Adrian,l'épéiste ténébreux.

Les survivants, se ruèrent dans notre direction,sourire au lèvre,je chargeais tandis qu’un vacarme d’acier me faisait savoir que mes guerriers me suivaient,j’empalais le premier ennemis à l’aide de ma claymore,sautant par-dessus un buisson pour atterrir sur lui,lame en avant,un second adversaire se lança dans ma direction,je contrais un banal coups d’épée vertical à l’aide de mon sabre avant de lui faucher les deux jambes d’un coups de claymore et de l’achever d’un coups à la gorge.
Deux autres m’attaquèrent en même temps,portant chacun une hache,ils la tenaient au dessus de leurs crânes,prêt à l’abattre,je les décapitais tout les deux d’un seul coups de sabre,porté avec force et rapidité,je vis que les ourouks de l’autre coté chargeaient dans le dos des orques,pris en tenaille entre les deux groupes,ils furent rapidement massacré,chacun de mes guerriers valaient 10 de ces pitoyables combattant,et nul perte ne fut nécessaire à leur extermination.
J’essuyais mes lames et commençait à chercher de quoi piller sur les corps, malheureusement les créatures n’avaient rien à manger hormis du pain moisis et quelques morceaux d’os rongés, les ourouks s’en contentèrent mais nous autres, humains n’avions toujours rien, nous décidâmes donc d’attendre un groupe d’homme de Dun dont Saladin avait prévus l’arrivée pour une petite heure.
La petite armée arriva un peu en retard sur nos prévisions, mais elle était bien plus imposante que prévus, il y avait plus de cents guerriers, et cette fois ils avaient un chef, un gros guerrier bidonnant portant un grand marteau hérissé de pique et vêtu de peau de bête, derrière lui marchait une cinquantaine de piquiers, suivis eux même d’une trentaine de guerriers armés de haches et d’épées, tandis qu’environ le même nombre d’archer fermait la marche.
La position peu stratégique des archers nous donnait un avantage, le plan était resté le même, les cavaliers arrivèrent au galop et commencèrent à harceler les piquiers,cependant le capitaine ennemis réagis autrement que les orques,il ordonna à ses soldats d’aller se mettre à couvert dans les bois et aux archers de viser les cavaliers,je pestais et ordonnais aux ourouks de commencer à viser les piquiers dont une petite partie avait déjà succombé,les guerriers de Dun quand à eu couraient vers l’autre coté de la route et furent frappés au même moment par une volée.
Les piquiers, ne possédant presque aucune protections,ils étaient excessivement vulnérables aux attaques à distances, de plus leurs armes encombrantes les empêchaient de se mouvoir rapidement, ainsi il restait moins de la moitié d’entre eux quand ils arrivèrent trop près de nous, leur chef les accompagnait.
J’ordonnais à mes ourouks de reculer, ce qu’ils firent, cela laissa le temps aux piquiers de se mettre en ligne,mais surtout aux haradrims de charger les archers restés au milieu de la route,tandis que les guerriers ennemis se faisaient taillés en pièce par les ourouks de l’autre coté,le chef ennemis rageait,il ordonna à ses troupes de charger…
Je contenais mes guerriers,leur ordonnant d’attendre que l’ennemi attaque avant de faire quoi que ce soit,les ourouks poussaient des cris,j’avais le plus grand mal à les contenir,mais enfin une volée de projectiles,tirés par les cavaliers vint frapper les adversaires dans le dos,puis une seconde,et il ne restait pratiquement plus rien des ennemis,hormis quelques soldats isolés,je lançais la charge,me jetant sur l’énorme barbare,je lui entaillais les jambes d’un coups de sabre,évitant d’un bond en arrière un coups qui aurait pu me briser en deux.
Le monstrueux adversaire marchait vers moi,ses blessures aux membres ne semblaient pas le gêner alors qu’il perdait abondamment du sang,je souris,m’emparant de ma dague et lui perçant la main gauche d’un seul lancé,il fit un pas en arrière en poussant un cris,je m’élançais et serrant une lame dans chaque main,frappait chaque épaule avec force,les deux bras furent à moitié tranchés par cet assaut,mais incroyablement,le colosse parvint à me repousser d’un coups de tête,tandis que mes lames restaient logés dans son corps.
Je me retrouvais désarmé face au capitaine ennemi qui parvenait à manier son énorme marteau d’une seule main, frappant dans le vide tout en avançant vers moi pour s’assurer que je ne puisse reprendre mes épées, soudain, j’entendis un explosion semblant provenir de son dos, il trébucha et je vis ma captive dans son dos, elle me lança la lame qu’elle m’avait dérobé, je l’attrapais et d’une frappe fendait le crâne du titan.
L’épiderme du colosse était brûlé,je compris l’aide fournie par la sorcière et lui jetais un regard haineux,tout en lui tendant la lame,je récupérais mes deux épées ainsi que ma dague,elle me susurra à l’oreille :
-Je sais, tu n’avais pas besoin d’aide, épéiste ténébreux, mais j’avais envie de te voler une part de ta gloire disons…
Je ne répondais pas et arrachais un énorme bourse pendant à la ceinture du mort et en sortais plusieurs pièces d’or,je regardais Saladin et les lui lançais afin qu’il aille acheter de quoi manger aux pécheurs les plus proches,il compris visiblement car il pris la tête de ses troupes et nous ouvrit la voie,je montais sur ma monture en autorisant mes guerriers à se nourrir comme ils le voulaient,je quittais le bois,,ne disant pas un mot à la mystérieuse donzelle se tenant derrière moi.

Si j'ai bien compris, ce n'est que la moitié de la mission que je t'ai donné ?

Hummm a vrai dire,je ne me rapelle meme pas que tu m'en ai donné une ^^ c'est la suite de mes missions libres ou je dois me retrouver en harad et faire mon duel avec saladin à la fin


Edit: apres relecture de la page précédente,vrai que tu m'avais donné une mission,soit je trouverais bien un moyen de séparer la troupe à un moment et à la réaliser à ce moment la ^^

Saladin partis au galop,m’informant qu’il allait acheter directement leurs embarcations aux pécheurs,qu’il valait mieux que je l’attende en contre bas du fleuve,j’acquiesça et changeais de direction,suivis par les ourouks rendus motivés par ce petit combat.

Apres quelques heures de marches, nous étions en vue de la grande rivière, elle était dissimulé derrière quelques petites montagnes, seul un passage les traversait, du haut de la butte sur laquelle nous nous trouvions,je vis un groupe de soldats du Mordor,ils semblaient garder cette route,j’ordonnais à mes soldats de se tenir prêt à un nouvel affrontement et commençais à marcher vers les créatures,cherchant à passer sans avoir à risquer de perdre de soldats.

En réalité, ils étaient bien plus nombreux que prévus, une dizaine d’orque étaient présent,bloquant le chemin à l’aide d’épées courtes et de bouclier,tandis que derrière eux une quinzaine d’ourouks maniaient des lames plus grandes,des haches,voir des masses,et enfin une dizaine d’archers venus de l’est,solidement protégés par un troll attaché à la roche par une courte mais robuste chaîne d’acier.

J’ouvrais la marche et m’adressais aux orques, les plus proches :

-Je suis Adrian, commandant d’Isengard et désire franchir cette vallée, vous êtes sur mon chemin et vous ordonnes de le quitter…

L’un des ourouks,arborant l’étendard du maître des ténèbres,m’informa qu’ils n’avaient aucun ordres à recevoir de Saroumane,et qu’ils ne bougeraient pas,tandis qu’il prononçait ces mots,les archers orientaux armaient leurs flèches et les ourouks détachaient le géant entravé,je poussais un soupir et retournais prêt de mes troupes,simulant la retraite,tandis que mes soldats furtivement tiraient leurs flèches et serraient leurs arcs.

Je me retournais en un éclair tout en dégainant mes lames,mes guerriers firent de même,décochant d’instinct leurs flèches,qui frappèrent avec force les guerriers en première lignes,plusieurs furent anéantis par cette seule volée,tandis que les ourouks empêchaient les orientaux de viser,en effet ils se ruaient tous dans notre direction à présent,mes soldats lancèrent une seconde salve qui anéantis les tirailleurs venus de l’est,les guerriers adverses étaient maintenant bien proches,je me jetais dans la bataille, martelant à coups de talons les flancs de ma monture.

Je sentis la main de la femelle s’accrocher à ma tunique, n’y prêtant pas attention,je criais à Aiolia de sauter,ce qu’il fit,il exécuta une grande impulsion et retomba,griffe en avant au milieu des ennemis,donnant de terribles coups de pattes aux ennemis tandis que mes lames fauchaient les têtes avec leurs rapidités habituelles.

Soudain,un choc violent se produit,je chutais lourdement de ma monture,me fracassant contre le sol,en un éclair les ourouks étaient sur moi,je me relevais tout en reprenant les lames que j’avais lâchés,j’évitais in extremis les coups d’épées grâce à des sauts en arrière,le temps de me remettre un peu du choc,et je chargeais,rejoint par mes soldats,j’empalais deux adversaires d’une puissant coups d’estoc similaire,je dégageais mes armes d’un habile moulinet,ayant juste le temps de contrer un coups de hache meurtrier.

J’anéantissais mon vis-à-vis,lui labourant le torse de plusieurs entailles profondes,les armures ourouks ne pouvant rien faire face à mes lames,je vis Aiolia au milieu de la mêlée,il frappait toujours les guerriers adverses,mais une lance perçait son flan,je la voyais dépasser au milieu du carnage,la femme était toujours dessus,elle n’était pas tombé en même temps que moi et décapitait impitoyablement tous les ennemis à porté.

Je hurlais à ma créature de sortir de la,elle regardait dans ma direction puis se précipita vers moi,bousculant et anéantissant tous les obstacles sur sa route,je vis un haradrim s’écraser à l’endroit ou elle se trouvait quelques instants plus tôt et compris,c’était le troll qui se servait des orientaux comme de projectiles,mon hypothèse fut confirmée quand le colosse rejoint la mêlée,traînant derrière lui les cadavres des hommes de l’est ayant tenté de le contrôler.

Les quelques ourouks ennemis rescapés de la mêlée s’écartèrent vivement,battant en retraite vers le chemin,ils n’étaient plus un dizaine,j’ordonnais à mes guerriers de cribler de flèche le géant,plusieurs traits vinrent hérissés son cuir,mais cela ne semblait pas le déranger excessivement,il chargea épaule en avant vers la masse compacte que formaient mes braves,ne s’arrêtant pas tandis que les flèches perçaient son corps par dizaines,il frappa avec force mes soldats,plusieurs volèrent sur une courte distance,tandis que les autres se ruaient sur ses flancs,le frappant avec rage.

Je courais moi aussi vers le monstre, qui me présentait son dos comme une offrande, j’allais frapper quand il se retourna vers moi, il me jeta un regard surpris avant de tomber à genoux, mes ourouks venaient de lui trancher les tendons, je décapitais le terrible adverse d’une frappe croisée de mes deux lames, sa tête tomba lourdement sur le sol tandis qu’un énorme geyser de sang m’arrosait.

Je rengainais mon sabre et dégageais le liquide sanguin me coulant sur les yeux, je pointais du bout de ma claymore les ennemis rescapés, les ourouks poussèrent un cris dans mon dos et lancèrent une charge frénétique sur leurs cousins du Mordor, en un instant ils furent anéantis, mes troupes étaient une élite d’une efficacité mortelle et il faudrait bien plus que cela pour nous mettre à mort…

Je rangeais ma seconde lame et m’approchais d’un de mes soldats au sol,l’un des deux seuls ayant perdus la vie durant cette journée,il était retombé sur une pierre tranchante après la frappe du troll,ses jambes avaient étés brisées et son corps entier avait été ébranlé,je tirais ma dague et m’accroupissais à ses cotés,il se redressa un peu et me présenta sa gorge,je plaçais ma main sur son crâne d’un geste paternel et l’égorgeais proprement,il ne souffrit pas d’avantage et pu trouver le repos.

Je me tournais ensuite vers ma monture, elle était couchée, semblant se reposer, la sorcière avait retiré la pique l’ayant blessé, elle semblait le soigner,ses mains étaient placées sur la blessure qui cicatrisait au fur et à mesure,je me plaçais à ses cotés tout en caressant mon fidèle serviteur,je lui demandais,intrigué :

-De combien d’autres tours disposez vous encore pour essayer de m’impressionner ?

Elle me lança un petit sourire mais ne répondit pas, se concentrant sur sa médecine, je me relevai et criais à mes soldats qu’ils pouvaient piller à volonté les corps ennemis et que l’on ne se remettrait pas en route avant une heure, je m’asseyais contre la roche et me débarbouillais un peu, le sang du troll n’ayant pas encore eu le temps de sécher.

Comme promis, notre convoi continua sa progression, 60 minutes plus tard environ, le temps de se reposer un peu et de penser leurs blessures pour certains, du moins ils l’auraient fait si les ourouks connaissaient les dangers des infections, mais jamais aucun ourouks n’eu le moindre problème du style gangrène, même lorsqu’ils ures affronter des orques et gobelins dont les lames ne sont pas des plus saines, étrange pensais-je.

Le trajet dans les montages fut rapidement exécuté, néanmoins, la femelle vint marcher à mes cotés, tandis qu’Aiolia était un peu en retrait, je préférais lui laisser un peu de temps avant de le monter, elle me parla :

-Un des os a été touché par la lance, il risque de boiter toute sa vie, si jamais tu le montais à nouveau, il y a un risque que l’os casse directement…

Je lui lancais un regard surpris et soupçonneux, lui demandais ;

-Comment sais tu donc tout ça, et comment peux tu en être aussi certaine ?

Elle leva les yeux au ciel et ne répondis pas,je jetais un regard à ma créature et le vit en train de boitiller,serrant ses puissantes mâchoires de douleurs,je le rejoint et le caressais longuement,il me lança un regard amical,je lui demandais si il se sentait capable de me porter,il sembla comprendre et s’arrêta,se mettant à genoux pour me laisser monter,mais après quelques pas,il vacilla,je sautais pour ne pas m’écraser sur le sol,il semblait souffrir atrocement et pourtant avait voulu m’aider,je lui ordonnais de marcher à son rythme et de ne pas se faire de mal,tout en culpabilisant de la douleur que je lui avais imposé.

Je retournais à l’avant, la Bruinen était à nos pieds, Saladin attendait, ses cavaliers étaient déjà dans de grandes embarcations ressemblant à des navires de guerres,les chevaux semblaient eux aussi à bord,le vaisseau semblait bien asser grand pour accueillir les ourouks,l’homme de l’est inspecta mes troupes et sembla remarquer l’absence des morts,il n’en dit pas mots mais désigna l’embarcation

-On dirait un bateau d’umbar,il portait ses voiles,les pécheurs l’avaient récupérés tandis qu’il dérivait,ils me l’ont vendus pour une bouchée de pain,et nous avons des provisions pour plusieurs semaines…

Je hochais de la tête et embarquais,installant rapidement un coin pour Aiolia sur le pont,il se coucha lourdement,les ourouks quand à eux prirent place aux avirons,après quelques vérifications,les haradrims firent avancer le bateau sur les flots,les hommes de l’est étaient de bons marins,habitués à la mer,ils furent de bons conseillers,les ourouks bien que haïssant l’eau étaient bien protégés de celle-ci par la hauteur du bâtiment,la traversée pouvait commencer.

Le voyage devait durer plusieurs semaines, il fallait contourner les ports gondoriens, se ravitailler dans les ports indépendants, les provisions étant finalement bien insuffisante en eau et en viande, pour la seconde fois je faisais le voyage vers le Harad, avec autant de lassitude que la première fois, je regardais les jours monotones se succédés.

Ma seule distraction était de voir Saladin entraîné ses soldats,il n’avait rien perdus de sa rapidité,ni de ses réflexes,mais pourtant je sentais parfois une gène dans ses mouvements,invisible à ceux ne l’ayant jamais vus combattre avant,mais flagrante pour moi,je n’osais lui en parler,je me contentais de regarder le large,je sentais souvent une présence dans mon dos et voyais l’inconnue en train de soigner Aiolia qui semblait se rétablir petit à petit mais continuait à boiter,le diagnostic de la fille semblait malheureusement juste.

Saladin étonnamment semblait de plus en plus amical à mon égard, il me proposa un jour un coups d’un pichet de vin, lui qui détestait boire, je m’étonnais du cadeau et le reniflait soupçonneusement, il sourit et déclara :

-Non, si c’est à moi de prendre ta vie, ce serra à l’épée…
Il prit lentement le vin et en but une lampée, me le tendant ensuite, je fis de même et me détendant un peu, me risquait à demander :
-Alors, qu’allons nous faire une fois arrivée en Harad ?

-Nous allons nous diriger vers une ville située en harondor,elle est assiégée par les orques,l’armée du Mordor est fatiguée et en manque de nourriture,si nous les harcelons quelques temps avec mes archers montés,ils devraient battre en retraite,dans le cas contraire nous profiterons d’une sortie des assiégés pour charger et mettre en déroute cette vermine…

Je hochais de la tête tout en réfléchissant et questionnais :

-Cette citée, c’est celle ou se sont réfugiés les rescapés de ton ancienne tribu ?
Le haradrim sembla surpris, et se doutant que c’était Gordon qui m’avait mis au courant, ne posa pas de question et hocha de la tête, il déclara avant de partir :

-Les ennemis seront environ 400, nos alliés environs le quart, tu auras largement de quoi t’amuser…
Je souris, il est vrai que les combats me manquaient déjà, j’étais septique sur l’accueil qui nous serrait fait si nous survivions à cette bataille mais soit, nous n’avions pas le choix, et puis ma vie entière était un éternel doute, que ce soit sur le temps qu’elle durerait encore ou de même de l’endroit ou elle se fanerait, il suffisait de suivre son destin et son instinct, qu’importe le reste…

Enfin,la terre ferme fut sous nos pieds,les étendues désertiques du Harad nous faisait face,sa chaleur étouffante et son sable irritant,nous eûmes à peine le temps de débarquer que les haradrims sellaient leurs chevaux et commençaient leurs marches,les ourouks peu incommodés par les différences de chaleurs leurs emboîtèrent le pas,tandis qu’Aiolia et la femme restait en retrait,je m’étonnais et leurs demandais :

-Que faites vous ? Il faut se hâter pour ne pas accumuler le retard !
La femme sourit, elle était resplendissante, elle avait laissé tomber sa capuche et sa tunique en ruine pour dévoiler une sorte d’armure de cuir tressé noir, à sa ceinture pendait un petit sabre et dans son dos, ma lame de cavalier dépassait légèrement, ses cheveux était déliés et son teint était bien moins blafard, elle répondit :

-Nous allons rester un peu ici,je suis bannis de cette citée de toute façon,je n’ai rien à y faire et ne désire pas prendre part aux combats,quand à ta monture,elle n’est pas en état de suivre votre rythme,je veillerai sur elle et te rejoindrai plus tard…

Je me retournais, simulant l’indifférence et commandais :

-Prends soin de lui alors, et de toi aussi, je tiens à l’épée que tu m’as volée…
Je rejoignais mes troupes, en réalité cette femelle me troublait, elle était à la fois étrange et attirante, maléfique et envoûtante,elle avait elle-même avouée être bannie de la cité que nous allions aidés,c’est sans doute pour cela qu’elle semblait connaître Saladin,quel péché avait elle pu commettre ?

La route fut longue à parcourir, la chaleur était étouffante et la cadence des ourouks n’était pas évidente à suivre, j’avais pris l’habitude de chevaucher à leur tête, mais jamais je n’avais couru à leurs cotés, je peinais a les suivre, ils étaient inépuisables, malgré leurs armures ils ne semblaient pas souffrir du sable ou de la température.

Les heures se succédaient à un rythme infernal, la sueur recouvrait déjà mon corps et ma cotte de maille était brûlante, j’ordonnais à mes soldats d’arrêter,je me laissais tomber sur le sol,tout en buvant une lampée de vin,Saladin arriva au trot et mis pied à terre,il portait son casque et m’informa que la citée était toute proche,je haussais les épaules et ordonnais aux guerriers de rester au pas et de se tenir prêt au combat.

Je me relevais piteusement, je n’étais pas dans les meilleures conditions pour livrer bataille mais soit, la fatigue et la lassitude disparaîtraient au cœur de la mêlée, je me plaçais devant mes troupes, dégainant ma claymore et gardant ma main droite sur le pommeau de mon sabre, nous grimpâmes une colline et devant nous s’étendaient les alentours de la ville assiégée .Les murs étaient des palissades de pieux,surmontés de créneaux en bois pour permettre à des archers de s’y placer,il y avait plusieurs entrées,mais seul une n’était pas condamnée,des restes de béliers ou des piques obstruaient toutes les autres,l’unique porte était en mauvais état,prête à céder,mais devant elle,plusieurs dizaines de cadavres et un bélier basique jonchaient le sol.

Plusieurs échelles ornaient les murs,une tour de siège était elle aussi collée à la paroi,les murs étaient recouverts de guerriers,mais à ma grande surprise,il ne s’agissait pas d’orques mais de guerriers du Gondor,les armures étincelantes de la citée blanche luisaient au soleil,pourtant les très nombreux cadavres ornant la plaine étaient ceux des suppôts de Sauron,je lançais un regard interloqué à Saladin,ne comprenant pas,il tenait son casque à la main,sa face était contractée par la rage et lui donnait un air sauvage,il soupira :

-Les lâches, ils ont attendus que le premier siège soit brisé et les défenseurs épuisés pour leur porter le coups de grâce…
Juste après avoir dis ces mots,il s’élança au galop vers la plaine,suivis par ses hommes,je compris,les hommes de l’ouest et de l’est étaient en guerre depuis des siècles,que les haradrims servent ou non Sauron ne comptait pas,pour les gondoriens,tout oriental était un ennemi,Denethor devait avoir donné l’ordre de prendre cette citée,devinant qu’elle serrait une proie facile…

J’inspectais le champs de bataille,les cavaliers se ruaient sur l’arrière garde des hommes ou un trébuchet était en train d’être armé,seul une vingtaine d’homme le gardait,ils furent anéantis par les traits vengeurs des archers montés,les archers gondoriens se tenaient eux aussi en dehors de la citée,ils arrosaient les murs ou se tenaient encore des défenseurs,ils étaient au moins 100,tandis que les échelles étaient recouvertes de guerriers tentant de prendre pieds sur les murs,la tour de siège elle aussi était remplie de soldats,et une cinquantaine se tenait déjà sur les remparts.

Je souris,sentant l’odeur du carnage,je levais ma lame et pointais de son extrémité les futurs condamnés et hurlais à mes guerriers de charger,je m’élançais moi-même,épée en avant vers les archers,occupés à fuir devant la charge de la trentaine de cavalier,ils avaient subis l’assaut par l’arrière,trop occupés à tirer sur les murs pour faire attention aux bruits de sabots se rapprochant,les ourouks me suivaient,tirant leurs traits même en courant,les hommes de l’ouest poussaient des cris d’épouvante,tout en essayant de semer leurs agresseurs.

Mais les cavaliers haradrims étaient des machines à tuer,de leurs lances,ils perçaient chaque ennemis à porté,le pire d’entre eux étant bien entendu Saladin qui tranchait les têtes des fuyards les unes après les autres,j’abattis ma première victime,qui trop occupé à regarder derrière elle,n’eut pas le temps de me voir charger,je l’empalais d’un puissant coups d’estoc,le soldat me lança un regard désemparé,tout en tombant à genoux,je repoussais son corps du pied et décapitais d’une frappe un archer tentant de viser un cavalier.

Les ourouks eux aussi poursuivaient les tirailleurs,en quelques minutes,la centaine d’archer avait été abattue,les haradrims étaient couverts de sang,ils avaient fait le plus gros du travail,rabattant vers nous leurs gibiers,je vis Saladin occupé à imbiber ses flèches d’un peu de combustible,il les pointa vers moi,j’enflammais ma lame et en un instant,ses traits devinrent incandescent,il ordonna à tous ses cavaliers de faire de même et commença à cribler de flèches la tour de siège.

J’ordonnais à mes ourouks de cribler de flèches les guerriers qui nous chargeaient,en effet les soldats qui étaient en train de gravir les échelles avaient étés alertés par les hurlements de leurs alliés et avaient décidés de nous éliminer,désertant une partie des murs,seul les guerriers dans la tour continuaient à grimper,face à nous se tenait déjà une cinquantaine en bas des murs,et ils furent rapidement rejoint par une trentaine de retardataire,ils se plaçaient en formation,dévoilant un mur de grands boucliers ornés de l’arbre blanc.

Mes fidèles ourouks avaient,sans aucun ordre lâchés leurs arcs,préférant leurs doubles lames carrées,ils étaient étendus sur une longue ligne,je me trouvais au centre,ils n’attendaient que l’ordre de charger,j’attendais un peu,les gondoriens,serrés et ralentis par leurs formations étaient vulnérables aux traits ou charges venant de cotés,j’espérais que les haradrims s’en rendraient compte,mais ils étaient occupés,une partie de la tour avait commencée à flamber,les hommes de l’ouest la désertait à toute vitesse,les orientaux avaient pénétrés dans la torche géante pour stopper la retraite des ennemis,ne craignant ni la flamme,ni l’acier…

Les assiégés faisaient peu à peu leurs apparitions sur les murs désertés,je vis plusieurs dizaines de piquiers courir dans la direction des assaillants piégés sur les murs,la plupart étaient blessés mais les orientaux malgré les souffrances faisaient face et luttaient contre les gondoriens ayant perdu tout espoir de survie,des hurlement de souffrances et de rage provenaient de la tour,les haradrims reculaient sous le flot d’assaillants cherchant à sauver leurs vies,mais plusieurs dizaines avaient déjà succombés aux flammes.

Comprenant qu’il était temps de faire couler le sang à nouveau, je m’élançais au milieu de la foret de bouclier, suivis par mes guerriers,j’enflammais ma lame que j’abattais sur le premier écu venu,il fut découper d’une seule frappe,dans mon élan,j’enfonçais ma lame dans le corps du gondorien,transperçant armure et chaire,j’esquivais un coups d’épée d’un des guerriers,lui lançant le corps encore chaud de son compagnon,mes ourouks eux aussi s’étaient jetés sur les ennemis,ils avaient pour la plupart réussi à renverser leurs opposants et à les abattre ensuite.

Je parais un coup d’épée tout en repoussant un des gondoriens d’un coup de pieds,je frappais dans le dos un des opposants occupé à affronter un de mes soldats,je décapitais ensuite l’un des guerriers,soudain,la tour en bois tomba avec fracas,tous se retournèrent en même temps,des gémissements se firent entendre tandis que les débris se mirent à bouger,les haradrims se dégagèrent péniblement,du moins une partie,Saladin fut le premier à tirer son arc et à tuer l’un des gondoriens nous faisant face il fut ,rapidement imité par ses compagnons.

Un flot continu de flèches s’abattait sur nos opposants qui tombaient les uns après les autres, néanmoins ils demeuraient nombreux, les ourouks eux aussi mourraient les uns à la suite des autres, quand à moi je continuais à décapiter tous ceux qui s’opposaient à moi, et bientôt, les hommes de l’Est dégainèrent leurs sabres et se ruèrent sur les soldats ennemis qui furent rapidement encerclés et anéantis.

Les hommes de la cité blanche étaient vaincus, nul n’avait survécu à la terrible attaque que nous avions lancés, les haradrims avaient du verser un lourd tribus à leurs opposants, tout comme les ourouks, ils n’étaient qu’une dizaine de mes suivants à avoir survécu et le même nombre d’orientaux.

Saladin était l’un d’entre eux,il était débout,non loin de moi,tenant ses deux lames ensanglantée,il haletait,visiblement il avait du mal à récupérer,ses soldats étaient dans le même cas,je me tournais vers mes guerriers et m’aperçut qu’ils étaient pour la majorité blessés,de nombreux soldats sortirent de la ville,marqués eux aussi par les combats précédents,ils étaient une trentaine au maximum et vinrent s’agenouiller devant mon ancien ami,l’un d’eux déclara :

-Mon roi, vous êtes revenus !

Saladin ôta son casque ou plus exactement le laissa tomber sur le sol, son visage était couvert de sueur et il avait du mal à respirer, il se tourna vers moi et articula péniblement :

-Il est temps d’en finir…

Je ne comprenais pas, je me contentais de tenir ma lame tout en attendant une explication, qui jamais ne viendrait, le haradrim se jeta sur moi, frappant rageusement en direction de mon visage, je parais d’instinct une lame mais ne put anticiper le second qui m’entailla profondément la jambe, je me reculais péniblement et tapait dans le vide pour tenir mon opposant à distance.

-Défend toi, lâche !

Mon ennemi hurla ces mots tout en attaquant à nouveau,il visait d’une main ma face tout en visant mes membres de la seconde,cette tactique était fructueuse,je parvenais à éviter de nouvelles blessures mais au prix de terribles efforts,de ma jambe émanait une douleur terrible,chaque mouvement me coûtait et mon propre sang maculait déjà le sable,les ourouks voulurent m’apporter leur soutien mais furent criblés de traits, un seul restait débout bien que blessé,il courut dans la direction de mon adversaire qui le réduit au silence,l’un de ses sabres traversant la gorge de l’infortuné.

Mon ennemi n’avait maintenant plus qu’un seule arme à m’opposer et le combat devenait enfin équitable,j’attaquais à mon tour,cherchant à le désarmer plus qu’a le vaincre,ne comprenant toujours pas cette agression imprévisible,j’enflammais ma lame et frappait la sienne,cherchant à briser la sienne,qui fut entaillé sur le coups,mais cela ne suffisait pas pour calmer Saladin qui me frappa au visage à l’aide de ses poings,me martelant la face,il frappait rageusement à une vitesse folle.

Je vacillais, tombant sur le dos, ma jambe n’était plus capable de me porter,je lâchais ma lame et poussait un cri de douleur,mon opposant ramassa ma propre épée et l’abattait de toutes ses forces sur mon corps,je roulais sur le coté et me relevais prestement,manquant de peu de retomber à nouveau,je vis soudain la mort,Saladin me frappa de taille en poussant un grand cris de rage,au même instant je dégainais ma dague et la plantais dans son corps.

Le choc fut terrible,je fus repoussé au sol,une souffrance intolérable émanant de tout mon corps,je vis soudain Saladin tenant ma lame brisée,elle n’avait visiblement pas supporté le choc,l’oriental était toujours debout,mais son armure tombait en lambeaux,tandis que son visage portait d’importantes marques de brûlures,il lâcha les restes de ma lame et tomba à genoux,soudain,il me sourit.

Je me redressais avec difficulté et me rendit compte que ma cote de maille avait été détruite dans son intégralité par la frappe de mon ennemis,l’impact avait été telle que les deux trésors que j’avais récupéré du vieux dragon que nous avions vaincus ensemble,s’étaient autodétruits,chacun brisant celui qui s’opposait à lui,Saladin avait subit le dégagement d’énergie et semblait en train d’agoniser,je vis son corps meurtris,sa tunique ayant été brûlée elle aussi.

Le torse était couvert d’entailles profondes qui semblaient infectées, les stigmates de ses anciens combats sans doute, autant de plaie portant la signature des gobelins, et lorsque le sang se mit à couler à flot de ces blessures, un sang foncé, presque noir, et je compris que son être tout entier était empoisonné, sans doute les affrontements face au vermines l’avait il infecté, c’était un miracle qu’il ai survécut si longtemps au poison.

-Tu m’as offert une mort digne d’un guerrier…

Le ton agonisant de mon ancien compagnon me brisa le cœur,et je compris soudain la raison de son geste,se sentant proche de la mort il avait voulu mourir en brave et tenait à périr les armes à la main,je m’approchais un peu plus de lui et lui demandais :

-Pourquoi moi ?

Il sourit et sembla apaisé, il m’enlaça et usant de ses ultimes forces, gémit :

-Je vais rejoindre nos frères d’armes,je saluerais Gordon de ta part,mon ami,ne t’écarte plus du chemin de la vertu,et me ta force au service des faibles…

Chacun des mots prononcés me causait davantage de souffrance que le précédent tandis que le plus grand guerrier que j’ai jamais côtoyé s’éteignait dans mes bras,je ne versais pas de larmes,sachant que mon ami considérait cela comme une marque de faiblesse,je me levais,ignorant la douleur qui parcourait mon corps,et ramassait les débris de mon épée,serrant la garde qui conservait une extrémité pointue,je m’apprêtais à me percer le cœur quand une voix résonna dans mon dos :

-Le roi est mort, que son successeur soit béni et que son règne soit synonyme de prospérité !

La sorcière se tenait derrière moi, montée sur ma propre monture, elle vint m’arracher de mains les restes de ma lame et me susurra dans l’oreille :

-Je sais que tu te juges indigne et que tu penses avoir commis trop de crimes pour pouvoir être pardonné par mon frère, mais il t’a offert lui-même son pardon, tu te dois de vivre pour le mériter.

-Reine, vous êtes encore en vie !

Les habitants de la citée émergeait de partout, ils nous encerclaient, la femme répondit tout en baissant les yeux :

-Oui, je suis de retour parois vous, selon la loi, mon jumeaux étant décédé, je peux à nouveau vivre à vos cotés…

Le peuple s’agenouilla, excepté une jeune fille qui sauta au cou de l’étrange exilée, qui versa quelques larmes avant de déclarer d’un ton solennelle :

-Que mon frère soit immédiatement emmené au temple et soit purifié,et que tous ceux qui sont tombés soient enterrés avec les honneurs qu’ils méritent,j’accomplirais la cérémonie dés demain…

Je ne comprenais toujours rien,la seule chose que je sentais,c’était mes forces en train de disparaître,bientôt je sentis ma vue se troubler et je tombais lourdement par terre,je n’entendais plus rien et ne sentais plus la douleur,je m’endormais paisiblement…

J'avais écris une bonne part de ce que j'ai poster,il y a plusieurs mois,donc je ne sais plus exactement ce qu'il contient et si une ou l'autre petite incohérence s'est glissé,j'en suis désolé,j'ai écris seulement à partir du moment ou les haradrims surgissent des décombres de la tour.


Edit: Gauthier,si tu as le temps pour m'évaluer,ma mission commence à partir du début de page.

magnifique, dommage que tous tes ourouks soit morts, je les aimait bien.

Yep mais avec le recul,le fait de domestiquer de tels créatures était un peu farfelu et puis,je voulais que mon retour marque un véritable changement pour mon perso

hmm, ils sont morts de bel façon en tous cas, morts aux combats. Comme de vrais ourouks

Yep,j'aurais aimer détailler un peu plus cette partie,mais après tout,pris dans le tumulte du combat c'était logique qu'Adrian ne voit pas grand chose,d'ailler je crois que je vais écrire à la troisième personne dorénavant,j'ai tenter dans un autre JDR et ca me permets de détailler plus l'aspect philosophiques des différents personnages

On pourrait me donner une mission ? En tenant en compte que je ne disposerais que de 50 haradrims : 25 piquiers,15 cavaliers et 10 archers.

J'aime autant pouvoir me faire une petite remise en forme avant d'attaquer la grande bataille.

Ah tu vas changer, ba écoute je suis pressé de voir sa, attends quelques minutes et je te donne une mission
. que j'en trouve une bien.

Des villages alentours sont pillés par des pillards de Khand, ils demande l'aide des soldats de la ville: Fais tes recherches pour savoir quand et où aua lieu la prochaine attaque( lié à la richesse du village) vas dans ce village et élimine ces pillards.

Ennemis: 100 pillards de Khand, soldats à pied armés de diverses armes( gourdin, épées, hache, lance... et une dizaine avec des arcs.) Ils ont des armures en cuir peu résistante et ont peu de casque et de bouclier.

Alliés: toi et tes hommes, + 30 paysans, armés d'arcs, de fourche et même d'épée. Ceux qui ont des épées ont aussi des boucliers ( en piteux états)

Merci
Ce sont des guerriers style hommes de dun,c'est bien ca ?
Sauvages asser limités stratégiquement et surtout asser allergiques aux charges de cavalerie et aux flèches

GW leur a donné un style guerriers mongols/japonais, mais bien sûr ce n'est qu'un point de vue. Ce sont aussi de vieux alliés des Orientaux, et on peut donc supposer qu'il y ait des ressemblances dans l'équipement et les styles de combat.
Dans ton approche, j'enlèverai le mot sauvage peut-être, mais on peut dire que c'est plutôt de l'infanterie légère maniant hache et arc, et habitué des combats de cavalerie.

PS: les habitants de Khand sont appelés Variags.

Mouais,des haradrims sans armures lourdes quoi,ca devrait pouvoir passer.

Ouie, longue à finir ta mission libre... Presque aussi grande que ma grande bataille...

Taille : 19/20 (pour ceux qui dirait, ouah c'est trop beaucoup, c'est pleins de tout ce qui faut, et surtout y a pas d'espaces donc c'est long pis c'est tout).
Action : 19/20 (ton combat avec Saladin me fait baver :p ).
Orthographe : 8/10 (quelques fautes anodines).
Histoire : 17/20 (qualité très bonne, même si j'ai moins apprécier certains passages que ta précédente).

Note générale : 18/20 (magnifique, il me manque juste un tantinet de je ne sais quoi que tu peux fournir je ne sais comment )

Elle manque de pleine motivation surtout,elle a écrit en plusieurs fois fort espacée les unes des autres,et donc j'ai changé régulièrement d'idée mais bon

Merci pour la note Gauthier,j'espère que la suivante te plaira aussi,elle serra surement moins longue et fort centré sur les dialogues et les pensées plutôt que sur l'action,vus que j'aimerai bien poser solidement les bases pour expliquer la prise de pouvoir de mon petit bonhomme


J'ai bien droit au deux point de bonus que tu as promis dans le topic"retour du jedi" ?

Tu veux un 20 sur 20 en gros...

Bon aller, je te l'accorde mais c'est bien parce que c'est toi

Note générale : 20/20 !

mon premier tout de même

Merci mon petit gauthier

Ce 20 est largement mérité, tu es le meilleur écrivain du forum .

C'est gentil mais je pense qu'on à tous nos qualités,même si les styles sont différents,le mien regorge encore de répétitions j'ai l'impression,je ne sais pas combien de fois les termes: guerriers,combattants,ennemis,et adversaires sont présents sur mes textes mais je pense que ca doit être assez énorme ^^

Puis Sparda était très prolifique aussi et même si je n'ai jamais accroché son style,il semblerait qu'il soit aussi largement appréciable vus son suces

Toi,Kilhiani,CC et Gauthier écrivez aussi des textes supers plaisants à lire,quand aux nouveaux,je n'ai encore lu aucune mission,mais certains comme QV3 étaient prometteurs avant mon départ !

Sparda a un style que je n'apprécie pas trop non plus mais ce n'est pas mauvais pour autant...

Et à part les textes de CC, que j'adore particulièrement, ceux d'Adrian sont une redecouverte à chaque fois. Il y a chez toi un soupcon d'originalité dans le calssique (dur à exprimer) qui fait que tes textes sont très mais vraiment très plaisants à lire.
Sparda, je ne crois pas acheter son livre de 600 pages.
Toi si tu en écris un de 5 pages, je l'ai en avant première .

Pour moi les meilleurs écrivains actuels sont Adrian et CC suivit de près par Ar Khili et certains autres...
Grob' toi c'est à part, dans ton genre tu es le meilleur ne t'inquiètes pas

C'est chouette si la lecture est agréable,c'est un peu le but de tout le monde je crois de pouvoir faire plaisir aux autres tout en s'évadant sois même,mais je pense pas que ce soit une bonne chose de faire un classement,tant la qualité d'un écrit est subjective,une prof de français m'a déjà donné un 4/10 en style alors qu'une prof d'université de cours littéraires m'a donner un 18/20 sur une disert donc bon

Bon,ok,j'avais clairement fais comprendre à la première qu'elle était incompétente,et que sa propre interprétation des certains poèmes était complètement farfelue et n'avait aucun sens mais bon

Merci les gars pour ces compliments (merci bcp gauthier ^^). J'avoue aussi que les textes de Sparda m'ont pas accroché depuis le premier, du coup je les lis plus...
Adrian, je vais lire ton dernier texte.
Et moi faut que j'avance la GB, si je veux mes deux pts bonus ou ma montée en grade immédiate !

Gauthier555 a écrit:

Grob' toi c'est à part, dans ton genre tu es le meilleur ne t'inquiètes pas

Ouf, j'ai cru qu'on m'oubliait !
C'est vrai que quand je lis vos oeuvres, c'est pas exactement le même genre...
Il faudrait d'ailleurs que je lise quelques textes autres que ceux de cc et des nouveaux, parceque les autres ont l'air appétissants... un peu trop longs pour mon courage paresseux, mais alléchants...
Grob', qui lira ceux d'Adrian s'il a le temps...

t'es pas obliger de lires les plus longues,doit y avoir des missions plus courtes que d'autres