs d’arbres plaçaient non loin pour en faire des pieux, les plus petits pour les plantaient dans le sol, les plus grands utilisaient pour la palissade.
Ils allaient ensuite manger ce qu’ils trouvaient dans la forêt, puis ils participent alors à la vie du village jusqu’au soir en allant couper du bois, chasser, préparer de nouvelles flèches, pêcher dans la rivière ou en faisant la sentinelle. Nostros revint voir ses hommes pour leur raconter ce qu’il avait vu et pour leur faire part de sa stratégie, le meilleur moment pour attaquer est le matin, seul vingt-cinq elfes seraient alors dans le camp mais il serait mieux d’attaquer ceux dans la rivière pour avoir l’effet de surprise. Le soir, ils peuvent aussi tendre des embuscades mais cela s’avéreraient plus long et ne passeraient pas inaperçu.

Ils décidèrent donc d’attaquer ceux qui iraient se baigner avant de s’attaquer au camp. Ils attendirent donc le lendemain avant de se mettre en marche en suivant Nostros quand ils les virent enfin, les archers allèrent de poster dans les arbres tandis que les fantassins se préparaient à chargeaient. Sur un ordre, les archers sortirent leurs flèches, armèrent leur arcs puis tirèrent, les soldats surgirent alors des arbres pour foncer sur le groupe de baigneur, seulement quatre flèche atteignirent leur cibles.
Les pauvres elfes ne portaient pas d’armure et leurs armes étaient trop loin pour qu’ils puissent allaient les chercher, ils combattirent néanmoins avec l’énergie du désespoir et réussirent à tuer deux piquiers en s’emparant de leur armes. Nostros tranchait tout sur son passage, son épée fendait la chair avec facilité et le sang giclait partout autour de lui, quelques elfes qui essayèrent de s’enfuir furent abattus par les archers, la rivière était devenue rouge du sang des vaincus, les corps et les quelques membres qui flottaient lui rappeler vaguement l’instant ou il avait franchit le vieux gué et qu’il reconnu le visage des soldat se son armée.
Ils réussirent à tous les tuer sans subir beaucoup de dégât dans leur rang, Nostros était fier de sa stratégie, le plus dur allait être le deuxième groupe d’ennemis.
Ils arrivèrent en vue du camp et n’ayant pas de stratégie en tête, Nostros ordonna à ses hommes de les charger à son ordre en visant les dix archers qui restaient habituellement pour monter la garde. Nostros sortit son épée, la saisie à deux mains avant de foncer avec ses troupes sur les elfes, l’ennemi riposta immédiatement avec leurs arcs, faisant deux morts et quelques blesser parmi ses troupes, Nostros ordonna de riposter avec des flèches, ceci tua quelques adversaires, la confrontation arriva alors, Nostros transperça un premier ennemi et trancha le bras d’un autres, il esquiva de justesse une lame qui passa à ras de sa tête, il repéra ensuite assez vite celui qui semblait le chef de cette troupe car il combattait mieux que les autres.

Il vint vers lui en courant pour engager le duel, il essaya de lui planter son épée dans le ventre mais celui-ci esquiva le coup et lui fit une entaille sur le bras, un sourire aux lèvres, Nostros ne s’avoua pas vaincu et il l’assaillit en utilisant plusieurs coups frappés dans différentes directions. Son adversaires réussi tant bien que mal à parer sa lame et ils arrêtèrent momentanément leur combat pour reprendre leur souffle. Nostros n’était pas très endurant et miser plus sur la vitesse de ses jambes et son habilité à esquiver que sur la force de ses bras, il essaya à nouveau de l’attaquer en faisant de grands moulinets avec une fluidité extrême qui n’aboutit à rien, « décidément il est très fort » pensa Nostros.

Son ennemie passa immédiatement à la contre-attaque et essaya d’enchaîner les coups vers le bas et vers le haut pour l’obliger à dépenser plus d’énergie pour parer ses assauts. Nostros suait à grosse goutte mais vis soudain une faille dans l’attaque de son adversaire, il attendit que celui-ci recommence son combo avant de lui planter son épée dans le bras, un hurlement de douleur et de rage se fit entendre aux alentours, Nostros ne réussit pas à dégager son arme qui était coincé dans le bras de son ennemi, il prit appui sur sa lame et mit tous son poids dessus pour briser les deux os qui la retenait, un craquement s’entendit mais elle resta bloqué malgré ses efforts.
Son ennemi était par terre, souffrait de tout son être, Nostros ramassa l’épée de celui-ci et lui trancha le bras, le chef l’implora de le tuer ce qu’il fit. Il lui trancha la tête en la levant bien haut pour que tout le monde puisse la voir, les gouttes de sang qui tombaient sur son visage le répugnait mais les ennemis furent démoralisés tandis que ses troupes redoublèrent de coups pour finir ce combat éprouvant. Les elfes arrivèrent à s’enfuir et Nostros compta ses pertes, une dizaine de mort, il fut très étonné que ces ennemis puissent faire autant de dégât dans ses rangs, néanmoins, il n’avait plus que trois piquiers, treize fantassins et neuf archers, ils décidèrent de faire des recherches dans la forêt. Ils ne s’étaient pas encore remis de ce combat éprouvant et marchèrent quelques heures avant de constater que les ennemis s’étaient bel est bien enfuis.

Ils décidèrent donc de dormirent dans le camp fortifié qui désormais leurs appartenaient, Nostros fit le même cauchemar qu’il avait fait quelques jour auparavant, cette fois-ci, ceux à qui il avait ôter la vie précédemment se joignait aux autres au fur et à mesure pour reprendre leur chanson macabre :
« -Tu nous a tué, tu nous a tué ».
Il se leva, et décida d’aller se purifier dans la rivière, il enleva tout le sang séché qu’il avait accumuler sur lui tout le long de la bataille puis, retourna dormir.
Le lendemain matin, il ordonna à ses troupes d’aller chercher du bois, il voulait finir ce campement qui décidément lui plaisait bien. Il partit lui aussi avec ses hommes et découpa, à l’aide des scies et des haches qui traînaient dans le campement, des bûches et des tronc d’arbres qui coupèrent en morceau plus petit pour les transportaient plus facilement. Ils s’organisèrent aussi pour tailler des flèches dans les branches tandis que l’on finissait le mur de pieux avec les morceaux de bois plus gros.
Soudain, un cri déchira le ciel, il venait de la forêt et aussitôt, ils accoururent. Un des fantassins gisait au sol, transperçaient par autant de projectiles qu’ils y avaient d’ennemis. En hauteur sur les arbres, ceux-ci réarmèrent leur arc, Nostros et ses hommes se retournèrent trop tard et eurent à peine le temps de se protéger, un fantassin et deux piquiers moururent. Nostros répliqua à son tour et lui et ses archers criblèrent les elfes de flèche, ceux-ci tombèrent comme des masses des arbres et le dernier tomba sur la tête de Nostros, un voile noir apparut devant ses yeux puis, tout disparut. Il se réveilla quelques heures plus tard et ressentit une douleur au crâne en se réveillant dans une tente, un homme qui tombe d’une hauteur de trente mètre, sa ne fait pas qu’un bleu.

Surion remarqua qu’il était éveillé puis s’approcha de lui et raconta ce qu’il s’était passé avec une pointe de moquerie dans la voix :
« - Ils avaient tous péris sous la volée de flèches que l’on a envoyés mais un des morts, en tombant t’a heurté violemment, au début nous avons trouvé la scène comique mais quand on a aperçu que tu ne semblais pas te relever, on a décidé de t’apporter jusqu’au camp. »
« -Bien, tu est sur qu’aucun n’en a réchappés » ?
« -Affirmatif, si il y en aurait d’autres à leurs cotés, ils auraient bien finit par nous tomber dessus. » Dit-il en souriant.
Les deux archers qui l’accompagnaient retinrent des gloussements.
« -Surion, la prochaine fois évite ce genre de commentaire devant mes hommes. »Dit-il d’un ton sérieux.
« -Bien, je vous laisse. » Surion sortit de la tente en rigolant avec les archers. Nostros pensa que se n’était pas bien grave, les temps sont dure et ses hommes ont besoin de décompresser un peu, puis il connaissait Surion depuis longtemps déjà, il était avec lui sur le bateau lors du jour ou il s’était engager sur l’armée.
Il resta toute la journée dans sa tente, son mal de crâne ne passant pas. Il réussit à dormir en faisant toujours le même rêve accompagné des morts qui hantaient son esprit.
Il se réveilla le lendemain matin, il fut impressionner par les travaux qu’avaient fait ses hommes pendant son absence momentané, la rangée de pieu s’était élargie et ils avaient gardé les plus gros troncs afin d’en faire un début de palissade. Nostros décida que se serait ici qu’il retournerait pour se reposer avec sa troupe lors des futurs combats à venir. Il marcha dans le camp et un de ses hommes l’interpella :
« -Nous avons trouvé ceci après la bataille, nous avons décidés de vous le donnez en main propres sans ouvrir son contenus. » L’homme lui tendit un coffret de bois finement sculpté que Nostros s’empressa d’ouvrir. Il lut d’abord une lettre qui était destinait au farouche chef des elfes.
Silmal, pour vous récompenser d’avoir protéger mon village contre les gobelins la dernière fois aux pieds des monts brumeux, je vous remet ces quelques pierres précieuses en guise de récompense et en gage d’amitié, vous trouverez dans ce coffret des onyx noirs, du minerais de fer ainsi que le plus gros rubis que nous avons trouvé dans nos mines, vous pourrez ainsi vous forgez une arme dont la puissance, je l’espère vous préservera de la mort dans de futurs combats.
Cordialement, Dugnar.

Nostros déposa la lettre puis, admira les pierres précieuses il y avait là une vingtaine de petit onyx noirs et assez de minerais pour se former une épée longue fine et résistante, un rubis assez gros était posé dans un paquet au fond du coffret. Nostros demanda à ses hommes d’aller lui chercher des outils de forgerons. Il demanda à ses elfes si un d’eux avait été jadis forgeron, et si oui, de lui expliquer comment forger une épée. Un de ses homme fût étonné de cette requête mais s’avança, il lui montra tout les geste à faire, comment ne pas se brûler avec le métal en fusion, comment donner plus d’allure ou de robustesse à la lame, comment ornée la garde…
A l’aide du soldat, déjà assez âgé, il fit fondre une bonne partis du minerais pour former le plat de l’arme, sous le conseil de ce forgerons expérimenté, il mis le fer encore bouillant dans un bac rempli d’eau. Il forgea ensuite la garde qu’il orna des deux onyx les plus noirs. Il alla ensuite se reposer, selon les conseils du vieil homme il fallait que l’acier refroidisse une nuit entière pour gagner en solidité. Il voulait se forger une épée digne d’un meneur d’homme, celle qu’il avait reçue depuis qu’il s’était engagé dans l’armée était déjà rouillé et n’étais pas très solide, elle lui avait néanmoins permit de tailler quelques ennemis en pièce. Il se réveilla le lendemain en sortant l’acier qui s’était formé dans le bac, ceci constitué la base de son sabre, il décida de se concentrer aujourd’hui sur le tranchant de la lame avec ce qu’il restait dans le coffret de bois. Il s’empara des onyx qu’il réussit à faire fondre après plusieurs essais puis, ajouta le métal noir encore brûlant sur ce qu’il avait fait la veille puis, replongea encore une fois le tout dans l’eau. Il demanda à ses hommes qui avaient chassé le gibier de ce matin de tannais la peau d’un des animaux morts pour obtenir du cuir qu’il pourrait utilisé pour construire la fusée. Le forgeron le prévint que le métal s’était déjà refroidit et qu’il avait ajouter lui-même la garde. Il l’aida ensuite à faire le pommeau en emboîtant un métal en forme de tube dedans, il ne manquait plus que le cuir qui prendrais une semaine avant d’être prêt. Nostros n’avait donc plus qu’à attendre. Il s’entraîna donc à l’arc avec ses hommes ou participa à la vie du camp qui s’agrandissait de plus en plus.
« Bientôt, je fonderais un village assez fortifié ici pour m’abritez moi et mes hommes si jamais une armée trop puissante nous fait face. » Pensa t’il.

Bilan des morts :
Sept fantassins,
Dix piquiers.

prés pour une nouvelle mission

Voilà ta note:
-Taille: 16/20 (très bien)
-Histoire: 15/20 (l'histoire est complète, bien raconté et décrite, un conseil: rajoute plus de dialogue, cela augmentera la taille de ton texte et l'ameliore davantage)
-Orthographe: 9/10
-Action: 17/20 (Beaucoup d'action, sanglant et j'aime bien quand c'est sanglant )
Note général: 16.5/20 Très bonne mission !
Dit le moi si il y a un probleme.

Aucun problème, je suis plutôt ceontent de ma note pour le sanglant l'idée me vient d'un texte que j'avais fait en 5eme(vu qu'on étudié les chevalier et tt sa avec un copain on fesait celui qui fesait les truc les plus gore on se taper tt le temps des 10-12 mais sa fesait rire la classe)

En tout cas dans tes missions ca rend très bien mais fais gaffe quand meme de ne pas en mettre trop sinon c'est trop sanglant après.

Une nouvelle mission s'il vous plaît

La vue des elfes commence à t'exaspérer, et il paraitrait qu'au nord, un groupe de nain aurait fait main basse sur une véritable fortune... pourquoi ne pas y jeter un œil ? par contre le voyage sera long et périlleux.
De plus les nains défendront leur or au péril de leur vie, alors attention !

Armée ennemie : 25 nains, bien équipés, bien entraîné, des vétérans, et enragée car tu t'attaque à leur richesse. Plus des bestiaux que tu rencontre en route selon tes désirs.

Ton armée : toi, tes hommes.


Bonne chance, n'hésite pas à demander pour des précisions !

Une semaine plus tard, le cuir était tanné et Nostros s’en servit pour entourer la fusée de son épée, elle fut ainsi prête, le forgeron lui dit que selon une tradition de son village, chaque arme forgée à son âme et pour la révéler il faut lui donner un nom. Nostros décida de l’appeler Nak’tal. Le vieil homme lui demanda pourquoi ce nom insolite, Nostros lui répondit que même si il ne veut rien dire, cela lui inspirer quelques choses. Il inspecta ensuite ses soldats et se dit qu’il était temps de se reprendre en main, les armures commençaient à rouiller, les armes s’émoussaient et ils errent sans but précis. Après avoir retrouvé les survivants, tué les éclaireurs, marché le long du fleuve pour prendre ensuite ce campement, ils croupissent maintenant dans cette clairière. Nostros décida d’envoyer quelques éclaireurs en espérant que ceux-ci reviendraient avec de bonnes informations pour qu’ils puissent enfin partir vers de nouveaux horizons.
Il attendit quelques semaines qu’il passa en participant à la vie du campement, il se dit que celui-ci formerait une excellente cachette pour ses futurs trésors de guerre. Un matin alors qu’il s’entraînait à l’arc avec Surion, on lui signala que les éclaireurs étaient revenus et que seul un groupe avait un rapport à faire. Il se dirigea vers les trois elfes qui lui parurent enthousiasme.
« -Nous vous apportons une excellente nouvelle » Dit le premier avec un sourire.
« -Quel est t’elle ? »Demanda Nostros.
« -Apparemment des nains venant d’Erebor ont réussis à accumuler beaucoup d’or, d’après les paysans ils en auraient une quantité impressionnante. »
« -Intéressant, avez-vous eu d’autres renseignement, savez vous ou cache t’il leur butin ? »
« -Malheureusement non, nous n’avons pas put aller sur leur terre pour explorer le secteur. D’après la rumeur, ils auraient tout caché dans une grotte mais nous ne savons pas si cette information s’avère vrai. »
« -Savez vous leur nombres et s’ils savent bien se battre ? »
« D’après les dires de quelques gardes qui ont réussi à sauver leur peau ils étaient assez forts, la plupart sont armés d’haches et quelques-uns ont des arbalètes ou des petits arcs. »
« -Bien il ne sera pas aisé de les battre, surtout que nos effectifs se sont réduit pour prendre ce campement. Soldat, je suis fier de vous, vous pouvez allez vous reposer. »
Les trois éclaireurs partirent rejoindre les autres elfes puis, ils se racontèrent les nouveaux ragots des paysans.

Le lendemain, Nostros réunit ses hommes pour leur annoncer la nouvelle, tous ses compagnons furent heureux d’apprendre qu’ils allaient combattre de nouveau et surtout qu’ils allaient peut-être repartir riche. Il ordonna à ses soldats d’emporter toute la nourriture possible car le voyage allait sûrement s’avérait très long. Ils laissèrent le campement sans personne pour le protéger, de toute façon il était bien cachés et il faudrait un coup de chance pour qu’un quelconque ennemi tombe dessus par hasard. Ils firent les préparatifs puis, commencèrent à marcher vers le Nord., Nostros pensa qu’il serait temps d’avoir des chevaux, marcher devenait pénible et demandait plus de temps, de plus il fallait porter toutes la nourritures, les armes, munitions et autres affaires de guerre, une mule ou un cheval aurait accélérer les choses.
Ils continuèrent quand même en longeant le fleuve dont l’eau aux reflets bleutés scintillait sous les rayons du soleil, marchant péniblement, le paysage se modifiait peu à peu, la forêt verdoyante laissé maintenant place à des plaines parsemés d’arbres et de buissons.
Ils progressèrent encore puis, décidèrent de stopper leur marche pour installer les tentes. Nostros fut gagner par le sommeil, un des avantages d’avoir une plus grande armée et surtout, d’être le dirigeant de celle-ci est de ne pas à être réveiller au beau milieu de la nuit pour faire son tour de garde. Il se réveilla néanmoins assez tôt et se joignit au groupe d’elfes qui s’était réunit autour du feu, même si ceux-ci le considéraient comme le chef, ils le traitait comme l’un des leurs, parfois cela irritait un peu Nostros mais il comprenait qu’il devait être dur de se faire commander par quelqu’un de plus jeune que soit. Il n’avait pas encore réussi à gagner l’estime de tous mais il se dit que si il réussissait à prendre l’or des nains, il se ferait une meilleure réputation et que ses guerriers auraient une meilleure confiance en lui.
Il demanda à ses soldats de réveiller les autres puis, une fois que tout le monde fût prêt, ils continuèrent leur route en direction de Erebor. Il resta pensif tout le long du chemin en réfléchissant déjà comment il s’y prendrait contre ses petits hommes, il ne s’était jamais battu contre un nain mais il se dit que vu leur réputation guerrière et brutal il ne fallait pas les sous-estimer, malgré leur taille, ils ont une grande force. Celons lui, la meilleure technique aurait été d’enfumer les cavernes, il n’y aurait que peu de pertes et ils pourraient facilement les bloquer, le problème et que face à une situation pareille, l’ennemi ne réagit pas comme on l’espère. Il se dit alors qu’il faudrait les empoisonner à partir des glandes à venin que Surion avait récupérer sur les araignées il y à déjà longtemps. Autres stratégies, autres inconvénients, cette tactique s’avérait trop longue car le poison met quelques jours avant d’agir et il se peut qu’ils aient un antidote ou qu’un éclaireur vienne prévenir d’autres nains en les découvrant malades ou morts.
Un soldat proposa son idée, il pensait que la meilleure façon de les vaincre aurait été de les pousser à tomber dans un piège, par exemple des trappes remplis de pieux. L’idée plut à Nostros mais il fallait encore faire des préparatifs pour tailler les piques, faire le camouflage, poser les pièges dans la caverne sans se faire remarquer et enfin pour les pousser dedans. Si l’une de ces phases se passer mal, ils seraient à la merci de leurs ennemis et se feraient rapidement tailler en pièce. Surion lui dit qu’une embuscade est toujours bénéfique et qu’il est facile d’en faire une dans les nombreux dédales d’une grotte, de plus elle ne demande pas une longue préparation pour se mettre en place et si l’effet de surprise est réussi, elle s’avère redoutable et meurtrière pour finalement se solder par une victoire net et sans grande pertes.
Ils continuèrent à marcher et à élaborer de nombreux plans pendant environ une semaine Ils pourraient ensuite les mettre en applications dans un futur proche. Ils étaient maintenant proches des montagnes d’Erebor et ils campèrent dans la forêt, ils ne devaient rien craindre des loups ou autres bêtes dangereuses car le feu les protégeaient.

Or, cette nuit là le feu n’étant pas assez alimenté et le garde s’étant assoupit, une meute de loups vient rôder un peu trop prés, aucun ne s’en aperçurent, ils dormaient tous. Un homme qui était en train de rêver se réveilla en sursaut et tomba nez à nez avec un de ses sombres serviteurs de la nuit, il ne réussit pas à crier assez fort pour réveiller ses compagnons, les crocs d’une louve s’était déjà enfoncer dans sa chair molle et tiède, le sang s’écoula lentement puis, il tomba sur sa couche avant de rejoindre la mort. Un autre homme se leva, la soif le tirant lentement de son sommeil. Il prit sa gourde avant de reconnaître les canidés à la fourrure argentée sous le reflet de la lune. Il ne réfléchis pas et cria à pleins poumons, Nostros se réveilla puis, empoigna son arc. Il était trop tard, la meute s’était enfuie dans la forêt avec le corps des deux soldats. Il était stupide de perdre un homme dans une situation pareille il demanda à sa troupe qui était chargé du tour de garde et quand le coupable vit la fureur dans lequel était son chef, il comprit vite son sort. Nostros ne pouvait pas se permettre de blesser un de ses hommes avant la bataille et donc, il lui donna la lourde responsabilité de veiller quelques heures de plus pendant son tour de garde de plus, il n’aurait plus de jour de repos. L’homme se rassura et s’excusa auprès de Nostros, il ne pensait pas que des loups les attaqueraient étant donné leurs nombres. Ils se rendormirent tous en doublant le nombre de veilleurs, ils n’étaient maintenant plus que dix-neuf. Le lendemain, quand tout le monde fût levée, Nostros ordonna à quelques-uns de ses hommes de partirent en éclaireur et d’essayer de repérer la caverne ou la grotte ou se cachaient les nains ainsi que de marquer d’une croix celles ou il n’y à personne. Six groupes de deux partirent ainsi à la recherche de la cachette ou l’or pillé était entreposé. Nostros savait qu’il prenait un énorme risque en laissant seulement deux hommes par groupes, si des ennemis les repérer, ils seraient à leurs merci par contre, le bon coté de ce plan était qu’ils collecteraient plus vite des information et qu’ils découvriraient plus de grotte ainsi, il disposerait de davantage de temps pour mener à bien une de ses stratégies qu’il avait élaborer lors du voyage. Ils attendirent quelques jours avant que les éclaireurs ne reviennent. Nostros s’inquiéta qu’un des groupes manque à l’appel. Ce fût la première nouvelle qu’on lui annonça, les deux hommes avaient été retrouvés en lambeaux dans une petite caverne. Apparemment s’était des ours affamés qui avaient dût repérer les deux elfes. Ils annoncèrent par contre qu’ils avaient réussi à trouver l’entré de la grotte des nains, s’était un véritable labyrinthe de roche et de pierre mais ils avaient entendu leurs cris résonner sur les parois quand ils s’étaient disputés pour l’or qu’ils avaient accumulé.

Nostros dit aux éclaireurs de se reposer, il avait son plan en tête et il ne faudrait pas plus d’une journée pour le mettre à exécution. Il ordonna aux hommes qui n’étaient restait au camp d’aller chercher du bois, pas beaucoup, juste des branches épaisses et quelques planches qu’ils tailleraient eux-mêmes sur les troncs d’arbres. Quelques heures après, les hommes revinrent, Nostros leur expliqua son plan, ils assemblèrent les larges planches ensemble puis, percèrent quelques trous dedans, ils taillèrent ensuite les branches pour en faire des longs pieux. Ils emboîtèrent ensuite les pieux avec les planches. La structure de bois s’avérait assez lourdes mais été faîtes pour être tenir par plusieurs hommes ainsi, ils disposaient à la fois d’un bouclier et de lances affûter. De plus, le bouclier géant était trop haut pour que les nains puissent l’escalader, sauf si ils prenaient appuis sur les piques pour grimper encore aurait-il fallut que le plafond de la grotte ne soit pas trop bas. Ils attendirent le lendemain pour attaquer, très tôt, Nostros réveilla ses compagnons d’armes, le soleil ne s’était pas encore levé. Ils portèrent tous la lourde arme en bois puis, suivirent le groupe qui avait repérer la caverne ou se terraient les nains. C’était une vaste grotte assez sombres, s’était un véritable dédale ou plusieurs tunnel se rejoignait, certains étaient creusé à la pioche, d’autres étaient naturel. Ils avancèrent prudemment et n’utilisèrent pas tout de suite leur arme secrète, celle-ci leur bloquerait la vue, elle s’avéra d’ailleurs bien encombrante et certains soldats commençaient à douter de son efficacité. Bon gré mal gré, ils continuèrent à déambuler jusqu'à ce qu’ils entendent finalement des voix bruyante, leur ennemi n’était plus très loin.
Ils approchèrent à pas de loups mais ils étaient déjà repérés, cinq nains surgirent d’un tunnel armé de leurs francisques et déchiquetèrent leur flanc droit, un bras vola et s’écrasa mollement sur la paroi de la grotte, deux elfes hurlèrent, une hache plantée dans le ventre. Les archers réussirent à tuer deux petits hommes, ils réussirent finalement à les repousser mais avant qu’ils déploient leur arme, les nains les encerclèrent. Ils se réfugièrent dans un cul de sac et tendirent le bouclier géant hérissé de pointe devant les nains qui essayèrent de couper les pieux. Quelques-uns, malgré leur lourde armure s’empalèrent dessus. D’autres essayèrent de l’escalader mais malheureusement pour eux, le plafond était trop bas. Ils essayèrent de trouver une brèche mais n’en trouvèrent pas, les hommes de Nostros commençaient à reprendre confiance et se sentait invincible derrière ce mur épineux. Les nains s’acharnèrent comme il le pouvait mais essayèrent de ne pas rentrer en collision avec les pics. De temps en temps, Nostros et ses soldats poussaient le mur pour que quelques-uns de ses ennemis s’étripes dessus. Les carreaux d’arbalètes qu’ils tiraient étaient inutiles, finalement, ils découvrirent une brèche dans le rempart, tour à tour ils frappèrent avec leurs armes dans la faille qui s’élargissaient de plus en plus. Finalement, le soldat qui était derrière se prit une hache qui lui fendit le crâne en biais. Surion riposta en tirant une flèche à bout portant qui se planta dans l’œil de la cible, le sang coulait de son orbite trouée. Le nain aveuglé par le sang et par la douleur s’acharna jusqu'à ce qu’il périsse par une seconde flèche. Nostros fût impressionné par le courage de ses petits hommes, il avança avec ses compagnons pour essayer de tuer d’autres nains mais bizarrement, ceux-ci était un peu plus loin et préparait quelque chose.

Ils les virent amener un petit tronc avec au bout une tête de warg sculpté dans du fer. Un bélier !! Ils allaient s’en servir ! Et ce n’était pas tout, les arbalétriers préparèrent des munitions enflammées qu’ils tirèrent sur leur mur pour que celui-ci soit moins résistant. Leur ennemi attendirent que le feu fasse un peu son effet avant de foncer en criant sur le bouclier. Celui-ci tint bon mais Nostros et sa troupe eurent du mal à le contenir. Second coup, quelques planchent commencèrent à se tordre, il fallait trouver une parade et vite. Une troisième charge troua un peu le bois, ils allaient finir broyer contre les parois. Une quatrième explosa les planches et assomma deux hommes. Les nains commençait déjà à se réjouir de leur victoire, eux étaient prient à leur propres piège. Le bélier recula pour faire son ultime attaque, un elfe courageux du nom de Athanur sortit son arc en main. Les nains furent peu impressionnés, puis, le temps sembla ralentir, les nains hurlèrent à pleins poumons pendant que Athanur sortait du trou, les petits hommes contractèrent leurs muscles et firent quelques pas. L’elfe arriva à sortir puis, prit une flèche, ses ennemis foncèrent, piétinant les corps de leur frères tombés au combat. Nostros observa la scène, il fut impressionné par se sauveur qui faisait preuve d’un grand courage. Le soldat tira une première flèche qui se planta dans la tête d’un premier nain, ceux-ci foncèrent toujours, ignorant leur perte. Athanur sortit une deuxième flèche puis, blessa un second à l’épaule. Au moment d’en sortir une troisième, le bélier lui fonça dessus, la tête de warg qui allait à toute vitesse commença par lui ouvrir la peau puis, sa chair encaissa un peu le coup mais l’arme de siège continua sa course mortelle, ses muscles se réduire en bouillie, les ligaments cassèrent, les veines et les capillaires explosèrent les uns après les autres, la cage thoracique n’opposa que très peu de résistance puis se rétracta, un peu de moelle gicla du sternum puis, les côtes vinrent se casser pour se planter dans le reste de son corps.
« Encore un homme mort pour rien » Se dit Nostros.
Le bélier percuta un peu moins violemment la paroi de bois, le corps de Athanur ayant encaissé presque tout le coup. Ses tripes écrasées restèrent collés à la tête de warg ensanglanté. Finalement, le trou s’élargit tellement que Nostros décida d’envoyer ses hommes attaquer directement plutôt que d’attendre la mort, il sortit en premier, suivi de prés par Handir puis ses hommes. Ils foncèrent tête baissée sur les nains qui lâchèrent le bélier afin de venir au corps à corps. Il allait enfin tester sa nouvelle lame, il fracassa le manche d’une hache et trancha la main d’un de ses ennemis. Surion et les autres archers furent plus rapide à tirer que les arbalétriers nains et quelques-uns tombèrent. Un petit homme essaya de couper une jambe à Nostros qui, esquiva partiellement le coup. Malgré son armure une longue plaie le fit souffrir. Il donna un coup rapide à son ennemi, d’un geste sec du bras qui lui fendit le crâne en deux. Les nains étaient moins nombreux mais se battaient comme des forcenés, dopés dans l’espoir d’avoir moins d’or à se partager et donc d’être plus riche. Quand tous les arbalétriers furent morts, les archers sortirent leur épée et se lancèrent à leur tour dans la mêlée. Nostros donnait des coups de plus en plus violent sur un nain qui ne pût parer un des coups, cette erreur lui fût fatale ; à coté de lui, un de ses hommes hurlait de douleur, il continuait à combattre alors qu’il lui manquait un de ses membres dont il se servait pour taper son agresseur, il ne le fit pas longtemps car il s’affaissa au sol, il allait rendre son dernier souffle. Nostros surgit derrière le nain coupeur de bras et lui trancha la tête.
« -Tu est vengé maintenant » Dit-il au soldat qui n’eut pas le temps de le remercier car un petit homme vint lui fendre le crâne. Nostros et sa troupe réussirent finalement à les encercler puis, ils se rendirent.
« -Ayez pitié de nous noble elfe ! » Dit un premier.
« Oui, j’ai une famille moi. » Dit un autre.
Nostros le mit au sol, il leva son épée haut dans la grotte est rétorqua :
« Les elfes que tu a tué aussi avait une famille ». Il lui planta l’épée dans le visage puis, la ressortit. Il tua tous les autres nains avant d’ordonner à ses hommes de s’emparer de l’or. Il leur fallait maintenant sortir de la caverne or, les tunnels se ressemblaient tous et ils avaient l’impression de s’enfoncer de plus en plus dans les sombres dédales, leur plus grande peur était de déboucher au milieu d’une armée de nain, cette crainte fût bientôt remplacer par d’autres plus probables comme tomber sur une araignée géante ou tout simplement se perdre et ne jamais retrouver la sortie de cette grotte maudite. Nostros et ses hommes perdirent peu à peu la notion du temps, ils ne savaient plus si il faisait jour ou nuit et ne savaient pas si cela faisait un jour ou une semaine qu’ils étaient enfermés. Les ventres commençaient à crier famine et les soldats devenaient de plus en plus colériques, un des elfes devenait peu à peu fou et Nostros dût le tuer pour éviter qu’il essaye de manger un des blesser. Ils commencèrent à avoir trop faim et certains disaient même que l’or des nains était maudit et qu’il attirait la mauvaise fortune. Nostros n’y croyait pas jusqu'à ce qu’il tombe nez à nez avec une araignée géante. Il creva un des innombrables yeux de la bête, bientôt imité par ses compagnons. Un de ses hommes se fit happer par l’affreux arachnide mais ils réussirent à le vaincre. Surion enleva les glandes à venin pour les transporter avec lui puis rejoignit Nostros et le reste du groupe afin de se remplir l’estomac. La chair était immonde mais rempli leur estomac. Ils reprirent enfin leur chemin puis, miraculeusement ils virent de la lumière. Ils ne savaient où ils se trouvaient mais le fait de revoir le ciel et de respirer de l’air pur leur fit du bien. Ils furent tous heureux et hurlèrent à pleins poumons. Ils n’étaient plus que onze et le partage de l’or allait commencer.
« -Etant donné que je suis votre chef et que je vous ai guidé jusque ici et que grâce à moi nous avons eût l’or et nous avons vaincu à l’aide de ma stratégie les nains, je pense qu’il serait normal que j’ai le plus d’or. » Commença Nostros.
Aucun de ses hommes n’osa contester et ils lui donnèrent un tiers de l’or. Les autres se partagèrent équitablement le reste de la somme. Vu qu’ils étaient peu nombreux chacun fût content de la somme reçu. Ils campèrent ensuite dans la forêt, ils étaient fatigué et ils attendirent le lendemain pour partirent vers le sud. Nostros espéraient retrouver facilement son chemin.

Bilan : douze mort dont :
Six Fantassins,
Six archers.

Prêt pour une nouvelle mission

depuis que tu as nouvellement acquis ton repaire, certains hommes t'envie et beaucoup veulent te le prendre, notamment un grand mercenaire, celui-ci a pas mal de soldats et beaucoup d'années d'expérience.
Il amène avec lui ses meilleurs soldats mais toi tu as l'avantage du terrain ( des pièges, des cachettes etc...)


ennemi: le chef mercenaire + 15 de ses meilleurs hommes

Je te noterai demain dans la journée, plus trop le temps là...

O.K pas de problème.

Jolie !

Taille : 17/20 (plus honorable)
Action : 18/20 (toujours aussi gore...)
Orthographe : 9/10 (je crois pas avoir vu plus d'une faute ou deux...)
Histoire : 18/20 (J'ai bien aimé)

Note finale : 18/20 Une excellente mission, enfin personnellement j'ai bien aimé !

Bonne chance pour la mission d'ar pharazon !

Ourah! sa me fait 4.5 point!! plus que 0.5 pour être capitaine ^^
Merci pour la note =)

Voilà là mission que ar m'a donner il y à 2mois (j'ai mis beacoup de temps à l'écrire car je n'avait pas trop de temps et beacoup de travail.)

Nostros et ses compagnons marchèrent dans la forêt noir pendant assez longtemps, ils préféraient alors dormirent dans les arbres hors de portée des loups car malgré le feu, ils les auraient attaquer. Ils arrivèrent dans une plaine et ils durent traverser à la nage la rivière noire puis, ils se laissèrent sécher et ils continuèrent leur chemin jusqu'à ce qu’ils tombent sur la vieille route de la forêt. Là, ils marchèrent longtemps, ils ne parlèrent que très peu car il n’était que neuf. Nostros avait hâte de renouveler son armée, il pensa qu’il faudrait aller de village en village en essayant de recruter le maximum de gens. Avant cela, il leur fallait déposer leur or ou achetait des chevaux, ce à quoi Nostros pensait depuis longtemps.
Ils continuèrent à avancer le long de la route et au bout d’un certain temps ils arrivèrent en vue de l’ancien gué. Nostros resta nostalgique et repensait à la nuit ou il avait affronté les terribles éclaireurs qui lui avaient fait de nombreuses embuscades.
Ils longèrent ensuite Anduin le grand fleuve et croisèrent un petit village. Ils décidèrent de s’y aventurer mais les habitants préférèrent les éviter. Il était vrai qu’ils étaient peu rassurants dans leur armure, l’épée accrocher à leur ceinture et épuisé par le voyage. Ils allèrent chez les petits commerçant qui dans un premier temps furent méfiant puis heureux en entendant le bruits des pièces d’or s’entrechoquaient.
Ils achetèrent surtout des vivres rares dans la forêt comme des fruits secs qui se conservent assez bien ainsi que du vin ou encore du fromage. Avant ils ne vivaient que des produits de la casse et de la cueillette maintenant, ils pouvaient mieux manger. Nostros se permit de dépenser autant dans de la nourritures car ils étaient peu nombreux, il ne l’aurait sûrement pas fait s’ils étaient encore une grande armée. Ils achetèrent aussi de lourd sac de diverses céréales qu’ils emportèrent puis, ils se remirent en route. Ils mirent ensuite quelques jours pour arriver à leur campement. Là-bas, ils déposèrent toutes leurs victuailles et Nostros mit son or dans un coffre. Ils se reposèrent et allèrent chasser ou pêcher pour faire passer le temps, dans une semaine il faudrait qu’il recrute d’autres hommes et devraient repartir à l’aventure. Ils continuèrent à se reposer mais leur repos fût bientôt troublé par un étranger.

De loin, Nostros crût voir quelqu’un. C’était un grand homme robuste vêtu de peaux de bêtes qui lui observait le camp, il n’avait pas remarqué Nostros. Il fit le tour du campement en s’arrêtant prés de la rivière avant de faire demi-tour. Ou il les espionner ou il allait les attaquer, la discrétion ne devait pas être son point fort. Nostros préféra rester sur ses gardes et demanda à ses hommes de sortir les arcs ainsi que de préparer des flèches. La nuit, ils n’allumèrent pas de grand feu pour ne pas se faire repérer, si l’ennemi attaqué et croyait tomber sur un camp désert, ils auraient un énorme avantage sur le combat, de plus il ne connaissait pas leur nombre et ils étaient que neuf. Certes le camp était bien protéger et entourer de nombreux pieux mais il fallait se tenir sur ses gardes. Cette nuit là, il ne se passa rien et à l’aube, l’étrange homme revint mais s’approcha un peu plus prés, Nostros ne put pas encore le voir distinctement mais il sut qu’il fallait se méfier de lui. La nuit, la lune était presque pleine et il jugea bon de creuser quelques pièges au cas où l’ennemi les attaquerait. Ils creusèrent des trous de diverse taille, certains ne faisait pas plus de cinquante centimètre de profondeur mais les hommes aux peaux de bêtes s’empaleraient s’en doute le pied dessus et seront des cibles faciles. L’avantage était aussi que ces petits pièges ne prenaient pas beaucoup de temps à faire et qu’ils étaient très faciles à camoufler. Ils creusèrent d’autres fosse plus grand qui leur arrivaient à l’épaules ou cette fois, plusieurs pique se dressait.
Le lendemain, plusieurs mercenaires s’approchèrent du camp en restant suffisamment à distance, ils observèrent étonné les petit trou dans le sol ou des lapins, mulots et autres petits rongeur malchanceux s’étaient éventrer. Ils reculèrent en faisant attention à où ils posaient leurs pieds.

« Une stratégie qui tombe à l’eau » Se dit Nostros, maintenant ils doivent savoir que nous sommes derrière ces murs, ils ne connaissent pas notre nombre exact mais ils doivent se douter que nous sommes peu nombreux. Il se dit qu’ils n’étaient pas très intelligents et plutôt fonce-dans-le-tas en même temps, ils paraissaient tous aussi robustes et endurant que leur chef, ils devaient être redoutable au combat, raison de plus pour les empêcher de s’approcher d’avantage. La nuit suivante encore, ils firent des pièges plus gros dont le camouflage était assez résistant pour supporter le poids de petits animaux. Une fois de plus, le groupe arriva en se rapprochant encore plus du petit fort, miraculeusement ils ne tombèrent pas dans les pièges et ils commencèrent à entamer la porte à la hache.
« Ils sont fous ! » Se dit Nostros, ils ne craignent aucune attaque ? Il leva la tête et une flèche lui frôla le crâne, ils étaient maintenant repérés. Leur ennemi battit soudain en retraite et se cachèrent derrière de grandes parois de bois d’où ils pouvaient tirer sans crainte de mourir. Ils sortirent des arbalètes et commencèrent à les bombarder derrière ce mur protecteur. Nostros et ses elfes ripostèrent avec des arcs, la bataille allait s’avérer longue. Leurs bras commencèrent à faiblir et ils ne firent aucune victime chez les mercenaires, les arbalètes étaient certes plus lentes à recharger mais il ne demande pas autant d’effort pour tirer et il est plus facile de visée avec car les projectiles file tout droite dans les airs.
Ils décidèrent de ne pas gaspiller leurs munitions et attendirent pour voir comment leurs adversaires réagiraient, ceux-ci amenèrent des torches et enflammèrent leurs carreaux. La nouvelle salve ne parvint pas à enflammer l’épaisse palissade, Nostros et ses neuf soldats ne firent rien et mirent du vin à chauffer. A défaut d’huile, il faut bien prendre ce qu’il passe sous la main, ils n’avaient plus qu’à attendre qu’ils s’en reprennent à la porte. Deux heures plus tard, les mercenaires se décidèrent enfin à essayer de défoncer la porte, Nostros leur envoya le liquide bouillant. Il entendit les hurlements de douleur des hommes qui coururent dans tout les sens, deux tombèrent dans les fosse et s’empalèrent sur les pieux et un autres eût le pied transperçait par un des pièges les plus petits. Dans leur retraite, Surion réussi à en abattre un d’une flèche dans la nuque qui s’écroula au sol.

« Trois en moins » se dit Nostros. Il se passa ensuite un phénomène bizarre, plus personne n’attaqua jusqu'à la tombé de la nuit, les barbares repartirent ensuite vers la forêt. Ils se reposèrent, épuisé, puis dormirent. Malheureusement, personne ne pensa à faire le guet et ils furent réveillés dès l’aube par des martèlements. Ils se levèrent, empoignèrent leur épée et accoururent vers le bruit suspect. Déjà un énorme trou se dessinait sur la porte qui, cédait lentement mais sûrement sous les coups redoublés des mercenaires. Ils eurent à peine le temps de revêtir leur armure que déjà, un ennemi courrait vers eux. Nostros empoigna Nak’tal, courra à son tour puis, au moment ou son ennemi allait abattre sa masse, il fît une roulade et décocha un coup d’épée dans le flanc de sa victime. Celui-ci grogna et se retourna, son sang coulait lentement de sa plaie béante, il n’eut pas le temps de faire grand-chose car déjà une flèche vint se planter dans sa nuque.
« -Je met toujours un peu de temps pour me réveiller mais je suis toujours aussi efficace » Dit Surion d’un air espiègle.
Déjà, les autres mercenaires arrivèrent, Nostros et ses compagnons eurent à peine le temps de se mettre à l’abri que déjà ils chargeaient leur arbalètes. La salve ne tarda pas et un fantassin périt, criblée de carreaux. Nostros et les autres réussirent à se mettre à l’abri et évitèrent les projectiles meurtriers. Ils chargèrent ensuite sur eux, le combat allait être acharné car leurs ennemis avaient l’air de bien se battre. Nostros fonça sur le premier et essaya un estoc que son ennemi esquiva habilement. Il essaya ensuite une attaque au front mais avant de pouvoir lever son épée, son adversaire lui décocha un coup de poing qui le fit saigner de la lèvre, il recula un peu sous le coup puis, il le rechargea et réussi à lui faire une longue estafilade sur son torse, il profita ensuite de son effet de surprise pour lui enfoncer son épée dans le ventre. Du sang coula de la bouche du barbare qui s’effondra au sol, Nostros ne lui accorda aucun regard et se jeta sur son prochain adversaire.