Adrian,l'épéiste ténébreux.

Adrian a écrit:

t'es pas obliger de lires les plus longues,doit y avoir des missions plus courtes que d'autres

Dont les miennes, mais c'est pas super super^^

Adrian était debout sur les remparts de la citée de Gallipoli, il scrutait l’horizon, contemplant le soleil en train de se coucher, il semblait endormis tant il était calme, s’appuyant sur les lourds remparts, son regard se posait maintenant sur la plaine située au pied des murs, le sable était encore entaché en de nombreux endroits, rappel du massacre s’étant déroulé la quelques jours plus tôt, mais nul autre trace ne subsistait de ce carnage.

Le mercenaire portait une armure de cuir bouilli ainsi que des protections d’avant bras de la même matière, une longue cape, le protégeait du vent, seul une tache plus foncée était visible sur son pantalon noir, comme le reste de son équipement, il posa un doigt à l’endroit humide et vit ses doigts rougir, le sang coulait encore une fois à flot de la blessure que Saladin lui avait infligé.

Un long sabre pendait au flan du guerrier, celui qu’il avait dérobé à un ennemi, quelques mois plus tôt, il le dégaina instinctivement en sentant une présence dans son dos, il se tourna en un éclair et fit face à celle qui avait endossé la couronne de reine, à la mort de son frère, elle s’adressa à lui tout en se penchant à son tour sur les pierres :

-La cérémonie est pour demain, tu dois être nerveux…

Le robuste soldat jeta un regard haineux envers la jeune femme, elle portait une longue robe d’un blanc immaculé, seul un pendentif pendait à son cou, ses longs cheveux noirs descendant en cascade sur ses épaules, aucun signe ne dévoilait l’appartenance de cette femme à la famille royale

-Je t’ai déjà dis que je ne voulais pas de ce titre,je ne désire pas devenir roi de ce trou à rat,ma seule volonté est de quitter ces terres et de redevenir un simple mercenaire parmi les autres !

La femelle sourit, tout en figeant son regard dans celui du colosse :

-Tu as vaincu Saladin, notre roi, la tradition veut que soit celui qui lui succède vus que tu as pris sa vie.

L’épéiste sentait une sourde colère montée en lui et répondit avec mépris :

-Je ne l’ai pas vaincu, il s’est lui même anéanti, et ne s’est servis de moi que pour donner un sens glorieux à sa mort…

Le visage de la reine changea soudainement, passant de la sérénité à la haine, elle articula péniblement tout en desserrant sa mâchoire crispée :

-Mon frère t’as choisis comme héritier,il pensait que tu protégerais ceux dans le besoin à sa place et serrait capable de défendre cette ville vus qu’il n’avait plus la force pour le faire !!

L’ancien mercenaire ne répondit pas immédiatement, il avait finis par être convaincu que cette raison était effectivement celle pour laquelle son vieil ami avait voulu l’attirer si loin des monts de fer, pour lui remettre en main propre la charge de protecteur de la citée, cependant, il demeurait certain qu’il n’était plus digne de se battre au nom d’une juste cause, il dis dédaigneusement :

-Tu es bien aise de maintenant revendiquer votre lien de parenté, vus qu’il te permet d’accéder au trône, mais durant des mois, il ne t’a jamais désigné comme appartenant à sa famille, pas plus qu’il ne m’a demandé mon avis avant de me foutre dans ce merdier !

L’expression de furie qui était visible sur le visage de la jeune femme disparu pour laisser place à un véritable masque de tristesse, elle murmura :

-Il savait qui j’étais, mais devais demeurer le seul, deux jumeaux ne peuvent vivre ensemble en Harad,l’un des deux doit mourir avant qu’il n’atteigne l’age de cinq ans,ou la malédiction frappera sa famille,c’est ce que prétendent les prêtres,j’aurais du périr il y a bien longtemps,mais mes parents ont choisis de fuir en m’emportant loin,tout en laissant la garde de mon frère au roi de l’époque,un homme bon et généreux…

Le géant la coupa avec une pointe d’incrédulité dans la voix :

-Oui je sais,puis tes parents sont morts et tu as du survivre seule,tandis que ton frère devenait un grand guerrier et devenait roi en battant en combat singulier celui qui l’avait adopté,tandis que celui-ci avait décidé de rejoindre les forces de Sauron,j’ai déjà entendu suffisamment cette histoire par ton amie !

-Anna t’a tout raconté ?

La reine semblait contrarier de cette nouvelle, Anna était le nom de la seule amie qu’elle avait jamais eu, elles avaient partagés quelques années de joie avant d’être séparé, mais chacune se souvenait du visage de l’autre et espérait revoir l’autre un jour, c’était cette même Anna qui avait soigné l’épéiste ténébreux et qui avait accueillis avec tendresse la revenante, Adrian déclara avec dédain :

-Oui, elle m’a conté cette fable, avec talent je l’avoue, elle semblait vraiment sincère, mais Saladin a combattu à mes cotés pendant bien longtemps et il n’avait aucune raison de me cacher son passé et moins encore de quitter cette ville si il en était le maître…

-Il a été chassé du pouvoir,plusieurs assassins du Mordor avait intenté à sa vie il y a de cela plus de dix ans,et il avait été contraint de s’exiler lui aussi pour sauver sa peau,et il ne comptait sûrement pas te mêler aussi étroitement à son destin…

Le géant soupira, il était terriblement las, depuis des jours il entendait toujours les mêmes réponses, il connaissait chaque partie de l’existence de Saladin et presque autant de celle de sa sœur, qui d’ailleurs n’avait même jamais daigné lui dire son nom, et quand il le demandait, nul ne lui répondait, il déclara donc, tout en s’asseyant sur les créneaux :

-Dis moi, quelles raisons pourraient bien me pousser à devenir le monarque de cet endroit ?

La femelle s’approcha doucement et saisit la main du guerrier, la lui serrant doucement, tout en plongeant son regard dans celui de son interlocuteur :

-La ville à bien failli être détruite,tu as contribué autant que Saladin à la sauvegarder et toi seul peut trouver assez de force pour former les soldats et protéger ses murs,tu ères depuis des années sans but et sans patrie,je t’offre de défendre les plus vulnérables,je te permet de diriger une foule de pauvres gens qui voient en toi un nouvel espoir,une chance de pouvoir redresser la tête et de ne plus avoir à craindre le lendemain,de pouvoir espérer à des jours meilleurs sous la tutelle d’un roi juste !

L’épéiste repoussa délicatement les doigts de la jeune fille et pris la direction de sa chambre, répondant avec tristesse sans se retourner :

-Je suis un meurtrier, je ne suis pas un combattant vertueux mais un mercenaire, je ne peux offrir à personne un bonheur que je n’ai jamais su trouver, désolé…

-Quel serra ton prix alors pour défendre ces murs et te mettre à mon service ?

La question interpella le combattant qui se retourna avec surprise, la reine se tenait face à lui et lui tendit une imposante bourse de laquelle émanait un bruit bien connus : celui des pièces d’ors s’entrechoquant, le géant la pris, et dévisageant celle qui voulait l’acheter, répondit :

-Je n’ai plus de soldat, je ne peux combattre seul…

La jeune fille sourit, avant d’entraîner Adrian dans la cour de la garnison dans laquelle il logeait, il fut surpris de trouver une centaine de guerriers, prêts au combat, ils portaient pour la plupart des lances ainsi qu’un bouclier et qu’un sabre à la ceinture mais une trentaine d’archers étaient présents, tous s’agenouillèrent à leur arrivé, la donzelle déclara :

-Ses hommes te suivront, ils étaient dissimulés dans les environs durant les combats mais n’ont pu se joindre aux assiégés, leur propre camp était encerclé par des pillards de Khand, qui ont déguerpis quand ils ont étés informés de ta victoire, ils ravagent maintenant la région, attaquant les visages isolés, j’aimerais que tu te charges de les anéantir…

Le guerrier sourit, il se retrouvait à sa juste place, celle d’un combattant d’exemption à louer pour vaincre ceux qui étaient désignés comme ses proies, il inspecta un instant ses nouvelles recrues et répondit :

-Je ne prendrais que les plus expérimentés,j’en laisserai la moitié pour défendre la ville,en attendant,il faudrait que les portes soient réparées et que les survivants de l’assaut soient sur pied le plus tôt possible,je partirai dés demain pour écraser les ennemis,mais il me faudra un guide.

Un jeune haradrim se dégagea des autres et adressa la parole respectueusement au mercenaire :

-Si vous le désirez, je dispose d’une carte asser détaillée de la région, je la connais asser bien moi-même et pourrais vous conduire la où vous me le demanderez, seigneur.

Adrian hocha la tête, tout en restant un peu refroidi par le terme « seigneur », il se dégagea la gorge,et haussant la voix,s’adressa aux guerriers :

-Fils de l’Est,que ceux qui ont déjà combattus se tiennent prêt à faire marche dés demain matin,nous volerons à la rescousse de vos compatriotes et mettront à mort ceux qui cherchent à leur nuire !

Les habitants du désert poussèrent de grands cris d’allégresse tout en martelant leurs boucliers à l’aide de leurs lances, l’épéiste ténébreux sourit et déclara à la reine :

-Je me charge de la tactique,chargez quelqu’un de sélectionner les 50 plus aguerris et que soient préparés 16 chevaux pour demain,je n’ai besoin de rien d’autre pour réaliser la mission que vous m’avez assignez,votre majesté…

Elle sourit du thon faussement respectueux adopté par le guerrier et constata avec joie :

-Tu n’as peut être pas pour vocation d’être roi, mais tu serras la lueur d’espoir qui rassureras les citoyens, tu auras tout ce qu’il te faut pour demain.

Adrian haussa les épaules et attrapa le bras de celui qui prétendait disposer d’une carte,il l’emmena jusqu'à la caserne ou celui-ci déplia un long parchemin et désigna du doigt son centre,un dessin représentant Gallipoli était habilement tracé,il montra ensuite plusieurs autres petites illustrations portant des noms variés et tous plus exotiques les uns que les autres et expliqua :

-Les bandits attaquent tous les petits bourgs qui sont situés à proximité de la ville,du moins ceux qui ne disposent pas de fortifications,et ils ne sont plus fort nombreux à ne pas avoir eu à subir de pillages,il reste Geono et Témisi,deux villages assez prospères mais mal défendus,ils ne pourront jamais résister à un assaut.

Adrian réfléchit un instant et demanda prudemment :

-Laquelle est la plus proche ?

Le haradrim désigna Témisia qui n’était selon lui qu’a quelques heures de cheval,six ou sept à pied,l’épéiste imaginait un plan,il faudrait parvenir à anticiper les mouvements des pillards,ils ne devaient pas disposer de repères et risquaient de chercher à limiter les risques en conquérant la citée la plus éloignés de la métropole,il ordonna donc qu’un messager chevauche en toute hâte vers Témisis pour ordonner aux habitants d’emporter leurs biens à Gallipoli,ainsi même si il était dans l’erreur,les villageois serraient sauvés,les habitants de Geono quand à eux devraient attendre le lendemain pour recevoir des renforts.

Les ordres furent suivis, un cavalier prit rapidement la route, et revint tard dans la nuit, informant le commandant que les villageois prendraient eux aussi la route demain, Adrian satisfait s’en alla enfin se reposer quelques heures, à son réveil, un soldat lui annonçait que les guerriers étaient prêts et attendaient ses ordres, le mercenaire se leva sans hâte et rejoint ses hommes, il ne restait plus qu’une quinzaine de cavaliers, un peu moins d’archers et 25 lanciers lourds.

Les combattants s’agenouillèrent à nouveau lors de son arrivée,il s’en irrita mais ne dis mots,se contentant de choisir le cheval le plus grand parmi ceux qui étaient présents,Aiolia n’était toujours pas en état d’être monté selon la sorcière et il fallait se hâter,il se mit donc en selle,tout en s’assurant de ne rien avoir oublier : sabre,épée à une main,dague et sa gourde de vin,il avait tout,il talonna légèrement sa monture et fit signe à ses suivants de marcher derrière lui.

La reine de la citée apparut à la porte de la ville, elle tenait une grande épée à deux mains, visiblement extrêmement lourde, elle tendit la garde à Adrian tout en lui parlant :

-Cette lame à appartenus à Saladin, c’est avec celle-ci qu’il a vaincu son père et gagner son trône, il aurait sûrement aimer que son héritier la manie à sa place…

L’épéiste ténébreux se saisi de l’épée sans mot dire, il la soupesa et l’observa un instant, elle était gigantesque, autant que son ancienne arme voir plus, et surtout était extrêmement puissante grâce à son poids, elle pourrait sans difficulté entailler le cuir d’un troll si elle était manier par un guerrier suffisamment fort pour la manier, il serrait celui-la…

Le colosse fit signe à l’un de ses suivants de se rapproche, celui qui s’était proposé comme guide, il désigna la direction à prendre et la troupe commença à progresser en direction du nord,les guerriers se mirent donc en marche,habitués au désert,ils progressaient rapidement et ce sans mot dire,pour Adrian qui était habitué aux marches bruyantes des ourouks,le silence devenait pesant,il devait aller sauver des hommes qu’il aurait lui-même tuer quelques mois plus tôt,et ce à la tête de soldats de la même nation que celle qui avait bien failli prendre Orthanc et l’aurait sûrement fait si lui-même n’avait pas été la.

Le voyage fut donc asser morne,seule un peu de conversation avec le guide rendu le trajet intéressant,l’homme de l’ouest en appris notamment plus sur ceux qu’il allait devoir affronter,les variags comme on les surnommait souvent étaient visiblement de vrais hommes de guerres et non pas de simples pillards,ils utilisaient des tactiques proches de celles des orientaux et maniaient la lance et le bouclier,le sabre et l’arc recourbé,mais préféraient les armures légères à celles des haradrims : plus efficaces mais aussi plus encombrantes.

Le combat serrait donc plus serré que prévus,étant donné que les ennemis étaient estimés à une centaine et que le commandant avait seulement pris une cinquantaine d’homme,il faudrait ruser ou isoler les adversaires pour parvenir à les anéantir,tandis que ces pensées germaient dans l’esprit de l’épéiste ténébreux,une série de cris retentit,provenant de la direction vers laquelle se dirigeait l’armée.

-Cavaliers, à mes cotés, piquiers,suivez nous au pas de course, mais ne vous épuisez pas avant même le combat !

Tout en hurlant ces mots,Adrian lançait le galop,dégainant son sabre dans la foulée,les hommes à cheval se hâtèrent de se placer autour de lui,formant une grande ligne d’assaut,ils gravirent une colline leur obstruant la vision depuis un certain temps et virent les réfugiés de Témisia,ils couraient dans leurs directions ,tandis qu’un groupe de paysans tentait de retenir la cause de la terreur : une trentaine d’ennemis pourchassaient les villageois,et luttait contre les braves qui tentaient de les retenir.

La cavalerie rapidement se lança à l’assaut, contournant la masse humaine qui poussait des cris d’allégresse,le commandant poussa un puissant cris de guerre,repris par tous ses soldats,l’instant d’après,il tuait son premier ennemis,le décapitant d’une frappe terrible,les haradrims quand à eux fauchaient de leurs lances les adversaires déjà engagés,sautant de sa monture,Adrian se rua sur l’ennemis,un ennemis bientôt se mit à courir dans sa direction,hallebarde en avant,prêt à l’empaler.

L’épéiste esquiva habilement l’arme adverse, le variag emporté dans son élan fut mortellement frapper dans le dos, tandis qu’un autre pillard tentait une attaque mal habille au sabre qui fut parer aisément par le vétéran qui l’éventra d’un large coup ascendant, il chercha instinctivement une autre proie, mais le carnage semblait déjà finis, les forces ennemies ayant été éradiquées par cette charge sur les flancs.

Les quelques braves ayant tentés de repousser les opposants se tournèrent vers nous, l’un d’eux remercia le capitaine des haradrims :

-Sans vous, nous aurions péris sous les coups de ces brutes, soyez milles fois bénis, nous ne vous remercierons jamais asser !

Le géant haussa les épaules et tout en se penchant sur un ennemi encore en vie mais gisant au sol, il répondit :

-Vous avez été courageux d’essayer de retenir ces chiens, remerciez votre bravoure avant toute chose…

Adrian aida l’ennemi au sol à se redresser et le questionna :

-Où est le reste de ta bande ? Répond moi et je t’offrirai une mort rapide.

Le pillard cracha prestement sur l’homme de l’ouest, avant de commencer à s’esclaffer, l’épéiste ténébreux se leva et dégaina son sabre, tranchant d’une frappe l’une des jambes du vaincu, un geyser de sang éclaboussa les pieds du commandant qui reposa sa question, semblant ne pas s’irriter tandis que le rire s’était transformé en hurlements de douleur, nul réponse ne fut néanmoins prononcée et un autre membre fut sectionnés.

Parmi les cris, quelques mots furent audibles : Geoso, brûlée et achever, comprenant qu’aucune autre information ne lui serrait livrées,le guerrier perça le cœur de sa victime,et se tourna vers ses soldats et les paysans qui l’entouraient :

-Nous allons nous diriger vers la citée, mais je crains qu’il ne soit déjà trop tard, notre meilleur espoir est que les habitants aient eu le temps de fuir, eux aussi…

L’un des agriculteurs demanda avec fougue :

-Vous nous laisserez vous accompagné ? On veut aussi défendre nos compatriotes !

Le mercenaire réfléchit un instant : ils ne serraient pas d’une grande aide et ne pourraient sûrement pas occuper longtemps les adversaires, mais si tel était leur souhait, ils pourraient lutter à ses cotés.

-Votre hardiesse est grande, j’accepte que vous nous accompagnez, les autres réfugiés pourront facilement rejoindre Gallipoli, ne traînons donc pas plus longtemps ici…

Adrian se remit en selle et ordonna aux soldats de se mettre en marche derrière lui, les opposants n’avaient pas réussis à lui faire subir la moindre perte jusqu'à présent, seuls quelques paysans étaient tombés, tandis que trente adversaires avaient déjà perdu la vie, la partie devenait plus serrée.

La groupe progressait à vive allure, les soldats trottaient presque pour égaler la vitesse des chevaux, les mots prononcés par le variag avaient semés le trouble et motivés les combattants, bientôt la ville de Témisis fut en vue, ce n’était qu’un simple bourg, ne disposant même pas de palissades, mais le nombre de maison était fort élevé, le commandant demanda :

-Comment se fait il que si peu d’hommes aient luttés pour protéger les leurs alors qu’une centaine d’habitation est visible ? Il doit bien y avoir des males qui les occupent, non ?

Un paysan répondit avec gêne :

-Les autres hommes sont majoritairement dans les mines de Xanas,un riche marchand qui à recruter des mercenaires d’Umbar pour ensuite leur ordonner de ramener le plus de main d’œuvre possible pour extraire un métal rare qui ne se trouve qu’en Harad,ceux qui n’ont pas voulu le servir ont étés tués ou se sont cachés,comme nous,mais ils ne veulent que des hommes,une chance pour les femmes et les enfants…

Adrian ne répondit rien, mais déjà il pensait que de libérer ces esclaves serrait un bon moyen de gonfler les effectifs destinés à la défense de Gallipoli, en attendant, il fallait se hâter de voir ce qu’il était advenu des villageois de Geoso.

Malheureusement,le voyage fut encore bien long pour atteindre le véritable objectif de la mission,et tandis que les heures passaient,les hommes étaient contraints de réduire l’allure pour conserver quelques forces,les arrêts étaient malgré tout fortement rationnés,pour le commandant,cette marche pris rapidement des allures de calvaire,le vent éparpillait le sable,lui permettant de s’infiltrer sous les armures,rendait la visibilité difficile et asséchait la peau,les vertes plaines étaient définitivement plus avenantes.

Quand enfin se profila à l’horizon une image, chacun sut qu’il était trop tard, un épais nuage de fumeux noirâtre était visible, tous savait ce que cela signifiait : la ville était en feu, du moins en partie car tandis que la colère des haradrims montait de plus en plus et que la distance s’amenuisait, plusieurs maisons épargnées par les flammes furent repérés, ainsi qu’un groupe d’hommes, visiblement saouls, en train de festoyer.

Ils étaient une dizaine à s’abreuver de vin, probablement celui de leurs victimes, les cavaliers se lancèrent au galop instantanément, ivres eux aussi mais de vengeance Adrian était le premier,les pillards ne réagirent qu’au moment ou la mort était déjà presque sur eux,certains se levèrent,tentant maladroitement de dégainer leurs épées ou de ramasser leurs armes,mais c’était bien futile face à la soif de sang des hommes de l’est,les voleurs furent percés de lances et entailler à coups de sabre en un éclair.


Le bruit avait semble il alerter leurs compagnons, bientôt accourant de toutes les directions, les pillards se réunissaient, plaçant leurs quelques hallebardiers en tête tandis que plusieurs dizaines d’épéistes, de hacheurs et de lanciers étaient prêt à charger.

Le capitaine des cavaliers fronça les sourcils, les habitations empêchaient une charge frontale pour les cavaliers qui n’auraient pas asser d’espace,de plus les hallebardes formaient un sérieux obstacle,lancer les fantassins n’était pas envisageable non plus,ils n’étaient que 25 guerriers ainsi qu’un vingtaine de paysans,cela ne suffirait pas pour les opposants qui devaient être encore soixante ou septante,à vue de nez.

Une flèche tirée sortit le colosse de sa réflexion tandis qu’un de ses soldats tombait de sa monture et restait au sol,avant de se relever péniblement,la projectile dépassant largement de son torse,il dégaina son sabre et sembla vouloir charger mais retomba à genoux presque instantanément et rejoint le pays des morts,l’arme au poing

Adrian ordonna à ses hommes de reculer, tout en se rappelant qu’il disposait lui aussi d’archers, il leur ordonna de cribler de traits les ennemis et bientôt,la dizaine de tirailleurs encochèrent leurs premières flèches,leurs arcs recourbés permettait un tir sur une longue distance tout en conservant une précision honorable,qui permit rapidement de multiplier les pertes chez l’adversaire.

Les archers ennemis quand à eux ne semblaient pas fort habiles, leurs tentatives ne parvenaient pas à atteindre les hommes de l’Est, la première victime devait être un coup de chance.

Les fantassins adverses avaient déjà perdu une dizaine de combattants supplémentaire et semblaient pressés d’en découdre, bientôt ils se lancèrent tous ensemble pour charger vers les tirailleurs qui prudemment choisir de battre en retraite tandis que l’ennemi les poursuivait, se privant de la protection des habitations, car l’entrée du village était un terrain propice à la cavalerie.

Cette occasion était celle qu’attendait l’épéiste ténébreux qui mit pied à terre, tenant son sabre d’une main et s’équipant sur son dos la lourde lame offerte un peu plus tôt, il se plaça devant ses fantassins et les harangua :

-Voici l’occasion de venger vos frères, soyez sans pitiés et soyez brave face à la mort et à la souffrance !

Les haradrims poussèrent un cri d’allégresse tout en frappant leurs armes, le commandant se tourna maintenant vers les cavaliers et ordonna :

-Contournez les largement,attendez le moment propice et frapper leurs arrières,si ils envoient des troupes sur vous avant que vous n’attaquiez,reculer et éloignez les,pour les prendre de vitesse et finalement accomplir votre mission.

Les orientaux hochèrent la tête et se mirent en marche tandis que le commandant menait ses fantassins au pas vers le groupe ennemis,les paysans étaient situés derrières les lanciers lourds,de manière à ne pas devoir endurer une éventuelle charge de plein fouet,charge qui ne tarda pas à être lancer par les ennemis qui,voyant de nouvelles proies,se mirent à courir vers les combattants,tandis que les archers avaient tout loisir de les frapper dans le dos,causant de nouvelles morts.

Adrian était désireux de profiter de la rage de ses troupes, aussi il mena la charge de ses lanciers, qui plaçaient leurs armes devant eux, cherchant à empaler les ennemis ou à les frapper à coups de boucliers, les pillards eux n’avaient pas vraiment de techniques, ils fonçaient comme un troupeau de bétail vers l’abattoir…

L’épéiste ténébreux profitait de la longueur de son sabre, fauchant les jambes d’un opposant qui courait vers lui, l’achevant ensuite en les transperçant d’une frappe, il para ensuite par réflexe une série d’assaut, deux pillards armés d’épées tentaient de le mettre à mort, mais le vétéran bientôt anéantis le premier, lui entaillant profondément le ventre, avant de percer celui du second d’un vive coup d’estoc.

Le chaos régnait dans la mêlée, les lanciers pour la plupart avaient du dégainer leurs sabres et semblaient un peu débordé par la puissance de l’assaut ennemi, leur commandant quand à lui multipliait les victimes, poussant de grands cris de guerre à chaque fois qu’il mettait à bas un adversaire, certains disent que sa voix à résonné plus souvent que le fracas des armes, tant il avait semé la mort.

La terrible lame de Saladin fut rapidement inaugurée tandis que l’épéiste ténébreux avait du lâcher son sabre, esquivant un coups de hallebarde par miracle tandis que son arme restait figée dans le corps d’un ennemi, le puissant guerrier n’avait eu d’autre choix que d’enfin dégainer le présent qui lui avait été fait.

En se mettant en garde, Adrian fut lui-même intimidé par la longueur de la lame qui ressemblait presque autant à une lance qu’a une épée, il choisis de se lancer à l’attaque du guerrier à la hallebarde,celui-ci voulut parer son premier assaut,mais la frappe fut si colossale qu’elle trancha non seulement le bois,mais aussi les bras et entaillait profondément le corps de l’infortuné.

L’épéiste ténébreux ensuite entouré de quatre guerriers équipés de lances, usa d’une grande frappe circulaire autour de lui, cherchant à maintenir les opposants à distance, c’est presque involontairement qu’il entaille ainsi la gorge de chacun des ennemis, l’entaille était d’ailler si profonde que la tête ne tenait plus que par un mince filin de peau.

Adrian lança un regard incrédule à sa nouvelle arme, déjà recouverte de sang, elle était véritablement terrifiante, une telle porté accompagnée d’une puissance aussi énorme, cette épée était un présent bien plus estimable qu’il n’y paraissait au premier abord.

Le commandant continua donc à massacrer encore un instant,mais la charge des cavaliers,surgissant dans le dos des pillards déjà fortement éprouvés et ayant perdus plus de la moitié des leurs,sonna la fin du combat,les ennemis lancèrent leurs armes au sol,criant qu’ils se rendaient,ils furent tous massacrés,frappés par les hommes devenus des chiens de guerre,pas un des variags ne survécut,le dernier fut égorgé alors qu’il gisait au sol,par Adrian en personne…

La mêlée avait été courte mais frénétique, plusieurs lanciers étaient tombés, une dizaine peut être, et autant de paysans qui n’avaient pas fait le poids malgré tout, même face à des ennemis aussi désordonnés,du coté des cavaliers et des archers,aucune perte à déplorer si ce n’est la première victime.

Le mercenaire se tenait au milieu des cadavres, serrant la main d’un des soldats en train d’agoniser qui parvint malgré la douleur à articuler « protéger ma citée, commandant, ma famille s’y est réfugiée, je vous en prie… » tandis que l’homme prononçait ses mots,Adrian hocha la tête et murmura : « je te le promets,brave guerrier,repose en paix »

Le guerrier s’éteint paisiblement,le commandant se leva,l’esprit plein de doute,il avait parler sans réfléchir un instant,ne pouvant rien répondre d’autre lui semblait il,mais le pensait il vraiment ?

Tout en voyant les cadavres des hommes qui quelques minutes avant le suivait avec obéissance,une profonde tristesse s’empara du vétéran,en voyant les corps meurtris des paysans qu’il avait accepté d’envoyer à la mort,c’était le dégoût qui à nouveau prédominait,Adrian ne savait pas comment réagir,il avait remporté une victoire facile et pourtant,nul joie ne l’habitait,lui qui avait pourtant l’habitude des combats,n’avait jamais ressentis autant de sentiments contradictoire à la fois.

Un des paysans survivant vint lui parler :

-Vous avez libéré ces terres d’un grand fléau, je suis sur que leurs victimes ont enfin trouvé la quiétude grâce à vous !

Tout en prononçant ses mots, le vieil homme tendait une petite bourse au mercenaire qui lui lança un regard reflétant autant l’incompréhension que la tristesse,il ouvrit le petit sac en toile et vit quelques pièces,le paysan s’excusa bientôt :

-Je suis désolé,je sais que c’est pas grand-chose,c’est le gain de nos récoltes,mais j’ai pas plus à vous donner,mes deux fils sont mort aujourd’hui,mais si vous restez un peu dans le coin,je travaillerai dur pour avoir de quoi vous remerciez plus tard !!

En disant ces derniers mots,le vieil homme enlaça l’épéiste qui demeurait bouche bée,ne comprenant rien,ne voulant pas comprendre,cet homme le remerciait alors qu’il venait de perdre ses deux fils,par la faute d’un commandant idiot qui avait accepté de les enrôler,le vétéran rendit la bourse au paysan et décrocha la sienne,la lui plaçant dans les mains avant de partir,il articula difficilement :

-Partagez cet argent avec les autres survivants, récupérez ce qui peut l’être sur les corps des pillards et puis brûlez les…

Les soldats ne répondirent rien et se mirent à l’ouvrage tandis que le capitaine se baladait dans les restes du village,il rencontrait plusieurs cadavres,surtout des femmes,souvent nues,probablement souillées avant d’être tuées,parmi les ruines encore fumantes,plusieurs corps calcinés étaient visibles,des corps d’enfants cette fois,ils avaient visiblement étés entassés dans certaines demeures auxquelles les variags avaient boutés le feu ensuite.

Au milieu de cette désolation, Adrian se rappelait des assauts qu’il avait mené sur les villages du Rohan, il avait laissé les ourouks commettrent des meurtres, mais jamais de tels actes, lui-même avait déjà tué des femmes et des enfants qui cherchaient à fuir, il ne valait pas mieux que ces brutes de l’Isengard ou ses charognards de Khand…

L’épéiste ténébreux était perdu dans ses pensées quand une mince silhouette fit son apparition, un enfant venait d’arriver, derrière lui, un des cavaliers déclara avec joie :

-D’après ce gamin, la majorité de la population s’est réfugiée aux alentours d’une oasis toute proche,ceux qui sont restés sont ceux qui n’ont pas crus que les variags oseraient les attaquer…

Adrian se rapprocha de l’enfant et lui demanda doucement :

-Tu dis vrai,il reste des survivants ?

L’enfant intimidé hocha de la tête, le géant le souleva et le pris dans ses bras, avant de rejoindre sa monture et de se mettre en selle,il ordonna aux cavaliers de le suivre et aux autres de continué,suivant les indications du petit guide,la troupe parvint bientôt à ce qui ressemblait à un petit paradis terrestre : une oasis,une sorte de petit lac comme jamais le colosse n’en avait vus,semblable à un miracle pour ceux qui devaient parcourir le désert,et autour de l’eau : une centaine de femmes et d’enfants,visiblement inquiet et ne semblant pas posséder grand-chose,une vieil femme demanda aux arrivants :

-Vous revenez de notre village ? Qu’en reste il ?

Adrian laissa aux haradrims qui le suivait,le soin de tout raconter,il se contenta d’aller boire un peu d’eau,il fut surpris par la clarté de celle-ci et lorsqu’il se pencha,il fut surpris de voir que son visage n’était pas souillé par le sang pour une fois,et ce malgré les combats,son reflet n’était pas celui d’un boucher avide de sang aujourd’hui mais celui d’un homme sur le point de prendre une décision cruciale pour le reste de sa vie.

Il fallut plusieurs heures pour que la troupe soit prête à repartir en direction de Gallipoli : les ennemis furent brûlés et leurs biens répartis entre les villageois, les braves guerriers et paysans furent entassés sur des charrettes pour être reconduit dans leur cité ou les attendaient leurs familles, tandis qu’il fallait enterrer les morts du village.

Ce qui à l’allé ressemblait à une véritable horde de guerrier avait une allure de convois funéraire au retour, il fallut presque une journée pour rejoindre la métropole, et ce sans que le moindre mot ne fut échangés, Adrian chevauchait loin en tête, les cavaliers ainsi que les lanciers le suivaient et les villageois terminaient le colonne.

Ce fut une ovation qui accueillis la troupe à son arrivé,les villageois étaient massés sur les remparts et se réjouissaient de la venue de survivants,mais le silence tomba rapidement à la vue des chariots contenants les corps des morts,le commandant ne désirait pas assister aux célébrations qui commémoraient le sacrifice des soldats,mais ne put pourtant s’empêcher d’adresser un dernier hommage à ceux qui l’avait suivis,se rendant sur la tombe de chacun d’eux après que le cimetière fut déserté,la reine l’y rejoint et lui déclara :

-J’ai expliqué au peuple que tu ne désirais pas recevoir la couronne et que tu ne resterais probablement pas longtemps parmi nous,cette nouvelle a suscité bien des regrets parmi ceux que tu as sauvés,ainsi que chez les soldats,ils ne tarissent pas d’éloges à ton sujet…

Adrian, tout en posant la dernière des fleurs, qu’il était parvenu à dénicher à l’oasis, sur la tombe du cavalier mort, se redressa et répondit sans regarder la royale personne :

-Je vais rester un moment, j’ai besoin de me reposer un peu et puis, j’ai fais une promesse à un mourrant…

Il se retourna enfin et dévoila un visage aminci, en une journée, il semblait avoir vieilli, il commença à marcher vers sa chambre et déclara :

-Au fait, Saladin m’a laissé un héritage bien plus précieux que cette épée…

La jeune fille sourit et demanda avec un peu de malice :

-Un royaume à défendre ?

-Une possibilité de rédemption…

La jeune femme ne répondit rien et resta un instant encore parmi les morts tandis qu’Adrian ne tardait pas à se coucher, découvrant avec stupeur que la blessure qu’il avait presque oublié et qui au matin lui déchirait la jambe s’était cicatrisée, comme par magie, il ne chercha pas à comprendre et bientôt s’endormis, la nuit fut longue et restaura ses forces, sans qu’aucun cauchemar ne le troubla, pour la première fois depuis des années.

Ar,tu peux me coter ?
Et me donner une mission dans laquelle j'attaquerais la mine citée dans le texte ?
Je pensais le faire de manière plus furtive pour changer,style assaut discret et meurtres dans l'ombre ^^

ba je la lis dans la journée et je te note ce soir

longueur: 13/20 ( tu nous as habitués à mieux)
action: 15/20 ( malgré le texte assez court, il y a pas mal de combat)
histoire: 18/20 ( surement ce que je préfère , surtout avec le changement d'adrian)
Orthographe: 8.5/10

note générale: 15.5/20


Petite mission qui ne manque pas de tournant mais peu de texte malheureusement.


Alors pour ta mission:

Repenssant au parole du paysans concernant les mines de Xanas, tu décide d'aller la-bas pour libéré les hommes et ainsi gonfler les rangs de la cité. Malheureusement ces mines sont bien gardés par de violents variags.

Ennemis: 3 mines avec 50 variages dans chacune d'elle. Armés de fouet, d'épées et de lances, tes ennemis sont des vétérans aguerris et des guerriers endurants. Mais ils ne sont pas regorupés, chaque soldats surveillent des groupes de prisonniers. Tu pourras donc les massacré facilement en les combattants en 1 contre un ou en petits groupe.

Alliés: toi, tes soldats et les hommes que tu pourras libéré dans chacune des mines. Le nombre d'hommes libéré , c'est toi qui choisis.

Merci pour la note et la mission,ca me convient très bien les deux,pour la longueur,j'ai préféré un texte court pour me permettre d'enchainer sur d'autres missions plus rapidement .

Adrian se promenait à travers le champ d’entraînement, observant ses nouvelles recrues en train de s’initier à l’archerie, une centaine de flèches furent tirées au même instant, suivant un ordre de l’instructeur, les projectiles fusèrent en direction des cibles, parvenant parfois à les atteindre mais le plus souvent, frappant les murs situés derrière, l’épéiste soupira tout en se dirigeant vers la partie réservée aux fantassins.

Tandis qu’une centaine d’archers s’entraînaient,ils n’étaient qu’une vingtaine de guerrier à s’affronter à l’aide d’arme en bois,le commandant se rendit rapidement compte que ce n’était pas des recrues mais bien des guerriers chevronnés qui luttaient entre eux,ceux qui l’avait accompagnés il y a déjà quelques semaines,probablement.

Quand les soldats le virent, ils stoppèrent toute activité pour le saluer, le guerrier demanda à l’un des rares orientaux qu’il connaissait un peu ; celui qui lui servait en général de guide :

-Comment ce fait il que vous soyez si peu nombreux ? J’ai pourtant ordonnés que les volontaires s’entraînent de midi jusqu'à 6 heures, tous les jours…

Le jeune fantassin répondit avec un peu de gêne :

-A vrai dire, nous sommes les seuls épéistes, les lanciers sont un peu plus loin, mais ne sont pas plus d’une cinquantaine non plus…

Le géant fit quelques pas, s’armant d’un des sabres en bois qui traînait par terre, il fit quelques moulinets distraitement avant d’ordonner :

-Montrez moi ce que vous valez, les uns après les autres…

Le premier à défier le capitaine fut un homme de haute taille, presque aussi grand qu’Adrian bien que moins musclé, il resta en garde un long moment, semblant attendre une offensive, puis comprenant que c’était à lui d’attaquer, tenta une série de coups visant la tête de son opposant, les armes s’entrechoquèrent plusieurs fois, chaque coups fut paré avec facilité.

Le soldat multipliait les tentatives, attaquant aussi bien les membres que le corps, sans jamais parvenir à atteindre sa cible, ses assauts étaient soit parés soit évités sans la moindre difficulté par l’épéiste ténébreux qui ne tenaient son arme que d’une main, semblant prendre peu de plaisir à ce simulacre de combat, il dis bientôt à son adversaire qui semblait s’épuiser à force de combattre :

-Tu es bien trop lent,jamais tu ne parviendras à vaincre un ennemi armés d’un bouclier ou simplement capable de parer des coups aussi médiocres,du moins si tu ne t’entraînes pas plus sérieusement…

Apres avoir articulé ces quelques mots, le géant se lança à l’assaut, frappant avec rapidité et précisions, il feinta une frappe de tête pour finalement frapper violement le torse de son opposant, enchaînant plusieurs attaques sans laisser le temps à son subalterne de réagir, bientôt le haradrim tombait en arrière, jeté au sol par un coups de pommeau en plein visage, un fin filet de sang coulant de sa lèvre fendue.

Adrian lança un regard méprisant au vaincu, tout en invitant un nouvel adversaire à s’avancer, un soldat le chargea, poussant un grand cris, qui bientôt fut interrompu, l’arme de bois venant de heurter violemment sa cage thoracique coupant ainsi le souffle, une deuxième frappe vint faucher ses deux jambes et le combattant tomba à son tour par terre.

D’autres guerriers tentèrent les uns après les autres de venir à bout de l’épéiste qui les battait successivement, tout en promulguant quelques conseils aux plus valeureux, bientôt il ne restait plus qu’un haradrim : celui qui faisait office de guide, Adrian l’invita à l’attaquer, tout en s’approchant de lui, le jeune oriental hocha de la tête et avança prudemment, maintenant sa garde tout en observant les mouvements de son opposant.

Cette fois, ce fut le capitaine qui frappa le premier, intrigué par l’attitude prudente de son vis-à-vis, il accomplit plusieurs attaques basiques, toutes parées avec une grande facilitée et sobriété par le guerrier qui semblait bien plus compétent que ses compagnons.

L’ancien mercenaire sourit et commença à accélérer le rythme de ses assauts,mais seules les armes s’entrechoquaient,il ne parvenait pas à atteindre son opposant qui conservait une posture défensive tout en cherchant à riposter de temps en temps,sans jamais toute fois s’exposer abusivement,le capitaine déclara avec satisfaction :

-Tu me rends un peu d’espoir quand aux capacités des hommes de l’est en matière d’escrime, ta défense est remarquable, mais que vaut l’attaque ?

Le combattant sourit un peu,sans toute fois perdre sa concentration et se rapprocha lentement,attentif et prêt à se défendre en cas de traîtrise,voyant que le commandant le laissait avancer,il se lança à l’attaque,frappant avec rapidité,ses frappes étaient larges et fluides,asser difficile à parer,Adrian y parvenait avec bien des peines à une main et dut bientôt agripper son arme à l’aide des deux,chose qu’il n’avait pas eut besoin de faire pour défaire tous ses opposants précédents.

Mais l’expérience peut souvent faire la différence dans un combat, ainsi, il devient bientôt évident que la rapidité des assauts ne dissimulait pas le manque d’impact de ceux-ci, la vivacité du jeune soldat était indéniable, mais son manque de puissance l’était tout autant, profitant d’une occasion, Adrian frappait avec brutalité son opposant, qui cherchant à parer l’assaut, se retrouva désarmé, lâchant son arme suite au choc violent.




-Tu te défends bien, il faut toute fois que tu sois plus féroce au combat, et essaye d’aiguiser un maximum tes lames pour parvenir à entailler les armures,ta simple force physique n’y suffira pas..

Ces encouragement furent les derniers mots prononcés par l’épéiste avant qu’il ne regagne le palais royal,il s’y rendait pour la première fois et fut surpris de tombé nez à nez avec une gigantesque statue de Saladin,i l’examina un instant,reconnaissant avec surprise sa nouvelle épée dans les mains du haradrim,il la tenait d’une main,tandis que la seconde était levée vers le ciel en signe de victoire,le visage semblait jeune,et les cheveux courts changeaient radicalement l’apparence de celui qu’Adrian avait si bien connus.

-Il venait juste de vaincre son père et de devenir roi quand cette statue a été commencée, quand elle fut achevée, il avait quitté la cité depuis longtemps…

L’épéiste ne se retourna pas, identifiant la voix qui venait de son dos, il tira sa lame et la compara un instant à celle représentée, il rétorqua avec dédain :

-Je me demande parfois comment un guerrier comme Saladin à pu naître dans une nation aussi médiocre,les soldats dont je dispose pour défendre la ville sont non seulement trop peu nombreux mais qui plus est,se refuse à accomplir le moindre progrès.

La jeune femme vit face au combattant et le dévisageant, déclara :

-Je t’ai vus au champ d’entraînement, ce n’est pas la meilleure manière de conserver l’amour de tes troupes que de les rosser…

Le vétéran de guerre s’empourpra, visiblement tiraillé entre l’idée d’étrangler son interlocuteur et celle de tourner les talons, il éleva le ton, profondément irrité :

-Qui prétend tu es être pour me donner des conseils quand à la manière de former mes soldats ? J’ai dirigé plus de guerriers que tu n’as eu d’hommes dans ton lit !

La donzelle ne réagit pas, se contentant d’observer la gigantesque sculpture, elle répondit posément :

-Ce ne sont plus des ourouks qui te suivent mais des hommes qui ont choisis de t’obéir car ils n’ont pas le choix,ils suivent celui qui est le plus amène de protéger leur patrie,mais si tu parviens à gagner leur affection en plus de leur respect,ils marcheront à tes cotés face à n’importe quels ennemis.

Adrian soupira et fit quelques pas, tournant en rond tout en cherchant à se calmer avant de rétorquer :

-Je n’ai que faire qu’ils m’aiment du moment qu’ils m’obéissent,j’exige qu’ils donnent le meilleur d’eux même et non pas qu’ils me fassent des déclarations romantiques !

La femme sourit légèrement et dit :

-Tu sais, tu as déjà gagné bien des admiratrices en sauvant les villageois, c’est grâce à cela qu’elles ont été si nombreuses à se porter volontaires.

Adrian ne parvint pas à dissimuler un mince sourire, en effet il avait déjà honoré plusieurs habitantes reconnaissantes et prêtes à lui offrir leurs corps en récompense, il répondit :

-Les femelles du Harad sont effectivement capables de remercier,je me demande parfois comment cela se fait il que tu leurs ressembles si peu…toujours est il qu’elles s’entraînent avec rigueur elles,et seront sûrement bien utiles pour défendes les remparts,mais…

La donzelle ne laissa pas le temps à l’homme de finir sa phrase et parla d’une voix grave :

-Mais elles ne seront pas suffisantes si une véritable armée se lance à l’attaque de notre cité, n’est ce pas ? C’est pour cela que tu es venu me voir.

Adrien détestait cette impression récurrente que la sorcière pouvait lire directement ses pensées, elle semblait parfois tout savoir de ses volontés et faiblesses sans qu’il ne dise le moindre mot, il ne répondit rien, s’adossant à l’un des piliers soutenant le palais, elle continua :

-Je sais que c’est de guerriers que tu as besoin,mais les hommes du Harad sont depuis bien longtemps décimés par les guerres et ne représentent plus qu’une faible partie de la population.

Adrian répondit avec un peu d’hésitation :

-Un soldat m’a parler des mines dans lesquelles serraient emprisonnés des habitants des différents villages voisins, que sais tu à ces propos ?

La femme déclara qu’elle n’était pas au courant de cette situation, de par sa longue absence elle n’avait pas eu vent de cette rumeur, il fallut à l’épéiste le témoignage de son jeune guide pour apprendre enfin quelque chose : il existait une mine de pierres précieuses, dans laquelle la majorité des hommes étaient exploités, ainsi qu’une autre plus petites ou des minerais étaient extraits principalement par des jeunes enfants et trillés ensuite pas les vieillards.

Xamas, celui qui régissait ses deux excavations était parait-il un riche marchand ayant recruté suffisamment de mercenaires pour enrôler de force ensuite les paysans et ainsi s’assurer des revenus fixes et ce sans avoir à payer autre chose que le salaire des hommes d’armes.

Selon les estimations,c’était près de deux cents hommes qui étaient sous ses ordres et qui avaient pour rôle d’obliger les habitants à travailler,et ce à grand renforts de coups de fouets,les esclaves étaient innombrables,peut être cinq cents pensaient le jeune haradrim qui avait lui-même été emprisonné plusieurs mois dans la plus petite mine avant de parvenir à s’enfuir tandis que les ouvriers se révoltaient,mais l’insurrection avait échoué et les châtiments furent si cruels que plus jamais depuis,la moindre trace de rébellion n’avait été visible.

Adrian tout en écoutant les rapports détaillés, pris la décision d’aller lui-même se rendre compte de l’état des lieux, et bientôt, accompagné de son suivant, il pris la direction des exploitations minières, suivant son guide qui chevauchait à vive allure, comprenant que le commandant serrait peut être prêt à rendre leurs libertés à ses compatriotes.

Lorsque les deux hommes arrivèrent en vue de la première exploitation, la plus modeste, ils se dissimulèrent, profitant d’une grande dune surplombant la mine qui était en réalité une sorte de village, de grandes baraques en bois servaient à loger les travailleurs et les gardes, qui à cette heure surveillaient le bon déroulement des opérations.

Un grand bruit régnait dans la région,les fouets claquaient régulièrement,de jeunes enfants allaient et venaient,rentrant et puis sortant d’un gigantesque trous creusé au centre de la plaine et duquel dépassait une gigantesque échelle,les bambins portaient de grands paniers remplis de pierre qu’ils déversaient dés qu’ils quittaient les ténèbres,des hommes triaient ensuite le contenu,sélectionnant les roches pouvant contenir quelques richesses et rejetant les vulgaires cailloux sur un gigantesque amoncellent .

Les travailleurs semblaient ne plus rien ressentir,accomplissant leurs taches sans le moindre mots,ne laissant pas transparaître la moindre émotion,ils avaient perdu tout espoir et avec cela,ils étaient devenus de vulgaires machines,sans le moindre sentiment.

-Si vous parvenez à rendre leur liberté à mes frères,seigneur,ils seront à votre service pour l’éternité et vous offrirons tout ce qu’ils possèdent :leurs bras et leurs vies…

Ces mots étaient à la fois promesses et supplications aux oreilles du commandant qui comprenait bien la détresse de son suivant, il inspectait les yeux avec le regard d’un oiseau de proie, inspectant chaque recoin visible, estimant le nombre de soldat ainsi que celui de vieillards, quand aux enfants, impossible de les dénombrer vus qu’ils étaient continuellement en mouvement.

Il n’y avait qu’une cinquantaine de gardes pour surveiller les innombrables esclaves, qui étaient peut être une centaine, soit le double uniquement de vieillards, ceux la ne serraient pas capable de tenir une épée mais le spectacle d’une telle soumission révoltait l’épéiste qui bientôt, se remit en selle et déclara :

-Nous allons nous faire accompagner de tes compagnons d’entraînement et reviendront cette nuit et profiteront de l’obscurité pour massacrer les sentinelles et libérer ces gens…

Le visage du jeune guide s’illumina et il s’inclina légèrement devant Adrian qui semblait presser de mobiliser ses troupes, forçant sa monture à trotter continuellement, il fallut bien peu de temps pour rejoindre la métropole qui grouillait d’activité et dans laquelle circula bientôt la rumeur selon laquelle le héro venus de l’ouest allait délivrer les esclaves,l’enthousiasme fut de courte durée,les villageois voyant que nul expédition ne semblait se décider,seul 25 combattants ayant été mobilisés.

Ce petit contingent était en réalité constitué des soldats ayant le matin même, subis les moqueries et colères du commandant, les guerriers avaient donc été surpris d’avoir à se préparer pour quitter la ville pendant la nuit et ce d’autant plus afin de combattre des opposants sans doute plus nombreux et plus expérimentés.

Adrian avait imposé un équipement particulier pour ces hommes qui plus est, ce qui les contrariait d’autant plus que les haradrims ne pouvaient emporter qu’un ou deux sabres selon les préférences, deux couteaux de lancé et devaient abandonner leurs armures au profit de tissus entièrement noirs, destinés à les rendre invisibles dans l’obscurité.

Le colosse lui-même avaient laissé son imposante épée à deux mains, n’emportant que son sabre en cas de mêlée ainsi que deux épées courtes, une grand cape noire recouvrait ses épaules ainsi que sa chevelure et ne laissait visible qu’une partie de son visage, c’est ainsi accoutrer que le groupe quitta la cité dés que la nuit fut tombée, furtivement et ce sans que nul ne remarque leur départ.

Les montures des cavaliers étaient elles mêmes discrètes, leurs pieds s’enfonçant dans le sable, laissant des traces mais ne produisant pas le moindre bruit,les armes attachées de manière à ne pas produire le moindre tintement étaient elles aussi muettes,les combattants étaient semblables à des ombres mouvantes,qui après quelques heures de chevauchées,durent se défaire de leurs destriers,les relâchant tout en sachant qu’ils rentreraient d’instinct aux écuries,en effet le moindre hennissement pouvait donner l’alarme aux proies qui étaient toutes proches.

La suite du chemin se fit donc à pied, bientôt la petite troupe se trouva au même endroit que celui ou se tenaient quelques heures plus tôt Adrian et son compagnon,le commandant inspectait le lieu : les travailleurs semblaient tous enfermés dans les habitations en bois ou aucune lumière n’était visible tandis que les gardes étaient soit postés devant ces maisons,soit placé autour d’un grand feu de camp d’où émanaient de grands cris.

Visiblement, les hommes de Khand ne craignaient rien, habitués à la passivité de leurs serviteurs, ils étaient au moins une vingtaine à s’enivrer tandis que les autres étaient dispersés, soit endormis dans les différents baraquement soit en train de surveiller, ces vigiles devaient tomber en premier pour faciliter le reste des opération, Adrian murmura :

-Bon,ils ne se doutent de rien,faufilez vous sans bruit et poignarder discrètement tous ceux que vous croiserez,nous nous réunirons ensuite pour lancer l’assaut sur le groupe du centre,mais premièrement,massacrer les sentinelles…

Le colosse montra l’exemple,dévalant la pente raide tout en prenant appui sur ses lames pour faciliter sa progression,ses hommes le suivaient,une fois que tous furent arrivé au niveau du camp,ils se dispersèrent silencieusement,Adrian suivit de son habituel camarade fut le premier à tirer l’acier,ayant repéré une proie endormie et adossée à un panier d’osier,entouré de bouteille,le géant jeta un regard méprisant à sa victime tout en lui tranchant la gorge,un bruit de gargouillis se fit entendre tandis que le sang se déversaient sur le sable.

Un peu partout, les gardes ivres morts subissaient le même sort, soit poignardé au cœur soit égorgés proprement, le commandant fit signe à plusieurs de ses soldats de le suivre et désigna les baraquements ou se tenaient les prisonniers, bientôt ceux-ci furent contournés et un bruit d’acier tranchant la chair se fit entendre, suivis d’un râle timide.

De grands cris émanaient du feu ou la ripaille semblait duré depuis un moment, les tintements de bouteilles s’entrechoquant étaient permanents et masquaient aussi les gémissement d’agonie des mourants, tous les gardes étaient tombés,ils ne restaient que les guerriers au centre,ceux qui se reposaient dans leurs quartiers ainsi que ceux qui faisaient des allers-retours continuel entre le lieu de beuverie et les réserves,ce furent ceux-la qui tombèrent ensuite,criblés de couteaux de jets,les ombres rôdèrent ensuite autour des différents baraquement d’où nul bruit autre que celui des ronflements n’émanaient.

Adrian ouvrit une porte entrebâillée et fit face à un soldat qui,surpris n’eut pas le temps de réagir tandis que l’épéiste en un instant le transperçait de ses deux lames courtes,le corps tomba au sol,laissant choir une lampe à huile qui se brisa sur le sol avec grand fracas,le général pesta,se précipitant dans l’habitation,suivis de ses hommes,il courrait,décapitant ceux qui émergeaient de leur sommeil,un des futurs condamné parvient à s’enfuir,se jetant à travers les assassins qui lui assénèrent plusieurs blessures mais ne réussirent pas à l’achever tandis que le fou courait vers ses compagnons.

Le colosse s’assura qu’il ne demeurait aucun survivant dans le baraquement et fit signe à ses guerriers de sortir, tandis que les hommes de Khand avertis du danger poussaient de grands cris, ordonnant le rassemblement, simultanément le bruit des épées sortant des fourreaux résonnait dans la vallée.

Adrian et ses assassins encerclaient de loin le feu ou bientôt une trentaine de rescapés étaient réunis, s’agglutinant les uns sur les autres et pointant de leurs lames le vide, la peur se listait sur chacun des visages, les pillards ne savaient vers ou se tourner, ne sachant même pas ce qu’ils allaient affronter, un cris résonna soudain dans l’ombre, puissant et net : « LANCER !! », quelques secondes après, les terribles couteaux des haradrims fusaient de toutes les directions,s’enfonçant dans les corps ou heurtant les quelques armures ou boucliers dont disposaient les cibles.

Quelques uns étaient tombés mais la majorité des soldats étaient simplement blessés voir indemne, les guerriers de Gallipoli n’étant pas des experts dans l’art du lancer, Adrian fit donc signe à ses combattants de serrer les rangs et bientôt, les assassins furent visibles, formant un large cercle autour de leurs proies qui poussaient des cris d’épouvantes suite à cette apparition ténébreuse.

Adrian lança ses deux épées courtes avec force, visant deux soldats un peu avancés qui tombèrent simultanément, la gorge percée, l’épéiste dégaina son grand sabre, dont la lame refléta un instant la lumière de la lune qui enfin se dévoilait tandis qu’elle avait préféré se dissimuler le temps de l’assaut.

Le général s’élança en poussant un grand cris, imité par tout ses guerriers qui se ruaient sur les hommes de Khand affolés et ne sachant ou donner de la tête, ceux-ci ne résistèrent pas bien longtemps, ne réagissant pratiquement pas tandis que les lames leurs déchiquetaient le corps, l’épéiste ténébreux jubilait tout en décapitant deux barbares d’une large frappe, les opposants avaient accepté leur destin avant même qu’il ne les assassine.

Ce fut moins une lutte qu’une exécution,les haradrims anéantissaient ces lâches qui n’osaient même pas brandir leurs armes,Adrian transperça une autre victime puis en éventra une troisième,le tout en un éclair,enchaînant ses attaques les unes après les autres sans même prendre le temps de souffler,il fallait profiter pleinement de la panique.

Bientôt, il ne restait plus que des corps sans vie,les haradrims poussèrent un cris de triomphe,tandis que le commandant s’empressait d’aller déverrouiller les nombreux petits baraquements,une foule hagard et miteuse en sortit aussitôt ,les hommes s’enlacèrent,les prisonniers avaient assistés aux combats,profitant des quelques fenêtres destinées à aérer leurs cellules.

Le général toisait avec dépit ceux qu’il avait délivrés,ils étaient pour la plupart âgés de plus de cinquante ans,des jeunes enfants étaient aussi présents,mais il n’y avait pratiquement aucun combattant possible,il faudrait assaillir l’autre mine pour trouver de nouveaux soldats…

Pourtant, il ne put retenir un sentiment de fierté quand ceux qu’il venait de sauver vinrent le remercier comme l’avaient déjà fait tant d’haradrims depuis son arrivé dans ces terres désertiques, on l’acclamait, vantant sa force et sa ruse, et ces ovations étaient à elles seules une magnifique récompense pour le guerrier qui ne réprimait pas un sourire satisfait, quelques combattants seulement étaient tombés et le peuple de Gallipoli se redressait au fur et à mesure de ses victoires.

Bientôt,la citée fut en vue,les anciens prisonniers couraient vers les hautes murailles tout en poussant des cris d’allégresse tandis que leurs familles les rejoignaient et partout,ce n’était qu’allégresse,Adrian fut une nouvelle fois acclamés mais choisis de ne pas perdre de temps,ordonnant de changer les chevaux et se hâtant de se rendre dans sa chambre,avalant rapidement un frugal repas et s’allongeant dans son lit tandis que le soleil brillait à son zénith,il fallait reprendre des forces et ne pas gâcher l’occasion offerte,offrir une victoire supplémentaire au peuple et s'assurer de disposer de nouvelles recrues.

tu continue la mission , ou tu fais une pause, parce que la mission comprend les trois mines. Même si je peux déjà te noter si tu veux.

Oups,j'avais compris qu'il n'y avait que deux mines...
Je la continue,j'ai déjà un petit peu,la dernière partie serra fort courte.

c'est vercingétorix sur ton image perso ?

Je ne pense pas,il a le symbole de la lune renversé comme attache pour sa cape,hors c'est le symbole de Carthage,je pense donc que c'est plutôt un chef de guerre gaulois recruté par les carthaginois lors de la deuxième guerre punique,mais sans certitude.

Convient asser mal au forum mais la peinture est très belle en plus grand.

Adrian a écrit:

Je ne pense pas,il a le symbole de la lune renversé comme attache pour sa cape,hors c'est le symbole de Carthage,je pense donc que c'est plutôt un chef de guerre gaulois recruté par les carthaginois lors de la deuxième guerre punique,mais sans certitude.

Convient asser mal au forum mais la peinture est très belle en plus grand.

Carthage^^

ba il y a beaucoup d'erreur dans les peintures^^ donc on peut pas savoir exactement.

Disons que Vercingétorix était décrit comme brun dans tous les romans et livres que j'ai lu à son sujet,que les gaulois ne supportaient pas les cuirasses musclées que portaient les romains,que les gaulois utilisaient principalement des boucliers asser petits ....

Donc pour ce bon vieux gaulois ca m'étonnerait ^^

Mais si c'est un mercenaire gaulois de la gaule cisalpine,ca expliquerait la broche,ainsi que la cuirasse qu'il aurait dérobé à un adversaire mort,ainsi que le pavois asser grand.

c'est pas faux,la tu marque un point.

Le général toisait avec dépit ceux qu’il avait délivrés,ils étaient pour la plupart âgés de plus de cinquante ans,des jeunes enfants étaient aussi présents,mais il n’y avait pratiquement aucun combattant possible,il faudrait assaillir l’autre mine pour trouver de nouveaux soldats…

Pourtant, il ne put retenir un sentiment de fierté quand ceux qu’il venait de sauver vinrent le remercier comme l’avaient déjà fait tant d’haradrims depuis son arrivé dans ces terres désertiques, on l’acclamait, vantant sa force et sa ruse, et ces ovations étaient à elles seules une magnifique récompense pour le guerrier qui ne réprimait pas un sourire satisfait, quelques combattants seulement étaient tombés et le peuple de Gallipoli se redressait au fur et à mesure de ses victoires.

Bientôt,la citée fut en vue,les anciens prisonniers couraient vers les hautes murailles tout en poussant des cris d’allégresse tandis que leurs familles les rejoignaient et partout,ce n’était qu’allégresse,Adrian fut une nouvelle fois acclamés mais choisis de ne pas perdre de temps,ordonnant de changer les chevaux et se hâtant de se rendre dans sa chambre,avalant rapidement un frugal repas et s’allongeant dans son lit tandis que le soleil brillait à son zénith,il fallait reprendre des forces et ne pas gâcher l’occasion offerte par la prise des mines.

Dés son réveil, Adrian fit quérir son guide et tandis que la nuit était tombée, les deux hommes quittèrent la ville au galop, Adrian chevauchant derrière son serviteur, il fallait étudier les défenses adverses tandis qu’elles étaient les plus vulnérables : quand l’obscurité et l’ivresse avait réduit les gardes à l’état de futurs condamnés.

Les heures se succédaient, trottant continuellement dans l’immensité des plaines sableuse quand enfin des lumières illuminèrent l’horizon : les mines étaient équipées de tant de torches qu’il faisait aussi lumineux qu’en plein jour, les fortifications étaient en bois mais néanmoins demeuraient imposantes, de nombreuses tours réservées aux archers étaient disposées ici et la sur l’ensemble des murs.

Des garnisons d’une dizaine de gardes patrouillait, suivie de peu par une seconde, il n’y avait visiblement aucun point vulnérable à ces redoutables défenses, l’assaut nocturne ne serrait pas suffisant pour prendre le contrôle de l’endroit, les hommes de Khand avaient été estimés à une centaine mais pourtant, l’épéiste ténébreux devinait qu’ils étaient sans doute plus nombreux.

Adrian et son compagnon demeurèrent terrés pendant plusieurs jours dans les environs, étudiant les différentes possibilités pour prendre ce lieu qui semblait impossible à attaquer ou à assiéger avec des forces aussi réduites que celles dont disposait le commandant qui ne dissimulait pas sa détresse, il avait crus une seconde victoire à sa portée, une offensive fulgurant ne pourrait pourtant suffire pour libérer les esclaves du harad.

Les coups de fouets claquaient si fort dans la plaine et les hurlements poussés par les tortionnaires étaient tels que bientôt l’épéiste ténébreux ne considéra plus cette nouvelle offensive comme une possibilité mais comme une nécessité,les infortunés orientaux étaient réduis plus bas que terre,de leur cachette,une sorte de caverne creusée dans une roche brunâtre,les deux hommes pouvaient assister aux supplices affligés à ceux qui refusaient d’obéir,ils étaient souvent amputés d’un bras ou d’une main,d’autres étaient décapités ou égorger,leurs corps étaient ensuite brûlés sans aucune cérémonie.

Le dégoût de l’épéiste ténébreux était tels qu’il détournait parfois les yeux, lui pourtant si accoutumés à la mort et à la destruction, la guerre était une chose, le pillage une seconde mais la torture était un acte qui le répugnait au plus haut point, tandis que son guide versait des larmes à chaque nouvelle exécution, il fallait pourtant attendre, guetter une occasion, une faiblesse à exploiter…

L’opportunité enfin arriva,sous la forme d’un cavalier isolé,quittant le terrible camp de travail au galop,se hâtant de quitter le champ de vision des vigiles postés aux portes de l’endroit,ne se doutant pas qu’au loin,la mort le guettait,le soldat d’ailler semblait bien insouciant,ayant choisis de continuer sa route au pas un fois qu’il fut asser loin,il se promenait ainsi paisiblement,sortant d’un petit sac de cuir un parchemin qu’il commença à lire tout en laissant sa monture agir à sa guise.

Bientôt il fut rejoint par le guide d’Adrian qui l’appela au loin,galopant dans sa direction,l’homme de Khand attendit l’arrivée de l’oriental venant de la même direction que lui et lui adressa quelques mots,avant d’apercevoir la lance qui serrait fermement le haradrim qui était encore à une distance respectable,le sauvage prit peur,hurlant des ordres à sa monture et labourant ses flancs à coups de talons,mais déjà l’arme du haradrim,projetée avec force lui percait l’omoplate gauche,le barbare déséquilibré par l’impact ne tarda pas à choir,tandis que sa cavale disparaissait dans un nuage de poussière.

Le commandant de Gallipoli fit bientôt son apparition tandis qu’il avait préférer laisser agir son second, le fait d’être à deux ayant pu causer la méfiance du soldat isolé, le géant mis pied à terre et plaça sa dague sur la gorge du blessé qui n’avait réagis depuis sa chute, restant au sol tout en gémissant.

Le cavalier était en réalité un messager destiné à informer la garnison de la mine voisine que bientôt un convoi d’une centaine de prisonniers viendrait les rejoindre tandis que tous les enfants ayant atteint quinze ans viendraient remplacer ceux qui devenaient trop vieux pour être utiles.

Cents hommes à surveiller, cela impliquait une énorme escorte, au moins cinquante gardes pour éviter la fuite des esclaves et raccompagner les adolescents, la moitié de la garnison ainsi exposée à une embuscade, c’était une véritable faveur offerte par les dieux, qu’il n’était pas question de refuser.

Une fois que le messager apprit à ses tortionnaires qu’il était supposé demeurer dans la seconde mine jusqu'à ce que ses camarades viennent le rejoindre, plus rien ne justifiait qu’il reste en vie, il fut donc achevé sans le moindre remord, son corps ayant tout de même le privilège d’être enterrer dans les sables et non pas brûlé, il ne fallait pas laisser la moindre trace de leur passage, et seul une tache brunâtre témoignait du meurtre.

Adrian avait établi sa stratégie, il fallut deux jours pour que tous les artisans de celle-ci furent présent dans l’excavation, les piquiers dont il disposait avaient troqués leurs uniformes contre ceux des gardes de khan tombés, les guerriers se tenaient à la place des détenus dans les cabanons et les anciens esclaves eux-mêmes se remirent à travailler comme avant quand la troupe ennemie fut visible au loin.

Les hommes de Khand avançaient lentement, ils chevauchaient tous mais entouraient un gigantesque troupeaux humain qui comme prévus devait bien faire une centaine de prisonnier, les barbares poussaient des grands cris de joie mais se renfrognèrent quand ils se rendirent compte qu’aucune des gardes ne leurs répondaient, ne cessant même pas leurs activités.

Adrian regardait grâce à une fenêtre le visage des hommes qu’il s’apprêtait à libérer,ils semblaient épuisés,pour la plupart étaient décharnés et visiblement résolus à leur sort,il serrait celui qui allait changer cela,il sortit de son baraquement,suivis par ses braves guerriers,il tenait sa gigantesque lame qu’il avait hérité de Saladin et qu’il s’était empresser de reprendre tandis qu’il mettait au point les détails de ce guet-apens.

A sa vue, les lanciers fermèrent les portes qui s’entrechoquèrent avec fracas tandis que rentraient les derniers prisonniers, enchaînés les uns au autres, les cris de protestations et de surprise fusèrent de partout tandis que l’épéiste ténébreux, faisait un signe à ses hommes d’attaquer.

Les adversaires, étant une race d’homme relativement rude était un peuple courageux bien que peu raffinés, ils résistèrent donc vaillamment quand ils réalisèrent qu’ils étaient piégés et que les hordes de fantassins se jetaient sur eux et les acculaient, la plupart des cavaliers mirent pied à terre et dégainèrent leurs sabres ou firent face à l’aide de leurs lances.

Aucune bravoure ne rend cependant immortel, et ils affrontaient la colère de tout un peuple, les piquiers et guerriers haradrims rugissaient tout en serrant leurs rangs, suivant les ordres de leur capitaine qui avait insister pour qu’ils restent ainsi unis, afin de laisser le temps aux ennemis de se rassembler eux aussi et d’ainsi ne pas risquer la vie des prisonniers qui cherchaient eux aussi à fuir, ne comprenant rien à la situation.

Les hommes de Khand n’hésitaient pas à charger la masse de piques et de cimeterres qui leur faisait face,ils se comportaient comme des fauves acculés,attaquant sans aucun autre espoir que de blesser ceux qui les agressaient,s’empalant sur les lances ou finissant déchiquetés par les lames .

Plusieurs téméraires ainsi tentèrent des attaques folles quand enfin celui qui était le capitaine des cavaliers parvint à réunir les survivants, peut être une quarantaine et lança un assaut généralisé,ce que précisément attendait leurs ennemis,le choc fut bref mais violent.

Adrian lui-même eu bien du mal à éviter les coups de ses adversaires,cherchant plus à faire du mal qu’a sauver leurs vies,ceux-ci étaient imprévisible et le colosse avait beau parer les assauts et percer ou décapiter de sa lame ses opposants,d’autres les remplaçaient instantanément.

Mais la plus vague la plus violente se brise toujours sur les roches millénaires, ainsi même les attaques suicidaires des ennemis ne purent obliger les haradrims à rompre leurs formations, les piquiers formant une sorte de phalange tandis que les épéistes serrés les uns contre les autres veillaient eux aussi sur leurs voisins, tels de vrais frères, descendants d’un peuple fier et courageux.

Adrian constatait avec satisfaction que sa défense tenait bon, il esquiva un coups de lance avant de trancher le bras de son agresseur puis de l’égorger d’une frappe, il hurla ensuite à ses troupes de repousser leurs opposants, dont le nombre se réduisait rapidement, leur assaut était déjà brisé.

Les haradrims poussaient les rescapés qui se tenaient à distance maintenant et reculaient inexorablement vers les murs, ils étaient tout au plus une quinzaine, ils lâchèrent leurs épées pour demander grâce, se mettant à genoux face au général haradrim qui hésita un instant, avant de décapiter l’ennemi le plus proche, dans un rugissement bestial, ses hommes l’imitèrent et bientôt les prisonniers furent réduit à l’état de cadavres.

Aucune pitié n’était possible face à des hommes capables de se comporter aussi cruellement que les pires rebus du Mordor, il fallait éradiquer cette vermine, et se hâter de le faire !

L’épéiste ténébreux avait déjà planifier la suite des opérations : ramener les villageois à la ville, mobiliser ensuite toutes les troupes sans exceptions, tous les archers volontaires chargés de défendre la ville, s’équiper du matériel requis pour enflammer les flèches puis faire marche vers la seconde mine, l’assiégé durant une nuit entière à l’aide de traits incendiaires pour ensuite soit la prendre d’assaut soit obliger la garnison à ce rendre.

Tout ce déroulait comme prévus, moins de deux jours après avoir embusquer le groupe de cavaliers, Adrian faisait face de nouveaux à l’excavation accompagné par trois cent soldats,dont les deux tiers étaient en réalité les archères débutantes qui étaient destiné théoriquement à un rôle défensif.

Elles eurent plutôt un rôle d’intimidation, car même si leurs traits étaient peu précis, ils devaient juste frapper les palissades, afin de soit les brûler soit de faire connaître la terreur aux hommes de Khand, le bruit des cordes était constant, les flèches volaient inlassablement,la majorité touchaient leurs cibles,et des cris d’épouvante résonnaient dans toute la vallée,tandis que les flammes dévoraient le bois.

Let traits hérissaient les défenses ennemies qui ne tardèrent pas à se transformer en de gigantesques braseros,s’écroulant au fur et à mesure que les heures passaient,au matin,d’énormes monticules de cendres remplaçaient les murs,les barbares étant bien incapable de calmer l’incendie,ceux qui s’y étaient essayés avaient péris dans les flammes.

Il fallut attendre la matinée pour qu’un émissaire vienne à la rencontre de l’épéiste ténébreux, proposant la rédition, en échange, de leur liberté, les hommes de Khand livrerait la place et les prisonniers, Adrian accepta, une fois le messager parti, il donna de nouveaux ordres à ses archers, tout en dégainant son sabre.

Une cinquantaine d’hommes en arme quittèrent la mine, suivis par une foule désordonnée de prisonniers dont ils brisèrent les liens, les haradrims, déboussolés avancèrent lentement en premier puis se jetèrent avec joie dans les bras de leurs compatriotes, s’abandonnant à une joie débordante, le commandant sourit, appréciant le spectacle, tout en ne quittant pas des yeux leurs adversaires, il cria d’une voix autoritaire :

-Archers, ouvrez le feu !

Il fallu un court instant pour que les hommes de l’est comprennent, les prisonniers se jetèrent au sol, tout en poussant des cris d’épouvante, dans un claquement de corde, des dizaines de projectiles s’envolèrent, tombant sur les pillards qui, commencèrent à courir, un instant trop tard car déjà plusieurs corps jonchaient le sol.

Les hommes de Khand se réfugièrent dans les baraquements, l’ancien mercenaire se mit à rire, parlant à ses hommes :

-Vengez vos frères qui ont souffert et qui sont morts par la faute de ces chiens, déchaînez l’enfer, brûlez les !

Une nouvelle pluie de flamme tomba pendant d’interminables minutes, le bois sec s’embrasait rapidement, tandis que les adversaires, piégés comme des rats étaient soit brûlés vifs, soit cribler de flèches si ils s’aventuraient dehors, leurs cris résonnèrent longuement, ainsi que ceux de leurs anciens captifs qui hurlaient leurs haines avec fureur, tandis que les tortionnaires mourraient les uns après les autres.

Lorsque enfin les cendres furent froides, les haradrims acceptèrent de se mettre en route, il fallu bien des heures pour que la troupe rejoigne Gallipoli, accueillie par de grands cris de joie, les célébrations durèrent plusieurs jours, le vin coulant à flot, célébrant la liberté retrouvée et le retour de ce qui serrait bientôt une milice suffisante pour protéger la cité.

Bon,j'ai finis vite fait cette mission qui durait depuis des mois...

Une personne pour me coter ? La première partie est sur la page précédente

Je m'en occupe Adrian !

Ok,merci Kili

Dis moi, ce Saladin, c'est le mec qui combattait avec toi et les nains contre les gobelins à tes débuts, non ? Et c'est celui que tu as tué à un moment ?

Taille: 16/20 J'ai déjà vu certaines de tes missions plus longues, mais comme tu l'a dis, tu as choisit de raccourcir un peu pour faire plus de missions. Néanmoins, c'est toujours plus que convenable à mon sens.

Histoire:18/20 J'ai trouvé ça pas mal du tout = ) Il y a de bonnes idées de scénar' On en apprend sur ton perso avec ton comportement avec tes hommes, les esclaves et tes ennemis^^

Action:17/20 En parlant de tes ennemis, tu leur met une bonne vieille dérouillée J'ai appréciais les divers affrontements, même si j'ai été dégouté quand tu tues en traitre les Variag^^ Ouais, je les aimais bien moi ces mercenaires = )

Orthographe : 8/10 Quelques fautes sans plus. Et aussi pour le manque d'espace après les virgules à de nombreux endroits, mais rien de grave = )


Note Général: 17/20 Une bonne mission qui se lit sans même s'ne apercevoir^^ J'ai lu deux de tes postes sans même m'en rendre compte tellement j'étais dedans

Merci pour la cote,Saladin c'est bien ce gars la,celui qui normalement était le roi de ma cité,que j'ai vaincu après qu'il m'aie défié dans un combat à mort,se sachant condamner et voulant mourir les armes à la main.

Bon,ben je peux me consacrer à ma grande bataille avec Gauthier maintenant

Perso Adrian j'ai pas encore lu mais je fait comme ma conseillé gauthier... Impimer Puisque je n'aime pas lire de long texte a l'Ordi... Je vais lire tes textes se soir... dans mon lit
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Edit: Je vient de me taper 56 pages a imprimer

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